RIGEL33

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  1. Une belle nuit allonaise pour les membres d’AG33 !

     

    Pour notre rencontre « marsienne » de 2018, Denis et moi fûmes accueillis au gîte le vendredi 16 mars à midi par nos amis déjà sur place depuis 5 jours pour l’un d’eux et 2 à 3 jours pour les autres. Ce gîte, placée au milieu d’élevages de cerfs, de daims et de poulets, est idéalement placé dans le triangle noir landais, dans la petite commune d’Allons à la frontière du Lot-et-Garonne et des Landes. Notre association loue le gîte à ses frais et les participants, exclusivement des adhérents (et leurs proches) peuvent y venir. Les présents du vendredi au dimanche partagent les frais alimentaires et d’hygiène.

     

    Le temps de débarrasser les courses collectives et nous fûmes invités à partager le repas qui s’éternisa jusqu’à presque 16 h. Une petite sieste d’une heure et c’est le soleil qui nous accueillit au réveil. Au vu des prévisions météo, nous pûmes monter les setups. Normalement, on devait pouvoir bénéficier d’au moins une demi-nuit… de plus, Gérard58 avait promis de nous rejoindre, ce qui était une garantie supplémentaire d’un ciel étoilé. Alors que les derniers participants arrivaient, nous allâmes passer nos vêtements « astro » d’hiver.

     

    Le soleil venait de se coucher alors qu’on équilibrait encore les setups. Un peu plus loin sur ma droite, je vis deux astropotes installés des appareils photos sur trépied… deux secondes de réflexion et je compris ce qu’ils voulaient imager : les planètes du système solaire les plus proches de notre étoile, à savoir Mercure et Vénus, visibles à ce moment-là dans le ciel à l’ouest, après le coucher du Soleil. Je me dépêchais à faire les flat sur le ciel qui blanchissait et où persistait quelques moutons nuageux, mais non gênant pour ma prise de vue. J’avais ma lunette sur l’Orion Sirius et l’objectif 90-300 sur la StarAdventurer. J’installais donc aussi mon troisième APN sur trépied à côté des autres et nous attendîmes patiemment l’arrivée de Mercure, Vénus étant déjà bien visible. Quelques minutes plus tard, je l’aperçus comme un point à peine visible en haut à droite de l’étoile du Berger. Je commençais à déclencher les poses pour tenter de trouver les bons paramètres afin de voir les deux astres. Au fur et à mesure que les minutes s’égrainaient, Mercure était de plus en plus brillante, apparaissant enfin sur les images.

     

    Photos prises le 16 mars 2018 à Allons (47) – Canon 400D avec objectif 18-200 mm sur trépied.

     

    1 pose de 1/4s – ISO 400 – focale 54 mm – f/4.5 – Caméra RAW et  Toshop.

    vynus_12.jpg

    Cliquez sur l'image pour voir la full en tiff.

     

    1 pose de 1/5s – ISO 400 – focale 80 mm – f/5.6 – Caméra RAW et  Toshop.

    vynus_13.jpg

    Cliquez sur l'image pour voir la full en tiff.

     

    En tournant mon regard vers le nord, à environ 44°, je vis enfin Polaris et m’écriait : « Polaire en vue ! ». J’allais donc faire mes mises en station qui furent assez rapide… mes trépieds étant déjà bien positionnés. Puis je rentrais enfin au gîte où les copains et copines étaient déjà à l’apéro. Landesgnocq avait préparé et servi des ti-punchs (comme il sait si bien les faire). Crackers et cacahuètes disparaissaient rapidement alors que chacun dégustait son verre tout en partageant ses ambitions pour la nuit à venir. J’appris que le repas, concocté par Petrus, serait une choucroute ! Hummmm ! Mais j’étais un peu perdue car Giti avait cherché, une partie de l’après-midi, des herbes pour un bœuf bourguignon, normalement prévu le lendemain midi, et Sandrine avait commencé à faire mijoter un couscous. Ce dernier serait, je l’appris ensuite, pour le lendemain soir. L’astronomie-gastronomie prenait tous son sens à Allons.

