frgo84

dobson et planete

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bonsoir, j'ai l'intention d'acheter un dobson, mais je me demandais ce que ça valait pour regarder jupiter ou la lune; Merci

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Le diamètre, le diamètre !
Rien de tel pour les planètes
XT 12, SkyWatcher ou Kepler,
Même les chinois sont super

Bien sûr y a l'absence de suivi
Bien sûr il y a Takahashi
Et le champ de prédilection
Du dobson est le ciel profond

Mais cet instrument m'a conquis !
Ces petits 300 m'ont séduit
Ces bons rapports qualités prix
M'ont fait aimer l'astronomie...



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Oui comme l'a dit nervermore,
acheter un dobson c'est pas la mort,
me parlez pas de cul de bouteille,
car ces scopes font des merveilles !

Heureux possesseur d'un Kepler,
avec lequel je passe mes nuits entières,
je cultive ma passion,
en planétaire tout comme en ciel profond.

S'il est vrai que Saturne ou Mars à 600 fois,
vire parfois à la bérézina,
le diamètre dans ces cas-là,
nous offre contraste et grande joie.

Ô toi mon dobson adoré,
tu es un peu comme une maîtresse,
Avec toi c'est l'allégresse,
quand je redécouvre le ciel étoilé...


Mais vivement que je te foute une planche équatoriale dessous quand même !!! lol


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Mon Dobson je t'aime
Avec toi l'univers est la
Donc pas de dilemme
Le XT12 c'est le bon choix

L'extase face au ciel profond
Jupiter et Mars deviennent des merveilles
Mille euros c'est pas trop de pognons
Car mes nuits dorénavant je veille

Dobson mon amour
Lorsque je te prends dans mes bras
Qu'il n'y a plus de bruits alentours
Devant la Lune,profil bas!

Je te trompe dorénavant
Oh mon schmitt cassegrain
Car un gros 300
Ben c'est mieux je te te fais pas de dessein

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Mon Dobson je t'aime
Avec toi l'univers est la
Donc pas de dilemme
Le XT12 c'est le bon choix

L'extase face au ciel profond
Jupiter et Mars deviennent des merveilles
Mille euros c'est pas trop de pognons
Car mes nuits dorénavant je veille

Dobson mon amour
Lorsque je te prends dans mes bras
Qu'il n'y a plus de bruits alentours
Devant la Lune,profil bas!

Je te trompe dorénavant
Oh mon schmitt cassegrain
Car un gros 300
Ben c'est mieux je ne te fais pas de dessein

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Toi mon kéké, toi mon ple-pler
qui réfléchit pour mon bonheur,
les galaxies zé les crate(u)rs,
les zamas paaaaaaarfois globuleurs.

Si dans le coin, un détracteur
s'amuse d'un élan moqueur
à poster hèèèèè-ne zé rancoeur
à ton égaaaaaard, plein d'aigreur.

Je jure et ce, devant ma soeur
Foi d'astram fôaaaaa d'astrosurfeur,
Qu'il pass'ra un mauvais quart d'heure
Sur ce j'me fèèèèèè un jambon beurre.

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Avec mon cou j'ai fais la paix
depuis qu'mon pote : renvoi coudé,
sur mon dobson j'ai bricolé
et quick finder pour l'épauler

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lol...très fort ce post !

perso je n'ai aucun pb avec le chercheur : très accessible...

Mais cé vrai qu'avec un petit telrad en plus ça doit quand même le faire un peu mieux !

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Les budgets limités les dobson vont aimer;
Du cou ne souffriront qu'en rares occasions.
Les planèt' recherchées sans pein' seront trouvées
Grâce au Telrad, garçon, merci la précision!

Prends un bon oculair', si possible pas cher,
Mais ne tarde pas trop, et garde des euros,
Il n'y a pas que l'astro, ne sois pas un blaireau:
Regagne ta chaumièr', fais l'amour pas Nagler!

(Pas sur de ma métrique en 2-3 endroits...)

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Hooo, j'adore ce post ! Allez je me jette !

Ô toi mon Dobby
Quand mes bras t'ont tenu
Là dans ta boîte, neuf et nu
Mon coeur a pour la première fois frémis

Ô compagnon de mes nuits
Je t'ai monté patiemment
De ta base au haut firmament
Enchantant chacune de nos sorties

Tu n'as pas bronché
Dans les transports, les escaliers,
Dans les champs, la montagne et les allées,
Perdu dans les brumes, le froid, le givre et la rosée

Tu restes toujours fidèle
Baroudeur de nuits étoilées
A me montrer amas et merveilles
De ton doigts impérieux et éclairés

J'ai découvert avec toi
Ce qui m'étais inconnu, inaccessible
J'ai découvert en toi
Le prolongement de mes yeux perfectibles

Bien sûr, tu as besoin de moi
Pour te repaître de cette lumière
Cheminer par delà la voie des airs.
Tu me prêtes ton oeil, je te prête mon bras.

