Huitzilopochtli

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Tout ce qui a été posté par Huitzilopochtli

  1. La rumeur des ondes gravitationnelles...

    C'était de Pierre Joliot : Professeur honoraire au Collège de France, membre de l’Académie des sciences et vice-président de l’Union rationaliste.
  2. mars 2020 rover

    Bonsoir, Panorama de charborob (UMSF) qui montre la zone sur laquelle Percy devrait effectuer son prochain échantillonnage (sol 254) Images d'une surface rocheuse abrasée (action habituelle dans le processus de prélèvement) sur ce site au sol 253 prises avec différents filtres multi-spectraux (Tau - UMSF) : La surface abrasée imagée avec SHERLOC en couleurs améliorées :
  3. mars 2020 rover

    A partir de 30 images, animation de l'atterrissage du vol N°15 par PDP8E (UMSF) :
  4. mars 2020 rover

    Bonjour, Traductions automatiques corrigées Le succès du précédent vol N° 14 https://mars.nasa.gov/technology/helicopter/status/341/flight-14-successful/ Le 14ème vol réussi de l'hélicoptère Ingenuity a eu lieu le 24 octobre, dans le cratère Jezero. Comme prévu, l'hélicoptère a effectué son premier vol à un régime moteur de 2 700 tr/min, prouvant qu'Ingenuity est capable de voler dans les semaines et les mois à venir, alors que les changements saisonniers martiens entraîneront une diminution de la densité de l'air. Ce vol a été effectué à une altitude maximale de 5 mètres au- dessus du niveau du sol, avec une petite translation latérale de 2 mètres pour éviter une dune de sable sur son parcours. C'était la première fois qu'Ingenuity enregistrait des images avec sa caméra de navigation en noir et blanc, à une cadence élevée d'environ sept images par seconde. Ensuite pour le Vol n°15 - Début du voyage de retour Écrit par Teddy Tzanetos, chef de l'équipe Ingenuity au Jet Propulsion Laboratory de la NASA https://mars.nasa.gov/technology/helicopter/status/343/flight-15-start-of-the-return-journey/ Le premier road trip de Perseverance : Cette image annotée du cratère Jezero illustre la route empruntée par le rover Perseverance lors de sa première phase de recherches, ainsi que le chemin qu'il devra faire pour sa deuxième campagne scientifique. Ingenuity sera chargé d' accompagner Persévérance tout au long de ce voyage, avec pour but d'atteindre le delta fossile de la rivière qui se jetait jadis dans Jezero. Crédits : NASA/JPL-Caltech/Université d'Arizona Avec la conjonction solaire passée et notre premier vol à 2 700 tr/min réalisé, Ingenuity est prêt à commencer le voyage de retour vers le Wright Brothers Field, sur le site d'atterrissage d'Octavia E. Butler, avant de s'aventurer au-delà. La figure ci-dessus représente la mission d'Ingenuity, qui consiste à rejoindre Persévérance dans son trek nord, le long du bord est de Séítah, avant de rouler à l'ouest pour atteindre l'ancien delta de la rivière Jezero. Pour accomplir cet exploit, l'équipe Ingenuity prévoit une série de 4 à 7 vols pour retourner à Wright Brothers Field. En cours de route, le projet envisage de préparer une mise à niveau du logiciel de vol pour notre hélicoptère, ce qui permettra potentiellement de nouvelles capacités de navigation et de mieux préparer Ingenuity aux défis à venir. L'image annotée de la région « South Séítah » du cratère Jezero représente la trajectoire au sol prévue pour l'hélicoptère Ingenuity Mars de la NASA en bleu clair lors de son 15e vol sur Mars. Profil de vol pour le vol 15 d'Ingenuity : cette image annotée représente la trajectoire au sol prévue de l'hélicoptère Ingenuity (bleu clair) lors de son 15e vol. Le X bleu indique le lieu de décollage, le point bleu son lieu d'atterrissage. Le X rouge est l'emplacement actuel de Persévérance. Les lignes vertes indiquent les lignes de visée attendues dans les 10 images couleur prévues des futurs vols. Crédits : NASA/JPL-Caltech/Université d'Arizona. Le vol n°15 marque le début de notre voyage de retour vers Wright Brothers Field. Ayant lieu au plus tôt le samedi 6 novembre à 9h22 PT, ou 12h03 LMST (heure locale de Mars), le 254 ème sol (jour martien) de la mission Persévérance, le vol n°15 ramènera Ingenuity vers le Région des crêtes surélevées, photographiée lors du vol n° 10. Au cours du prochain vol, l'hélicoptère parcourra 406 mètres en 130 secondes, à une vitesse sol de 5 m par seconde. L'altitude nominale pour le vol devrait être de 12 mètres au-dessus du niveau de la surface. Ce sera le deuxième vol d'Ingenuity avec la faible densité de l'air estivale sur Mars, nécessitant que les pales du rotor tournent à 2 700 tr/min pour compenser cela. Ce vol générera des performances critiques du moteur à haut régime, que l'équipe utilisera pour concevoir et adapter les prochains vols en faible densité atmosphérique dans les mois à venir.
  5. mars 2020 rover

    Hier, Ingenuity a effectué son 15 éme vol comme en attesterait cette image relayée par PaulH51 (UMSF) : Ingénuity a parcouru 420 m et pris une dizaine de photos. Ce vol débute une campagne de 4 à 7 vols qui devraient permettre à l'appareil de retourner sur (ou à proximité) le terrain dit "des frères Wright" qui l'avait vu décoller pour la première fois de la surface martienne.
  6. Quand un astéroide rase une ville.