     

    Mais l’apéritif s’éternisa et il était déjà 20 h 30 quand le couvert fut mis. Avec Denis et Giti, nous nous excusâmes auprès des autres mais il fallait lancer les premières poses. En effet, nous nous rapprochions à grands pas du crépuscule astronomique et nous ne savions toujours pas combien de temps l’embellie météorologique allait durer. D’autant que Julien nous avait un peu miné le moral, disant qu’il avait vu sur l’animation satellite que les nuages étaient en embuscade, prêts à nous envahir à nouveau. De ce fait, il avait décidé de ne pas monter sa lunette. Nous mangerions donc un peu plus tard. Denis et Giti arrivèrent assez vite à lancer leurs premières poses, mais de mon côté, je galérais avec ma lunette. Effectivement, je n’arrivais pas à faire la mise au point avec le nouvel APN totalement défiltré que j’avais acquis. Pourtant j’avais fait des essais qui semblaient concluants. Heureusement, j’avais déjà lancé les poses en grand champ, avec l’autre setup, sur la Tête de la Sorcière, bien que cela risque d’être un peu juste au vu de la position de Rigel déjà bien au sud-ouest. Du côté de M78 à la lunette, je finis par lancer les poses, bien que je ne fusse pas satisfaite des premières brutes. L’humidité était présente mais pas trop gênante.

     

    Je rentrais enfin manger. Tous avaient déjà terminé. Il me restait une très belle part et je me régalais. Après cette pause bien méritée, je retournais auprès de mes setups… tout semblait bien se passer. Entretemps, la femme et la fille du propriétaire étaient venues nous rendre visite et profiter du beau ciel sous lequel elles vivent sans vraiment en profiter à fond. Madame nous quitta assez vite car elle travaillait le lendemain mais Claire restât avec nous un bon moment. J’allais observer avec les dobsoniens. Les objets célestes défilaient dans les oculaires, surtout des galaxies. Je découvris la Boîte, une configuration de galaxies qui, ensemble, formait un carré mais ce n’était qu’une illusion depuis notre position sur le sol terrestre. Trois d’entre elles, les plus lointaines, font partie d’un même groupe mais, ce qui est étonnant, c’est que c’est la plus faible des quatre, visuellement parlant, qui est la plus proche de nous.

     

    Le temps passait très vite et je sentis le froid se renforcer. Je rentrais me couvrir un peu plus et prendre un café bien chaud. En ressortant, je vis qu’Orion commençait à être bien basse. J’arrêtais donc l’imagerie sur mes deux setups. Il commençait à geler, ma tente d’ordinateur était toute brillante et les objets posés sur la table glissaient. Après avoir téléchargé les poses, je relançais sur le grand champ en optant pour la Chevelure de Bérénice. Ce fut assez rapide, d’autant que la mise au point n’avait pas bougée. Par contre, en regardant les poses sur M78 à la lunette, ce fut assez pourri. Les étoiles étaient trop épaisses et les aigrettes trop larges. Je savais par avance que l’image serait loupée. Je tentais donc de refaire une mise au point sur une autre étoile mais rien à faire. Je changeais l’appareil photo et j’y mis un non défiltré. Et là, miracle ! La première pose était parfaitement nette, avec des aigrettes d’une grande finesse. Donc, mes soucis venaient bien de cet APN défiltré total.

     

    J’ai appris bien plus tard qu’il fallait remettre un filtre IRCUT afin de couper un peu les infrarouges. Il faudra donc que je fasse de nouveaux essais avec mon filtre clip EOS CLS CCD qui semblerait remplir ces conditions. Et dans le cas contraire, je le ferais filtrer par un astropote avec un filtre Baader. Mais revenons à notre soirée allonaise.

