gitod

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Messages posté(e)s par gitod


  1. Il y a 3 heures, ClaudeS a dit :

    Par contre, tous ceux qui parlent d'APO LIKE avec un réflecteur obstrué à 30% par rapport à une lunette APO, c'est un peu du bobard. Il n'y a qu'à comparer les taches de diffraction. Une premier anneau détectable par faible turbulence dans la lunette, plusieurs dans le maksutov obstrué à 30%. Rien à voir. Ce n'est pas comparable en pureté d'image sur une étoile brillante. Par contre, la tache centrale est nettement plus petite dans le mak à fort grossissement. Cela se voit déjà entre 152mm et 200mm. Donc, le diamètre en priorité une nouvelle fois.

    il va falloir revoir ton logiciel jm.....

    Cela dépendra aussi du strehl réel du scope en jeu.

    Pour en avoir une idée plus précise, JLD a fait un forum la dessus avec le test en rapport, forum qui est top.

    Un C8 avec un strehl élevé avec mieux que L/6, çà existe, va renverser bien des propos.

    Dans ces échanges, il manque le strehl réel du scope admiré.

    C'est vrai qu'une apo de 1OO peut faire mieux qu'un réflecteur cul de bouteille. de 300 sur planètes.

    Pour pousser le bouchon plus loin.

    Pour ce forum les SCT d'aujourd'hui n'ont strictement rien à voir avec ceux d'il y a 15-20ans. Ils sont à maturité.

    Une apo, très bien mais à quels prix? Tout vient de chine de toutes façons pour tirer ce prix. Et ils font du top aussi et bien entendu, aujourd'hui.

    Même en achromats.

    Faut bien cibler ce que l'on veut faire surtout, et surtout aussi connaitre son site.

    Il n'y a que le sct pour tout faire, un newton court aussi, pour une vue moyenne.

    Faut bien commencer avec une 3" pour s'affuter la vue, d'abord!

    A diamètre égal et strehl confortable tout se vaut avec images fixes, le contraste diffère juste un peu, dans la turbulence cela devient sélectif même pour un réfracteur.

    Quand on en a eu une cinquantaine à l'oculaire...


  2. Heureux possesseur de cette lunette aussi, je rejoins les impressions générales rapportées.

    La comparaison avec d'autres scopes peut être assez hasardeuse voir auto suggestive, l'ouverture de 150 permet déjà l'accès à bien des choses planétaires, les telluriques entre autres, suffisante pour ma part. Il y a très souvent dans cette turbulence une composante microturbulence souvent liée aux chauffages urbains, subtile mais destructrice. Un C9 devrait montrer bien plus avec 0 turbulence.

    Encke dans cette 150 ou autre est illusoire, le meade 305 semblait la montrer avec belles images, à la limite de perception et problématique, quant à 250....

    Par contre la version upgradée avec le feather touch est important pour une map fine et rapide. On peut y apprécier l'évolution du contraste du détail sur un déplacement de 50µm, c'est précis.

    Son défaut, elle est lourde et le poids plus sur l'avant. L'eq6 est suffisant et ne tremble pas sur une map, y compris dans le vent léger.

    150mm c'est au moins 80% des évènements accessibles sur planètes.

    L'embuage du doublet reste peu observé, il faut une très forte humidité pour se trouver dans le problème.

    Globalement, bien conçue, elle donne tout ce qu'un 150 peut offrir.

    Je ne vois pas de liseret coloré autour de jupiter avec oculaires ed. Une pupille de sortie de 0.6mm est amplement suffisante, 0.5mm sur mars sans soucis, c'est à dire que l'on peut utiliser sur les optimum de vision avec cette lunette. Même 400x sur uranus pour y voir le pôle clair.

    Le segment de couleur bleu est bien supporté avec un bon strhl encore.

    • J'aime 2

  3. Tu nous amuse aussi, chacun de son côté de la barrière.

    Je vous laisse dans votre paradigme de bistroquet voir d'étable.

    Faut aussi nettoyer une étable pleine de ....au boulot fiocret.

    Délit de sale gueule cher mr?

    Il est bien inutile de relancer vos grivoiseries ici qui n'apportent rien et ce forum ferait bien d'être fermé par la modération.

