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  1. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    STF, même dans la 80, apo, il y a ce que vous décrivez, en ce moment, cela ne prouve rien. Le Pb c'est 95% d'origine seeing, plutôt local, éventuellement instrumental. Il y a ici juste une petite fenêtre à l'inversion des températures, 5-10 minutes où les images se calment plus ou moins selon le jour passé. Avec 80-100mm un simple filtre jaune W8 élimine déjà 60% de la dispersion atmosphérique en colorant très peu. L'adc sur ces diamètres c'est plutôt intellectuel pour l'usage, conseillé pour bien plus seulement mais on n'a pas le site ici pour pousser plus fort. Pour le CC: https://www.teleskop-express.de/shop/product_info.php/info/p11226_TS-Optics-10--f-12-Cassegrain-Teleskop-254-3048-mm-OTA.html il y a aussi pour 154 et 203mm, j'ai le 154 qui est bien respectable en perf. Myriam, en accord avec toi concernant le fait qu'il y eût de très grands achromats utilisés visuellement par le passé et proche aussi (50 ans). Exemple les 38 et 60cm du pic utilisées pour le suivi visuel de mars, pour la polarimétrie et la photométrie cad des aspects quantitatifs d’événements ou simplement physiques des surfaces. Avec de l'aberration chromatique.
  2. Remonter un objectif Secrétan 108mm

    Aussi un tube en résine avec tissu verre ou carbone moulé sur un tube pvc 140 150mm, facile à faire.
  3. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    "Il existe des mutations sur le gêne L occasionnant un décalage vers le rouge, avec comme indications 8 couleurs nettes visibles dans un arc-en-ciel, une bande jaune clair ou bleu clair bien différencié après le violet. Ce n'est pas rare ni une maladie." Heureux de l'apprendre Myriam d'autant que ces types sont nés comme ça et que cela dure avec le temps. La vision mésopic est quelque chose d'étonnant, parfois.
  4. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Si vous cherchez le super polyvalent en tube, il me semble que gso est en train de produire quelque chose en ce domaine, un pseudo CC qui doit couvrir de l'uv jusqu'à l'IR. Comme Myriam le dit, c'est forum achromat, en ajoutant les métites de ces achro qui s'élèvent au dessus du sol et font sur l'année le rendement optique que ce CC n'aura pas sauf dans un site stable, transparence, seeing. Le problème n'est pas les mérites de l'un ou de l'autre mais la PERTINENCE que l'on obtient avec l'un ou l'autre avec ce qui est réellement (ex, data du hst). Faut élever un peu le débat standard.
  5. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Je me disais encore comment se fait-il qu'il n'y ai pas eu encore des commentaires la dessus. Je n'aime pas l'astro avec considérations B/W. Tout ce fait dans le gris nuancé 16 ou 32bits, en visuel. A mon avis il faut illuster bien des propos ici sur des cas concrets, par exemple venus observé dans le bleu profond voir dans l'uv proche. Les caractéristiques des optiques ne sont pas encore 0 dans ces segments même avec un très bon achromat. Faut pas croire qu'une apo excellera dans ces domaines, peut-être un peu mieux avec le bon design, construction polissage, asphérisation de surfaces, etc... On voit tant de data en uv avec des sct perfectibles, si c'est B/W ce serait donc discutable? Je veux bien entendre ici ou là le point de vue B/W mais faudra quantifier le rendement du tube sur le cas d'observation précis. Pour l'instant on attend d'en avoir par les chiffres, les impressions ne font que des échanges de forum..
