Astro52

Donc hier, nuit dégagée mais avec un vent très gênant en début de nuit, jusque 23h30 surtout.

27 poses de 7 minutes en L sur NGC 4244, toutes conservées mais la bataille avec le vent a été délicate.

https://astro52.com/photo/stock/NGC4244_prov.jpg

Et sont également dans la boîte 17 poses de 3 minutes en bin2 en R, qui donnent déjà une couche rouge tout à fait crédible.

Il ne manque donc que les V et les B.

NGC 4244 se distingue par la faible luminosité de son centre.

Nous avons enfin eu une vraie pluie cette après-midi.

Le ciel devrait être couvert cette nuit et dégagé demain soir.

Quoique les modèles dégagés les plus fiables donnent globalement un ciel dégagé pour cette nuit, comme la fois où j'ai installé pour rien. L'ensemble des données météo plaide toutefois assez nettement en faveur d'un ciel au moins partiellement nuageux pour cette nuit.

Je pense reprendre demain, avec un ciel qui se dégagerait dès le début de la nuit, avec un vent gênant en début de nuit mais diminuant beaucoup plus vite qu'hier.

Et oui Marc, mais heureusement j'ai une réunion de temps en temps avec l'association des animateurs de stages de récupération de points, pour me rappeler de quoi est capable l'administration française depuis l'invention de l'ANTS. Je ne sais pas si l'univers a été créé à l'image de dieu, mais la machine a bien été créée à l'image de l'homme !

Etienne,

Ca vient clairement des L. C'est nettement visible sur la couche de traitement avec la plus forte ddp. Sur les autres couches les traces sont vraiment discrètes.

Oui je sais, les trainées sont dirigées vers un même point apparemment très loin en dehors du champ. Je pense que ça vient de l'étoile de la Grande Ourse qui n'est pas très loin. C'est la première fois que j'ai des trainées causées par une étoile si loin hors champ. Heureusement elles ne touchent pas la galaxie.

Et voilà M 109 du 16 avril. Je suis à jour des traitements.

https://astro52.com/photo/images/M109.jpg

L : 25 x 7 minutes

R : 16 x 2 minutes bin2

V : 15 x 2 minutes bin2

B : 16 x 2 minutes bin2

Total : 4h29

Les nuages sont restés. J'ai rangé le matériel que j'avais sorti pour cette nuit.

La prochaine nuit devrait être dégagée, bien que probablement turbulente. J'espère du bon vent de nord et de la bonne pluie demain après-midi comme annoncé pour nettoyer tout ça. La température devrait bien redescendre aussi, si c'est le cas.

Du traitement en retard, le besoin de repos se faisant sentir.

Nous en sommes à NGC 3938, faite le 15 avril, avec 4 poses anticipées le 14 avril après NGC 3675.

https://astro52.com/photo/images/NGC3938.jpg

L : 25 x 7 minutes

R : 13 x 3 minutes bin2

V : 13 x 3 minutes bin2

B : 14 x 3 minutes bin2

Total : 4h55

NGC 3938 paraît assez peu détaillée sur les images brutes, mais à l'empilement les détails apparaissent.

Le 16 avril, j'ai fait les acquisitions de M 109 (à traiter).

Le 17 avril repos. Le ciel devait être couvert, il l'était bel et bien en début de nuit, mais ça s'est complètement dégagé entre 23h et 23h30. J'aurais donc pu observer une 8ème nuit consécutive, mais le corps réclamait davantage de la récupération qu'un tel acharnement.

