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Messages posté(e)s par gitod


  1. Pour le semi apo c’est bien le sujet de départ, non?

    pour un achromat…

    Une ligne noire ou grise sombre sur fond clair se voit bien jusqu’au Dawes/10, 14 selon Pickering. La division de cassini reste visible dans une 40mm sans problème, anneau ouvert et aux anses. Ce n’est pas un problème sérieux.

    Io passant sur le disque de Jupiter, satellite clair sur un disque clair avec des détails plus sombre, c’est déjà plus difficile dans 3”.

    Sur mars lorsque la calotte est notablement inférieure à la seconde d’arc, certains rapportaient des aurores, les plumes, alors qu’un simple effet de diffraction s’opérait, la calotte polaire comme un disque d’airy muni de son 1er ànneau de diffraction se développant sur le fond de ciel et sur le disque martien…

    En fait faire attention aux conclusions hâtives pour des objets situés en limite instrumentale.

    Le filtrage peut aider dans une moindre mesure, mais le choix doit être adéquat.

    le double polariseur pour Platon doit le faire pour réduire la diffusion de lumière et adapter l’éclairement rétinien à l’optimum.

     


  2. La division de cassini est aussi visible dans une 60mm, comme cette celestron F12 à 42€ Que j’ai ici.

    ce n’est pas une perf.

    Rien à voir avec cette affaire de craterlets en vision à la pleine lune (dernier post) dans Platon.

    Il faudrait des images fixes pour définir juste un peu plus.

    150mm peut montrer le contour du craterlet, à la pleine lune avec image fixe.

    Avec le filtre polarisant double.

    Cela nous éloigne de ce filtre semi apo qui n’aide pas.

    Il faut se méfier des images de détails de taille similaire à la limite de Dawes et inferieure. Un point noir à la limite de Dawes ne peut être noir mais gris clair avec une dimension étalée (exemple l’ombre de satellite de Jupiter vu bien noir dans une 60mm, une illusion optique sur le contraste réel).

    Il faut au moins 2 fois la limite de Dawes pour résoudre une forme définie, 3 fois pour y faire des mesurages fiables.

     


  3. Hier soir j'ai jeté un oeil sur platon sous la pleine lune, les pires conditions, avec des images 5-6/10 dans la 102F10 celestron omni.

    Grossissement 80-125-133-160 et 208x sans filtre et filtre UNF lunaire (favorise le bleu et réduit le glare).

    Les craterlets du centre apparaissaient comme des points diffus plus clair que le fond de l'arène apparaissant plus sombre. Le système double n'était pas résolu en 2 craterlets distincts.

    Que dire de ce style d'observation. 

    Le contour de chaque craterlet n'était pas net, l'étalement de lumière s'observait au delà du bord de cratère. 

    Ce n'était un problème optique mais une situation de variation de lumière autour en raison de la nature du sol lunaire. La brillance du sol au delà du contour de craterlet  est très forte, c'est constitutif de la réflectivité du sol.

    Le système double n'était pas résolu mais présentait une forme claire allongée au gré de l'agitation atmosphérique, avec 133-160x.

    En considérant, les dimensions de chaque craterlet (2kms +/-) et de l'ouverture mis en jeu, 102mm, les conditions s'opèrent dans une résolution à obtenir inférieure ou similaire à une capacité théorique d'une 102mm.

    Craterlet 1,2" pour 1,15" d'une 102mm. En réalité +/- 2" pour le craterlet (en considérant et incluant la dimension de zone de brillance autour du craterlet, à la pleine lune) au regard des 1,15".

    Il y a un monde avec l'observation de platon dans une 3", proche du terminateur, 1 jour après. Résolution théorique 1,5". En raison du contraste, avec un contour de craterlet défini avec 200x, turbulence faible.

    Avec un tube plus résolvant dans les mêmes conditions qu'hier, 150mm par exemple, on pourrait observer le contour du craterlet, la brillance du fond et la zone de brillance autour du craterlet. Le voir dans ces conditions peut montrer une capabilité instrumentale avec un caractère résolvant .

    Cependant avec les conditions d'hier il n'y aurait eu lieu que des images 4-5/10 seulement, insuffisantes.

    Plutôt qu'un filtre semi-apo, je testerais avec un filtre double polariseur. Faire tourner le filtre double pour réduire les surbrillances et régler l'un des filtres pour ajuster l'éclairement rétinien. Cà doit le faire comme çà.