  6. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    C'est approximatif. Le raisonnement de capabilité en terme de résolution accessible est trop dépendant de la dimension d'un objet lorsque le contraste reste très faible. Un point qu'il faudrait ajouter c'est la capacité à encaisser l'éblouissement. On pense évidemment à une forte clarté qui masque un petit détail. Mais en poussant cette idée vers les contrastes très faibles il faut atteindre une zone de confort, le bon éclairement, pour discriminer cette petite différence. Il n'y a que le grossissement qui permet de l'obtenir. Non par utilisation de filtres de densité car il faut une dimension à l'oeil suffisante (plusieurs minutes d'arc, valeur selon la couleur et les capacités oculaires propres. Ce que l'on trouve dans la littérature ce ne sont que des chiffres "standard" avec capacité standard. Même les courbes de sensibilité oculaire ne sont que standard, ce n'est pas un ccd. La physiologie de l'oeil est un aspect important pour y voir un mécanisme de perception mais on peut encore utiliser ces chiffres émanant du contrôle d'une population qui donnent une bonne tendance globale, après il peut rester tous les cas particuliers. J'avais discuté le cas de l'ashen light AL sur vénus versus les capacités techniques, instruments et oculaires. Le directeur de section, RMcKim me disait qu'il avait rencontré des observateurs ayant une vision développée sur le rouge profond avec acuité. Cependant cela n'explique pas la vision de l'AL mais tente d'ouvrir une explication. Il n'y a pas que le mécanisme en cause il y a aussi les chiffres qui combinés avec un instrument permettent de définir une capabilité standard. C'est ce qui me parait être sur ce point quelque chose d'important.
  7. Ce qui est intéressant à noter c'est la différence entre le centre optique et le centre mécanique. Plus du mm cela commence à être problématique. Non?
  8. Faire plus simple: https://fr.rs-online.com/web/p/voyants-neons/0106414/ la qualité de lumière devrait être suffisante (ce n'est pas une ampoule avec un cache plastique coloré, ni une led), https://www.conrad.fr/recherche?search=néon&searchType=regular ils avaient aussi ce style de composant, ici un peu moins sur avec descriptif assez pauvre. Celle de radioshack que j'ai est une petite ampoule vissant, couleur jaune orange, le top. Radioshack devrait encore exister en belqique. RS composants est situé à Beauvais. On pourra trouver ailleurs sans doute mais regardez le prix d'abord, pas besoin de pousser.
  9. Perso j'ai déjà une petite lampe néon monochromatique jaune orange que j'avais trouvé chez radioshack. A voir chez conrad. Peu importe la couleur pourvu que ce soit monochromatique (une fréquence simple). Il suffit de la placer devant le doublet au rayon de courbure de la 3eme face. Il faut rechercher les anneaux d'interférence, qui sont circulaires, la lampe à la hauteur de l'oeil d'observation (attention à l'électrocution, ici lampe de 220V. Maintenir le doublet en appui sur son fond, par gravité. Si les anneaux sont bien centrés et bien c'est OK, s'il y a excentration marquée, il faudra démonter les verres en ayant repérer je schéma observé pour corriger la ou les 2 cales en sous épaisseur. La cale trop mince est située à l'opposé du réseau de franges circulaires excentrées. D'abord une vérif sur le tube équipé, le calage peut être déjà correct, le doublet correct sans démontage de son tube. S'il y a excentration marquée et bien le démontage sera à effectuer avec le re-calage des verres au bureau selon le même topo. Une excentration de 2mm ce n'est rien de sensible sur le résultat final, 2 fils en croix marqueront le centre des verres (en mettant un confetti de 5mm sur la croix il y aura visuellement une sensibilité accrue) . Pensez aussi au calage diamétral avec les 3cales pour y laisser un jeu mécanique de 0.1-0.2mm maximum. L'écrou de serrage des verres sera juste en bloquant glissant juste. On peut remonter le doublet sur le tube et si l'on a un gmk, pas besoin d'aller sur le ciel, c'est collimatable en 5 minutes. Mais au préalable on aura vérifié l'axe du porte oculaire (sans renvoi ni rien) en poussant le laser et y voir la trace du faisceau sur le centre du barillet sur les verres. Recherchez le mm au plus sur le centre en ajustant le montage de la crémaillère sur le tube de la lunette. On terminera sur le ciel avec 300x mini (sur cette 135) pour s'assurer d'une bonne image de diffraction, disque d'airy bien rond, 1er anneau concentrique et régulier. Si l'on observe le disque d'airy un peu irisé en couleurs selon un axe sur une étoile proche du zénith, c'est qu'il est probable que une lentille est un peu décalée par rapport à l'autre et là il sera nécessaire de retoucher le réseau de 2x3vis à créer ou existant pour récupérer ce petit défaut. Faites du roddier si ça vous dit à ce stade, le réglage étant fait, il aura et prendra une signification plus réelle et pourra être comparé à celui initial, réalisé sur une étoile proche du zénith en posant 30s mini avec le filtre G astronomik par exemple. Ce sera une vérif globale, déjà effectuée sur le star test final. Vaut mieux 2 vérifs qu'une seule. Quelques outils simples et pas besoin de banc de mesure et contrôle, on y arrive aussi. Un peu de temps à passer sans se précipiter.
