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Messages posté(e)s par Kirth
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@jfleoufChiCyg fait référence à l'accélération, pas à la vitesse.
Si la courbe était une sinusoïde autour du plan galactique, la composante orthogonale du vecteur accélération devrait être dirigée vers le Sud dès que le Soleil est au Nord, et réciproquement.
Ou, dit autrement, la composante orthogonale de la vitesse vers le nord diminuerait dès que le Soleil se trouverait au nord du plan. Elle diminuerait jusqu'à s'annuler, on serait alors à l'altitude max au-dessus du plan, puis on repartirait vers le Sud. Si la vitesse vers le nord diminue, c'est que l'accélération pointe vers le Sud.
Là, au contraire, l'accélération continue à pointer au Nord, alors que le Soleil est au Nord du plan...@ChiCyg
Je n'ai pas eu le temps de lire l'article mais tu écris que les chercheurs penchent pour un compagnon lié gravitationnellement au Soleil.
La précision des mesures permet-elle de définir précisément le vecteur accélération? Si oui, ne suffirait-il pas de chercher une étoile faible dans cette direction? -
Daylight Saving Time = heure d'été en anglais -
La vitesse n'entre pas en ligne de compte dans mon calcul car j'ai pris l'hypothèse que les deux météorites arrivent justement à la même vitesse. -
Salut,Je vais m'intéresser au point #2
La force de frottement dissipative générée par l'atmosphère dépend de la vitesse de la météorite, et de la surface de contact, proportionnelle au carré du diamètre.
La masse, elle, est proportionnelle au volume de la météorite, donc au cube du diamètre.
Par conséquent, si on prend deux météorites de même densité, de diamètres D1 et D2, arrivant à la même vitesse, que se passe-t-il?
1- Les masses sont dans un rapport (D2/D1)^3
2- Les forces de freinage sont approximativement dans un rapport (D2/D1)^2En vertu du principe f=ma ou encore a=f/m, les décélérations des deux objets seront dans un rapport D1/D2.
En pratique, si on a deux météorites dont les diamètres sont de 10 et 100 km, les masses sont dans un rapport de 1000, les forces de freinage dans un rapport de 100, et donc la décélération de la plus grosse sera 10 fois plus faible que celle de la petite.Même si ce raisonnement implique des hypothèses simplificatrices, on ne doit pas être trop loin de la réalité.
[Ce message a été modifié par Kirth (Édité le 17-08-2012).]
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Bien d'accord avec toi mon cher Alain.
Pas plus loin qu'en page 1 de ce fil, il nous en a pondu une restée totalement sans écho... je me dévoue pour la signaler à la communauté. Mais je ne vous dit pas tout, sinon ce n'est pas drôle... -
Heureusement car de 1969 à 2012 ce serait plutôt x6
Quand on y pense, 170 milliards, c'est pas si cher. Ce n'est que 1.7% de la dette publique des US.... -
C'est pour ça que je dis "de toute façon" -
Salut,Quand j'avais reçu ma formation là-dessus, on m'avait appris que les effets aux faibles doses sont stochastiques et ne deviennent déterministes qu'aux très hautes doses, comme tu le dis lionello.
Je n'ai pas eu le temps de lire en détail les articles donnée en lien dans les divers messages précédents, mais ceci donne des exemples de doses équivalentes reçues par les astronautes, ainsi que leurs limites
http://srag-nt.jsc.nasa.gov/SpaceRadiation/FAQ/FAQ.cfmDose reçue par la peau pour une mission à bord de la navette:
7864 mrem soit 78.64 mSv.
Deux fois plus pour les missions Skylab, mais six fois moins pour Apollo 14.Dose limite en carrière:
Peau: 600 rem = 6 Sv
Organes de formation du sang: 400 rem = 4 Sv max pour les hommes, modulations selon l'âge.Il est certain que c'est inférieur à ce que reçoit un habitant du Nord de l'Iran, ou de certaines régions d'Afghanistan, mais la différence est que les astronautes reçoivent ces doses de manière discontinue, sans adaptation de l'organisme, et de façon plus concentrée dans le temps. On peut donc se demander le danger qu'ils courent, mais leur population est statistiquement insuffisante pour tirer des conclusions, et le suivi médical dont ils bénéficient doit leur éviter d'autres déboires.
