Sky runner

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Tout ce qui a été posté par Sky runner

  1. L'alphabet d'Orion

    Bonsoir Frédéric et les autres, Comme beaucoup d'entre vous, mes observations se sont arrêtées à F (avec un C14) et je pensais que les autres composantes étaient jouables au dessus de 500mm. Mais apparemment pas si faciles que ça aux vues de mes notes datant de l'ère paléozoïque : "les étoiles G et H du trapèze atteignant la 16ème magnitude ont été observées dans un T800. G vue au T914 par O'Meara mais H en échec" Mon commentaire : "Ah ouais quand même !" Autrement, vous avez le classique compte-rendu de Serge Brunier dans son "Astronomie du ciel profond" --> "au T1000x300 (donc grossissement assez faible),... les 4 étoiles sont éclatantes et accompagnées par au moins 5 composantes plus faibles et bien visibles..." T800 et T1000, tu as çà en stock Frédéric !
  2. Animation : le système jovien en mouvement.

    Bon d'accord Frédéric, il n'y a plus rien à observer sur Jupiter ! Ça me rappelle pour notre propre satellite le constat de blasé après le passage au peigne fin des sondes lunaires. Pour les animations, je trouve que tes dessins apportent encore plus de relief que des images ou en tout cas l'effet rendu est particulièrement saisissant. Il y a bientôt Mars pour toi ! A bientôt. Fabrice M.[Ce message a été modifié par Sky runner (Édité le 05-02-2012).]
  3. Jumelles Pentax PCF WP-II 20x60

    Astroak, merci pour l'image de la 20x60. Je sais que je suis un peu décroché du matériel du marché mais je ne comprends pas le prix de ce modèle. C'est vraiment pas cher pour du Pentax ! Un peu plus de 200Eur... Je crois même que mon petit trépied en carbone est plus cher ! Fabrice M.
  4. Jocelyn, voici un avis supplémentaire portant sur un : Schmidt-Cassegrain C14 version fastar avec un F/D natif de 11. J'adore le star-test et je connaissais donc bien les défauts et qualités de ce tube. Pendant des années, uniquement pour du visuel, le rapport F/D de la machine fluctuait entre 10,7 (position au foyer) et 11,8 (en régime normal, PO motorisé + RC géant + bague + var. suivant f oculaire...). Puis, la roue à filtre est arrivée, portant le rapport F/D à 12,1 avec les oculaires qui demandaient le plus de tirage. A ce stade, je me suis posé la même question que toi, est-ce qu'en s'éloignant de la plage idéale pour lequel le SCT et surtout sa lame avait été calculé, il y aurait une conséquence notamment sur l'aberration de sphéricité. Je n'ai rien remarqué de tel en intra/extra même avec l'extrême sensibilité du star-test ou pour peu qu'il y ait un "chouilla" de modif, il aurait été recouvert par les petites perturbations causées par le seeing. Cà, c'est en pratique. Pourtant, je me rappelle les propos d'un technicien expérimenté chez Médas qui m'avait dit : "...le fait de sortir définitivement de cette zone(plage focale limitée et déterminée correspondant à la correction optimale de la lame de Schmidt) peut dégrader le contraste des images planétaires (Aberrat. sphér. plus marquée). J'ai posé également cette question à Thierry LeGault qui, sans me sortir de chiffres précis, m'avait rassuré de vive voix qu'il n'y avait pas trop à craindre de ce côté là, tout en me rappelant que les astrophotographes (comme lui) font bien pire en empilage de bagues et d'extensions de toute sorte sans qu'ils aient à se plaindre. Leur avis en pratique seraient d'ailleurs intéressants. Fabrice M.
  5. Jumelles Pentax PCF WP-II 20x60

    Astroak, bonsoir, prend la 20x60 si c'est pour l'astronomie sérieuse de terrain, tu ne le regretteras pas en ciel profond. Avec une pupille de 4mm, cela reste un bon compromis. Et bien sûr, un trépied obligatoire, pas besoin de prendre du lourd ou du haut de gamme, il te faut du stable avec une tête qui te permette de l'incliner suffisamment pour les régions circumpolaires. 1280g, ce n'es pas une grosse charge pour un trépied, tu devrais avoir du choix. Autrement, Phil t'a soufflé le plus important, c'est à dire quitte à avoir un trépied, autant prendre la plus grosse. J'utilise constamment ma J15x50 Canon sur trépied lorsqu'il s'agit de dessiner. Pour de l'observation contemplative comme tu l'envisages, c'est exactement la même chose. Je ne connais pas cette paire de jumelles mais si c'est signé Pentax, tu vas te régaler. As-tu une image du modèle ? Dernier point à vérifier : le pas de vis Kodack existe-t-il sur cette J20x60 ? Fabrice M.
  6. T300