    On observera avec le grossissement optimal du moment selon la turbulence et on aura l'éclairement rétinien qui convient.

    Je peux tester encore ce soir avec la 127apo pour comparer, la turbulence ferait une dégradation similaire sur les images, je n'ai plus de 150mm.

    Mes 2 sous.

     

     

     


  4. Même le MV lumicon qui coupe vers 415-420nm jaunit un peu les images.

    Quelle importance, c'est le data qui compte.

    Et aussi ce même data au travers de filtres passe bande par couleur, les telluriques entre autres.

    Le critère d'arnulf n'est qu'une approche générale, il reste un grossissement optimal selon l'objet en cause pour une pleine adaptation des capacités oculaires personnelles, variable d'un observateur à l'autre.

    Il y eut déjà un forum sur ce point il y a quelques mois ici pour sensibiliser.


  5. N'en faisons pas une montagne, sans vouloir faire de pub des loisirs plaisir, promo optique, m42optic restent des gens sérieux et fiables avec du discount.

    Le matériel est strictement le même.

    Même pour acheter directement chez les chinois et japonais en ligne.

    L'objectif dkd est bien arrivé...moins cher que l'istar et c'est la même chose.

    Vous avez le bulletin de contrôle si vous l'avez demandé.

    • J'aime 1

  6. Le 15/04/2022 à 11:47, zirkel 2 a dit :

    J'arrête là mon intervention, ça me saoule de lire des trucs pareils où on te fait comprendre que tu ne sais pas lire une image et que tu racontes n'importe quoi...

    C'est surement peu de chose quand on lit quelque chose pour vénus en pensant la lune.

    On pourra passer tout le temps choisi sur la lune avec et sans filtre semi apo avec de la turbulence plus ou moins, avec un tube avec des aberrations que l'on ne connait pas et puis conclure. Effectivement c'est du...

    Arrêtons ici. Pour trouver selon myriam un craterlet avec 20% de contraste sans filtre, disons 18%  sans turbulence et sans aberrations pour y voir ce détail de dimension similaire à une limite de résolution définie pour étoiles doubles. 

    Avec turbulence et aberrations résiduelles c'est encore amoindri en contraste.

    Il reste les trous de turbulence...

    Les 2 craterlets centraux de platon sont bien visibles dans une 3" unitron et loin du terminateur.

    Il y a 18 heures, lyl a dit :

    et la Lune est le plus facile des objets pourtant.

    central_obstruction0.PNG

    Ces courbes sont intéressantes sur le papier, elles s'appliquent pour des ouvertures parfaites sauf l'effet obstruction. Il faudra combiner avec les effets en addition des aberrations, le sphérique déjà et puis le niveau de turbulence. En les ayant combiné, ces courbes sont bien dégradées.

    Ce n'est qu'une évaluation sur le papier et cela ne représentera qu'une limite plafond. Faut payer très cher pour s'en rapprocher étroitement.

    Le bright low contrast detail est une affaire conventionnelle quelque part et ces caractéristiques données sont "standard", en fait cela dépend aussi de capacités propres d'observateurs.

    En prenant ce critère il n'y aurait qu'assez peu de choses rapportées et sans doute pas de craterlets vus dans une 102 achromatique voir semi apo.

    Je le prends comme base de comparaison de caractère relatif.

     

    Mais au global, le sujet initial était bien la qualité sur les images observées avec un achromat de 102mmF11.

    Et ces courbes données plus haut y répondent? non.

    Est-ce que 53 micro couches filtrantes pour réaliser un filtre trichrome semi apo n'amoindrissent pas le contraste et augmente un peu l'étalement du détail? Ma réponse est oui, cela dégrade comme décrit plus haut sur les images de vénus.

    Ceci dit je ne vois aucun intérêt pour l'usage d'un tel filtre avec l'usage d'un achromat normal.

     

     


  7. Le 12/04/2022 à 08:23, babar001 a dit :

    Et d'accord aussi avec Gitod, un filtre "antichromatisme" va améliorer le "ressenti" de l'image mais ne va pas faire apparaîre de nouveaux détails.

    Donc à faible ou moyen grossissement pourquoi pas.

    C'est plus que cela, l'effet du filtre semi apo est qu'il attenue les contrastes voir les éteint.

    Les tests sur la lune ne sont que des impressions sur des objets de contraste proche du 1:1, entre les aberrations résiduelles, le seeing et l'observateur.