    Que Tall el Hamman ait été détruite par un impact cosmique, très certainement. Moi aussi, je n'ai plus guère de doute à ce sujet. Que le récit de l'Ancien Testament se rapporte à cela reste encore à l'état théorique, même si l'on peut penser que c'est assez vraisemblable.
  7. LUCY, une odyssée chez les Troyens

    Test de déploiement avant lancement :
  8. Quand un astéroide rase une ville.

    Certainement. Mais la difficulté revient à faire la part des choses. Quand on sait qu'il existe parfois des controverses entre historiens reconnus, sur des faits abondamment documentés et ne datant que d'un siècle ou deux, voire moins, on peut envisager la part que l'imagination, l'interprétation, la manipulation ou l'oubli peuvent avoir comme influences sur l'écriture d'un évènement s'étant produit plus de 1000 ans auparavant. L'expertise scientifique est déterminante pour connaître l'origine de la destruction de Tall et Hamman. Quand à établir une relation directe avec l'annihilation de Sodome que nous avons hérité de l'Ancien Testament... Après tout, un "Grand Horloger" homophobe, peut contraindre tous les mécanismes de l'Univers, et diriger un gros caillou vagabond sur une cité de dépravés ne lui serait pas trop difficile, j'imagine.
  9. LUCY, une odyssée chez les Troyens

    https://blogs.nasa.gov/lucy/2021/10/27/lucy-stable-in-cruise-mode/ Traduction automatique non corrigée : Le vaisseau spatial Lucy reste en mode croisière, qui est le mode de vol standard pour le vol aller et permet une autonomie substantielle pour le vaisseau spatial. Le vaisseau spatial a exécuté avec succès plusieurs petites manœuvres planifiées, qui n'ont eu aucun effet négatif sur le seul panneau solaire qui n'est pas complètement déployé . Plus récemment, la position du vaisseau spatial a été ajustée le 26 octobre pour permettre à l'équipe de mesurer la quantité de courant électrique qui traverse le panneau solaire partiellement déployé.et ainsi comprendre à quel point ce réseau est proche de la position complètement verrouillée. L'analyse indique que la baie est déployée entre 75 % et 95 %. Il est actuellement maintenu en place par une longe, spécialement conçue pour aider à déployer les tableaux lors du déploiement. Une équipe d'intervention en cas d'anomalie continue de travailler pour déterminer ce qui a causé le non-déploiement complet du panneau solaire. La NASA et SwRI évaluent une gamme d'options, y compris la possibilité de laisser le réseau dans son état actuel. Toute tentative de redéploiement en toute sécurité de la baie se produirait au plus tôt le 16 novembre. Tous les autres systèmes fonctionnent normalement.
  10. Quand un astéroide rase une ville.

    Tu as raison de te rapporter systématiquement à l'article de référence. C'est ce que nous (et moi en particuliers) devrions faire systématiquement puisqu'il est bien la source de cette discussion.
  11. Quand un astéroide rase une ville.

    Pour redire à peu de chose près ce que Sma expose : C'est une hypothèse qui se tient très certainement. Mais il existe aussi une possible explication liée à un simple phénomène climatique, à savoir une sécheresse exceptionnelle. Par le passé, la Mer morte a déjà connu plusieurs épisode d'assèchement partiel ou total, laissant à nu de vaste surface de sel. Ce dernier peut alors facilement être affecté par un transport éolien au niveau régional, obérant durablement la capacité à cultiver les sols. Il est certain que même des évènements importants n'ont pas forcément fait l'objet d'écrits, ou au moins, que s'ils l'avaient été, nous ne les ayons pas retrouvé ou traduit. Et puis la relation dans la Bible des destructions de Sodome et Gomohrre est quand même assez évocatrice, bien que ne pouvant être rapportées indiscutablement à celle de Tall el Hammann
  12. Quand un astéroide rase une ville.

    Je n'avais pas lu ce bouquin de G. Roux mais je connais par contre depuis longtemps l'Epopée de Gilgamesh, source d'inspiration inépuisable de grandes oeuvres antiques. Puisqu'on en est au recommandations de lectures, je vous propose de puiser dans les livres de Jean Bottéro, un spécialiste de la Mésopotamie reconnu internationalement. Plaisant à lire malgré sa très grande érudition. Attention de ne pas trop nous éloigner du sujet sous peine de nous retrouver dans ... PS : Tiens ! Sma en parlait justement à l'instant !!!
  13. Quand un astéroide rase une ville.