    J'ai trouvé, notre Bubu bis, c'est le petit fils de Stanislas !
  7. M42 et la tête de sorcière

    Ah Boris, tu es sur la bonne pente, continue à mêler rando en alt. et astro-dessin, les 2 t'apporteront. Cela te permettra d'enregistrer les réponses de ton organisme face à des agressions extérieures (tes clients-randonneurs qui t'empêchent de dessiner !!!). Profite de cette oxygénation "rare", ton oeil en a si besoin... -15 , -20°, c'est pas trop 'chaud' pour dessiner ? Ton dessin de M42 me rappelle un certain style mais lequel ?!? Pour le second, j'avoue me perdre un peu dans ton rendu de IC2118. Est-ce que le dessin est présenté avec inversion gauche-droite ou est-ce le rendu avec le renvoi coudé ? Prends quand même de temps en temps un relevé de mvlon, au moins pour faire plaisir à papa Yann (Yapo) ! Je viens de rentrer d'une sortie raquette crépusculaire mais sans dessiner au sommet ! Bien à toi, Fabrice M.[Ce message a été modifié par Sky runner (Édité le 17-01-2012).]
  8. ya t'il un gain de magnitude en montant en altitude

    Bonsoir à tous pour ce 3ème volet référence -il me semble- avec presque les mêmes intervenants qualifiés ! Les 0,1 magv voire 0,15-0,2 pour env. 1000m de dénivelée obtenus par doc Bernard ne m'étonnent pas vraiment. Pour répondre exactement, il faudrait que je me replonge dans les tables d'extinction atmosphérique de Green (V. 1ère réf. de VJAC, salut Vincent!). Et encore, on ne pourrait obtenir qu'une fourchette. Pourquoi ? Lors de l'élaboration d'un article sur la magnitude limite instrumentale, j'ai été amené à me pencher sur ce fameux facteur d'extinction atmosphérique qui est fonction du coefficient visuel d'extinction atmos.(kv) et de la distance zénithale (Nicolas Biver en a cité un exemple). On parlera ici volontiers de magv/masse d'air qui est tributaire des caprices de la troposphère (v. l'intro d'Eric Maire),aérosols, poussières volcaniques, mais aussi degré d'hygrométrie(v. la constatation de Sylvain concernant l'humidité bloquée en fond de vallée). Il faut donc tenir compte aussi de l'époque de l'année et de la latitude du lieu d'observation. Et les caprices de notre étoile ? Bref, l'effet est assez mineure pour que je ne tienne pas compte de cette entrée dans mon équation finale. Par contre la brillance surfacique du fond de ciel y figure (valeur SB). Celui qui se plongera dans cette étude (sur la base des travaux de Schaefer) verra avec un soulagement non dissimulé, et à condition qu'il observe avec un instrument, qu'un grossissement suffisant (G>D/2 le grossissement résolvant) voire beaucoup plus dans les limites du seeing (çà tombe bien, il est souvent meilleur an alt.) lui offre tout grand les portes de l'univers les plus obscures de manière assez significative. Ce qui nous amène au distinguo de Nicolas -Transparence vs noirceur du ciel-. Ah, cette foutue gêne de la lumière zodiacale qui dure et qui monte diablement haut sur l'écliptique. Qu'est ce que c'est que cette bande un peu brumeuse qui court tout le long de l'horizon, de l'airglow en voici en voilà ! et puis ces ombres sur le sol !!! Les rapports de sites d'alt. sont nombreux où le ciel n'est pas sombre comme on l'attendrait. Mais franchement, si la turb. est faible et si l'on ne fait pas exprès de tirer sur le cône de la lumière zodiacale, un fond de ciel très transparent un peu lumineux n'est pas bien difficile à assombrir à coups de courtes focales d'oculaire. C'est là toute la vertu de l'observateur expérimenté. Quand la transparence devient la quête du Graal, la noirceur du ciel, c'est de la "Kaamelott" à côté à obtenir !!!Aussi, je comprends l'interrogation de mon artiste préféré de Vendée, Frédéric, qui j'espère trouvera dans ces lignes une réponse à sa réflexion... Fabrice M.Nota: Cher collègue Eric M.,tu évoques les Pléiades comme test de transparence à l'oeil nu. Soit, il est souvent cité dans les livres mais j'aimerai apporté ici un petit bémol. 7, 10, 12 ou 15 étoiles dans cet amas ouvert ne sont pas à la portée de tout le monde là où le même observateur pourra débusquer une étoile isolée dans la Petite Ourse de magv6,7 avec plus de facilité. De nuit, il y a l'acuité visuelle bien sûr, la séparation fine. Mais beaucoup d'observateurs sont justement gênés lorsque les sources lumineuses sont trop proches les unes avec les autres ou si elles ont de gros écarts de magv entre elles. La myopie nocturne, l'astigmatisme résiduel et autres aberrations ne sont pas étrangères à cela. Mais certains (pas la majorité) n'ont aucun problème comme VJAC !
  9. Lampe à led 12V et flexible

