PierrePA28

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  1. limite utilisation renvoi à prisme

    De nouveau moi, pour répondre à OlivdesoIl y a un intérêt à aluminer la face diagonale d'un prisme à réflexion "totale": Lyl l'a bien compris en mettant en avant l'ouverture du doublet d'entrée de la lunette.Plus cette ouverture est grande, plus il y aura du chromatisme en sortie du prisme. Mais il y a aussi autre chose: la réflexion "totale" sur la face diagonale risque de ne pas être totale pour certaines longueurs d'ondes du spectre visible si l'indice du prisme a été mal choisi. Alors, outre le chromatisme, on a une "réflexion totale" qui ne l'est plus pour l'une des extrémités du spectre et pour les rayons marginaux arrivant sur la face d'entrée du prisme. Il est très rare que l'acheteur dispose de la relation donnant l'indice du prisme en fonction de la longueur d'onde et aussi rare qu'il passe du temps à calculer l'ouverture limite du doublet d'entrée telle que la réflexion totale ait lieu pour l'ensemble du spectre.Soit l'on est satisfait du matériel que l'on a avec ses "défauts", soit on va au bout du calcul et cela se paie.Bonne soirée Pierre
  2. limite utilisation renvoi à prisme

    BonsoirJe veux bien que l'impression ressentie avec l'oeil soit fantastique mais il n'est pas un instrument de mesure et il ne fera pas disparaître le chromatisme intrinsèque d'un prisme, chromatisme calculable qui plus est.Il y a donc un choix à faire entre l'impression subjective donnée par une association d'éléments optiques et celle donnée par la même association conçue comme un tout et optimisée pour cela.Vous avez donc compris quel est mon choix. Cordialement Pierre
  3. limite utilisation renvoi à prisme

    Bonsoir C'est bien de parler de géométrie mais ce n'est qu'une partie du problème. Le prisme est équivalent à une lame à faces parallèles pour une longueur d'onde donnée. Avec un faisceau de lumière blanche, il introduira une dispersion chromatique faible, mais non nulle. On peut tirer avantage de ce "défaut" en concevant le doublet d'entrée d'une lunette avec une dispersion chromatique inverse de celle introduite par le prisme, et de valeur absolue égale. Il est plus facile de modifier le chromatisme d'un doublet que celui d'un prisme car on dispose de plus de paramètres ajustables. Pour le prisme on est limité par la variation d'indice en fonction de la longueur d'onde pour un verre donné. Evidemment, un prisme pour une lunette est une solution chère. Un miroir quasi parfait ne présente pas le défaut de chromatisme. Cordialement Pierre
  4. Conférence de la NASA jeudi 13 avril

    BonsoirEncore une de VaufrègesI3 qui me fait sourire: pécher des lubies ou l'art des contrepèteries Cordialement Pierre
  5. Archive destockage OU

    RebonjourJ'ai envoyé le document à info@airylab.com, si c'est bien correct. Cordialement Pierre
  6. Archive destockage OU

    BonjourIl y a de l'ordre de 80 pages, mais seulement 2 MO en format pdf. Je peux l'envoyer si je dispose d'une adresse mail. Bonne journée Pierre
  7. Comparateur à Cadran

    BonsoirOui, c'est plus pratique de monter une règle numérique qui est la version moderne de l'objet. J'ai pris un pied à coulisse numérique et j'ai scié "les ailes" qui gênent pour le transformer en règle de même longueur; c'est nettement moins cher que la dite règle. L'acier est de très bonne qualité, attention aux doigts si la coupe est faite à la main, les arêtes sont tranchantes. L'avantage du numérique est la lecture facile en éclairage nocturne. Cordialement Pierre
  8. Comparateur à Cadran