Ce soir, à l'origine je ne devais pas observer. Puis la lecture complexe des prévisions météo m'a fait penser que ça serait finalement dégagé, et en effet au coucher du Soleil ça l'était. J'ai donc installé le télescope, du moins en partie, j'ai arrêté avant la mise en route de l'ordinateur de pointage, voyant des nuages au sud. De plus le vent était beaucoup plus gênant que prévu, et non conforme aux prévisions en vitesse comme en direction. Je regarde l'évolution sur le satellite avant de continuer. Les dernières images laissent peu de place à l'optimisme. Le diagramme des nuages était la source d'information qui détenait la bonne prévision, tout comme la météo astro, contre les prévisions multimodèles. Je pense que ça va se finir au lit, comme envisagé pour ce soir ces derniers jours. Va falloir bien ranger, demain il devrait pleuvoir. Idéal pour nettoyer le petit peu de poussière que les conditions d'aujourd'hui ont pu apporter, quoique ça ne semble pas catastrophique.

Demain 19 avril, on attend une nuit bien dégagée, après de la pluie en fin d'après-midi. Il est tombé 3 gouttes depuis la neige, ça serait bien qu'il pleuve même si on a de l'eau pour irriguer en abondance. Surtout si la nuit est claire ensuite, même si ça devrait être une nuit avec de la turbulence, et un vent très gênant en début de nuit.

La moisson se poursuit, avec NGC 3675 la nuit dernière :

https://astro52.com/photo/images/NGC3675.jpg

L : 27 x 5 minutes

R : 18 x 2 minutes en bin2

V : 17 x 2 minutes en bin2

B : 16 x 2 minutes en bin2

Total : 3h57

NGC 3675 est un peu un mixte entre NGC 2841 et NGC 4216, dont la difficulté plus inférieure à la moyenne la rapproche plutôt que celle de NGC 4216.

En-dessous légèrement à gauche, on a une galaxie irrégulière assez bizarre en arrière plan. Elle apparaît comme ça sur la photo du télescope Schulman :

Ensuite, j'ai pu prendre une petite avance sur la NGC 3938 de cette nuit, avec 4 poses de 7 minutes.

Voilà donc le programme pour la nuit prochaine.

Et en prime, ça pourrait être encore dégagé le 16, malgré une perturbation en approche.

Après on pourrait avoir une pause de 2 nuits avec nuages et peut-être un peu de pluie en journée, avant une reprise le 19.

Les belles nuits s'enchainent avec une Lune de plus en plus tardive.

La nuit dernière fut consacrée à NGC 3359.

C'est une galaxie spirale barrée située très au nord, près de Dubhe. Elle se distingue par un bulbe central très peu lumineux. Avec mon setup, il faudrait des poses unitaires de plus de 1h10 pour atteindre la saturation.

Les bras spiraux sont donc également assez faibles. Mais paradoxalement, de nombreux détails se distinguent sur les images brutes, et encore plus au traitement. Ses amas et nébuleuses ressortent nettement des bras. Il faut donc concilier un temps de pose long, et un bon suivi mécanique pour faire ressortir les détails, qui supportent mal un renforcement sans être dénaturés (ce ne sont pas des points).

Les étoiles sont peu présentes, aucune étoile ne sature franchement dans la proximité immédiate de la galaxie. Heureusement j'avais quand même une étoile guide assez brillante. Très peu de maquillage à reprendre sur les étoiles, à part les deux en haut à droite.

Une couche H-alpha donnerait certainement des informations intéressantes, toutefois je ne suis pas sûr que mon filtre Ha 6 nm Astronomik convienne, puisque NGC 3359 a une vitesse radiale de 1014 km/s, et j'avais évalué qu'au-delà de 900 km/s environ la bande Ha sortirait de la zone efficace du filtre.

https://astro52.com/photo/images/NGC3359.jpg

L : 21 x 7 minutes

R : 12 x 3 minutes bin2

V : 12 x 3 minutes bin2

B : 12 x 3 minutes bin2

Total : 4h15

Bortle (équivalent à) classe 3 à 1 au fur et à mesure que les éclairages s'éteignent.

Turbulence variable mais globalement fort présente.

On remarque plusieurs choses intéressantes en traitant les données.

1) Il existe une extension en bas à gauche de la galaxie sur ma photo, qui doit appartenir à la galaxie, mais n'est pas attachée à elle de façon évidente, ou alors par un "chemin" beaucoup plus court que la forme naturelle d'un bras. Avec des dizaines d'heures de poses et un traitement très poussé, elle pourrait être accessible à la photographie.

