Huitzilopochtli

Membre
  • Compteur de contenus

    3 421
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    6
  • Last Connexion

    Soon available - 45766

Messages posté(e)s par Huitzilopochtli


  1. Il y a 1 heure, BobMarsian a dit :

    Étrangement, le petit rover trace la route sans nous avoir imagé l'atterrisseur Vikram comme le font les chinois. Où peut-être les photos sont-elles encore en cours de traitement ? :(

     

    Il y a peut-être une autre explication (?).

    Seul un des côté du volet mobile du panneau solaire  est entièrement recouvert de cellules photovoltaîques (son autre face l'est partiellement seulement). Pour permettre une pleine charge de la batterie son orientation est donc favorisé dans le positionnement du rover par rapport au Soleil (qui se déplace dans le ciel de 12° chaque jour (terrestre). Les deux CamNav étant positionner sur l'avant de Pragyan, la contrainte sur son positionnement est probablement importante.  De plus si le Soleil est encore assez bas sur l'horizon dans l'axe rover/ lander cela rajouterait possiblement une difficulté...  

    • J'aime 1
    • Merci 1

  2. Bonjour,

     

    Merci d'avoir souligner cet anachronisme entre illustrations et sujet traité (J'avoue ne pas y avoir prêté attention) mais surtout pour toutes ces utiles précisions ! 
     

    Il y a 7 heures, Adlucem a dit :

    ... A l'échelle géologique c'est une tectonique des plaques de type actuelle qui a produit des orogenèses datant de 1000 Ma jusqu'à nos jours. Il s'agit du chevauchement d'une plaque de lithosphère sous une autre, glissement facilité par le "graissage" océanique, et qui n'a rien à voir ou très peu avec les conditions antécambriennes et par ailleurs largement ignorées de la Proto-tectonique de 4000 Ma dont il est question dans l'étude.

     

    Justement, comme tu l'indiques, on connaît assez peu de chose de cette proto-tectonique, et de ce fait, il me paraît difficile d'établir un degré de différence entre ce qui se produisait à l'époque avec le processus tectonique actuel. Ils ne sont pas similaires, cela est une certitude. 


    Pourtant, nous avons des indices qui permettent de remonter dans le temps bien plus loin.

    Le zircon est un minéral très utilisé en géochronologie.

    Au début des années 2000, on en a trouvé dans l'ouest-australien, plus précisément dans les roches sédimentaires détritiques des Jack Hills âgées de 3 Ma. Ces zircons, eux, sont les vestiges de roches bien plus anciennes, et on été datés à 4,4 Ma.

     

    Pour être clair, ce minéral est le matériau terrestre le plus ancien, alors que la roche la plus vieille (environ de 4 Ma) provient de gneiss d'Acasta dans le nord ouest canadien.


    Les analyses géochimiques de ces zircons des Jack Hills ont permis d'identifier à l'intérieur d'autres inclusions de minéraux permettant de conclure que des granitoïdes existaient déjà il y a 4,4 Ma. Ces granitoïdes sont les principaux constituants de la croûte continentale, appuyant son existence au début même de l'Hadéen, moins de 200 millions d'années après la formation de notre planète ! 


    Au terme de leurs travaux, les chercheurs en arrivent à conclure que cette croûte continentale hadéenne aurait subi un processus formation/recyclage s'étendant au moins de 4,4 à 4 Ma...

     

    Et en gardant à l'esprit que nous naviguons dans un domaine encore incertain.

     

    Il y a 7 heures, Adlucem a dit :

    J'espère ne pas avoir raconté trop de sottises, malgré tout, en voulant recadrer des détails qui semblent insignifiants et déjà trop complexes pour ma pomme.

     

    Ils le sont aussi pour moi.

     

    Il y a 7 heures, Adlucem a dit :

    Partant, pour me rafraîchir la mémoire, ça m'aura permis de sortir de l'étagère cet excellent ouvrage de géologie "Histoire de la Terre" de Serge Elmi et Claude Babin Ed Dunod qui est une bible.

     

    Encore un merci pour cette référence bibliographique.
     