    BonsoirPour moi, un comparateur à cadran est un appareil utilisé en mécanique, pour mesurer avec grande précision une épaisseur ou un déplacement. Comme il compare la position d'un palpeur avec une référence on l'appelle comparateur; il est dit à cadran car c'est une petite aiguille qui se déplace devant un cadran gradué en centièmes de millimètres. Il ne réalise pas une mise au point mais il repère de manière reproductible la position ou les variations de position par exemple du porte-oculaire. Les revendeurs Facom ou Mitutoyo vendent ces modèles "anciens", il en existe aussi des numériques.C'est très pratique car, lorsque le télescope se met en température, on peut suivre et quantifier le déplacement d'un point du porte oculaire par rapport au fût du télescope. Lorsque plus rien n'évolue, c'est que le télescope est à l'équilibre de température.On peut alors faire des mesures de diamètre d'image stellaire pour trouver la mise au point optimale. J'en ai monté un sur mon télescope; on mesure à l'équilibre le diamètre D de la caustique d'une étoile en fonction du tirage X du porte oculaire, des deux cotés du foyer. On modélise D en fonction de X pour déterminer la valeur de X qui rend D minimum. Bien sûr, on moyenne la turbulence pour chaque mesure de D lors des mesures. C'est pratique car reproductible à l'équilibre. Cordialement Pierre
  9. Chromer une pièce

    BonjourIl n'est pas précisé le type d'acier. S'il s'agit d'un acier inoxydable, lequel contient déjà du chrome, on peut réaliser un électro-polissage qui lui donne, si les bonnes conditions sont remplies, un aspect poli et bien réfléchissant. Pour cela, on utilise un bain d'acide orthophosphorique, une électrode en carbone suffit ( de mémoire) et la pièce d'inox est l'autre électrode. En faisant passer un courant continu, que l'on calibre avec un essai sur une chute de métal, il existe une valeur optimale du couple tension-courant par unité de surface de la pièce à électro-polir pour laquelle le polissage advient. En deçà de l'optimum, rien ou presque ne se passe, au delà il y a apparition de piqures. L'avantage de l'électro polissage d'un métal est de le rendre très résistant à l'oxydation: du cuivre électro-poli se conserve des années ainsi. En fait, ce qui se passe est que l'on diminue la rugosité de surface et donc les réactions chimiques avec l'oxygène sont modifiées.Ce type de procédé n'est pas équivalent à un dépôt par électrolyse, lequel conserve la rugosité de surface. Cordialement Pierre
  10. Conversion de fréquence optique

    BonsoirAdmettons que vous ayez un filtre laissant passer la raie du calcium intéressante pour le soleil. Admettons que vous disposiez d'un écran ou ce que l'on veut qui soit fluorescent lorsqu'il est excité par l'image en CaK. On transforme ainsi du rayonnement proche de l'UV en rayonnement plus dans le domaine du visible par l'oeil. Plus exactement, l'écran transforme l'image réelle en CaK qu'il reçoit en une lumière visible par l'oeil mais partant pratiquement dans toutes les directions. Il faut alors former une image à partir de cette source qui rayonne dans toutes les directions: c'est possible en diaphragmant fortement le faisceau émis par l'écran. Ce faisant, on perd une bonne quantité d'énergie. On ne peut avoir plus d'énergie en sortie du dispositf complet qu'il n'en rentre; compte tenu du rendement de fluorescence et du diaphragme, il ne restera pas grand chose pour l'oeil, sauf à utiliser une CCD. Bonne soirée Pierre
  11. Conversion de fréquence optique

    BonsoirUtiliser la fluorescence est une idée tentable. Il y aura probablement un ajustement à réaliser entre la quantité d'énergie sortie du filtre Ca K et le rendement de conversion de la fluorescence; avec le soleil, on ne manque pas vraiment d'énergie disponible. Cependant, faire de l'imagerie alors qu'on interpose un écran fluorescent sur un faisceau est plus risqué: l'écran diffuse car la fluorescence n'est pas directionnelle, elle s'effectue dans un angle solide non négligeable d'où une perte d'énergie qui va diminuer la résolution.Il faut au moins essayer, car parfois une solution improbable a priori fonctionne à la surprise de beaucoup.Cordialement Pierre
  12. Conversion de fréquence optique