    Eh Rastaman, sympa de nous présenter ta chaise multi fonctions ; j'ai cru la 1ère fois que c'était celle de Serge à cause de la petite coupette remplie. C'est un coup à ranger accidentellement un oculaire dans le porte-gobelet (çà me rappelle une chanson, Benabar ?!?). Un Ethos suffisamment long, çà passe peut-être sans atterrir par terre !!! Autrement pour ton affaire de lampe dédiée, il faudrait distinguer l'usage que tu veux en faire (si c'est pour l'éclairage du PSA, ton mini-atlas,tu peux éclairer un peu plus fort ou si c'est pour du planétaire/lunaire. Par contre, pour du ciel très profond, il te faudra descendre les watts jusqu'à l'extinction complète pour les cibles les plus ardues. - Flexible long (oui) - Eclairage variable comme Gérard(UMi)le suggère : ce serait super. Je n'ai même pas cette option ! Comme tu le vois, on a tous bricolé nos lampes du commerce à commencer par remplacer le système éclairant par une LED. Pour te donner une idée, je travaille entre 2v et 0v de tension et 1,5v en usage courant.J'ai peinturluré en plus l'opercule en sortie de vernis à ongle rose. - système de fixation de ta lampe (comme une pince par ex) ne doit pas être trop débordant du cadre sur lequel tu vas la fixer. Sur un terrain d'astronomie et même chez moi, je n'ai jamais utilisé de frontale et même en Namibie pour rejoindre l'aire du Dobson. C'est ma façon à moi de faire corps avec la nuit. Je suis toujours autant étonné de voir circuler autant de personnes avec des frontales mêmes rougies dans une manifestation astro sans compter le fleurissement des écrans LCD ! Tu peux aussi aller voir du côté des accessoires de camping, c'est là que j'ai trouvé ma lampe à flexible que je conserve précieusement. Fabrice M.
  10. Question à Superfulgur !

    C'est beau mais c'est loin !
  11. Choix Hbeta visuel sur fd court

    Pour être complet, il existe encore un 3ème type de traitement de surface, c'est la nouvelle génération constitués encore de sels diélectriques déposés par vaporisation. La technologie est confidentielle et propre à chaque fabricant. De tels filtres professionnels sont vendus un peu plus cher. On peut citer le leader américain du filtre (Omega optical). La résistance à l'humidité devient alors excellente. FM[Ce message a été modifié par Sky runner (Édité le 10-10-2011).]
  12. Choix Hbeta visuel sur fd court

    Bien sûr, il faudrait être dans le secret des dieux et connaître les types de traitements de surface pour chaque filtre. Donc ce qui suit n'est peut-être pas sûr à 100% ou complètement désuet. Bizarrement, les traitements de surface dur sans verre de protection constitués d'oxydes métalliques réfractaires déposés par projection ionique ont une résistance moyenne à l'humidité et c'est apparemment le cas des Lumicon (du moins les anciens), des TOO (la marque aux 1000 chênes)et aussi des Baader. Par contre,lorsque le verre laminé est protégé et le traitement constitué de sels diélectriques déposés par vaporisation, la résistance à l'humidité peut être qualifiée de bonne (c'est le cas si je ne me trompe pas des filtres Astronomik). J'ai vu de nombreux cas de filtres défectueux chez les TOO, pas encore sur les Astronomik (mais ils sont encore récents sur le marché!) N'hésitez pas à y apporter vos expériences ! Fabrice M.[Ce message a été modifié par Sky runner (Édité le 10-10-2011).]
  13. Choix Hbeta visuel sur fd court