     

    Je lançais quand même une série de dark à la lunette avec l’APN fautif car je souhaitais quand même empiler le résultat. Et je retournais auprès des copains et copine afin d’observer, avec quelques aller-retour au gîte afin de me réchauffer un peu. Là, je croisais le regard de ma chienne, confortablement installée sur le petit canapé, qui se demandait si je n’avais pas perdu la tête à refuser de rester au chaud auprès d’elle.

    Vers 3 h 30, quelques bandes nuageuses faisant des apparitions à l’ouest, passaient assez vite au-dessus de nos têtes. Denis était parti se coucher. Ayant déjà bâché ma lunette, je décidais de lancer les dark sur le grand champ. Il était temps car le power tank qui alimentait l’APN et l’antibuée, était vide. Je mis donc une batterie dans l’appareil photo pour la suite. Il me fallut attendre une bonne demi-heure puis je pus faire les offset et, après téléchargement des poses sur clé USB, je bâchais mon second setup. Pendant ce temps, j’entendais les astropotes qui râlaient sur le ciel qui se bâchait progressivement. Gil tentait d’imager Jupiter mais cette dernière dansait la rumba sur l’écran de son PC. Il restait bien quelques zones de ciel observables mais elles se raréfiaient au fur et à mesure que l’heure s’avançait. Sandrine me montra la planète Mars au Dobson 250. La vision était plutôt brouillée mais c’était sympa de revoir la planète rouge.

     

    Il était déjà 4 h 30 quand je rentrais définitivement au gîte. Le temps de finir de ranger mes affaires à l’intérieur, je pus rejoindre Denis et Chara dans la chambre. Malgré mes déboires et mon corps congelé, j’étais heureuse d’avoir pu partager cette belle nuit allonaise avec mes amis du club…

     

    La nuit suivant sera météorologiquement pourrite mais nous aurons quand même la joie du partage avec une visite éclair du grand Fredlarun en fin d’après-midi, et la bonne surprise que nous a fait Gérard33 de venir passer la soirée avec nous et déguster le fameux couscous de Sandrine.

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  2. Pour l'Eriba, je ne suis pas vraiment sûre qu'on puisse en trouver d'occasion en bon état et à petits prix... généralement, le prix grimpe très vite, même si la caravane est vétuste (c'est du vécu) :/

    Maintenant, quand on peut y mettre des billes, c'est vrai que c'est l'idéal, neuve comme d'occasion.

    La caravane, c'est génial pour l'astro... il suffit d'en choisir une petite avec toit escamotable, comme l'Eriba mais dans une autre marque pour payer moins cher. 

    En occasion, il y a tous les prix... et pour si peu que tu sois bricoleur, tu pourras en trouver à retaper pour vraiment pas chère. 

     

    Notre première caravane, une RAPIDO, avait un toit escamotable mais elle a pris de l'âge et il a fallu la changer.

    Du coup, on a pris un peu plus grand mais sans toit escamotable (car non trouvée à temps). C'est dommage car nous payons le tarif 2 sur autoroute... alors qu'avec un toit escamotable, on reste dans le tarif "voiture".

    Ce qui est le plus intéressant si la caravane le possède, c'est le auvent qui double ta surface habitable, voir pour ranger le matos sensible après la séance (ordi, oculaires, APN, etc.).

     

    Voili voilou ! ;)

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  3. Merci à vous deux :) 

     

    Tu sais Alain, il n'y a aucune prouesse... Je pense que la majorité des astrophotographes arriveraient à ce genre de suivi.

    Il est vrai que je m'applique à l'installation et à la mise en station mais je pense que c'est le cas de nous tous...

    Maintenant, vous manquez peut-être de confiance dans les capacités de vos montures ?

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  4. Appel à contributions
    Ceci constitue l’appel à contributions pour un nouvel atelier sur les Collaborations Amateurs Professionnels pour les prochaines Journées de la SF2A (Société Française d’Astronomie et d’Astrophysique) se déroulant à Bordeaux le vendredi 6 juillet 2018.


