yapo

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Tout ce qui a été posté par yapo

  1. Visuel assisté, Observation, Vocabulaire

    La CCD rétine recueille la lumière (avec un peu d'accumulation et de prétraitement) dans des pixels cônes et bâtonnets et la transforme en message électrique, signaux transmis par le câble USB nerf optique jusqu'à la carte mère au cerveau où il est traité par les programmes informatiques neurones. On peut sauvegarder conserver l'image sur disque dur en mémoire plus ou moins longtemps (ça dépend de l'espace mémoire du taux d'acétylcholine, de PKR et de dopamine). Vous voyez bien qu'en poussant l'analyse, tout fonctionne sur les mêmes principes, alors je propose qu'on débaptise l'observation visuelle et qu'on parle tous de VA (ou d'imagerie, faut choisir, ah merde, je pensais aboutir à un consensus...).
  2. [VA] explorations estivales

    Tu parles de celui qui va observer les nuages en marchant une heure avec 20kg sur le dos ? Si oui, c'est le même.
  3. [VA] explorations estivales

    oui, j'ai vu après coup que c'était extra-galactique car on aurait dit une étoile faible à l'oculaire. Effectivement, c'est entre 17.7 en Gmag et 17.1 en Rmag dans la photométrie Panstarrs, soit à peu près 17.4 en visuel. Peut-être une supernova (?) parce qu'habituellement je culmine sous les 17 en magnitude visuelle (non-assistée). Tu vas être assez déçu je pense.
  4. [VA] explorations estivales

    Tu en as quel usage de la température du coup? Comme le SQM commercial indique aussi la température, Serge sait s'il doit avoir froid ou chaud !
  5. [VA] explorations estivales

    Alors attention, l'improbabilité de la tachouille, ça se travaille à temps complet, faut sélectionner avec des critères bien obscurs pour "faire croire" au choix hasardeux. Moi c'est des vitesses radiales concordantes, des effets de marées quasi-invisibles, une appartenance à un catalogue spécifique (FGC, Arp, VV, Seyfert, etc.), des rapprochements angulaires serrés, des appellations ne contenant -si possible- ni M, ni N, ni G, ni C, etc...
  6. [VA] explorations estivales

    T'inquiète j'ai quand même déconné (Bertrand va pas être content, j'ai honte), il y aura 2-3 dessins de comètes à cause du post de Serge qui m'a incité à la comparaison
  7. [VA] explorations estivales

    Nul doute que tu ne réussisses à lui sortir son aspect dumbell-esque. Je croyais qu'elle faisait partie de ces objets qui dépendent de la turbulence, mais j'ai l'impression que sa structure externe est bien plus aisée (malgré la faiblesse) à analyser que l'interne (qui doit se complexifier proportionnellement à la turbulence donc c'est un cercle vicieux). oui, un bon titre c'est important. J'avais pas trop réagit à l'époque de l'émergence du sous-forum à côté (mais j'aurais du davantage) et pour le coup, Bruno a complètement raison même si on peut juger cela accessoire, c'est quand même bien perturbant pour un débutant. oui, c'est davantage mon frère qui m'y a poussé pour le plaisir de bricoler de l'électronique/informatique. Maintenant qu'il est retraité, je vais l'orienter vers une version cheap de push to (qui me sera d'aussi peu d'utilité que le SQM je pense, mais c'est à voir pour pointer rapidement une zone du ciel peu fréquentée). Bien d'accord avec toi, je fais attention sur mes daaos quand je couvre une zone où je n'ai pas dessiné toutes les étoiles de corréler ça avec des données de magnitude visuelle précise cataloguées et pas la "taille" des étoiles sur une image.
  8. [VA] explorations estivales

    C'est déjà le bordel sémantique, si on y rajoute des jugements de valeurs, ça va tourner à la guerilla...
  9. [VA] explorations estivales