    • J'aime 3

  3. Mise à jour des opérations pour MIRI


    https://blogs.nasa.gov/webb/2023/08/24/mid-infrared-instrument-operations-update-3/


    Le 21 avril 2023 , l'équipe du télescope spatial James Webb a indiqué que l'un des modes d'observation MIRI (Mid-Infrared Instrument) , appelé spectroscopie à moyenne résolution (MRS), montrait une réduction de la quantité de lumière enregistrée par les détecteurs de l'instrument. L'analyse initiale du mode d'imagerie de MIRI n'avait pas montré d'effet similaire. Cependant, dans le cadre de l'enquête sur ce problème, des observations de surveillance supplémentaires ont été faites grâce à l'imagerie MIRI. Combinés avec des données antérieures, ces nouveaux étalonnages ont révélé un signal réduit pour l'imagerie MIRI aux longueurs d'onde les plus grandes.


    Ce changement n'a pas d'impact substantiel sur les capacités scientifiques de MIRI mais aura un impact sur les temps d'exposition nécessaires à l'imagerie.


    Il n'y a aucun risque pour l'instrument et l'effet sur l'imagerie est inférieur à celui du MRS. L'équipe étudie la cause du problème. Des observations de surveillance régulières sont effectuées pour continuer à mesurer les effets, et l'équipe fournit des conseils à la communauté des utilisateurs du JWST pour corriger ce changement dans les temps de pose. Le troisième mode d'observation de MIRI, la spectroscopie à basse résolution, fonctionne actuellement normalement, et l'étude du quatrième mode de MIRI, l'imagerie coronographique, n'est pas encore terminée.


    L'équipe a également adopté un plan de surveillance à long terme et étudie les mesures d'atténuation potentielles. L'observatoire est en bonne santé et aucun des autres instruments scientifiques du JWST n'est affecté.


     

    • J'aime 1

  4. Il y a 2 heures, Pascal C03 a dit :

    Ce fil mérite mieux que d'éternelles digressions fussent-elles destinées à faire rire et/ou récolter des pouces bleus

     

     Sans doute, et je dois convenir que je me reconnais un peu dans ce genre de profil.

    J'aime bien faire rire et j'apprécie de l'être.

    De ce fait, je peux déplaire à ceux qui ne fonctionne pas comme cela, mais je m'en fout royalement.

    Par contre, de façon surprenante, j'accepte en général de bon gré les décisions de la modération me concernant, et puis si ce n'était pas le cas, ce serait la même chose.

    Voilà une digression qui n'a pas pour objet de faire rigoler ou d'être liker.


  5. Bonjour,

     

    Un article Futura intéressant, de Morgane Gillard, comme toujours dans ce domaine...


    https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/terre-origines-premiere-croute-terrestre-devoilent-107281/


    image.png.caf3793c26f6ac9b654530c9a85a685b.png


    La première croûte continentale avait une composition différente de celle que nous connaissons aujourd'hui. Copyright Magann, Adobe.


    Cycle_orog%C3%A9nique.png


    Le cycle de Wilson décrit le cycle tectonique que nous observons de nos jours. Copyright Anthony Saphon, Wikimedia commons


    Article source :

    https://www.nature.com/articles/s41561-023-01249-5


     

    • J'aime 4

  6. il y a 19 minutes, aubriot a dit :

    Beaucoup de monde oublient que l exploration spatial  est avant tout politique et non touristique ou économique.

     

    C'est bien vrai.

    Mais il est indiscutable, aussi, que politique et religion sont des sujets de discordes trop fréquemment incontrôlables.

    Entre les beni-oui-oui et les fanatiques intégristes, il doit pourtant bien existé,  ici comme ailleurs, un espace d'expression de liberté.

    En fixer les limites paraît un travail assez délicat...

    • J'aime 2

  7. Roscosmos, dans une annonce officieuse, suite aux dysfonctionnements évoqués plus haut, et quelques autres non spécifiés, prévoit que le satellite européen EUCLID  s'écrasera sur le parlement européen de Strasbourg dans une dizaine de jours, mais les calculs balistiques sur lesquels on s'appuie pour l'affirmer, investigateur principal Pakoh Rabannov, ne nous ont pas été communiqué.  :|

    • Haha 2

  8. il y a 41 minutes, vaufrègesI3 a dit :

     

    ... on ne me verra donc plus intervenir sur ce forum.

