Alain MOREAU

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Tout ce qui a été posté par Alain MOREAU

  1. observation étoiles binaires à éclipses

    Ben oui, -48° au mieux c'est le souci ; et pour ça qu'il n'y a pas trop de réactions enthousiastes aussi... Moi je ne suis pas encore opérationnel pour ce genre d'observations à Rodrigues. Dommage car c'est vraiment sympa à faire [Ce message a été modifié par Alain MOREAU (Édité le 24-01-2014).]
  2. C8 HD ou RC8"

    Houps, pas réveillé sur ce coup là ! -25% de la surface, pas du diamètre évidemment !
  3. C8 HD ou RC8"

    En tout cas on peut parler de leur courbure de champ Frédéric : SV a fait le choix de la limiter sur ses RC en diminuant le grandissement du secondaire ; c'est comme ça que tu te retrouves avec une obstruction > à 50%. C'est pas un drame certes en imagerie du ciel profond - quoique déjà tu te retrouves avec le pouvoir collecteur d'un instrument non obstrué de 180mm - mais ça ne facilite pas l'asphérisation du primaire pour autant, ni la maîtrise de l'astigmatisme hors axe... Cela passe peut-être sur un 10" sur un capteur de taille modérée avec des pixels pas trop petits, mais avec l'augmentation du diamètre et celle proportionnelle de la courbure de champ, pour des + gros on l'a dans l'os : sans aplanisseur point de salut ![Ce message a été modifié par Alain MOREAU (Édité le 23-01-2014).]
  4. C8 HD ou RC8"

    Bah... toujours le même truc au fond : pour qu'un RC fonctionne bien, il faut mettre le paquet sur son optique et sa mécanique complète, et quand même le corriger, ce qui place très haut la barre budgétaire compte tenu de ses contraintes spécifiques. J'adhère par ailleurs totalement à l'analyse d'Olivier. J'irais d'ailleurs plus loin : même à 20 ou 24", pour 60% du budget d'un bon RC (et bien moins si on le construit soi-même) on peut fabriquer un excellent newton très ouvert, moins obstrué, bien corrigé, doté d'une mécanique fiable, qui obtiendra des performances tout aussi satisfaisantes et de surcroît configurables sur une gamme de champs et de f/D résultants plus étendue... Bref un télescope polyvalent, évolutif, ainsi que moins complexe à réaliser, à maintenir et à maîtriser avec des compétences et des moyens amateurs. Il faut bien voir que nos plus "gros" instruments d'amateurs ne sont que de tout "petits" instruments professionnels : appliquer aux premiers la logique des seconds n'est pas forcément un choix très pertinent quant aux ratios coût/performances/emmerdements. Sauf pour des applications ciblées, un RC est un choix coûteux et ambitieux car techniquement exigeant depuis sa réalisation jusqu'à son exploitation. Si l'on raisonne de façon purement objective, il est loin de se justifier dans la plupart des cas face à une formule plus simple (à résultat final comparable bien entendu). Les RC amateurs sont d'ailleurs acquis "clef en main", car bien peu seraient capables de les construire avec succès et encore moins d'en tailler les optiques. Naturellement cela contribue aussi à leur coût élevé par rapport aux newtons qui sont davantage à la portée des réalisations personnelles.
  5. Nettoyage de l'objectif d'une Pronto