    Passez à par exemple à venus, une bonne 100mm, même 80mm, doit montrer les bandes nuageuses, sans filtre, et en plein jour. Il suffira d'insérer le filtre semi apo pour se convaincre de sa pseudo utilité. Les bandes nuageuses apparaissent encore par endroits, les zones plus contrastées, voir les trouver éteintes complètement selon le moment. Les contrastes sont inférieurs à 5%, plutôt 1 ou 2% en moyenne.

    L'aberration sphérique résiduelle peut s'évaluer sur un simple star test ou même un ronchi. Avec un L/4 de sphéricité on a en présence un tube qui est similaire à un tube avec 32% d'obstruction et sa perte de contraste résultante.

    L/8 c'est très peu marquant.

    Le simple test sur le ciel permet aussi d'avoir une idée de la rugosité des surfaces optiques, avec un facteur dégradant en contraste.

    En prenant pour exemple une 102 vixen, on a en présence un tube avec sphéricité négligeable et avec rugosité optique plutôt faible. Un test de filtre semi apo avec ce style tube reste bien net. Aberration sphérique et rugosité ont tendance a amplifier l'effet de turbulence, d'où les impressions observées.

    Sur vénus, ces tubes avec les défauts décrits montrent assez rarement les bandes nuageuses.

    Le chromacor n'est qu'un panacée, pour l'avoir eu sur une 152-990. Cela fonctionne, les images sont aussi colorées un poil mais il faut considérer les tolérances de montage qui sont très pointues, pas plus de 0.05mm de dé-coaxialité et 0.5mm de position sur l'axe optique. Il faut que la mécanique de map soit très précise et le tube stable en réglage.

    Au global en comparant un istar 150F10 et cette 152-990 chrom, l'istar passe bien mieux en raison des surfaces optiques plus douces et presque 0 d'aberration sphérique.

    De plus sur les segments bleu, c'est mieux avec la F10. Sur les telluriques il faut observer dans les segments de couleur, B, G, R plutôt qu'en lumière blanche.

    Bref il vaut mieux investir dans une 102 F10 vixen à 900 balles, une istar 100F12 et quelques filtres colorés.

    Cela fera même un peu mieux que la 100ED pour la collection de données.

    Mes 2 sous sur le sujet.


  8. Cela ressemble à une petite société en défaut de paiement.

    Le fisc/ursaaf réclament leurs dus annuellement et mensuellement.

    On pourrait consulter le greffe du tribunal de commerce local et porter plainte aux autorités locales.

    Il a un numéro insee.

    Essayez de trouver tous les plaignants et faite une action de groupe.

    Probablement une affaire de surendettement, les plus dures à régler.

    Une cessation d'activité (vente sur le boncoin) peut faire penser à quelqu'un qui veut changer d'air, cad partir ailleurs en changeant de région.

    Bonne chance.

    PS: attention aux transactions de matériels d'occasion, c'est trop le foutoir en ce moment...


  9. Je crains que dans ce style filtre, le semi apo baader, il y ait des évolutions.

    C'est en gros un filtre trichrome qui coupe bien le bleu profond et le rouge profond.

    Qu'il y ait une légère décoloration, c'est encore une affaire de balance des blancs en visuel.

    J'en ai eu un des débuts utilisé sur bien des achromats, 150F6.6, F8, 102F10 vixen et F12 istar.

    Le bilan de tout ces tests sur planètes a été que ce style de filtre interférentiel amoindrissait la lisibilité des petits détails, le blurring des anglais, et avec une petite décoloration jaune paille.

    Ce qui fait que je ne l'ai plus utilisé, même sur une istar 150F10, vendue.

    Dans la turbulence, c'était trop manifeste.

    Sur ces achromats ce qui donne selon mes vues, c'est le lumicon MV, tous les filtres colorés teintés dans la masse style lumicon, les luminances et surtout le L3 astronomik, les sloan pour photométrie.

    Mais avec 102mm aucun filtre sur la vixen et l'istar, même avec la celestron omni, la vision des petits détails reste préservée sans filtre semi-apo, y compris dans la turbulence.

    Les filtres colorés permettent une étude des atmosphères en cause, rien à voir avec une recherche simple de lisibilité.

    Quand on s'intéresse à uranus avec 150mm, ce filtre est à rester rangé dans son tiroir...

    Maintenant les productions récentes peuvent gommer ce qui a été décrit.