     

    Si la charte le permet : 

     

    Daniel, fait pas le con ! 

     

    Il ne serait pas raisonnable de nous laisser tomber face à une adversité répugnante et insistante. Toi qui as le courage d'exprimer clairement ton aversion envers certains propos. 

    Je comprends ta lassitude, surtout quand les règles de bon fonctionnement du forum (en général indispensables) viennent limiter l'expression du dégout qu'inspire le prosélytisme répugnant de Benne à... Lux 

     

     

    • J'aime 4

  9. Le couple  Fine Guidance Sensor (FGS) et le système de contrôle d'attitude et d'orbite (AOCS) connait quelques ratés assez dommageable au parfait fonctionnement du télescope. Le problème provient en fait du FGS qui fournirait de mauvaises données à l'AOCS.


    L'ESA et ses équipe travaille à résoudre définitivement ce problème. On ne va pas dramatiser, mais si on repense à la question de la lumière parasite solaire qui empêchera l'utilisation de l'observatoire dans certaines attitudes, on se dit que le tableau n'est pas absolument irréprochable.  

     

    Communiqué le 25/08/2023

     
    "Depuis la semaine dernière, l'équipe opérationnelle d'Euclid a travaillé intensivement pour résoudre le problème affectant la fiabilité du système de guidage fin, découvert lors de la mise en service.


    Pour fournir des images de la plus haute qualité, Euclide doit disposer d’un moyen très précis et stable d’orienter le télescope dans une direction donnée. Pour cela, le vaisseau spatial est équipé du Fine Guidance Sensor (FGS), qui consiste en des capteurs optiques imageant le ciel sur les côtés du champ de vision de l'instrument visible (VIS). Le FGS utilise des étoiles guides pour indiquer avec une grande précision la direction dans laquelle le télescope doit pointer. Ces informations sont ensuite utilisées par le système du vaisseau spatial qui contrôle l'orientation et le mouvement orbital, le système de contrôle d'attitude et d'orbite (AOCS), pour pointer Euclide et maintenir avec précision le pointage du télescope.


    Lors de la mise en service, l'équipe a effectué divers tests dédiés du FGS et de l'AOCS. La semaine dernière, Euclid a été exploité dans des conditions scientifiques en exécutant les premières activités de la phase de vérification des performances (PV). Bien que la plupart des systèmes fonctionnent bien, ceux-ci ont mis en lumière des cas dans lesquels le système de guidage n'a pas réussi à fournir et à maintenir un pointage correct. Le problème est intermittent, mais avec une fréquence qui nécessite une attention particulière. L’équipe a constaté que dans certaines circonstances, le FGS ne fournissait pas d’informations de guidage fiables, ce qui était problématique à gérer pour le logiciel du vaisseau spatial.


    Pour remédier à cette situation de la manière la plus efficace, il a été décidé d'arrêter la phase PV et de reprendre l'exploitation du vaisseau spatial en mode mise en service. Dans les prochains jours, l'équipe développera et testera de nouvelles mises à jour logicielles, et le calendrier de la phase PV sera ajusté.


    Giuseppe Racca, chef de projet Euclid, explique : « L'ESA et les experts du secteur ont maintenant développé une solution temporaire pour identifier les messages FGS problématiques et permettre à l'AOCS de contrôler correctement l'orientation. Une autre équipe travaille en parallèle pour résoudre définitivement la fiabilité du FGS. C'était une décision responsable de conserver PV et de résoudre le problème correctement. Nous allons tester prochainement la première solution en orbite et toutes les indications sont positives. Je suis convaincu que nous pourrons bientôt reprendre les opérations photovoltaïques. »"

     

    Du Site officiel de l''ESA 
     

    • J'aime 1
    • Merci 1

  10. Hello ! Le Soleil brille brille brille 
    Hello ! le Soleil brille ...


    Solar Orbiter découvre de minuscules jets qui pourraient alimenter le vent solaire


    https://www.esa.int/Science_Exploration/Space_Science/Solar_Orbiter/Solar_Orbiter_discovers_tiny_jets_that_could_power_the_solar_wind


    Traduction automatique rapidement corrigée :


    La sonde spatiale Solar Orbiter de l'ESA et de la NASA a découvert une multitude de minuscules jets de matière s'échappant de l'atmosphère extérieure du Soleil. Chaque jet dure entre 20 et 100 secondes et expulse du plasma à environ 100 km/s. Ces jets pourraient être la source d’énergie solaire tant recherchée.