    BonjourMaintenant, on se rend mieux compte du but. La conversion de fréquence ici est inutile car ce que vous souhaitez identifier est émis à la fréquence caractéristique du calcium: il n'y a donc pas besoin de convertir ce qui est émis mais de l'isoler du reste. Un filtre est idéal pourvu que sa bande passante soit assez étroite afin de ne laisser passer que ce qui est relatif à Ca: on sait faire. Bonnes observations Cordialement Pierre
  13. Conversion de fréquence optique

    BonsoirBien sûr le type de cristal évoqué est idéal pour voir des éléphants roses après quelques fumettes ou gorgées .... Néanmoins, la question était difficile et intelligente, donc il fallait s'attendre à ce que la réponse ne fut pas simple et fasse appel à la volonté de comprendre de son auteur. Ne pas répondre n'aurait pas été honnête.Désolé d'avoir manqué la cible. Cordialement Pierre
  14. Conversion de fréquence optique

    BonsoirOui, il existe bien des dispositifs convertisseurs de fréquence optique qui sont d'une part plus compliqués à mettre en oeuvre que les équivalents pour signal de nature électrique, et d'autre part on n'obtient pas tous les types de conversion au choix. Une possibilité est d'utiliser un cristal transparent, ayant des propriétés optiques non linéaires, qui est traversé par un faisceau laser assez puissant: sa réponse dépend du champ électrique E1 associé à l'onde lumineuse ( c'est la partie linéaire) mais aussi de son carré E2 et, avec beaucoup de chance et de puissance du faisceau ( selon le matériau employé), peut-être du cube E3 etc. Or l'onde lumineuse est sinusoïdale à la fréquence F1: la réponse linéaire due à E1 va redonner F1 en sortie du cristal; la réponse à E2 donnera F1 au carré, lequel se décompose en série de Fourier pour donner 2F1, 3F1... nF1. Le rendement de conversion diminue très vite avec n et obtenir 2F1 est déjà beau. On a donc réalisé ainsi un doublement de fréquence optique: pour l'oeil il entre une couleur rouge et il ressort du vert. S'il y a assez de puissance dans ce vert, on peut recommencer l'opération mais la manip commence à prendre de l'ampleur.Il faut donc avoir une puissance d'entrée élevée, pour obtenir, avec un rendement de conversion peu élevé, une puissance significative en sortie.Je ne donne pas de valeurs, car elles dépendent du matériau, de la fréquence que l'on veut modifier, de la puissance d'entrée ( attention au non linéaire), de la résistance du matériau à tous point de vue. En jouant sur la réponse non linéaire du matériau, on est limité aux fréquences multiples entiers de la fréquence initiale. Si maintenant on utilise les battements entre deux fréquences optiques, moyennant le bon matériau de mélange, comme en électronique, on obtiendra des fréquences sommes et différences que l'on peut ensuite démultiplexer. Voir à ce sujet l'analogie avec les changements de fréquence des récepteurs radio petites ondes et grandes ondes avec l'étage de changement à 455 kHz. On voit donc qu'en optique, c'est plus compliqué à réaliser qu'en électronique à signal sinusoidal.Bonne soirée Pierre
  15. Mewlon, plan focale et aberration spherique