2) De l'autre côté, verticalement à droite sur la photo, le bras opposé semble avoir un long et très faible prolongement, qui entoure une grande partie de la galaxie. Mais le signal est vraiment très très faible.

3) Juste à côté de l'hypothétique long bras périphérique, apparemment sans lui appartenir directement, il y a une drôle de bêbête. Voici ce que ça donne en poussant un peu la luminosité sur une photo d'Adam Block (pourtant déjà traitée bien à la sauce américaine) :

Je ne sais pas si c'est une partie de NGC 3359. Ou une galaxie naine subissant l'attraction de NGC 3359. C'est le genre de bêbêtes sur lesquelles les professionnels aiment bien publier des papiers.

PS : Lui a bien fait ressortir les extensions, au prix d'un traitement de barbare : https://www.astrobin.com/full/h0kbu3/0/?mod=&real=

Ranger, dormir, traiter, préparer, réinstaller... C'est la cadence infernale !

J'ai quand même fini NGC 4361 :

Après un début tardif en raison du vent, ce fut un marathon des couleurs où chaque minutes comptait :

NGC 3718-29 :

12 x 3 minutes en rouge

10 x 3 minutes en vert (moins une perdue)

12 x 3 minutes en bleu

Puis les couleurs de NGC 4361.

Puis le rouge de NGC 5248.

J'ai fini le traitement de NGC 3718-29 :

https://astro52.com/photo/images/NGC3718-3729.jpg

Peu de couleurs mais une très très forte dominante rouge au coeur de la galaxie irrégulière, qui rend compliquée l'intégration des couleurs. Entre ça et les extensions des extensions... c'est de la haute voltige du début à la fin ce bazar !

5h59 de poses au total

Excellent niveau de détails dans les poussières.

Je l'ai mise à mon programme le 18 juin. Elle est beaucoup moins haute dans l'hémisphère nord !

Tu me fais peur quand tu dis qu'on la voit à peine de RVB en près de 4 heures de RVB. J'ai un Ha mais pas de OIII. Je pense me contenter du Ha si c'est ça !

Mon tout petit champ avec ma 414ex ne me permet pas de me mesurer à ça, mais il faudra que je me programme quelque part cette NGC 4747 qui avait échappé à ma lecture détaillée du catalogue Arp. Les dimensions exprimées avec ou sans les extensions sont parfois trompeuses.

Bonne soirée hier malgré une turbulence un peu plus présente que la veille. Extinction des lumières à 22h34 soit plus de 2h après le début de la nuit astronomique. Pollution lumineuse mesurable en pointant vers le nord, alors que ce n'était pas le cas vers le sud.

Avec 11 poses de 10 minutes supplémentaire, nous arrivons à 26 poses de 10 minutes soit 4h20 de L :

https://astro52.com/photo/stock/NGC3718-3729_prov3.jpg

Le résultat est conforme aux attentes.

Les poses supplémentaires ont vraiment aidé à améliorer le rapport signal bruit. Après la première nuit, pour la couche de traitement la plus profonde, une ddp de 0.97 sous Iris impliquait d'utiliser le mode "severe noise" de Topaz Denoise, alors qu'avec 2 nuits une ddp de 0.98 autorise le mode habituel (low light) de Topaz en astronomie. La couche de traitement sans IA est aussi plus facile à atteindre.

Ceci fait, j'ai attaqué la luminance de la nébuleuse planétaire NGC 4361. En effet ce n'est pas un objet aussi long à faire qu'un galaxie. Avec une déclinaison de -19°, l'objet est assez bas et affecté par la turbulence. Manque de dithering pour cause de flemme.

37 poses de 2 minutes conservées (sur 38).

Le résultat dépasse légèrement les attentes.

Ce soir vent en début de nuit, puis nuit dégagée avec vent dans le sens où le télescope est assez bien protégé. Je vais attendre un peu pour installer puis attaquer les couleurs de tout ça. Je ne sais pas si j'aurai le temps de les finir, ça va dépendre de l'heure à laquelle les conditions permettront de commencer.