    Je sors, fallait bien répondre avec le sourire encore.

     


  4. On ne va pas remettre le débat sur le tapis.

    Mais déjà sur ce même sujet, comment était pris ce style d'observation avec filtres: cela faisait hurler.

    Je dirais 10 ans minimum de perdu pour des méthodes très incomplètes, par juste un usage simple RGB, défini par des gens qui n'observaient pas ou tellement peu.

    User d'un filtre bleu comme çà, c'est bien, mais cela reste bien incomplet, il faut encadrer cette observation avec au moins un filtre de part et d'autre pour classer le type de nuage, et encore pour une classification.

    Quand il est évoqué une douzaine de filtres pour couvrir le spectre visible ce n'est pas une affirmation comme çà, c'est pour rechercher le point de brillance maximum qui ne se calque pas sur le système RGB le plus souvent, simpliste.

    Perso j'utilise des filtres colorés lumicon avec pour chaque filtre un numéro qui se conforme au système wratten de kodak, amplement utilisé par les anciens. Cela permet aussi d'assurer un prolongement avec le réalisé qui est immense pour certains (Dolfuss, de Vaucoleurs, Chamichel, etc...et à l'étranger comme Capen, Beisch, etc...Sato, Minami).

    C'est un réel biais pour ces études d'atmosphères martiennes avec des ouvertures moyennes.

    Les grands diamètres apportent sur les miro-évènements, aussi sur les macro-évènements, mais faut le site en rapport pour collecter très souvent.

    Chacun sa voie.

     


  5. Et avoir le planisphère de Mars en tête.

    Vous pouvez vous référer aussi au site de l'alpo us, il y a des papiers de Jeiff Beisch qui est un observateur très confirmé (50 années à l'oculaire), un ancien qui exprime mieux sur la théorie des images observées selon les couleurs. A chaque type de nuage une réponse particulière selon le pannel des couleurs, en situation normale. L'idéal est d'avoir une douzaine de filtres qui couvrent le spectre, du W47 au W29.

    Cependant parfois il y a un défaut de cohérence sur les interprétations.

    Comme en ce moment où les images dans le segment bleu montre un niveau de contraste plutôt fort, et en lumière violette une absence quasi totale de détail.

    L'atmosphère en ce moment est encore poussiéreuse et en lumière bleue il devrait y avoir un affaiblissements conséquent des contrastes, que l'on ne note pas.

    Globalement 120mm en ce moment permet d'aborder ce style d'étude jusqu'à 10" de disque. Après faut sortir l'armada des tubes dans un site correct et pouvoir pousser plus que 300x tous les soirs...

    Les situations atmosphériques sur Mars sont très changeantes et fugitives, plus qu'on ne pense.

    Jeter un oeil sur la couleur de Mars en ce moment, elle est jaune orange faible, une évolution effectuée en 1-2semaines, sur la couleur du disque martien à l'oculaire avec une pupille de sortie de 1mm+/-, même avec 0.6mm.

    C'est ce qui est passionnant sur Mars, toujours changeante et à y chercher une météorologie et ses grands traits.

    Bons ciels.

     

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  6. Le 09/11/2022 à 13:08, JML a dit :

    Je n'ai jamais été un fol admirateur de Mars, petit, peu contrasté, périodes de visibilité réduites...cependant, maintenant que j'observe depuis le Teïde, je redécouvre ma 120ed et j'observe de splendides détails sur les planètes Mars, Saturne et Jupiter ( et j'attends la livraison de la 150 !!! Oui, j'ai craqué et je vous raconterai ce qu'elle vaut selon moi ^_^)

    Hier donc, vers 22h00 TU, à à peine 17° de hauteur, Mars montrait déjà pas mal de détails. J'ai été impressionné par les dimensions de la calotte polaire qui n'était guerre plus qu'un gros point blanc lors de mes observations faites en Europe continentale. Là elle était large. La collerette sombre qui l'entoure était remarquablement contrastée, plus que toute autre formation sur le globe ( Je ne les ai pas identifiées).