  10. Pour le réglage des cales d'épaisseur entre verres, utilisez une petite lampe avec lumière monochromatique, style lampe néon. Il faut observer les franges d'young et modifier le calage jusqu'à ce que celles-ci soient concentriques avec le diamètre du barillet. C'est une manip à faire dans le bureau, dépoussiéré. Le calage diamétral des verres est facile en insérant des cales de cartoline noire en laissant un jeu de 0.1-0.2mm. En remontant le doublet, vérifier le montage en agitant le tout, on doit entendre des bruits de choc très léger. Les verres pourront respirer dans le barillet. Mais avant avez-vous vérifié avec un bon laser colimaté, la coaxialité du porte oculaire avec le barillet? Le faisceau doit de positionner bien au centre des verres. Au final si on observe encore une petite dispersion de couleurs sur l'image de diffraction et bien il faudra décaler latéralement un verre par rapport à l'autre. S'il n'y a pas de système de 2x3 vis sur le barillet pour centrer ou décaler latéralement il faudra le faire avec une taille M3. Ce réglage peut se faire sur le ciel. C'est ce que j'ai sur la 152-990 qui n'est pas une bresser, tout s'y règle et s'ajuste simplement avec des outils basiques. Oubliez le roddier, sauf à le mettre en oeuvre à la fin pour une double vérification. La géométrie du tube et son axe n'est pas l'axe optique, il y a désaxage et tilt, mêmes résiduels, donc du gain à apporter non pas pour l'optimum mais pour le top possible.
  11. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Sans doute du wording sur la signification des termes mais l'éclairement surfacique reste bien ceux du tableau fourni avec en corollaire l'albédo géométrique considéré à 0.154 à l'opposition quand les astres sont alignés. A la phase gibbeuse il y aurait l'angle de phase de 47° ce qui donne un facteur de phase de 62% et un albédo effectif de 0.095. On a aussi un facteur d'éclairement de 1.5 entre le périhélie et l'aphélie. Avec ces points de situation de planètes, le grossissement variera selon. Ces niveaux d'éclairement surfacique sont ceux pour un mars en opposition moyenne, disque de 13-15". Ce ci dit il reste cette idée de contraste minimum accessible pour une ouverture et le grossissement . Cela me parait intéressant de le connaitre eu égard le diamètre de son scope d'une part et pour un objectif de 1% de contraste minimum si le doublet est capable de l'atteindre: pour la majorité j'en doute.
  12. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    l'albedo géométrique est celui qui prends en compte la réflexion de lumière globale en fonction des positions respectives planètes, soleil, terre. En phase gibbeuse il n'y a pas pleine réflexion de la lumière solaire dans la direction de la terre (une réflexion sur une sphère). Avec cette affaire de déserts et "continents" de mars avec sa rotation propre il y bien sur une petite variation mais d'une valeur assez négligeable par rapport à cette caractéristique globale qu'est l'albédo géométrique, qui globalise les détails de surface. C'est différent. L'albédo des détails de mars est une chose bien mesurée même tabulée aussi.
  13. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    C'est bien l'albedo géométrique qu'il faut considérer, celui en regard que l'on peut obtenir depuis ICI. Dans vos évaluations, la transmission du scope c'est 20% du problème reste, l'oculaire, CO ou pas, le ciel, la diffusion de lumière du ciel (scattering), la hauteur de la planète au dessus de l'horizon, l'encrassement des optiques, etc, etc,... Regardez ce tableau, µ0.1 par exemple, qu'est-ce: seulement 10% de la lumière de mars qui vient de mars qui arrive à notre œil, sans considérer cette hauteur au dessus de l'horizon. Étonnant! µ0.1 et 0.5, c'est quoi cette différence? essentiellement la qualité de ciel, seeing parfait. Si cela peut faire sentir, le rôle du lieu d'observation, en termes de chiffres cela fait avancer un débat. Et surtout le contraste accessible sur un lieu d'observation avec un scope donné, dont on ne connait presque jamais sa fonction transfert de contraste. L' aberration chromatique de doublet ou apo ce n'est que disons 30% du problème, global.