    BonsoirSi vous connaissez les caractéristiques optiques et mécaniques de votre tube, vous pouvez faire le calcul de longueur du baffle à utiliser pour ne pas obtenir de vignetage de l'image.Il est aussi plus simple de procéder par approximation non destructive de la manière suivante: le baffle du miroir primaire Mp de mon M210 est constitué par deux tubes de longueurs équivalentes. La partie la plus éloignée de Mp se dévisse, on la remplace par un tube de carton de longueur ajustable par coulissement sur la partie de baffle proche de Mp. On détermine alors la position optimale du tube de carton ne créant pas de vignetage en bord d'image, d'où la longueur totale de baffle à réaliser. On évitera de tronçonner le baffle d'origine qui est à conserver; on réalise un tube en autre matériau, soigneusement noirci et ajusté sur le baffle fixe.Cordialement Pierre
  16. BonsoirPourquoi ne pas essayer ImageJ lui aussi gratuit, utilisable sur MacIntosh, et PC anciennement appelé NIH, et qui de plus possède une version dédiée à l'astronomie? Il permet l'addition pixel à pixel de deux images, et bien d'autres choses encore. Il existe un tutoriel, mais son fonctionnement reste intuitif pour ce type d'opération. Bonne soirée Pierre
  17. BonsoirJ'ai repris mes mesures et leurs résultats, obtenus avec mon Mewlon M210. Ce qui suit n'est donc valable que pour ce type de télescope et de plus le mien dont j'ai modifié la position du miroir secondaire afin d'augmenter un peu le dégagement du foyer.Une règle numérique montée sur le porte oculaire donne sa position X. Sur la CCD, le diamètre de tache focale vérifie D (pixels) = - 19,765 X + 466,73 avec X en millimètres. La régression linéaire sur une vingtaine de mesures de position intra et extra focales a donné un coefficient de corrélation = 0,9999. L'origine est prise avec le porte oculaire complètement rentré, la tache est donc intra focale et diminue lorsque X augmente. Un pixel CCD fait 3,75 micromètre. A l'origine PO (rentré) D = 466,73 pix soit 1,750 mm. On sort le PO de X= 10 mm, D = 1,009mm; pour X = 20 mm, D = 0,268 mm et D = 0 pour le foyer placé à 23,612mm. La relation donnée est celle mesurée; elle est valable aussi bien en intra qu'extra focale.La géométrie c'est bien; employer des rapports comme tu le fais pré-suppose que tu as bien un cône d'ouverture indépendant du défocus et calculable tel que tu as fait. J'ai préféré utiliser directement la caustique enregistrée avec la CCD.J'espère avoir répondu de manière plus précise. Cordialement Pierre
  18. BonsoirJ'ai fait ce type de mesure sur mon Mewlon M210, et pour lui il y a bien une relation linéaire entre le diamètre de la plage lumineuse, qu'elle soit intra ou extra focale, et le défocus. Ton idée du cône est valable au moins pour le Mewlon. Cela signifie aussi que la caustique est bien un cône pour ce télescope.Lorsque le télescope a atteint l'équilibre en température, il est possible d'enregistrer l'image et de mesurer le défocus avec un pied à coulisse numérique. Ensuite une régression par les moindres carrés donnera la relation que tu cherches.Un avantage de cette façon de procéder est que, une fois le télescope étalonné en fonction de sa température d'équilibre, la position du foyer se déduit de la mesure du diamètre d'une plage largement défocalisée. Bonne soirée Pierre
  19. Trucs bizarres sur helioscope Baader

    BonsoirL'analyse que tu as faite dans ton message précédant le mien est bonne: il faut sortir ou repousser la position du plan focal par rapport à l'actuelle. Tu n'as pas de Barlow 2", donc ce que je suggérais n'est pas testable.Suggestion: serait-il possible de déplacer le bloc prisme de quelques centimètres vers l'objectif afin de regagner ce qui manque pour faire la mise au point sur l'APN derrière? Il faudrait alors s'assurer que l'ensemble du faisceau lumineux continue à "taper" correctement sur la face d'entrée du prisme pour éviter que l'intérieur du tube ne se transforme en phare.Ce n'est qu'une suggestion.Cordialement Pierre
  20. Trucs bizarres sur helioscope Baader

    BonsoirDans une lunette simple avec objectif + oculaire, on place la Barlow en l'insérant avant le foyer image de l'objectif. On a donc : objectif, Barlow proche du foyer image, foyer image, oculaire.Le rôle du prisme est double: fournir une image d'intensité affaiblie pour l'oculaire et laisser partir vers un extérieur l'énergie restante.Puisque on observe une image à l'oculaire, on a accès au plan focal de l'objectif, avec bien sûr une intensité atténuée fortement. On peut donc en principe placer une Barlow comme d'habitude pour un oculaire. Cordialement Pierre
  21. Trucs bizarres sur helioscope Baader