    J'ai été surpris d'observer, proche de l'équateur sur les bords Est et ouest deux formations très claires. La première, qui semblait interrompue par le bord Est de la planète avait une forme à peu près semi-circulaire et nettement plus petite que la calotte polaire. La seconde, sur le bord Ouest, s'étendait en latitude et était nettement plus grande que la formation du bord Est. Ces deux "taches", blanches, étaient très bien visibles, moins immédiates cependant que la calotte polaire et sa corolle. Ai-je observé des nuages sur le bord ? Ils sont aussi faciles ?!

    Et vous ?

    J'ai aussi suivi mars ce 9 nov dernier et hier soir au CC154F12 et apo ed 102F7 pour comparer.

    Ce qui est intéressant à suivre ce sont ces nuages et brumes atmosphériques sur le disque de Mars, qui au passage a muté en couleur de fond du disque, passant d'un bel orange début nov. fin oct. à une couleur jaunâtre laiteuse orangée en ce moment.

    La couleur de Mars à l'oeil nu aussi a changé en rapport.

    Ces nuages et brumes sont bien visibles sans filtre mais difficiles à interpréter, mieux avec l'usage de filtres colorés, bleu W38A, jaune léger W8 et rouge W23A au moins. Le vert W56/58 apporte aussi.

    Ce que l'on peut noter sur ces derniers jours :

    - la calotte nord: une brume blanche en train de se déposer au sol, avec 2 condensations éclatantes, la brume (NPH) occulte les mare boreum et acidalium partiellement en amoindrissant leurs contrastes. Les tâches éclatantes sont probablement déjà le dépôt de matière sur la calotte nord (delta de l'équateur tourné vers nous 1°+/-).

    - la zone polaire sud: une brume légère subtile se montre sur mare australe et palinuri fretum, hellespontica depressio. C'est surtout avec le filtre bleu que cette brume se montre, moins avec le filtre rouge et jaune léger. Il ya probablement un mist, mixte de nuage blanc et de poussières. Sur le bassin de Hellas vu de couleur ocre sans filtre, et brillant encore avec tous les filtres. L'atmosphère y reste poussiéreuse, avec des condamnations bien visibles brillantes sur le limbe. Ces clartés s'estompent avec la rotation de Mars, ce ne sont que des réflexions de lumière aux point d'atmosphère dense chargée de poussières mais aussi de matières blanches. Toujours un mist présent.

    - sur l'équateur martien, sur le limbe et le terminateur des clartés sont notées avec tous les filtres colorés, surtout le 11 dernier, où un EBC est plus que soupçonné, le chemin de ce nuage ou brume circule sur Chryse et Xante. Ce qui semble nouveau c'est que cet EBC habituellement noté en lumière bleu s'opère aussi selon ces 3 couleurs d'observation, bleue, jaune léger et rouge. Ce qui permettrait de conclure à un mist, toujours un EBC.

    Ce qui corrobore aussi cette aspect de couleur globale de mars plutôt jaune, ou l'inverse. C'est cohérent.

    Voila ce que je peux dire de Mars sur ces mêmes dates, avec l'aide d'un CC154 100% achromatique et d'une ED 102.

    Alors votre 120ED, reste aussi à la hauteur pour ce Mars qui est de 16" de disque. La période reste difficile vu les contrastes amoindris des formations martiennes en ce moment, l'atmosphère reste globalement poussiéreuse. Restez observateur PAS spectateur.

    L''opiniâtreté paie à la longue même avec 120mm.

    https://alpo-j.sakura.ne.jp/kk22/m221109z.htm

    • J'aime 1

  7. Il y a 16 heures, Piotr Szut 2 a dit :

    Si je puis me permettre, il s'agit pas de rester entre soi, mais d’échanger avec des gens qui peu ou prou partagent une passion rare, le dessin céleste.

    A chacun ses motivations, ses envies, ses moyens et surtout ses limites.

    Que l'un se satisfasse d'une lunette de 10 cm, ou qu'un autre ait envie d'un télescope géant, quelle importance?

    Dans les siècles passés, le dessin était le seul moyen de garder la trace d'une observation, ce n'est plus le cas aujourd'hui.

    Cela donne aux observateurs le droit de faire ce qu'ils souhaitent.:D

    On  peut enregistrer les taches de Jupiter sur papier millimétré, ou faire une aquarelle du même sujet sans rien enlever au plaisir de contemplation.