    Le vent solaire est constitué de particules chargées (plasma), qui s'échappent continuellement du Soleil. Il se propage vers l'extérieur à travers l'espace interplanétaire, entrant en collision avec tout ce qui se trouve sur son passage. Lorsque le vent solaire entre en collision avec le champ magnétique terrestre, il produit les aurores boréales et australes.


    Bien que le vent solaire soit une caractéristique fondamentale du Soleil, comprendre comment et où il est généré à proximité du Soleil s’est avéré difficile à comprendre et constitue un objectif d’étude clé depuis des décennies. Aujourd’hui, grâce à son instrumentation, Solar Orbiter nous a fait un pas de plus important dans cette compréhension.


    Les données proviennent de l’instrument Extreme Ultraviolet Imager (EUI) de Solar Orbiter. Les images du pôle sud du Soleil prises par EUI le 30 mars 2022 révèlent une population de caractéristiques faibles et de courte durée associées à de petits jets de plasma éjectés de l'atmosphère du Soleil.


    "Nous n'avons pu détecter ces minuscules jets qu'en raison des images haute résolution et à haute cadence, sans précédent produites par EUI", explique Lakshmi Pradeep Chitta, de l'Institut Max Planck pour la recherche sur le système solaire, en Allemagne, et auteur principal de l'article décrivant ce travail.  En particulier, les images ont été prises dans le canal ultraviolet extrême de l'imageur haute résolution d'EUI, qui observe le plasma solaire d' un million de degrés, à une longueur d'onde de 17,4 nanomètres.


    Il est particulièrement important que l'analyse montre que ces caractéristiques sont causées par l'expulsion du plasma de l'atmosphère solaire.


    https://www.esa.int/ESA_Multimedia/Videos/2023/08/Coronal_hole_in_the_Sun


    Ce film a été créé à partir d'observations prises par le vaisseau spatial ESA/NASA Solar Orbiter le 30 mars 2022 entre 04h30 et 04h55 UTC, et a déjà été  diffusé l'année dernière.


    Il montre un « trou coronal » près du pôle sud du Soleil. Une analyse ultérieure a révélé que de nombreux petits jets étaient libérés au cours de l'observation. Ils apparaissent sous forme de petits éclairs de lumière vive sur l’image. Chacun d’eux expulse des particules ionisées de plasma dans l’espace.


    Ces jets pourraient être la source du vent solaire, le flux constant de particules chargées provenant du Soleil et traversant le système solaire.


    Les structures magnétiques connues sous le nom de trous coronaux sont des régions source du vent solaire. Ces trous sont des endroits où le champ magnétique du Soleil ne retourne pas vers le Soleil. Au lieu de cela, le champ magnétique se déploie  dans le système solaire. Il se pourrait que les minuscules jets découverts lors de ces observations accélèrent le plasma qui alimente le vent solaire, alors qu'ils s'éloignent du Soleil.


    Le cercle indique la taille de la Terre à l'échelle.

     

    Les chercheurs savent depuis des décennies qu'une fraction importante du vent solaire est associée à des structures magnétiques appelées trous coronaux .


    Le plasma peut circuler le long de ces lignes de champ magnétique « ouvertes », se dirigeant vers l'extérieur du système solaire, créant ainsi le vent qui le parcoure. Mais la question était : comment le plasma a-t-il été éjecté ?


    L’hypothèse traditionnelle était que la couronne étant chaude, elle se dilaterait naturellement et une partie s’échapperait le long des lignes du champ magnétique. Mais ces nouveaux résultats portent sur le trou coronal situé au pôle sud du Soleil, et les jets individuels révélés remettent en question l'hypothèse selon laquelle le vent solaire se produit exclusivement par  flux continu et constant.