    La nuit du 26 au 27 juillet commence sous un ciel complètement dégagé, mais des éclairs côté italien illuminent sporadiquement le ciel nocturne. Cela n'affecte bizarrement pas le SQM bricolé, par contre les éclairs perturbent un peu l'observation. Progressivement pendant la session, ce phénomène va gagner en intensité jusqu'à atteindre un degré jamais vu pour ma part (les italiens sous les orages ont dû passer un sale quart d'heure) : vraiment une ambiance stroboscopique de boite de nuit. Le phénomène va devenir insupportable même à l'oculaire puisque le voile nuageux s'épaississant (nebbia), la nuit va s'interrompre… Elle débute pourtant bien avec Messier 20 que je ne vous montre pas pour l'heure (vous aurez les gribouillages un peu plus tard car j'y ai passé 2-3 débuts de nuits, la nébuleuse se couchant rapidement sur l'horizon sur-élevé des mes montagnes au Sud). Et ensuite, je bascule du côté obscur avec PK 25-11.1 (Abell 60), nébuleuse planétaire dans le Sagittaire : extrêmement faible, homogène, invisible sans filtre (NPB, OIII). PK 25-11.1, T445x182, OIII Ensuite, me croyant lancé dans une frénésie d'exotisme, j'ai pointé la galaxie de Seyfert PGC 89173. A près de 800 millions d'années-lumière, c'est une faible tache homogène un peu allongée tout contre une étoile. Bizarre que son noyau apparenté quasar n'ait pas émergé de la zone centrale… Je n'ai sans doute pas été assez attentif, ou bien la nebbia envahissant la voûte céleste l'a noyé dans la masse. PGC 89173, T445x223 Le ciel se dégradant de plus en plus, ma frénésie éteinte, j'ai plié bagage assez tôt (00h30TU).
  10. [VA] explorations estivales

    Mon frangin m'a bricolé un SQM maison à base de TSL-237 que j'ai un peu essayé sous le ciel du Queyras, histoire d'avoir une référence correcte. Avec des intégrations de 20 secondes le 26 juillet au soir, le ciel d'une nuit correcte après le crépuscule astronomique et sans lune tournait autour de 9 à 10 unités en visant le zénith à 21h15TU (la correspondance en mag.sec.^2 reste à contrôler et affiner); on obtient 613u avec le soleil à 9° sous l'horizon à 20h00TU (crépuscule avancé, 82u dans le crépuscule nautique à 20h20TU. En passant ma tête légèrement éclairée par un lampadaire lointain à travers les mélèzes, cela monte vite à 113u. Et bien sûr, en passant la main entre le ciel et l'objectif, on descend à 2u voire 0 si l'on obstrue complètement la vitre. Les subtiles différences de qualité des nuits sur le séjour (d'après mon estimation pifométrique) n'apportent cependant pas de variations au compteur, donc on approche des limites du système (certainement une optique pas optimisée). Je vais tester en région parisienne pour avoir des données à l'autre bout du spectre de pollution lumineuse…
  11. [VA] explorations estivales

