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  1. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Il reste quand même étonnant que malgré le liseret bleu de l'achromat et le fond bleuté du disque planétaire, malgré ceci beaucoup de détails émerge de ce halo dans cette 150mm F10. En comparant avec les celestron 150F8, là c'est bien noyé, détails apparaissant encore mais bien atténué. Une comparaison avec une bresser 150mm F8, c'est une situation intermédiaire observée. En cause le sphérochromatisme bien sur, mais aussi la qualité de surfaçage des verres et le centrage des couleurs sur le doublet. Reste la vue de l'observateur qui intervient aussi. Pour le workable, la celestron c'est rédibitoire, la bresser limite, l'istar workable quand même. Le CC154 gso F12 fera 1 ou 2 crans au dessus sans l'avoir encore constaté sur vénus malgré les 33% de CO. C'est le contraste accessible qui compte et la stabilité des images à l'oculaire. Cette istar de 150mm acquise récemment est celle que j'avais cédée à l'origine, un bon doubet installé alors sur un tube en résine de parks, le top. Le gus qui l'a reprise a remplacé le tube avec un machin en alu. Il n'a pas vu que la turbulence instrumentale au final devenait présente dans la nuit, une erreur de conception. On vie avec maintenant. L'alu peint en blanc brillant c'est joli mais assez nul en comportement thermique et poids. Cela influe sur le rendement global de l'optique.
  2. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Perso sur la 150F10, j'ai déja transmis à Ales des observations tout au début sur ces 150mm (3 doublets entre les mains). Concernant le filtrage, j'ai utilisé, le L3 astronomik comme filtre MV, le W11 qui coince les montées du bleu foncé et du rouge profond, pour les telluriques jusqu'à 300x, le W8 et12 pour les géantes glacées, U et N jusquà 375-400x, le rg435 pour venus en plein jour (liseret bleu sur le bord, discret), jusqu'à 200x le W38A idem pour venus. le RGB astronomik, pour les telluriques. le W29 sur les telluriques jusqu'à 250x Comme tu peus le voir pas de jup et sat, qui ne m'interessent pas. Bien sur sur vénus il y a le liseret bleu visible en plein jour, sur la triplet 127F7.5 aussi. Cependant les détails sont là encore. C'est pourquoi je m'interresse à ce gso CC/RC de 154mm qui devrait bien mieux faire avec 0 liseret bleu. Lorsqu'il est avancé pour mars par exemple que le blue clearing n'existe pas et que le facteur instrumental est par trop négatif pour supporter une véracité, cela peut interpeller quelque part. Il y a en fait ce qui est workable et ce qui ne peut l'être, cad que la théorie est bien réelle mais que aussi l'usage peut l'amender par le fait que tout n'a pas été intégré. Il me semble que le site de vladimir sacek aux us "telescope-optics.net" introduit bien cet aspect. Les propriétés de l'oeil ont bien été évaluées dans ces années 40-50, jai ici un mémo de Dale P Cruikshank (astronome pro) qui synthétise cette vision "astronomique" et nécessités induites. 150mm c'est le minimum syndical pour observer visuellement avec profit.
  3. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Myriam pour revenir à une 130F12, achromat ou apo, il y a quand même la formule apo qui compte bombon mais en perf pure qui peut aller de l'uv proche à ir proche avec très bons strehl. Après on calculera la hauteur du pilier pour être bien assis quand les planètes sont à dec +20°. 1.2m ici pour la 150mm avec un fauteuil. Il n'y a pas que le design qui compte c'est le design placé dans un environnement défini qui importe. Je n'ai pas trop réussi avec ces compacts MC sct qui sont limitant question sensibilité à la turbulence, pas seulement dans le tube mais aussi autour du tube (100m autour), aussi face aux gradients thermique dans la nuit. Il y a un point que tu n' a pas trop développé c'est la combinaison éclairement rétinien résolution standard possible ajusté par le grossissement oculaire et en ajoutant selon la couleur. Il y a pour chaque type de planète un optimum du moment qui peut se synthétiser. Je n'aime pas trop ces apos qui donne plus d'éblouissement rétinien qu'un autre type de design, il faut un ajustement précis pour annuler cet effet négatif. L'achromat bien réglé à des types de vues me parait, avec l'usage, plus souple et surtout pour les tous petits détails très peu contrastés. Mon observation des choses.
  4. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    J'ai une istar 150F10 qui donne très bien sur mars, venus et les géantes glacées. Utilisée en semi fixe ici au domicile, tube de 1.6m et 10kgs. C'est sur que la même en 220-250mm cela devient un monstre inutilisable sauf sous un abris permanent. Le doublet placé à 2.5-3m du sol ça aide pour réduire la turbulence locale. L'aberration chromatique peut se gérer simplement en filtrant étroit. Elle peut supporter 300-400x sérieusement. J'ai eu aussi cette 100ed et l'istar 100F12 qui faisait mieux que l'ed sur planètes. C'est sur qu'il y a quelque part un assemblage oeil et optique d'observation ici à un optimum avec cette 150mm.
  5. cassegrain 154F12 TS

    J'avais écrit info@airylab.fr puis obtenu un message "email inconnu". Sur le mien apparemment c'est une rugosité de 1/20th d'onde qui a été estimé, ce qui est moyen et avec une image de diffraction d'une étoile à fort grossissement nette sans tréfoil. S'il y avait 3 ou 4 tubes de plus testés sur un star test déjà cela montrerait une tendance de qualité, assez bonne sur le 154 ici. Juste une suggestion. GSO à un 254 en production selon le même design plutôt RC F12. La prestation me parait plutôt intéressante pour être soulignée.
  6. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Maintenant la vision sur planètes c'est mésopic, un mix de scotopic et photopic, qui dépend de chacun. Mésopic y compris pour les géantes glacées, uranus et neptune. La perception des détails reste à être ajustée selon la planète. A Lowell c'est très bien callé pour le visuel mésopic qui allie photopic et scoptopic, à 100% plutot sur le bleu m'a-t'il semblé. Rien à voir avec le chroma bleu, modéré avec 400x.
  7. Danjon & Couder, les achromats en 1935

    Myriam, concernant ces vieux achromats, vous avez vu dans le Lick, allez si vous avez le temps et l'opportunité voir dans la 610mm du Lowell à Flagstaff, c'est autre chose en piqué et limpidité d'image. Un tube excellent pour le visuel pour le connaissant et expérimenté visuel. Cela change du brou-ah-ah achromat apo, les mérites des unes et des autres. Toujours considéré par la Nasa pour les résultats. Nous avons eu ce doublet 38cm F20 placé au pic, qu'est-il devenu: c'était un top aussi, tout comme celle de 60cm avant le 1m cassegrain US?