    Salut Fred, Cela fait des années que j'entretiens mes optiques au Purosol. C'est vraiment un excellent produit, assez cher mais on en consomme très peu finalement et il se conserve très bien. Il est aussi polyvalent et convient parfaitement même pour un miroir - ce qui permet entre deux "grands nettoyages" ou en cas de salissure accidentelle de réaliser un nettoyage ponctuel, miroir en place. Avant tout il faut déjà dépoussiérer à la brosse optique légère + soufflette (pas celle des mécanos hein ! ) : pas la peine de traîner inutilement du gravier sur la surface. Ensuite une première passe humide en vaporisant directement le produit sur l'optique si elle est assez large (sans aller jusqu'au bord pour ne pas provoquer d'infiltrations contre le barillet) ou plutôt directement sur le chiffon pour nettoyer une petite pièce, en laissant agir le produit quelques minutes avant d'essuyer. Avec un essuyage "léger", un chiffon microfibre optique parfaitement propre enlève alors le plus gros, sans insister, puis une seconde passe humide de finition avec un chiffon neuf termine le boulot. L'optique sort habituellement absolument nickel, sans aucune trace ni résidu. Par contre je nettoie une ou deux fois par an ; je ne laisse jamais la merde s'accumuler ni s'accrocher durablement (en particulier les résidus organiques, chiures de mouches ou autres traces de doigts si ça arrive, qui pourraient avoir une action chimique). S'il reste une salissure un peu plus tenace quelque part, je vaporise à nouveau un peu de produit juste à cet endroit, et le laisse agir un peu plus longuement comme précédemment, avant d'essuyer. Je ne cherche jamais à enlever une saleté par effet mécanique ; il faut plier et replier son chiffon, voire le renouveler autant de fois que nécessaire pour ne jamais promener ce qu'on vient d'enlever sur le reste de la surface en risquant ainsi une rayure. Et toujours opérer avec des gants d'opticien ou vinyl, sinon on pollue son chiffon par la transpiration même avec des mains soigneusement lavées et brossées. Même méthode pour entretenir les oculaires, très exposés aux salissures et qui nécessitent un nettoyage bien plus fréquent : le Purosol dissous parfaitement les traces de cils ou de doigts maladroits, sans jamais attaquer les revêtements multi-couches. Dernier point, bien précieux dans mon cas : ce truc vient aussi parfaitement à bout des moisissures pourvu qu'on n'attende pas qu'elles attaquent chimiquement le revêtement. Ceci, enfin, n'est pas une pub déguisée mais la description (gratuite) d'un produit (pas gratuit) qui fonctionne. (faut préciser maintenant, quand on poste, qu'on n'oeuvre pas dans l'ombre à quelque puissant lobying, comme ça, l'air de rien, en toute partialité... )
  6. hebergement images

    Frédogoto a indiqué ce lien dans un autre fil ouvert récemment par Superfulgur : http://www.hostingpics.net Il marche au poil, super simple et direct Le fil en question : http://www.astrosurf.com/ubb/Forum2/HTML/039952.html [Ce message a été modifié par Alain MOREAU (Édité le 22-01-2014).]
  7. 17" CDK et monture equatoriale

    Ah ! c'est vrai que c'est pas un gros bordel de câbles dans tous les sens (hein Frédéric ) ... Enfin pas encore...
  8. observation étoiles binaires à éclipses

    Bonjour Polo, trop tôt pour moi (pas encore opérationnel) mais c'est très intéressant comme observations. Tu devrais essayer de poster ça aussi dans le fil dédié - même s'il est en sommeil : http://www.astrosurf.com/cgi-ubb/forumdisplay.cgi?action=topics&forum=Coop%E9rations+Professionnels/Amateurs&number=20&DaysPrune=45&LastLogin=
  9. Contraste et état de surface

    "C'est une impression ou il y a plus que moi que ça intéresse ?" Non non ! : toujours là, toujours concentré, toujours passionné Simplement comme les copains : tout juste capable de suivre, mais pas le niveau pour contribuer ; donc silence attentif et discret [Ce message a été modifié par Alain MOREAU (Édité le 22-01-2014).]
  10. Rosetta -100 jours :)

    Tout le monde ne sait plus faire que ça, communiquer par clics... Résultat : plus personne ne sait le français Alors russe ou patagon, hein, j'aime mieux même pas le savoir ! Déjà tes nains de jardin, là, ils portent au moins douze noms différents, selon qu'on les appelle, qu'on les hèle ou qu'on les traite... tu parles que c'est pratique ! M'enfin pour en revenir à tous ces petits corps en décomposition dont personne a rien à battre - et dont certains sont vaporisés avant même d'être baptisés - on n'a qu'à pas les appeler, épicétou ! Qu'est-ce qu'on s'emmerde, franchement ?
  11. Eric : ma version à 3 pattes collées (et non 2 !) est semblable à celle ci-dessus ; un tout petit plot de colle sous chaque patte sur la tranche du miroir, et c'est tout. Pas besoin d'autre chose pour le maintenir en 3D. En théorie si le collage est bien fait et reste souple (surface limitée & épaisseur suffisante + précautions thermiques) ça devrait limiter encore mieux les tensions indésirables que de simples pattes recourbées sous le verre, car il faut toujours qu'elles le serrent légèrement pour maintenir le secondaire sans qu'il ne bouge ; en pratique je n'en sais rien car il y a peut-être des "effets secondaires" imprévus. Le plus simple vraiment c'est de faire comme Rolf : ça marche sans coup férir du moment qu'on prend soin de pas contraindre le verre sous les pattes. Mon truc est purement expérimental, si ça ne marche pas je ne viendrai pas me plaindre , je n'ai aucune prétention que ce soit mieux ni plus simple
  12. Reprocessing de AR1944 HR par Ralph Smith