    Tiny_jets_escape_the_Sun_article.png


    De minuscules jets échappent au Soleil


    "L'un des résultats est que, dans une large mesure, ce flux n'est pas réellement uniforme. L'omniprésence des jets suggère que le vent solaire provenant des trous coronaux pourrait provenir d'un écoulement très intermittent", explique Andrei Zhukov, de l'Observatoire royal de Belgique , un collaborateur des travaux qui a dirigé la campagne d'observation de Solar Orbiter.


    L'énergie associée à chaque jet individuel est faible. À l’extrémité supérieure des phénomènes coronaux se trouvent les éruptions solaires de classe X, et à l’extrémité inférieure se trouvent ce qu’on appelle les nanoéruptions. Il y a un milliard de fois plus d’énergie dans une éruption X que dans une nanoflare. Les minuscules jets découverts par Solar Orbiter sont encore moins énergétiques que cela, dégageant environ mille fois moins d’énergie qu’un nanoflare et canalisant la majeure partie de cette énergie vers l’expulsion du plasma.


    Leur omniprésence impliquée par les nouvelles observations suggère qu’ils expulsent une fraction substantielle de la matière que nous voyons dans le vent solaire. Et il pourrait y avoir des événements encore plus petits et plus fréquents, en produisant encore plus.


    Solar_Orbiter_article.jpg


    "Je pense que c'est une étape importante que de trouver quelque chose sur le disque qui contribue certainement au vent solaire", déclare David Berghmans, Observatoire royal de Belgique et chercheur principal de l'instrument EUI.


    À l’heure actuelle, Solar Orbiter tourne toujours autour du Soleil près de son équateur. Ainsi, dans ces observations, EUI regarde à travers la région polaire australe, sous un angle rasant.


    "Il est plus difficile de mesurer certaines propriétés de ces minuscules jets lorsqu'on les observe de face, mais dans quelques années, nous les verrons sous un angle différent que celui de n'importe quel autre télescope ou observatoire, donc ensemble, cela devrait beaucoup nous aider", déclare Daniel Müller, scientifique du projet ESA pour Solar Orbiter.


    En effet, au fur et à mesure que la mission se poursuit, le vaisseau spatial inclinera progressivement son orbite vers les régions polaires. Dans le même temps, l’activité solaire progressera tout au long du cycle solaire et les trous coronaux commenceront à apparaître à de nombreuses latitudes, offrant ainsi une nouvelle perspective sur le phénomène.


    Toutes les personnes impliquées sont impatientes de voir quelles nouvelles informations elles pourront recueillir, car ce travail s'étend au-delà de notre propre système solaire.


    Le Soleil est la seule étoile dont nous pouvons observer l’atmosphère avec autant de détails, mais il est probable que le même processus se déroule également sur d’autres étoiles. Cela conduit ces observations en découverte d’un processus astrophysique fondamental.


     

    • J'aime 3

  11. Report du lancement pour le « Satellite de spectroscopie et d'imagerie à rayons X (XRISM) » et du « Small Lunar Lander Demonstration Vehicle (SLIM) » par le lanceur H-IIA n° 47.


    La raison de ce report n'est pas spécifiée.


    Pour la prochaine tentative, et pour d'autres éventuellement, l'heure du lancement sera fixée la veille... (Rappel : Fenêtre de lancement du 27 août 2023 au 15 septembre 2023
     

    • J'aime 1
    • Triste 1

  12. Aïe ! Dernière nouvelle du 25/08/2023 :


    Report du lancement pour le « Satellite de spectroscopie et d'imagerie à rayons X (XRISM) » et du « Small Lunar Lander Demonstration Vehicle (SLIM) » par le lanceur H-IIA n° 47.


    La raison de ce report n'est pas spécifiée.


    Pour la prochaine tentative, et pour d'autres éventuellement, l'heure du lancement sera fixée la veille... (Rappel : Fenêtre de lancement du 27 août 2023 au 15 septembre 2023
     

    • J'aime 1