    C'est Astrovicking pour le coup qui a la bonne réponse ! Périssables qu'ils disaient... Il y a tant à dire sur le vieillissement des filtres que ce fil n'y suffirait pas mais je vais tenter de divulguer quelques infos car l'attente du 15ème et dernier article dans Astrosurf mag risque d'être un peu long pour nous tous. - tout d'abord, je suis heureux de voir les observateurs sérieux se pencher sur la surface optique de leurs filtres. Car je connais des observateurs expérimentés qui continuent à utiliser des filtres interférentiels souffrant de délamination (ça équivaut à rouler à 60 à l'heure sur l'autoroute !). Maintenant, c'est un peu gonflé d'aller se plaindre chez Lumicon ou une autre firme après 10ans de bon service ! Par contre, après 6 mois, 1 an ou voire 2 ans, c'est tout à fait possible de faire jouer la garantie. Voyez sur ces 2 exemples : -histoires vraies- 1- de possibles malfaçons même chez les meilleurs : Sur de nouveaux Lumicon il y a de cela qques années (2009-10 env.), tout un lot français a été retourné chez l'importateur, ils laissaient apparaître des billes rouille en surface, peut-être une oxydation des sels métalliques réfractaires suite à un mauvais scellement. 2- sur de récents Astrodon, l'ami Vincent (mon maître en Dobson) me relate que son ultra-narrow (OIII 3 nanos) perdait une couche diélectrique après seulement qques mois d'utilisation et que l'effet était bien visible en pleine lumière (15% de la surface semblait être endommagée. Sa photo du filtre montrait un liseré jaune et la partie malsaine était plutôt bleue que verte. Don Goldman avoue n'avoir souffert qu'une mauvaise série en 8 ans et que c'était justement sur la série OIII 3 nanos de 2010 de Vincent. (Astrodon, c'est quand même 5 années de garantie !) __________________________________________________________________________ Le plus souvent, c'est la description qu'en fait Pierre qui est la plus répandue. Je possède de nombreux filtres de tous âges et moi aussi, j'en ai 2 qui en sont atteints (j'ai d'ailleurs fait de jolies photos à l'invertoscope de recherche où l'on voit les centres de cristallisation à fort G): Lumicon OIII premium de 1988 et Deep sky premium de 1989. Il y a longtemps que ce ne sont plus des premiums !!! Depuis, j'ai changé 2 fois de télescope (ce n'est pas un record par rapport aux autre membres du forum), alors je peux bien faire un effort financier pour changer de filtre. Maintenant, j'en ai un autre de la même époque et de la même fabrication et il maintient quasiment ses pleins pouvoirs (+1 pour Stéphane). Bandes de couleur en périphérie, anneau laiteux sont des choses qui sont rapportées souvent sur de vieux filtres. Normalement, les revêtements de protection maintiennent les caractéristiques des filtres pour une bonne décennie (perte en qualité négligeable mesurée à qques %T). Plus grave est la saturation totale en eau du filtre ce qui entraîne la dissolution des sels dans le revêtement avec pour effet une réponse catastrophique du filtre surtout dans les petites optiques (Frédéric, sur tes gros engins, le terme 'catastrophique' est ici exagéré). Oui, par bonheur, j'ai remarqué d'après mes mesures (et c'est là que ça devient intéressant) que la vétusté maintient la FWHM et la valeur de la CWL. Pour les moins fidèles de mes lecteurs, cela se traduit ainsi : le filtre atteint resterait centré sur la ou les raies qu'il affectionne ; seul le %T est en chute (mais pas vertigineuse) et le contraste en prend un sacré coup car la densité optique calculé aux pieds de la courbe s'effondre. Bref, le filtre perd toute sa raideur. Bien sûr, chaque filtre 'endommagé' est différent et les spécialistes parlent d'une progression sournoise de l'humidité à travers le film au rythme de 1mm par an. Désolé d'avoir été aussi long mais les filtres j'aime bien ça... ________________________________________________________________________ Savez-vous à quoi on reconnait un observateur assidu amoureux des nébuleuses d'un observateur généraliste ? --> il suffit de regarder ses filtres. Le problème des pas de vis usés arrive bien avant les pbms de délamination... Bonne semaine. Fabrice M. [Ce message a été modifié par Sky runner (Édité le 10-10-2011).]
  14. Pour la première fois, ce dessin dédié vous est proposé sur les bases d'un croquis et a donc été largement peaufiné au bureau. Sur le terrain, j'avais essayé de noter les couleurs à la craie sur Canson noir et avais donc noté ce curieux liseré brillant teinté de jaune. Ce fut un beau spectacle lorsqu'enfin la Lune s'extirpa définitivement des nuées de l'horizon. Alors que les glaciers du Mont-Blanc peinaient à s'en dégager. Pour moi, ce fut une éclipse assez sombre que je classe volontiers à 2 sur l'échelle de Danjon même si peu de détails étaient perceptibles fussent-ils à la lumineuse Canon. Très peu d'images visitées dans la galerie d'à côté m'ont rappelées avec émotion les teintes fidèles du phénomène. Le dessin est peut-être la solution idéale pour cela. J'essaierai de faire mieux la prochaine fois... pour le prochain anniversaire d'Etienne.
  15. qualité du poli du miroir