    Les collaborations amateurs professionnels sont très actives dans le domaine de l’Astronomie. Lors de cet atelier nous ferons le point sur :

    •  les derniers travaux et résultats réalisés dans de tels cadres de collaborations,
    • quels sont les nouveaux projets qui pourraient être lancés, ou comment développer des collaborations par exemple pour une nouvelle campagne,
    • quels sont les besoins et les moyens à réunir pour ces projets (nouveaux matériels pour les petits télescopes, instruments sur les télescopes de mission, logiciels, site web et organisations)
    • Un focus particulier sera réalisé sur des éléments nouveaux entrant dans le paysage, comme l’impact des données GAIA sur plusieurs sujets de collaboration.

     

    L’atelier se déroulera avec plusieurs moments :

    • Un tour d’horizon des collaborations
    • Des interventions en atelier sur les points ci-dessus
    • Des proceedings pour permettre de présenter dans le détail les sujets et de prendre date
    • Une table ronde pour permettre un débat interactif
    • Une synthèse pour récapituler les projets et actions à engager

     

    Pour chaque intervention un tandem Amateur Professionnel est souhaité.
    La conclusion de l’atelier donnera lieu à un plan d’actions à partager entre la SF2A – SAF pour la mise en place de nouveaux moyens pour soutenir l’évolution des projets et de nouvelles collaborations Pro-Am.
    Nous remercions la SF2A qui a accepté de proposer la gratuité de l’inscription pour les amateurs aux journées.

     

    Merci d’adresser vos propositions de contribution en le déposant sur le site web de la SF2A ou en l’adressant à Thierry Midavaine : thierrymidavaine@sfr.fr
    Site web des journées de la SF2A avec les renseignements pratiques : http://2018.sf2a.eu/
    Lieu des journées de la SF2A : L’antenne Pey Berland de l’Université de Bordeaux 35 Place Pey-Berland 33000 Bordeaux

    AAC-SF2AProAm-B.pdf

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  5. Ça me rappelle trop nos propres animations, ou tout simplement nos soirées d'observation quand des néophytes découvrent pour la première fois la Lune ou des planètes dans l'oculaire.

    C'est toujours magique d'entendre les Waouuuuuuu qui fusent (dans la vidéo, c'est plutôt des "Oh my god"). 

    On se revoit nous-même la première fois, quand nous avons pu avoir un vrai télescope (et non ces lunettes jouets), découvrant les cratères lunaires ou la géante gazeuse avec son cortège de satellite, ou la belle planète aux anneaux... 
    Pour ma part, j'aime encore observer et admirer ces objets qui nous sont accessibles facilement mais j'ai perdu cette magie de "la première fois".

    Et quand une personne s'approche de mon oculaire et lance un "Waouu" en voyant les détails insoupçonnés d'un objet céleste, je revis ces premières fois avec beaucoup d'émotion ;)

     

    La vidéo transmet bien cette émotion et je me suis surprise à sourire à leur stupéfaction et leur émerveillement ! Bravo à aux personnes qui ont eu l'idée de faire cette vidéo et de la diffuser S_THUM%7E1.GIF

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  6. L’Arbre de Noël céleste

     

    Revenons à 13 mois en arrière (eh oui, j’ai du retard dans mes traitements d’images)… En ce mois de février 2017, les conditions météo étaient passables mais assez bonnes pour tenter une sortie. J’en ai profité pour pointer cet amas d’étoiles peu connu qu’est NGC 2264, aussi appelé l’amas de l’Arbre de Noël, en direction de la constellation de la Licorne.

     

    Cet amas d’étoiles ouvert est situé à 2.080 années-lumière de nous, a un diamètre d’environ 24 années-lumière et est âgé d’environ 9 millions d’années. Il a été découvert par William Herschell en 1784. L’amas est entouré d’un vaste complexe nébuleux qui fait environ 3° dans le ciel (6 pleines Lune).