  14. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Est-ce une apo de 97% de transmission change quelque chose. Oui un petit peu, mais dans la rhur en pleine période de production ce sera peanuts, tout comme en ville. Cela ne compensera pas une situation de montagne ou campagne.
  15. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    La formule photométrique qui peut donner l'éclairement surfacique observé (sortie de tube) B+ = (25 D2 µ B)/M2 D2: diamètre du scope au carré (si je me souviens bien en inch, D au carré) µ: transmission globale du système optique, du ciel, encrassement, albédo à prendre en compte B: éclairement surfacique de la planète (mesurée par les astro pro) M: grossissement en usage (au carré). Le tableau donne les grossissements en fonction du diamètre, du coefficient de transmission lumière, d'un niveau de turbulence. Dans chaque carré il y a des coefficients qui permettent d'estimer le plus petit contraste accessible en fonction de la taille apparente de la planète en fonction de l'éclairement à l'oculaire. Mais c'est un autre débat. Myriam voir la fig 1 de la note. La turbulence 1/3" (sec arc) cela peut représenter 4x1/3" soit 1.33" de résolution pour un objectif de 105mm soit des images fixes à tous les grossissements (140/D pour Rt). Pour le 5" (127) cela fait 3/10 Rt soit le premier anneau de diffraction qui commence à onduler, etc...pour d'autres diamètres. Il y a bien des facteurs qui amoindrissent l'éclairement aussi, la hauteur au dessus de l'horizon, la brume, l'oeil de l'observant... µ 0.5 c'est un bon ciel de montagne. Comme quoi aussi les planètes sont altéres par la qualité de ciel sensiblement.
  16. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Pour uranus j'ai calculé en prenant sa méthode: (B+ éclairement sortie du tube, pour 200mm ouverture, m la magnitude limite visible à l'oeil nu au voisinage) B+ = 0.15cd/m2 D 8” M 360x m: 5.0 B+ = 0.03 cd/m2 D 8” M 360x m: 4.0 For 8” aperture 360x magnification m:5.0: Brightness at the eyepiece: 0.15 cd/m2 Brightness of planet: 50 cd/m2 Requested magnification per inch: 45.6x therefore 365x for 8” Mesopic vision: Lighting level from 0.001 cd/m2 until 10 cd/m2 FOR A STANDARD EYE. Si le ciel est parfait, transparences, seeing, on approchera les 500x pour voir tout ce qui est possible avec 200mm et contraste limite 0.7%. Ces 360x pour 200mm ciel parisien correct et bon on peut viser le 1% théorique. 1% ce n'est pas illusoire. Un brit David Gray qui est expérimenté ne connait ces développement en termes de chiffres mais est arrivé à ces mêmes conclusions par l'expérimentation, pour en avoir échangé avec lui. 1% peut faire controverse, mais se limiter à 1mm de pupille le fait aussi et à juste titre.
  17. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Je te transmet ce tableau résumant pour certains objets les grossissements nécessaires pour voir aux limites d'un oeil standard. C'est Dale P Cruikshank qui l'a établi dans les années 40-50 en prenant en compte les paramètres de conditions opératoires, transmission de l'optique, transparence du ciel et seeing. C'est aussi pour une optique parfaite strehl 100%. µ est un coefficient qui défini une transmission de lumière instrumentale et du ciel local (µ 0.1 c'est un bon ciel de banlieue parisienne) Pour le calcul de l'éclairement rétinien il faut tenir compte de la distance des planètes. Bien sur établi pour l'observation nocturne, en plein jour il y aurait une réduction sensible des data. Le seeing est défini comme une amplitude angulaire de déplacement image. Ces affaires de pupille de sortie à l'oculaire 1mm ou 0.6mm c'est dépassé car en les prenant il y aura perte de détails, nombreux.
  18. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    même avec la 100ED j'utilisais encore des filtres colorés sur mars et vénus. Ce n'est pas pour faire le contraste ou annuler une aberration chromatique, c'est pour l'étude des atmosphères. Bien sur il y a des gens qui au premier coup d'oeil vous disent c'est ceci ou cela sauf que il y a beaucoup d'erreurs commises ou pour répéter la gazette du jour de l'astro. Ce sont des outils tout comme un spectromètre, polarimètre etc...Cela apporte beaucoup au diagnostic. C'est que aussi les couleurs sont dispersées differemment selon la profondeur dans l'atmosphère. Le bleu et l'uv (nuages blancs, blue clearing), les hautes couches, le vert disons les couches moyennes (les mix poussières vapeur d'eau), le jaune et l'orange les couches proches du sol (poussières). Allez sur le site de l'alpo us il y a des papiers entiers sur ces usages de filtres pour mars.