A ma dernière visite au barrage, le niveau de l'eau était au plus haut depuis le début. C'était une bonne surprise car sur les visites précédentes le niveau semblait plutôt se stabiliser ou redescendre légèrement. Ca donne envie de retourner voir. Il n'est tombé que 3 gouttes depuis la neige, un peu plus aurait aidé à nettoyer la poussière plus vite. Heureusement que depuis on peut consommer d'énormes quantités d'eau pour irriguer. La neige a fait perdre une partie des arbres, mais elle a probablement sauvé les autres. Sans la neige, à ce rythme on risquait de perdre définitivement les arbres du fait de la sécheresse prolongée, comme c'est arrivé à Tislit (celui des gorges) l'an dernier.

Le ciel devrait être dégagé encore pour les nuits du 13, 14 et 15 avril. A partir du 16 on va rentrer dans une période plus nuageuse, mais sa durée reste encore très incertaine.

Me revoilà.

Il y aurait plein de trucs à dire, je vais essayer de résumer.

Concernant les droits de douanes, après une meilleure lecture des annexes, il me semble que le matériel d'astronomie est à 2,5% donc pas de quoi s'en priver.

Par ailleurs, le Maroc a mis en place des avantages fiscaux mirobolants pour attirer les investissements dans le domaine de l'exportation de service (offshoring), qui couvre un champ assez large : call center, développement informatique... A priori la location de télescope en remote, tant que les clients sont étrangers, et au moins une partie de l'hébergement de leur matériel, rentrerait facilement dans ce cadre extrêmement avantageux.

Pour conclure sur ce point, j'ai fait des tests de connexion 4G au village : débit montant de près de 6 Mo/s sur la terrasse du gîte, et 7 Mo/s sur la colline la plus idéale pour des installations astronomiques qui a une vue directe sur les antennes, un peu plus en descendant mais c'est presque symétrique. Ca veut dire qu'une image 16 bits mono avec une caméra de 9 millions de pixels serait téléchargée en à peine 3 secondes.

Une caméra de 9 millions de pixels (16 bits) prenant des poses de 3 minutes pendant 12 nuits dégagées sans Lune dans le mois, à raison de 9 heures par nuit, génèrerait moins de 39 Go de données à récupérer. Or il existe dans les offres pro de Maroc Telecom un forfait internet mobile de 150 Go/mois pour 449 dh/mois TTC.

Donc il n'est pas certain dans ces conditions qu'une connexion internet par satellite soit indispensable pour faire du remote avec une caméra de format raisonnable utilisée en poses longues.

Nous avons eu, heureusement vers la pleine lune, une offensive de poussière du désert très rare à cette période de l'année. Le ciel en a été obscurcit, sans que nous ne soyons pour autant toujours dans la poussière, elle était au-dessus de nous. Malgré des conditions très difficiles en mai 2022, je n'avais jamais vu le ciel du Siroua comme ça. Dans la moitié du ciel où se trouvait la Lune, Arcturus était pratiquement la seule étoile visible à l'oeil nu, sans que les nuages ne soient encore de la partie. Aujourd'hui la poussière est presque complètement partie, rien de nature à gêner les observations, et les vents des prochains jours ne devraient pas être dirigés de façon à en ramener.

J'ai repris l'astronomie hier soir, avec une transparence quasiment normale. J'avais renoncé à tester les poses courtes sur le fantôme de Jupiter la veille, la météo étant nuageuse.

Voici le programme :

Je vais ajuster pour continuer NGC 3718-29. NGC 4361 passe au méridien 1 heure après l'autre cible est pourrait être faisable rapidement.

Normalement beau temps jusqu'au 15 ou 16, avec des mauvaises conditions en soirée puis qui s'améliorent ensuite, comme souvent ici.

Période plus nuageuse à partir du 17 avril. Mais si j'ai fait 7 sorties de suite d'ici là... on verra.