    Nuit du 24 au 25 juillet Je commence en douceur par un objet brillant, NGC 6210, la nébuleuse de la Tortue. Je n'avais pas assez prêté attention aux "pattes" jusqu'à présent, obnubilé par une recherche de détails plus internes. Elles sont finalement presque faciles quand on les cherche. NGC 6210, T445x364, OIII Ensuite, un petit groupe de galaxies (11) réparties en chaîne assez longue (33' Est-Ouest).Pas vraiment de détail, mais une mosaique en DAAO sera spectaculaire. De NGC 6261 à NGC 6272, à 125x pour la vue d'ensemble, huit galaxies sont accessibles. Il faut grossir davantage pour les plus faibles, mais elles sont toutes physiquement liées dans le même amas de galaxies (ZwCl 1701.4+2830). ZwCl 1701.4+2830, T445x125-286 ZwCl 1701.4+2830, T445x125-286 Un couple atypique ensuite : l'amas ouvert NGC 6846 et la nébuleuse planétaire PK 68+1.1 (K4-41). Alors bon, l'amas est partiellement nébuleux et la nébuleuse reste stellaire, mais les filtres OIII ou NPB mettent bien en évidence cette dernière. Rapprochement ici apparent car les distances ne correspondent pas. Truc étrange, une étoile figurant sur l'image de référence dont il m'arrive de me servir sur le terrain pour voir si il n'y pas qqchose qui m'échappe n'était pas visible (indiqué sur le croquis). Elle est très rouge sur les images, mais je ne comprends pas bien pourquoi elle m'a échappé. NGC 6846 & PK 68+1.1, T445x286 avec et sans OIII Au chercheur 12x50, j'ai remarqué lors de la recherche un large groupe stellaire de type astérisme autour de NGC 6813 (une petite nébuleuse que j'ai déjà dessinée) : il s'agit d'ASCC 105 d'après les listes de référence. J'ai terminé par le groupe réel de galaxies NGC 7273, 7274 et 7276 (avec UGC 12013 non loin). Le trio principal est assez bien aligné, mais hormis leur noyau prépondérant, les membres du groupe ne montrent que des variétés de formes et d'orientation subtiles, sans autre détail. LDCE 1520, T445x182 L'aube astronomique pointe le bout de son nez alors j'arrête là.
  12. Je pars du principe que c'est pour du Va (visuel authentique) parce que comme on a tendance à confondre actuellement… Lorsque j'ai eu l'occasion de me servir d'un Meade 2080 (analogue au C8) pendant 1 ou 2 ans, j'utilisais un Ultima de 23mm (éminemment confortable, 87x, champ moyen), un Meade Achromatic de 25mm (étroit et pas très bon), un Celestron Plössl de 40mm (sensation semblable à ce que tu décris du tien), un Meade SWA de 13.8mm (très bon avec son grand champ et son grossissement moyen, 145x, excellent sur les galaxies et petits objets) et éventuellement un super plössl de 6.4mm (310x, pour grossir encore plus). Si ton Eudiascopic te semble trop sombre, je ne sais quoi te conseiller sachant que personnellement, hormis pour les grands objets, je passais mon temps à 145x… Si tu n'as pas une grande expérience en visuel, je te conseille d'explorer à plus fort grossissement pour habituer ta vision et acquérir les réflexes de l'observateur visuel (authentique). Plutôt l'OIII. Ou bien un UHC (ou mieux, le NPB qui est un UHC bien sélectif, à commander aux USA chez DGM optics), un peu plus généraliste qui englobe le Hbeta. Je ne connais aucun observateur sérieux qui utilise des Optolong (mais je ne connais pas tout le monde…). Si, si, il y a un filtre adapté : le grossissement optimal. Qui s'optimise en fonction de la dimension du détail que tu recherches. (qui doit atteindre 1.5° de dimension apparente dans ton oculaire, voir l'explication longue ici).
  13. A ceux qui se sont déjà prêtés au jeu de la chasse aux nébuleuses sombres (j'en ai quelques unes à mon actif, mais je n'ai jamais cherché à en observer systématiquement depuis un bon bout de temps). Mon cahier des charges : je cherche un atlas ou mieux des cartes téléchargeables/imprimables (un truc léger) pour repérer les nébuleuses sombres (Barnard, Lynds, etc.) avec un T150/750 cet été. Le "léger" c'est pour emmener dans la montagne, histoire d'abaisser la ligne d'horizon de ma vallée alpine et accéder au Sagittaire et plus bas que ces nuages parsèment. Vu l'ouverture et le F/D de l'instrument, ce sera plutôt pour de grands objets et pas des globules de Bok, donc une échelle pas trop petite. L'Uranometria 2000 est bien (sans doute trop fourni d'aileurs) mais un peu lourd et il me faudrait les deux volumes. J'ai bien le Sky Atlas 2000.0 mais il va être limité je pense (je ne l'ai pas sous la main et je ne suis même pas sûr qu'il indique ces objets). J'ai également Guide 9 mais les NO sont des gros carrés (il n'y a pas la forme). J'ai pas allumé mon mac pour voir si Sky Safari est efficace de ce point de vue (surtout vis à vis des contours)... Bref, si vous connaissez un truc qui fasse le job, et plus particulièrement pour les nébuleuses sombres, je vous en dois une !
  14. atlas ou cartes - nuages obscurs