    Si vous voulez faire de la Science, faite de la Science, mais si vous voulez convaincre qui que ce soit d'en faire autant, vous vous y prenez mal...

    Se contenter de 10cm soit mais à vous lire, le plus que curieux souhaite bien plus. S'il n'a pas les moyens, c'est dommage, surtout quand la motivation est bien présente.

    L'enregistrement sur papier millimétré, vous ne pouvez pas dire mieux, c'est que c'est dans un but précis et avec des méthodes...

    Chacun fait ce qu'il veut, bien sur, du vernissage entre autres, si çà fait que plaisir.

    Mais çà ne fait que du sur-place au final.

    Faire de la science, ok, mais pas en faisant du sur place.

    Vous pourrez tenter d'expliquer à une assemblée un intérêt particulier, qui s'en tape, vous pourrez toujours dire que l'on s'y prend mal.

    Faut faire un petit effort pour échanger, même si on ne veut pas partager d'autres vues. L'entre soi et ne pas déranger une poussière séculaire.

    Un instrument et un pékin derrière ne fait pas un observateur, juste un spectateur. Allez on zappe.

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  8. Dans le mille, c'est vite oublier qu'il y a 25-30ans on observait avec des dessins pour extraire quelques données, en amateur, en des commissions.

    Maintenant c'est pour se faire plaisir et passer souvent en marge de ce qui peut survenir, bref du vernissage, des impressions, du spectacle.

    Chacun son truc et avec modestie encore.

     

    Le 06/11/2022 à 18:57, Adamckiewicz a dit :

    si je comprend bien faut dessiner pour multiplier les data sur les qualités optiques et les artefacts des images numériques?????

    Encore rien compris.

    On peut aussi se permettre d'affirmer ce qui est déconnant quand c'est manifeste d'une donnée manifestement erronée.

    La supériorité de la race chevaline sur le bovin: à ne pas déranger et surtout à ne pas commenter.

    Quid de la considération de résultats de dessineux par le reste?

    Quant aux qualités optiques et bien oui c'est intervenant dans l'interprétation de données

    , vous en doutez, vu qu'on voit parfois un petit quelque chose dans l'oculaire...

     

    Le 06/11/2022 à 18:27, serge vieillard a dit :

    Pi franchement, un peu de modestie.... je ne pense pas que la "production" des suivis dessins planétaires de l'ALPO soient à l'origine de publications scientifiques notables

    Le dessin de vernissage non plus.

    On ne produit pas du dessin pour se faire remarquer aussi, et je me pose souvent la question du pourquoi de la référence qui ne se discute plus.

    Un exemple encore de la précédente opposition martienne, après la grande tempête de poussière, voir beaucoup la montrer avec un disque bien orangé alors qu'il était plutôt jaune et aussi avec du contraste comme s'il ne s'y passait rien. Pas de soucis l'acquisition cmos ne peut pas déconner. Déjà que la couleur de Mars à l'oeil nu était jaune, mais pas de contestation....

    Vous avez vu ici des publications notables...ailleurs oui, baa, alpo us et jap, italie.

    Pas de cohabitation possible.

    Désolé mais le dessin reste encore du journalisme en usant d'un diamètre qui va bien là où on se trouve (pour rebondir sur le titre du forum).


  9. sur le sc du lx 200 pas d'araignée.

    15° de rotation logiciel suffit très largement avec sharpcap (sans dérotateur mécanique).

    Le pb c'est l'apn pour empiler quelques centaines de frame, le cmos est bien plus pratique.

    L'intervenant possède un 250F5 goto dobson, et avec un réducteur correcteur de 0.7x et un cmos style 178asi ou autre çà le fera.

    Faut tester cà !

    Cela tourne bien aussi sur azgti et une ed102 F5.5 réducteur 0.8x.

    Il y a surement mieux mais il y a du résultat.

     


  10. Vous pourriez essayer sharpcap, en live view la dérotation est automatique.

    Avec le stack de plusieurs images de quelques seconde d'expo (4s par exemple) vous aurez un résultat stupéfiant avec 0 d'investissement.

    Avec une cam style asi (178 déjà) ce sera facile et un réducteur de focale.

     

    Le dérotateur de champs peut déraper aussi  sur des objets proches du méridien du lieu (+/-2H), à tester.