  19. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Mars c'est 1500cd/m2 surfacique sur mars pour un grossissement donné que reste-il sur la rétine? Et puis 10cycle /° cela signifie que le détail 1% de contraste doit avoir une dimension de 6minutes d'arc sur la rétine. Cela va faire un très fort grossissement S'il est vu à 3 minutes d'arc tjs à 1% il sera perdu en perception.
  20. Meade 12 à réparer

    Pour en avoir causer sur CN auprès de personnes qui ont visité les ateliers et vu des techniciens de l'époque, le miroir est appairé avec la lame choisie la meilleure avec des composants classés puis il y a réglage du ménisque sélectionné pour optimiser l'astigmatisme. Le secondaire n'est que posé au 'centre" géométrique puis collimaté. Un tel SA c'est un loupé global. Je ne crois pas que ce soit meade. Dans mes achats sur pa j'ai trouvé un c8 avec un montage à l'envers de la lame, pas plus célestron en cause, juste du bricolage intermédiaire. Opération faite il était propre mais beaucoup de jeux mécaniques la collimation ne tenait pas. Faites les tests suggérés, star test et éventuellement ce retournement du ménisque avec le papier cigarette (il faudra le démonter du tube sans démonter le secondaire) en vérifiant les planéités de faces.
  21. Meade 12 à réparer

    Avec le star test on verra Bernard s'il est confirmé, à priori ça le serait. Le renversement de la lame: face plane vers le ciel et l'autre modifiée. Avec F10 on doit observer environ 0.05mm de creux de sorte qu'en mettant une règle bien droite ébavurée pour ne pas rayer le verre, on pourra vers le milieu vers l'extérieur y glisser un papier à cigarette. Après avoir vérifié coté face plane. De toute façon faut tester.
  22. Meade 12 à réparer

    Autant pour moi si ce n'est pas un roddier. Passons rapidement à ce star test pour y voir plus clair encore.
  23. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Cette courbe de moneyer: 10 cycles/° 1% de seuil et 0.017cd/m2, lumière blanche. Quel est le grossissement résultant? Mars faisant 1500cd/m2 surfacique, couleur orange rouge. 10 cycles/° c'est 6' sur l'oeil, déja à la louche il faut 3D si le résolvant est D/2 pour 1' sur l'oeil.
  24. Meade 12 à réparer

    Concernant ce meade 12" vu ce roddier fourni, qui doit être confirmé, je ne crois pas qu'une simple orientation de ménisque fera disparaitre une aberration sphérique du niveau révélé. Faut garder en mémoire cette affaire d'appairage comme possible, d'autant plus que la méthode du roddier parait si controversée. Pas logique en terme de démarche à mon sens. Un bon star test sur étoile artificielle bien éloignée (100 fois la focale) du tube fera un bon tri de départ. En croisant avec un ronchi et la lame de couteau. Le SA c'est le premier point à lever.
  25. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Myriam, cet objectif de qualité exigé par l'oeil (10 cycles, 1%, quelques mililux) quel instrument peut aussi l'assumer? Réponse aucun, encore moins tous ces réfracteurs y compris apo même les tops. Je vais sans doute faire crier mais vraiment aucun en action et sur le papier déjà. Bien sur la turbulence qui fait chuter les contrastes de, aux dires de Texereau, de 20-23% par step de l'échelle de danjon. Faut pousser un réflecteur parfait dans un très bon site pour s'y approcher de cette perf oculaire dans toutes les couleurs du spectre. Pour gratter très peu en action inutile de dépenser 15000 pour une 150 alors que le reste à disons 1000 est à peine derrière en résultats. Ma conclusion c'est un compromis entre la perf oculaire propre à chacun, le site d'observation, la perf du tube en action. Le meilleur machin sur le papier n'est forcément pas celui le mieux en action. Un bilan avant investissement s'impose naturellement.