De toute façon, SB va nous démontrer demain soir que les astronautes ne servent à rien, alors...
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C'est vraiment phénoménal.
Le décalage horaire m'a empêché d'être devant en live, mais je suis bien content pour Curiosity et Vaufy que tout se soit bien passé :-)
L'image de la descente sous parachute est un vraie prouesse, mais à côté de faire atterrir un robot sous une grue volante... -
quote:
quand on y verra en gros plan un fossile de trilobiteM'énerve, je la trouve pas celle-là, je la trouve pas....
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Daniel,Toi qui es incollable sur le sujet, quel est le meilleur lien pour suivre en live l'événement?
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Bon, alors, ils l'ont-tu trouvé le Boson de Higgs ou ils l'ont-tu pas trouvé???
En tout cas, moi, je suis allé chez mon pote Hoggs, et il m'a servi du bison. -
Superbuse, je pige pas, il me semblait que SB, l'auteur du blog dont à propos duquel on cause, était ton pote.Bon, sinon le SB, moui, ya un petit style. Mais je me demande s'il est vraiment là-bas. J'ai l'impression qu'il a tout piqué ses infos dans le guide vert... louche, je vous dit.
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Salut les amis,Pour moi,ici au Canada, c'était ce Mardi soir. Il a fait un super temps toute la journée, et tranquillement, vers 17h, ça a commencé à se couvrir, comme pour me narguer, et ça a fini avec de gros nuages noirs. Emballez c'est pesé, rendez-vous en 2117.
Je vais me mettre au tricot je crois...
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J'ai capté PascalID,merci.L'idée du TN visuellement gelé parce que son effondrement se passe derrière l'horizon, je visualise.
SuperTN, je crois que quand on nous dit "on a vu de la matière tomber dans un TN", on fait référence aux rayons X, gamma, qui sont émis par la matière chauffée dans le disque d'accrétion.
Donc loin de l'horizon, en effet. -
Je crois que je comprends l'idée, PascalID.
Mais quand on parle de comparer les densités des trous noirs, on se place intuitivement "à l'intérieur" du TN, et on essaye d'imaginer à quoi ressemble et combien pèse une cuillerée de matière. -
Le problème est que dans cette notion on confond le rayon "matériel" de l'objet, dont on ne sait rien, avec le rayon de Schwarzchild, qui est immatériel.
On est à la limite de l'abus de langage. -
La Matière Noire est en fait un fluide qui nous entoure et nous pénètre, et maintient la Galaxie en un tout unique...hum... déjà entendu ça quelque part moi http://www.youtube.com/watch?v=JLBq5wD1DyI
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Superfulgur est une grosse buse qui n'écrit rien d'intéressant sauf sous haute dose de 1664.
En revanche, il y a un certain SB qui se laisse lire...
http://ciel.science-et-vie.com/ -
La photo a été prise à 185 km d'après ceci: http://www.nasa.gov/mission_pages/cassini/whycassini/cassini20120416.htmlMais pas de détail sur la résolution...qui doit être de folie en effet.
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Salut Vindemiatrix,Je dois avoir du mal à suivre... n'avais-tu pas dit que tu essayais EOS Movrec? Dans ce cas, plus de problème de conversion de fichier.
As-tu changé d'avis? -
C'est joli.On voit bien le Mur droit sur la première.
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C'est très sympa tout ça.
les miennes sont mochissimes à côté... -
Très joli le matos, et très jolie la photo.
Je trouve ton traitement beaucoup plus soft qu'à l'accoutumée...
Le soleil accélère trop !
dans Astronomie générale
Posté(e)
Merci pour ces précisions.
cela dit, j'ai un peu de mal à conceptualiser ce que tu as écrit dans ton dernier message. En fait, j'ai même dû comprendre quelque chose de travers:
Tu écris: "la vitesse du soleil est connue par rapport au lointain"
Ça, c'est issu des mesures interférométriques, OK.
puis: "... mais pas celle du centre galactique".
Donc on ne connait vraiment ni notre position ni notre vitesse dans le référentiel galactique. OK.
Comment alors peut-on déduire des valeurs précises de notre accélération dans le référentiel galactique?