    C'était le cas avec le lx200 et dérotateur de champs.

     


  11. Le 04/11/2022 à 16:21, fred-burgeot a dit :

    Oui Pierre, déjà expérimenté ce genre d'atelier lors de rassemblements, où chacun dessine Jupiter en simultané à partir de l'AVI enregistré d'un imageur. Ca aide les débutants en dessin planétaire à dépasser l'autocensure et à oser poser sur le papier les détails vus à la limite. Ils réalisent aussi qu'à la fin si le dessin n'est pas "joli" c'est pas grave car il n'est pas la finalité, ce qui compte c'est d'avoir compris qu'on pouvait tirer des tas de détails d'images au départ jugées trop turbulentes et pas assez contrastées.

    Pour le dessin en remote je rigolais à peine, je préfère être à l'oculaire (Visuel Authentique :) ) mais dessiner une vidéo en live prise à distance c'est toujours mieux que de ne pas dessiner du tout à cause de la couverture nuageuse qu'on a à la maison. Imaginez Mars pour sa prochaine opposition périhélique, bien gros et bien haut dans le ciel de l'hémisphère sud, filmé dans un T600 installé dans un coin (Chili ou autre) avec bon seeing. Et le même Mars depuis chez nous au ras de l'horizon, bien gros aussi mais bien turbulent dans nos oculaires... ben je cracherais pas sur le film vidéo ! Au moins il permettrait de voir ce qu'il se passe sur Mars.

    Formation au dessin pourquoi pas, mais aussi dans quel but?

    Je dirais qu'en observant certaines hardiesses photographiques (déjà un lien plus haut), il y aurait lieu de voir la considération des photeux sur les obs. visuelles.

    Il y aurait beaucoup à dire.

    Sur l'exemple donné, dès que le chef de section (celui de britastro pour mars en l'occurence) a promulgué, c'est plié. 

    Il a obtenu mes commentaires, entre autres de doubler ces "rapports" par des obs visuelles déjà (lui étant un visuel de base...).

    Pas question de polémique ici mais plutôt de finalité et de considération de ce qui est produit.

    Pour espérer valider un rapport donné, il faudrait suivre de nuit en nuit ce qui se passe sur la dite Mars déjà, même le petit détail qu'on valide avec le planisphère du moment en mémoire. Ce ne sont pas la présence des détails qui en soient sont la cible, on sait qu'ils y sont, mais leur amoindrissement en contraste ou leur occultation par les nuages de différentes natures et selon la couleur d'observation.

    Pour avoir fait du VA sur planètes avec un cmos calé au 1/50s, attention aux interprétations hasardeuses parfois, cela introduit aussi des idées.

    Faut toujours comparer.

    600mm avec des images fixes, vaut mieux être au cul du tube, il y aura bien plus en observateur, pas en spectateur.


  12. il y a 14 minutes, Adamckiewicz a dit :
    il y a 16 minutes, gitod a dit :

    38% de CO

    On monte

    Et alors sur ces 150mm on se situe à ces niveaux. Le bosma a une optique précise, le sw est plus relatif sur ce point précis comme le bresser, qui ont déjà plus qu'un minimum requis.

    Vous savez ce que je pense de l'obstruction...

    Après avoir eu 

    les intes Mk67, 603, 615, CC gso, N150F8, N150F6 aries poli spéculaire, R150 achro F8, F10, apo F8 doublet F7 triplet, ce qui prime d'abord c'est la précision optique globale sur le tube, le reste à la marge.

    Sans oublier le chromacor.


  13. Je me lance encore.

    L'ioptron, un Bosma Ltd chinois, excellent, a 38% de CO.

    Concernant le rumak, un intes, si vous savez le régler à 100%, pas juste le secondaire, je pense que le CC peut être pour vous.

    Mêmes principes...

    RC ou autres, VC vixen par exemple aussi, pointu à obtenir.

    Il y a tant de notices fabriquant qui décrivent une méthode simple à la portée du moyen.

     

    En aparté, le C5 est un machin performant, léger, compact, excellent pour le sac à dos avec une AZGTI et une tablette pour piloter. Faudra se lever tôt, très tôt, pour trouver mieux avec polyvalence F10 ou F4 avec le réducteur astro owl de stararizona...