Hier, une heure de perdue en début de nuit avec la météo, et une Lune qui se lève assez tôt. Mais ça a bien tourné.

14 poses de 10 minutes. Plus une issue de tests précédents.

Ca fait donc déjà 2h30 sur ce plan délicat, qu'il faudra compléter mais ça démarre bien.

Traitement Iris provisoire, j'ai regardé Siril et j'ai rien compris. Olivierm42 propose de me montrer comment ça marche quand il passera, je pense que c'est la meilleure solution.

https://astro52.com/photo/stock/NGC3718-29_prov.jpg

C'est quand même chaud comme traitement...

Excellent balcon !

J'aime bien la Venus IR+UV+couleurs.

Je me suis servi d'Iris pour pratiquer les 4 opérations, c'est tout, parce qu'il peut les faire et que je sais très bien l'utiliser. Si la fonction mathématique reconstituée comme cela ne donne pas l'effet visuel escompté, la calculatrice n'y est pour rien.

Mon image de M94 était très bien, c'est juste qu'il est plus difficile que prévu d'identifier des zones d'intérêt par plage d'ADU, ou que certaines plages devraient être traitées de façon non-affine, ou découpées en davantage de sous-secteurs.

Ok je regarderai Siril à l'occasion de la prochaine période d'observation qui va commencer bientôt si les nuages et la grande offensive précoce des poussières du désert me le permettent.

J'ai testé mon idée sur Iris, c'est une cata. Je sais pas comment un concept aussi basique peut donner un résultat aussi moche.

Je vais quand même continuer à apprendre le C++. Je n'ai pas fait (ou surtout pas fini) de logiciel pédagogique depuis longtemps, et l'interface graphique que j'ai longtemps utilisée pour le meilleur devient très limitante en termes de formats notamment. Comme l'idée de me remettre à la création est encore assez floue et lointaine, ce sera peut-être l'occasion de m'y remettre sur la base de technologies moins fermées.

Ok merci, je vais regarder C++ alors. J'ai regardé C# hier soir mais ça m'a vite pris la tête.

Sinon j'ai trouvé aussi comment je pouvais tester mon idée sur la ddp en faisant une longue liste d'opération sous Iris pour arriver au même résultat.

Et Siril est en quel langage ?

C'est pour s'amuser, j'ai pas la prétention de réinventer la roue.

J'ai envie de m'amuser un peu pendant mes journées, mes pleines Lune...

Je ne parle pas de les reprogrammer, faudrait-il avoir le code source et l'accord de l'auteur, mais de programmer un petit logiciel avec quelques fonctions à partir de rien. Si j'arrive à m'en sortir avec la base (ouvrir, afficher, sauvegarder...) je pourrais m'amuser à bidouiller des fonctions de modification de la dynamique.

C'est pourquoi j'aimerais savoir quels langages ont permis de faire ça, de façon à me replonger dans un langage de programmation qui a de bonnes possibilités ensuite en traitement d'images non compressées.

Bonjour,

Les logiciels freeware de traitement d'images astronomique, style Iris, Autostakkert, Registax, Astrosurface... ils ont été codés dans quel langage de programmation ?

J'ai regardé PHP parce que c'est là où j'ai peut-être encore quelques souvenirs, mais ça n'a pas l'air très adapté à nos formats non compressés.

J'aimerais refaire un peu d'informatique. Si j'y arrive à mon âge

Merci

Y a pas à dire, elle est parfaite.

Un peu dur pour moi, je verrais bien une moyenne entre cette version et celle de exaxe17. Tu as des artefacts foncés qui commencent à apparaître autour des étoiles, qui n'étaient pas vraiment visibles sur la première version.

Merci pour ta réponse. Ca ne me dit pas vraiment à quoi ressemble l'outil, mais je comprends que comme moi tu restes obligé de faire la moyenne de plusieurs finitions. Ou du moins de recombiner plusieurs finitions, de manière plus complexe que ma moyenne.