    BonsoirLorsqu'on regarde par l'oculaire de la lunette équipée de son hélioscope, il est normal que la face du prisme qui renvoie une faible partie de l'énergie lumineuse soit sans défaut, ou presque. La majeure partie de l'énergie lumineuse qui traverse l'objectif est évacuée hors de la direction de l'oculaire et il n'en arrive dans le plan focal de ce dernier qu'une très faible part.Si l'on regarde par l'objectif de la lunette, à la profondeur d'accommodation de l'oeil près, on voit ce qui se trouve au voisinage du plan focal image de l'objectif. La majeure partie du signal vu correspond à celui évacué par l'hélioscope lorsque la lunette reçoit les rayons du soleil et une très faible partie est celle allant au plan focal de l'oculaire.Il y a ainsi superposition de deux images, l'une d'intensité importante, l'autre de faible intensité. En remplaçant l'oculaire par un cache noir on pourra déterminer l'origine des défauts constatés: quoi qu'il en soit, ils sont situés au voisinage immédiat du plan focal image de l'objectif. Bonne soirée Pierre
  22. noir mat, mais vraiment mat...

    BonsoirPour Famax, j'avais dans l'idée un analogue à l'appareil de mesure de la BSDF ou BRDF que nous avions breveté par l'intermédiaire du CNRS, en 2003 je crois. Outre la réflexion spéculaire, il permettait, pour un angle d'incidence donné, la mesure de la diffusion ou rétro diffusion, résolue angulairement et dans un demi espace: soit l'ensemble des valeurs des intensités diffusées ou réfléchies dans chaque élément d'angle solide d'ouverture très faible en une seule mesure temporelle: quelques fractions de seconde et un détecteur fixe. L'intégration se faisait ensuite à partir des valeurs numériques. L'avantage de ce dispositif par rapport à ceux qui donnent une valeur intégrée est que la fonction de distribution est déterminée de manière univoque, alors que son calcul par inversion de l'intégrale a beaucoup de solutions possibles. C'était destiné entre autres à déterminer l'état de polissage des wafers de silicium, mais c'est arrivé 15 ans trop tôt.Cela serait applicable à une couche plane peinte; première étape pour le problème posé. Bonne soirée Pierre
  23. noir mat, mais vraiment mat...

    BonjourBRDF: ou "bidirectional reflectance distribution function" , ce serait plutôt BSDF ( bidirectional scattering distribution function) qu'il faudrait la nommer dans la mesure où il n'y a pas que la réflexion spéculaire qui intervient. C'est exactement le type de mesure à réaliser, car non seulement l'état de surface sur lequel la peinture est déposée mais aussi ses caractéristiques propres: taille des pigments absorbants, leur répartition dans l'épaisseur de la couche, leur anisotropie de forme éventuelle et leur réponse en fonction de l'angle d'incidence de la lumière incidente, sans compter la longueur d'onde.Je suis entièrement d'accord avec le fait que l'on a souvent ds surprises avec ce type de mesures, car on est loin de ce que le "bon sens" pourrait suggérer. En aparté, "le "bon sens" est parfois loin d'être la réalité en physique. Cordialement Pierre
  24. Produits de polissage

    Par expérience, il est exact que certains tissus synthétiques ou non, chargés de produit de polissage, donnent des états de surface vraiment horrible, type peau d'orange ... En l'état, chaque combinaison de "support de l'abrasif + abrasif" est adaptée à quelques types de matériaux et ce qui est valable pour l'un peut très bien ne pas l'être pour l'autre. Les fabricants de machines de polissage fournissent habituellement ces listes mais j'ai perdu le contact avec les fabricants actifs; on les retrouve grâce aux moteurs de recherche. Cordialement Pierre
  25. Produits de polissage

    BonjourL'oxyde d'aluminium ( alumine) est utilisé, entre autres, pour le polissage mécano-chimique terminal des wafers de silicium. Il permet de diminuer la taille et la profondeur des "rayures" provenant des grains plus gros: au fur et à mesure des heures de polissage, la taille des grains d'alumine diminue et l'état de surface s'améliore sans avoir besoin d'utiliser plusieurs tailles de grains abrasifs, ce que l'on constate par l'évolution de la mesure de la lumière diffusée à l'incidence oblique.A ma connaissance, on peut aussi l'utiliser pour le polissage du verre, généralement amorphe.Bonne journée Pierre