Toi mon Dobby
Nous avons su nous apprivoiser
Et c'est aujourd'hui en complète harmonie
Que nous râlons sur les nuages et la voûte polluée ...

Scrontoudjou, pas moyen d'être tranquille !
Vade retro
Satanée météo !
Reprends tes plics et tes plocs et retourne chez Murphy !!!

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Bon, vous n'êtes pas sectaires? Alors j'ose....:

Mon p'tit Newton
Cette nuit encor' m'étonne

Perché là haut sur la monture
Mon dos merci ne torture!

Dans l'Univers comme chez lui
La monture le conduit

Des merveilles il me donne
Cette nuit encor' m'étonne

A l'arrière de ma Clio
Maintenant fait dodo!

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Oups ! Dans ma précipitation
J'ai oublié de donner réponse !

Le cou est surtout mis à contribution
Quant au zénith, les objets accrochés à leur toile
Se font désirés de leur silhouette palpables.
Sinon, pas de problême pour la contemplation !

Nonchalemment assis sour la voûte étoilée
La balade n'a de nom que pour les zyeux écarquillés.

C'est la recherche qui est sportive !
Le dos voûté, la nuque tendue dans l'effort
Les jambes arquées, le souffle court, tube à bras le corps
Mettent à mal patience et motivation effective.

( Mais je ne vous parlerais pas des jumelles
Car là l'exploit est de prime ! )

Heureusement comme il a été dit
Sir renvoi coudé peut-être un bon compromis !

Mais en général, le zénith est délaissé
Pour les contrées voisines largement habitées.

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('me mets à la place de Frgo84 : "mais qui sont ces aluminés ??).

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Bien sûr mon autruchon,
ramène ton 'ti newton
et si j'chope des boutons,
c'est à cause du poisson.

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Question tu t'es posé de savoir si vraiment
Sélénite d'un soir, voyeur du firmament
Partagé à jamais dans ta visée nocturne,
Tu ne deviendrais pas à ce point dépendant
Que du ciel ne pourrait décoller ta rétine
De l'objet convoité si brillant dans l'éther
Pour toujours déchiré, la Lune ou Jupiter?

Lunette ou dobsinnet,rapport,longueur focale,
Grand angle ou plus réduit tu dois t'interroger
Car dépense souvent devient question vénale
A te tordre le cou, voire à dissimuler
Si l’argent du ménage malheur a ponctionné.
Mais elle ne doit jamais migrer question pénale
La lune pour longtemps d’ailleurs te priverait.

Point de Lune et rancœurs, ô funestes soirées
Souvent perdant à pique, toujours coupante à cœur
Et de perdre la Lune sans gagner Jupiter
Tu pourras regretter, tenter d’offrir des fleurs
Mais la pluie de tes larmes et ses foudres mêlées
Ne pourront te soustraire à la fureur divine
De Vénus à jamais à ses yeux attaché

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une autre contribution plus ancienne à la gloire du dobson

Plaisir solitaire

Chaque matin il me ravit sans fin.
Fier et dressé il dépasse des draps et, voyez-vous,
il ferait des jaloux si d’aventure il s’exhibait enfin. Mais il n’en est rien et une envie me prend,
vais-je le caresser de l’œil ou de la main.
Pour ne pas, inutile folie, remettre à la St Frusquin cet indicible émoi de le voir devant moi,
le regard ne détourne et me livre, ô joie, ce qui prend sens pour moi…. je polis le chinois.
Je lui parle à mi voix, lui susurre des mots, je lui dit « tu es beau », je l’appelle mon gros.
Il luit de mille feux, il est doux au toucher, c’est mon puits de lumière, plus tard je le verrai.
Quand séparé de lui, quelle triste journée, je le revois le soir, toujours prêt, toujours frais, me reprend cette envie de le sortir enfin.
Le manque est ma douleur, l’absence passagère,
il est temps à nouveau de zieuter vers la sphère.
La chose redevient altière et la vision céleste, je me délecte enfin de ce plaisir sans fin.
Mon Dobsinnet, tu es presque parfait et m’en vais obstiné, t’astiquer à plus souhait.

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Ah ui,

je m'en souviens de celui-là. J'avais beaucoup aimé .

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au fait frgo84, tu n'aurais oublié un i?,
je plaisante bien sûr, j'espère que tu ne t'offusques pas de nos délires.

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