    Ouaaahhh Valère ! Magnifique ! (et quel shoot quand même !) La deux a ma préférence en ce qui me concerne. Si je peux me permettre, je la verrais juste un peu plus "épicée" pour ma part, dans le genre comme ça (je sais pas trop comment ça va sortir en ligne avec mon petit écran ? juste passé à l'oeil un coup de courbes et 2-3 petits réglages de lumière dans Aperture - j'ai rien d'autre sous la main, mais c'est juste pour illustrer) : Après, c'est vrai que pour bien sortir les petits spots sombres c'est pas fastoche... Edit : ouais... ben ça sort bien rugueux après la compression c'est ce que je craignais Si ça fait de l'ombre, je vire [Ce message a été modifié par Alain MOREAU (Édité le 19-01-2014).]
  13. Oui : 3 pattes ça le fait bien pour un secondaire plus lourd et du coup c'est presque isostatique (Rolf : noircis-moi cette tranche que je ne saurais voir ! ) On peut aussi préférer 2 pattes à 90° pour le "bas" et une à 135° des précédentes pour le "haut", comme Daban de l'OHP pour ASTEP : http://www.astrosurf.com/ubb/Forum2/HTML/036734.html Mais dans ce cas il faut ajouter deux courtes "pattes" intermédiaires non-porteuses pour éviter tout risque de déplacement latéral du miroir. D'ailleurs sur le tien Rolf, rien n'empêche une possible rotation du secondaire si les pattes sont tout juste en contact, comme idéalement pour ne pas le contraindre. Car finalement - au moins en visuel pour des raisons de confort d'observation, donc sur tous les dobsons - le secondaire travaille sous un angle > ou = à 45° par rapport à l'horizontale : il repose au moins autant sur sa tranche inférieure que sur ses pattes, et se trouve donc dans la configuration où on préconise maintenant pour un soutien latéral 2 supports à 90° plutôt qu'à 120° pour soutenir un miroir par sa tranche. Cela ne vaut bien sûr que pour un support "à pattes", car s'il est collé on s'en fout. Mais ça explique aussi en partie pourquoi un collage crée des contraintes tangentielles au dos du miroir - indépendamment des problèmes de rétreint et des effets thermiques. Moi j'ai imaginé une solution bâtarde pour le secondaire, pseudo-isostatique aussi et qui lui interdit toute rotation : 3 pattes "à la Daban" mais sans retours sous le miroir - celui-ci étant seulement maintenu par 3 points de colle sur sa tranche (+ fils passifs de sécurité, au cas où... ). Donc zéro obstruction et zéro contact sous le miroir, et plus besoin des pattes intermédiaires non plus. Le principe est celui d'un "sertissage" élastique. Il faut que les pattes laissent un léger jeu latéral au miroir pour lui permettre de "respirer", et soient réglables en hauteur pour ajuster sa position, mais avec ça on n'a même plus besoin de plaque d'appui (là c'est une "cloche" - non affichée - qui supporte directement les pattes). Par construction, le point de colle supérieur peut être minuscule (et gagne à l'être), il n'est là que pour stabiliser le montage. Une autre solution encore meilleure car encore plus "libre" consisterait à réaliser 3 petits alésages borgnes peu profonds sur les flancs du miroir, comme sur le dessin suivant, mais je me suis dégonflé malgré des simulations prometteuses : Dans tous les cas les contraintes n'apparaissent pas supérieures à un 3 pattes classique, mais je n'ai pas encore pu tester en conditions réelles, donc je ne vous "vendrai" pas cette solution avant de l'avoir vérifiée en long en large et en travers [Ce message a été modifié par Alain MOREAU (Édité le 18-01-2014).]
  14. Le futur de l'univers vu par la BBC