    Allez un petit retour sur la tentative avortée d'utilisation de l'IDSA en mode nomade. Je vous préviens direct : c'est un plantage total grâce à la météo. Donc j'ai chargé le T150 et toute le barda dans un sac à dos et c'est parti pour 1h de rando avec 20kg sur le dos. Bien sûr j'aurai pu faire plus léger parce qu'un tube plein et une monture équatoriale, c'est superfétatoire pour du visuel authentique. Mais comme j'aime bien les challenges physiques, je voulais savoir si j'allais tenir le coup. Et il n'y avait que 400m de dénivelé pour une arrivée à 2000m donc pas la montagne à boire tout de même. En parlant de boire, avec cette sécheresse 2022, les sentiers alpins sont sacrément poussiéreux comme je m'en rendrai compte au retour à la lampe frontale en marchant dans le nuage occasionné. 27°C à 20h ce 1er août à 1660m d'altitude, c'est complètement inhabituel. Réchauffement, quand tu nous tiens… Le ciel est assez dégagé même si quelques nuages parsèment le ciel. C'était pareil hier soir et la nuit a été magnifique, donc je pars confiant. Une heure plus tard, j'atteins l'objectif, un petit replat montagneux avec une plateforme bétonnée, vestige d'une époque où les versants exposés Sud étaient suffisamment enneigé pour justifier un télésiège et des pistes de ski… Ce nid d'aigle me procure une vue bien dégagée au Sud ce qui n'est pas le cas depuis le jardin dans la vallée. Je m'installe et bien sûr je constate que mes neurones sont en vacances : si j'ai bien emporté l'atlas et la tablette pour dessiner, j'ai oublié les outils de collimation et… les feuilles à dessin pour les nébuleuses obscures ! Gribouiller sur l'atlas tout neuf, ça va être compliqué d'autant qu'il n'y a pas beaucoup d'espaces blancs. Je n'ai pas trop le courage de refaire un aller-retour, même à vide alors que faire ? La plateforme et le télescope dans l'ombre sur la gauche. La recherche d'une solution s'estompe cependant devant l'inquiétude de nuages qui s'amoncellent. Il y a même des éclairs d'orages loin à l'Est vers l'Italie. Je ne crains pas trop l'arrivée de la pluie, mais les nuages grignotent inexorablement le ciel et vers 21h30 quand le ciel devient bien sombre, il ne reste plus que quelques infimes plages de ciel étoilé mais la zone qui m'intéressait (Sagittaire, Scorpion, Ecu, Aigle) ne se dévoile aucunement. Dépité, je remballe après une heure d'attente, de guerre lasse car c'est souvent bâché pour la nuit dans ces conditions. Bien sûr, après 30 minutes de descente, le ciel se dégage complètement… Dura Murphy's lex sed Murphy's lex! Il ne me restera plus qu'à finir la nuit dans le jardin avec le T450. Les conditions favorables ne se représenteront pas d'ici la fin de mon séjour alpin donc je referai certainement une tentative l'été prochain ou dès cet hiver si le réchauffement continue son entreprise de destruction du manteau neigeux. Je préfèrerais l'été prochain…
  15. Visuel assisté, Observation, Vocabulaire

    VA= vision assistée ? (Et on garde "visuel" juste pour la partie bio ?) Sinon, en mode terroriste, on pourrait utiliser l'abréviation VA pour visuel authentique, histoire de monter le niveau d'anarchie. et de poser des questions bien intéressantes du genre "la vision décalée est-elle utile en VA?" ou bien encore "en VA, le filtre Hbeta, avant ou après l'oculaire?"
  16. Visuel assisté, Observation, Vocabulaire

    Non, juste un peu dévalorisant (dans mon système de pensée et de mon point de vue, par forcément du tien ou celui des autres) ET parce que j'ai changé de vocabulaire de mon vivant (constaté avoir changé en tout cas). J'insinue que, si je comprends bien le "c'est malin ça", JL n'a pas effectué le changement de vocabulaire depuis nègre jusqu'à autre chose. Donc cet exemple n'illustre pas davantage mon propos. Sans doute me suis-je mal fait comprendre.
  17. Visuel assisté, Observation, Vocabulaire

    Alors mon exemple n'est effectivement pas bon puisqu'il ne parle qu'à moi. Sans doute n'as-tu jamais modifié ton vocabulaire et constaté son évolution (ou alors inconsciemment) et donc je ne pourrais pas trouver d'exemple qui te parle (je n'ose t'imaginer employer le mot nègre, si ?). Sinon, tout ça pour dire que des modifications de vocabulaire, c'est possible. Faut juste le vouloir et dans le cas cité par Bruno, ça pourrait éviter quelques quiproquos (sauf à fatiguer les puristes de continuellement demander de préciser).
  18. Visuel assisté, Observation, Vocabulaire