    Un avis de + pour ndesprez : la qualité du miroir devient-elle secondaire pour ce type d'observation (solaire spécialement) si on se contente d'un grossissement adapté ? OUI, si ton instrument est limité par la diffraction en bout de chaîne soit du Lambda/4 sur l'onde en sortie. Pourquoi ? Il faut absolument prendre en compte les autres facteurs dégradant l'image et penser accumulation des défauts. Or, pour l'observation solaire, tu va prendre de plein fouet tous les étages de la turbulence et surtout la turb. atmosphérique diurne. C'est ce facteur principal qui t'empêchera de différencier un très bon instrument d'un moyen si tu restes cantonné en basse résolution (petit grossissement). Certains auteurs américains vont même plus loin et estiment qu'un instrument très moyen voire passable (Lambda/2) permettra de faire le même travail en ciel profond (détection de galaxies et de nébuleuses dixit l'auteur) que son vis à vis taillé à L/10 ! Sur ce dernier point, je m'élève catégoriquement contre ses dérives verbales ou alors c'est vraiment dénigrer le ciel profond en l'assimilant à de la basse résolution. En solaire, j'ai eu l'occasion de regarder dans un instrument passable (L/3 pas plus en sortie), c'était pas terrible. Même site, même type d'instrument mais cette fois bien au delà de la limite de Rayleigh, les grains, taches et facules apparaissent découpés au scalpel, une de mes meilleures vues tout objet de l'Univers compris ! Donc L/4 avec une pupille large + un petit filtre en supplément (type Néodymium) + patience à l'oculaire, tu devrais être rassasié... Cordialement. Fabrice
  16. Une chtite promotion du visuel !!!!!!

    Frédéric, c'est bon pour le 15ème vote...
  17. Superbe pelote d'épingles Xavier (ton premier dessin) magnifique dans les petits instruments. Il marque de ta part une ténacité et un courage hors du commun.
  18. Les petits croquis du week end....

    Christian, je t'encourage à plus d'un titre de persévérer dans cette voie, dessiner en positif, c'est l'idéal pour les néb. obscures. C'est Emerson qui doit être content de voir qu'au XXIème siècle, on lui rend encore hommage à notre manière, je veux parler bien sûr du grand Edward Emerson Barnard. B142 reste pour moi le grand "E" de Barnard même si à y regarder de plus près, la lettre reste incomplète. N'oublions pas aussi que ce professeur a donné son nom à une galaxie et à une étoile non moins célèbre. Christian, à la J45x141, ça donnait aussi ceci sous très bon ciel savoyard (Alt.2020m) au Col du Joly (SQM 21,4)...
  19. Les dentelles et filtre UHC

    David, pour le 7nm de Baader, c'est une très bonne idée vu le sérieux de la marque et son prix bien placé. Hélas, l'exemplaire que j'ai pu tester n'a pas des caractéristiques élogieuses (voir les prochains profils à paraître). Avec le recul, je dirais que c'est un peu normal, on ne s'improvise pas fabricant de filtres interférentiels comme ça et surtout pouvoir disposer d'un vrai narrowband à ce prix ! Vous verrez aussi qu'il y a quelques outsiders dans cette catégorie à essayer. Sinon, je possède le 5nm Astrodon en 50mm (juste le précieux verre) et est en attente de fixation et surtout d'essai sur une de mes roues à filtre. Pour la fixation, je ne me fais pas trop de souci, il suffit d'imiter nos amis imageurs et de coincer les verres nus au moyen de rondelles (je crois que Nicolas O. a un peu de stock en la matière). Autrement, il y a le collage sur ses bords !!!
  20. La totale de Lune pour le petit Etienne...