    Superbe ces filtres interférentiels, mais quand on considère dans une couleur que les points images et leur contraste sont le fait aussi de déphasage de l'onde reçue, il y a une introduction de celui du filtre selon les couleurs reçues.

    Bref ce n'est pas qu'un transmetteur de lumière simple selon les couleurs. Combien de couches déposées, une cinquantaine.

     

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  10. Ce que l'on retrouve encore sur ces images ce sont ces indications surlignées avec un trait épais noir.

    Une zone prononcée localisée qui n'est pas confirmée par ce ronchigramme en parallèle.

     

    Capture1.jpg.c16933b2d8f333c68c70c0ecfb611924c.jpg.6b13f08cce84d21a0dd659e3e8446511.jpg

     

    Par contre cette diffusion de lumière sur le bord est bien en correspondance.

    Une chose à vérifier: l'offset de l'étoile utilisée est bien au centre optique?

    Je vérifierait bien sur le ciel s'il y a les mêmes observations pour des indications de première grandeur notées au roddier.

    Un ronchi, le grid coupe bien perpendiculaire le défaut,

    la lame de couteau au foyer de l'instrument, une absence ou un renforcement de lumière sur la zone,

    et le star test, la diffusion de lumière sur le bord intra extra et à la map. 

    C'est quoi vos impressions déjà sur des images observées à l'oculaire?

     


  11. Je suppose que ces développements représentent physiquement une quantification de l'évolution de la dégradation du signal, mais en considérant une longueur d'onde définie seulement.

    Sur un large spectre de fréquence (400-700nm) c'est surement à discuter, déjà pour un roddier aussi.

    Déjà qu'avec une image de diffraction d'une étoile quotée 4/5 selon danjon il y a une perte de contraste de 20% sur le contraste et qu'au delà cette perte arrive rapidement à 80% et plus pour y observer parfois une inversion des contrastes (blanc devient noir et vice versa). 4/5 c'est déjà un déphasage de 1/4 d'onde.

    Dans quel but sont réalisés ces études? La reconstitution du signal? Mais alors il faudrait trier dur chaque "frame" et qui possède une déformation propre aléatoire.

    En clair, un I devient un Z, un 0 non fermé, un epsilon, ...etc. En stackant, il restera un I?

    Quand il y aura ce I disons plus grand que 3 fois la résolution de l'optique c'est probable.

    Mais quand il y aura 1 fois la résolution de l'optique et moins pour ce I, qu'en sera t'il au bout?

    Je prends cette illustration pour les planètes (en analogique) mais ce n'est peut être pas la finalité.

     

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  12. Les tests sur un tube pas seulement collimaté mais aussi aligné, c'était dit.

    Il ne faut pas imaginer que le primaire est forcément centré, disons que ce n'est que dans une tolérance du design.

    Pour ramener sur le centre il suffit de tourner le primaire, mais seulement si un défaut est flagrant. 

    Sur le tube de david g, ce n'est pas flagrant.

    Le juge de paix reste le test sur le ciel, la forme du disque d'airy et le centrage du 1er anneau de diffraction avec une intensité égale tout autour de cet anneau, quand c'est ajustement parfait.

    Le design SC est assez tolérant quand même. C'est ce qui fait son succès quand primaire et secondaire ont la bonne forme géométrique, pris individuellement. Le ménisque doit rester standard en forme.

    A quoi sert le visuel, même sur un 235 ou un 355. Le roddier c'est pour se poser des problèmes mais aussi pour semi quantifier une optique globale, tout au moins en avoir une idée de qualité, quand c'est mesuré en application.

    Le passage obligé reste ces tests visuels au préalable.

    Je réside dans une banlieue parisienne et malgré tout même avec un 305 SC il y a au zénith des soirs une vision du disque d'airy et du 1er anneau, sur un moment, certes, mais il y a, pour se faire une idée fondée.

     

     


  13. Il reste le ciel pour s'assurer d'un minimum.

    A fort grossissement, 300x par exemple, l'examen de la figure intra et extra montrera déjà

    - l'absence ou non de cette lumière diffuse montrée par le roddier, et puis selon le seeing le disque d'airy et son premier anneau de diffraction, sa forme, son intensité,

    - avec le ronchi (10lp/mm au moins) s'assurer de la présence ou non d'un effet de bord (par une incurvation des franges de ronchi sur l'extérieur),

    - avec fort grossissement encore la forme des images intra et extra, pour voir s'il y a un aspect elliptique ou non, l'astigmatisme.