    Trillion de mille sabords !
  15. Le futur de l'univers vu par la BBC

    Bien. Tout ça nous dit pas à quelle heure on boit l'apéro... Quand aux termes "billions" etc, c'est le meilleur moyen de ne pas s'y retrouver ! Même les anglophones eux-mêmes s'y paument s'ils ne vérifient pas les sources : http://www.noslangues-ourlanguages.gc.ca/bien-well/fra-eng/typographie-typography/nmbrs-fra.html
  16. Si j'ai bien compris, il a soudé à froid des écrous inox ("panzer technologie" - c'est lui qui le dit hein - moi j'oserais pas car l'inox : respect ) Sinon les calculs, c'est comme le reste : ça dépend du bon usage - ou pas - qu'on en fait. Ce que tu appelles "intuition" Pierre, c'est surtout le fruit de l'expérience pratique accumulée. Pour qui n'a jamais beaucoup expérimenté et appris de ses essais/erreurs (les siens et ceux des autres) l'intuition est souvent trompeuse, tant le comportement de certains assemblages peut paraître contre-intuitif sans bonnes connaissances mécaniques ... Reste que les recettes éprouvées ne fonctionnent bien que si on les applique à la lettre en comprenant ce qu'on fait (comme en cuisine, le résultat n'est jamais garanti avant de s'y frotter : on se croit souvent plus malin et obligé d'innover histoire de mettre sa touche perso ; or c'est loin d'être toujours concluant - à cause du "détail" qui tue : ce petit ingrédient crucial sans lequel la meilleure recette foire ! ) Ainsi par exemple, les supports de secondaires en alu ne fonctionnent que pour de relativement petits miroirs collés, assez épais pour supporter les contraintes qu'engendrent les points de colle à leur dos quoi qu'on fasse... et encore en respectant une procédure stricte pour le collage. Pourtant c'est clair que quand c'est bien réalisé, ça fonctionne parfaitement. Cependant le simple calcul des déformations montre quand même que ça ne fonctionnera pas dans tous les cas de figure, et permet de contraindre les solutions techniques pour traiter justement des cas "limites". Tels ceux qu'on rencontre dans une réalisation perso qui sera par définition presque toujours la première du genre - puisqu'on a naturellement tendance à croître en diamètre au fil du temps, tout en voulant remédier aux imperfections des réalisations précédentes et/ou en augmentant ses ambitions... Certes sans expérience pratique préalable, un calcul ne vaudra rien. Car il faut savoir interpréter concrètement ce que nous dit ce calcul, et là c'est essentiellement affaire de discernement, donc de terrain. Pourtant le truc, quand même - qu'on découvre tôt ou tard en montant en diamètre - c'est que les essais-erreurs coûtent de plus en plus cher, en matériel comme en temps de travail ! D'où la pertinence accrue de calculer au mieux tout ce qui peut l'être "avant", histoire de ne pas devoir refaire plusieurs fois chaque pièce critique avant de l'optimiser correctement. Il y a bien assez de causes de complications possibles sur un télescope même bien réalisé, pour ne pas se créer encore des handicaps supplémentaires par un manque d'anticipation sur ce qui peut être facilement prévu et calculé. Toi tu procèdes comment en pratique ? J'ai cru comprendre que tu expérimentes beaucoup, puis quand une solution te convainc après l'avoir testée "à blanc", tu l'adoptes sur ta production ? Mais tu oublies que tu ne pars pas de zéro : outillage, matériaux, expérience, te donnent d'innombrables bases sur lesquelles se fonde - et grâce auxquelles se matérialise - ton "intuition" (on se fiche bien en effet de calculer ce qu'on connaît déjà par coeur ). La créativité a besoin pour s'exprimer efficacement, de s'appuyer sur un savoir-faire solide, sinon elle n'a aucune chance d'aboutir à des solutions viables dans un domaine où les erreurs conceptuelles peuvent conduire à un instrument inexploitable (nous en connaissons tous des comme ça - même et surtout parmi ceux qu'on a construits avec amour quand on était bébés, et auxquels on porte encore beaucoup d'affection malgré tous leurs défauts ! ). Une réalisation unique, c'est toujours un risque "calculé" Un bon calcul pour moi, m'aide à simplifier ce qui peut l'être, ou en tout cas me permet d'optimiser mes solutions par rapport au cahier des charges que je me suis fixé. En cela il ne me paraît jamais superflu, car je ne me gêne pas ensuite pour "en prendre et en laisser" comme on dit - mais dans des limites que j'ai quand même explorées au préalable pour mieux les cerner. (Navré, c'était ma "petite touche perso" sur l'utilité de la théorie et de la pratique : on aurait tort de les opposer à mon avis, elles se complètent si bien )[Ce message a été modifié par Alain MOREAU (Édité le 17-01-2014).]
  17. Je sais mais je ne suis pas chez moi, là. Je n'ai pas accès à mes fichiers et je ne sais bien m'expliquer qu'avec une image... Si vous avez un peu de patience je vous ferai voir un ou deux montages qui répondent au critère "quasi isostatique" (on ne peut pas l'être à 100% à cause de la configuration "suspendue" du secondaire, mais on s'en approche quand même assez pour rendre négligeable l'hyperstatisme résiduel)
  18. Bien d'accord pour la course au poids, c'est bien mais faut pas exagérer : la limite c'est quand ça devient dérisoire face à la dégradation des perfs... Super d'accord aussi sur la supériorité du composite carbone épais ou nida pour le support secondaire si on le colle - y a pas photo : avec des matériaux de modules très voisins, c'est ce qui le contraindra le moins. (qu'est ce que je suis d'accord en ce moment, ça m'épate ?...) Après pour l'hyperstatisme de degré 14, il est tout théorique quand même : avec des plots élastiques, assez ponctuels, et des modules voisins de part et d'autre de l'assemblage, on est dans une situation moins tendue qu'on pourrait le craindre en première analyse ; mais il faut beaucoup de rigueur dans le choix des matériaux et dans la qualité du montage, sinon c'est bien foireux ! (cf. les mésaventures de Luc sur son 625 dernièrement) Ceci dit on peut aussi monter un secondaire de taille conséquente de façon quasi parfaitement isostatique (mais avant de vous révéler comment, faut que je réfléchisse d'abord à le faire breveter )
  19. J'ai pas tout compris Pascal : tu veux mettre une plaque composite carbone de l'épaisseur du secondaire ? C'est sûr que ça ne va pas broncher !
  20. C'est bien joli tout ça... Mais moi je suis déçu : ça manque de trous On ne reconnaît plus la patte du Mai(t)re
  21. 17" CDK et monture equatoriale