    Je pense n'avoir jamais employé le mot nègre de ma vie ( je n'étais pas né dans les années 60) et je suis sans doute passé de noir à black dans mon vocabulaire pour une personne de couleur, mais j'ai pris un exemple qui me parle personnellement et vous trouverez certainement votre propre exemple de termes que vous employiez à une époque, devenus politiquement incorrect (gros/personne en surpoids, handicapé-e/personne porteuse de handicap, etc.).
  19. Visuel assisté, Observation, Vocabulaire

    On a quand même assez rapidement remplacé dans le langage courant "aveugle" par "non-voyant", alors si il y a la volonté politique, on doit pouvoir le faire en moins d'une décennie. Sinon, on peut aussi parler de "visuel bio" ou "visuel durable" (c'est à la mode) en opposition à "visuel assisté/amplifié" (du coup on inverse la valeur). Charge à celui qui pose la question de bien spécifier le domaine concerné. Je crois que je vais utiliser dorénavant "visuel bio" dans mes croas, ça donne un sacré cachet. Bien sûr, je créé de ce pas mon cabinet de certification ISO9002 auquel vous pourrez postuler pour obtenir le label "visuel bio" (contre une somme modique reversée à Astrosurf) pour peu qu'aucune puce implantée ne booste artificiellement votre rétine ou nerf optique (Burgeot et Vieillard devront allonger plus car la dissection sera plus longue, Biver on sait que c'est déjà un cyborg).
  20. Bilan de l'été 2022

    Mais il n'est pas très fan de Rainer...
  21. Messier 111 et 112

    Faut juste s'accorder (ça va être compliqué) sur le terme "intéressant". Intéressant pour un débutant, je pense que ça veut dire "brillant, bien visible" (donc le critère tournerait autour du contraste et de la brillance surfacique). Mais ça pourrait aussi être l'aisance de localisation (à proximité de jalons brillants ou caractéristiques par exemple)... Intéressant pour un spécialiste, ce serait sans doute un objet qui montre des détails spécifiques (un amas globulaire qui se résout, une galaxie qui se révèle spirale, etc.). Mais ça pourrait également être un objet célèbre (par exemple baptisé, genre nébuleuse de la méduse) même s'il ne montre que peu de détail (tête de cheval ou le blazar CTA 102 par exemple). Mais juste intéressant, c'est trop vague. Sans parler de l'instrument et du ciel qui vont intervenir dans la sélection...
  22. Bilan de l'été 2022

    C'était mon introduction et je pensais NGC/IC. Tu as bien raison.
  23. Visuel assisté, Observation, Vocabulaire

    "Visuel assisté" c'est comme "nébuleuse planétaire", un qualificatif s'avérant bien mal choisi qui est désormais rentré dans les moeurs et qui va induire des incompréhensions de ce genre pour de nombreuses années… Comme c'est un domaine à mi-chemin entre l'observation visuelle et l'imagerie, je conçois qu'il soit plus valorisant de parler de "sur-visuel" que de "sous-imagerie". Mais comme c'est assez récent et nouveau, je ne comprends pas que les adeptes n'aient pas envie de se démarquer de l'un et de l'autre avec une appellation qui ne contienne ni "visuel" ni "imagerie". Après ce n'est peut-être qu'une étape d'un observateur visuel qui évoluera vers l'assistance électronique, puis plus tard vers l'imagerie ? (ou pas) Toutefois, comment justifier de réunir sous la même appellation des pratiques aussi différentes que l'intensification d'image et le live stacking ? Bref, j'essaye encore de comprendre ce phénomène péri-épistémologique…
  24. Visuel assisté, Observation, Vocabulaire

    D'ailleurs, la cornée n'est qu'un composant optique comme un autre alors décrétons que le visuel pur c'est sans cornée ni rétine, les yeux fermés, juste avec le cerveau en imaginant (encore qu'avec le bruit de fond physiologique, il serait sans doute plus prudent d'arracher carrément l'oeil)...
  25. Bilan de l'été 2022

    Non, découverte visuellement grâce à un prisme-objectif et le spectre mono-chromatique de la nébuleuse (la nébuleuse apparaît "stellaire" dans un champ d'étoiles aux spectres continus étalés).