    Comme d'habitude, je préfère largement le bout de papier Canson qui traîne sur mon bureau que sa version scannée ici présente. Il y a sûrement des trucs à faire pour arranger cela (Serge avait donné de bons conseils en la matière). Sinon, comme peu de dessins d'éclipse lunaire circulent, en voici un autre du maître Danjon lui-même : autre style, autre éclipse !
  21. Première lumière du T1000 à Stellarzac !!!

    Heureux Frédéric que ton dernier télescope sublime les objets que tu connais. Ta description de M57 m'a fait pensé à un excellent dessin de Bruno qui comprenait les rayures voilées à l'intérieur de la cavité centrale et ceci avec un diamètre collecteur 2 fois moindre. C'était juste pour dire que tout n'est pas perdu pour pour les petits diamètres !!! Autrement, as-tu utilisé le nouveau Paracorr2 lors de votre soirée ?
  22. Les dentelles et filtre UHC

    Frédéric et David, le filtre que Serge a utilisé aux RAP était probablement (à 99% puisque j'étais parti avant la fameuse nuit d'observation !) celui de Vincent LeGuern, c'est un ultra narrow band de 3nm monté en 1"1/4, c'est à dire pouvant être vissé directement sur nos oculaires. Sur mes conseils, Vincent avait fait ce choix mais j'avoue avoir été surpris qu'il est choisi la version la plus étroite en 3nm. Mais il possède quant même un 800mm en début de chaîne et une certaine expérience de ce genre d'accessoire ! Je suppose également qu'il n'a pas opté pour le coulant supérieur pour les 2 raisons suivantes : - le prix : c'est le 1er prix commercial aussi élevé que j'ai vu si l'on excepte celui des filtres sur-mesure. - pour le prix, c'est livré non monté puisque 100% des clients les utilisent en imagerie insérées dans leurs roues à filtre. Pour un complément d'infos sur les purs narrowband OIII (sous les 10nm de bande passante efficace) ou si vous êtes sur le point de vous décider pour un bon OIII, la parution du prochain Astrosurf mag devrait pouvoir vous y aider. Dernier conseil (assez sage) mais vous pouvez toujours ne pas le suivre : J'estime que l'achat d'un ultra narrow en 3 ou 5nm me paraît justifié vu le prix si : - vous observez souvent, le cas de Frédéric apparemment puisqu'opérant depuis un très bon site - vous possédez une sensibilité à la lumière faible assez développée. Dans un T1000, les objets assez brillants et connus vous subjugueront avec de tels filtres mais il est possible que sur des objets plus discrets (quoique je ne sais pas trop ce qui peut l'être dans un 1 mètre !), les extensions éventuelles ne seront pas toujours perçues, suivant le client en haut de l'escabeau.
  23. Grands classiques revisités au 760mm

    A Pierre et à tous les grands dobsoniens, puisque les sensations de couleur sont souvent relatées dans vos compte-rendus comme ici, j'avais la question suivante : je voulais savoir si dans des diamètres de 600 et au-dessus, vous avez remarqué des différences de teinte très agréables à l'oeil sur des étoiles doubles ou couples d'étoiles rapprochées ; je veux parler de nuances intermédiaires comme des dégradés de jaune ou de rouge. Je vous parle de ça car je n'ai jamais connu de telles teintes chatoyantes (rose, mauve,jaune or,...) au foyer de mon ex-C14 comme celles que j'avais pu apercevoir au hasard de mes pérégrinations en ciel profond dans le T508 namibien (l'amas de la "boite à bijoux" bien que cet exemple est peut-être hors catégorie). C'était ma première grosse expérience dans un Dobson de taille conséquente et j'avais mis cette insolence de la couleur sur le compte du diamètre. J'espère qu'il peut en être de même avec nos trésors du ciel boréal et que mes impressions n'étaient pas propres à des individualités spécifiques du ciel austral ! Ah oui, ce qui m'a frappé dans un T500, c'est l'intensité de la couleur, alors au-dessus, j'imagine que ça doit être magique, quasi électrique comme le texte de Pierre !
  24. Passéisme

    Doublon après débouchage des tuyaux...[Ce message a été modifié par Sky runner (Édité le 22-05-2011).]
  25. Règlage optique jumelles Vixen 20x80

    Tu as choisi la plus sage des solutions, voici ses coord./ Sa petite société s'appelle Pierroptique implantée à Orgelet et son site : pierroptique.chez.com.