    Une fois réalisé, le test roddier pourra être affiné avec des certitudes.

    Tout çà sur un tube aligné et collimaté.

    Bons ciels.

     


  14. Pour ce winroddier de david g, pourquoi ce n'est pas effectué sur le ciel?

    Avec un filtre vert ou rouge.

    Avec un temps d'équilibrage thermique supérieur à 1H,

    L'échantillonnage n'est pas connu, ni la caméra de prise de vue.

    Ce qui est notable, c'est cette figure à 2 lignes parallèle sur le haut de l'image et puis cette diffusion de lumière tout autour de ces images intra extra qui amoindrie le contraste.

    Les 2 lignes: stabilisation thermique,

    La diffusion de lumière: quelque part des reflets parasites voir un manque de correction de bord, relevé, rabattu, et le rms rugueux.

    En tout état de cause, les tests seraient plutôt à reprendre pour se conforter, sur le ciel.

    Mais déjà, avec un fort grossissement en visuel, qu'est-ce çà donne et avec un ronchi? L/8-9 c'est irréaliste, le rms aussi.

    Ce n'est pas un 2m aussi pour tester.

    Mes 2 peanuts.


  15. Ca ressemble à une interférence électrique parasite de basse fréquence, une liaison wifi perturbée. Je regarderais de ce côté là.

    J'ai connu des interférences sur la liaison wifi avec quelqu'un qui voulait la prendre sur l'evscope.

    Les evscopes sont multicanaux 2.4GHz. J'essayerais plusieurs tablettes sur le même scope et voir si toutes les liaisons restent perturbées de la même façon, chaque tablette prends un canal différent.


  16. Ayant démonté la partie arrière avec son miroir, je n'ai pas vu de graisse sur le plastique. Quant au mien la map est fluide en été et assez dure en hiver avec un hystérésis, de sorte qu'au bout d'une minute la map effectuée dérive et il faut retoucher. C'est bien visible avec le masque de batinov. La mécanique a ses limites.

    Quand c'est parfait, autant que le masque permet de le voir, cela tient toute la nuit et pour d'autres.


  17. Déjà en comparant la prise vue de comètes (110P par exemple de m15.7) l'image émerge plus facilement depuis cette mise à jour de version du scope.

    Donc je pense que l'acquisition est plus sensible rendue par l'upgrade de version du scope.

    Maintenant le miroir est nettoyé, à voir si cet effet de map disparait. A suivre.


  18. Bonjour,

    Il y a un problème de map surement.

    Le système de map présente un hystérésis de sorte que sur la tablette c'est parfait et puis au bout d'une minute une petite dérive apparait. Il faut compenser un poil et ca revient à la map.

    Par contre, j'ai la version 1.5 (256) et il y a un problème concernant les fichiers.

    C'est parfait à l'écran de l'ipad, puis transféré sur le pc win10, il semblerait que la map ne soit pas trop bonne.

    C'est informatique (png-->jpg). Et effectivement avec la version 1.4 c'était insignifiant en effet.

    Quand aura t'on ces images sous format fit?

    Même la lecture des fichiers png avec un lecteur simple est moins bonne sous win10.

    Ou alors avec les versions récentes le capteur prends plus bas, cad tout. L'effet est plus marqué avec un ciel moyen, pollué et turbulence forte. Je suis ici dans le sud avec un ciel bien noir et c'est moins marqué.

    Quelqu'un a une idée pour résoudre?


  19. Bonjour,

    Je viens de nettoyer le primaire de l'evscope.

    Démontage très facile en repérant le support de miroir.

    Un coup de blaireau avec poils de chat, très doux, pour enlever les poussières de surface.

    Un coup d'acétone avec du mouchoir lotus (le plus doux) sur la surface, mouchoir bien imbibé pour la première passe, puis légèrement imbibé pour enlever quelques auréoles restantes sans appuyer sur la surface.

    Résultat: la surface est bien dégraissée, nette, sans aucune micro-rayure.

    Remontage en 2 minutes en tenant compte du repérage initial.

    Total: 10minutes et nettoyage après 2 ans d'usage fréquent.

    C'est une opération très simple.

    Pour l'équipage mobile support de mirroir il faut faire confiance au système des ressorts et ne pas forcer sur le support qui reste du plastique. Avec le grand froid la molette de mise au point devient dure et relâchée à 20°C.

    On pourra faire tourner l'evscope avec le chargeur en cas de défaillance batterie, ce n'est pas critique.