    Ce complexe comprend des nébuleuses en émission, des nébuleuses par réflexion et des nébuleuses obscures. A gauche de la photo, on aperçoit la nébuleuse du Cône, une dense nébuleuse obscure de gaz et de poussière. L’étoile juste à côté du cône représente la pointe de l’Arbre de Noël. L'étoile la plus brillante, au centre droit, est S Monocerotis (en réalité une étoile triple) et représente le pied de l’arbre. La nébuleuse de la Fourrure de Renard, en-dessous de S Monocerotis, est à peine visible sur l’image.

     

    Malheureusement, les passages de voiles nuageux m’ont obligé à jeter pas mal de poses. Et c’est justement là qu’il en faut pour bien révéler toutes ces magnifiques nébuleuses présentes dans le secteur qui forment à elles toutes les décorations de ce céleste Arbre de Noël !

    L'image a un rendu un peu féerique et fantomatique qui me plaît bien. Encore un objet à retenter dès que cela sera possible ;)

     

    Photo prise le 17 février 2017 à Saucats (33) – Canon 350D défiltré au foyer d’une lunette 100/900 Skywatcher sur monture Orion Sirius EQ-G (sans goto, ni autoguidage). 

    74 poses de 2 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS et Toshop.

     

    cone10.jpg

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  7. Un groupe galactique en interaction 

     

    Lors du week-end du 23-24 février 2018, la météo nous avait encore gâtés et nous permis de faire un peu d’imagerie ciel profond. Comme la Lune était plutôt présente, nous avons décidé de ne pas aller sur le site du Mémorial mais plutôt de faire de l’astrojardin en utilisant nos filtres CLS (anti-pollution lumineuse). Le premier soir, nous avons tous deux pointé la ceinture d’Orion. Denis n’eut que des ennuis techniques, à tel point qu’il songeait sérieusement à revendre tout son matériel. Quant à moi, aucun souci majeur si ce n’est les cheminées des voisins dont les fumées s’étaient invitées sur toutes les poses. Tout le travail de la soirée était bon pour la poubelle. Pour Denis, heureusement, la fin de soirée fut plus souriante et nous nous sommes promis de remettre ça dès le lendemain.

    Le samedi soir, nous voilà tout deux à pointer les « nébuleuses de Bode », au nord, plus connues sous le nom de Groupe de M81.

     

    Le groupe de M81 est un groupe de galaxies dont le centre est situé dans la constellation de la Grande Ourse à environ 11,8 millions d'années-lumière de la Voie lactée. Plus d'une trentaine de galaxies ont été identifiées au sein de ce groupe, dont M81 et M82 sont les plus notables. Elles furent découvertes par Johann Elert Bode le 31 décembre 1774, puis indépendamment par Pierre Méchain en 1779 qui les signala à son ami Charles Messier.

    Les galaxies M81 (en haut à droite), M82 (à gauche) et NGC 3077 (en bas à droite) sont en interaction gravitationnelle étroite entre elles causant la formation de filaments d'hydrogène atomique entre ces galaxies ainsi que l'effondrement gravitationnel de gaz interstellaire au cœur de M82 et NGC 3077, provoquant au sein de ces dernières un sursaut de formation stellaire.

     

    Ce soir-là, j’ai pu pousser le vice à tenter des poses unitaires à 3 mn… et cela a plutôt bien marché. C’est sûrement dû à la position près de Polaris qui a permis ce bon suivi.
    L’image en résultant est plutôt sympa mais il faudra que je retente ce trio sans filtre CLS ;)

     

    Photo prise le 24 février 2018 à Ayguemorte-les-Graves (33) – Canon 350D défiltré (avec filtre CLS) au foyer d’une lunette 100/900 Skywatcher sur monture Orion Sirius EQ-G (sans goto, ni autoguidage). 

    55 poses de 3 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS et Toshop.

     

    m818210.jpg

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