    Bon : faudrait peut-être arrêter de courir à droite à gauche pour finir d'installer cette monture "une fois" C'est qu'on a hâte de voir la bête opérationnelle maintenant, nous autres !
  22. John Dobson vient de nous quitter...

    Moi c'est l'homme et sa grandeur d'âme que je salue. Il a vécu comme il a aimé ; dans la simplicité, le dépouillement et le partage. Jamais il n'aurait voulu être considéré comme un héros : sa récompense était dans la surprise des anonymes à qui il faisait découvrir le ciel au coin des rues avec tant d'enthousiasme communicatif. Le partage de sa passion. Sa raison de vivre. Son bonheur était dans un regard émerveillé, pas dans toutes les possessions du monde... fut-ce au prix à une époque d'une bien maigre pitance. En cela il était tout le contraire justement, d'une majorité de ses compatriotes obsédés de matérialisme. Il était à sa façon modeste, un très grand militant sur sa propre terre. Puissions-nous lui rendre hommage en suivant son exemple.
  23. REGLAGE ASTATIQUE

    Excellent ! Déjà un point de réglé (du moins potentiellement )
  24. question quant à une pluie de météorites en Russie

    Merci ChiCyg, très intéressant en effet. Voilà qui éclaire bien la discussion qu'on avait eue à l'époque
  25. mosa platon-alpes avec C14 et PLB-mx2 (même capteur ASI)

    Celle-là est magnifique, mais la suivante est à chier, par contre !