    Bonjour, Merci d'avoir attiré notre attention sur ce point. En fouillant un peu pour avoir une idée plus précise du problème du pas d'astroblème, je lis que le champ de dispersion des tectites après impact peut avoir un rayon de plusieurs centaines de km. Qu'en est-il exactement ? Si c'était bien le cas, par ailleurs, on devrait certainement pouvoir en trouver un peu partout ?!?!..
  14. INSIGHT : sonder l'intérieur de Mars

    Les nouvelles d'Insight ne sont pas très bonnes. La poussière accumulée sur ses panneaux auraient réduit de 80% la capacité électrique de ses batteries. On se rapprocherait dangereusement du niveau minimum pour assurer la survie du lander pendant la nuit martienne. L'équipe craindrait, si aucun évènement éolien ne venait nettoyer les panneaux solaires, que la mission ne puisse se poursuivre au-delà des mois de mai ou juin 2022.
  15. Quand un astéroide rase une ville.

    Le papier était très rare à cette époque et le rangement des tablettes laissait à désirer. Plus sérieusement, les infos tirées de ces archives ne peuvent être que parcellaires. Il reste assez délicat d'attribuer une origine précise aux Hyksôs mais il est vrai aussi qu'un rapport aux royaumes amorrites paraîtrait assez vraisemblable. Les Amorrites, peuple nomade d'origine sémite, avaient migré en Mésopotamie à la fin du troisième millénaire et, parfois par la guerre, mais aussi par alliances, ils avaient pris plus tard le contrôle de cités puis fondés des royaumes. On retrouve là quelques similitudes avec ce qui ce serait passé ultérieurement en Basse-Egypte, et ce d'autant plus que les Amorrites, après même avoir fondé des monarchies, ont conservé un mode de vie nomade pour une part de leurs populations. Les conflits n'étant pas rares entre ces royaumes, associé au nomadisme traditionnel pourraient avoir été vecteur d'une migration de long terme vers le Delta.
  16. Quand un astéroide rase une ville.

    Il est difficile d'y voir clair en fonction des connaissances acquises sur cette période mais parler d'un "empire" au sujet des Hyksôs me semble certainement exagéré. On croit savoir désormais qu'ils n'auraient pas conquis la région du delta militairement mais l'auraient plutôt investi progressivement, et cela dès l'époque de la XII ème dynastie. Il en serait résulter une domination politique pendant les XIVème et XV ème dynasties, conséquence de la migration d'une population, sans doute assez hétérogène, dans cette partie de l'Egypte. Ces conclusions s'appuient sur des analyses isotopiques réalisées sur des vestiges humains (de dents très exactement) inhumés sur le site de Tell el-Dab'a qui fût la capitale des Hyksôs.
  17. LUCY, une odyssée chez les Troyens

    Tu ne crois pas si bien dire. En effet, pour ne pas dépasser le plafond max de l'enveloppe budgétaire allouée à cette mission, la Nasa a dû recalculer en catastrophe cette trajectoire en fonction de la vertigineuse augmentation du prix des carburants. Avec le litre de gasoil à un euro soixante et vu la consommation du bouzin, y'avait urgence. Et quand nous avons appris qu'ils ne pourraient pas bénéficier de la prime de 100 euros distribuer parcimonieusement et exclusivement aux "pauvres de France", nous crûmes tout perdu .
  18. LUCY, une odyssée chez les Troyens

    Cette animation permet d'appréhender plus facilement la trajectoire de Lucy ainsi que les points de rencontre avec quatre des sept cibles de sa mission principale : https://fr.wikipedia.org/wiki/Lucy_(sonde_spatiale)#/media/Fichier:Animation_of_Lucy's_trajectory_around_Sun.gif
  19. Bonnes nouvelles du JWST (James Webb Space Telescope)

    Le télescope spatial James Webb est vu à l'intérieur de l'installation de traitement de charge utile S5C le 15 octobre au Centre spatial guyanais à Kourou, en Guyane française. Crédit : NASA/Chris Gunn Les équipes déballent le télescope spatial James Webb au Centre spatial guyanais le 14 octobre. Crédit : ESA/CNES/Arianespace/P. Piron Un membre de l'équipe de traitement regarde le télescope spatial James Webb être retiré de son conteneur d'expédition. Crédit : ESA/CNES/Arianespace/P. Piron Un travailleur à l'intérieur de l'installation de traitement S5C inspecte le télescope spatial James Webb. Crédit : ESA/CNES/Arianespace/P. Piron Le télescope spatial James Webb est tourné verticalement le 15 octobre à l'intérieur de l'installation de traitement de charge utile S5C au Centre spatial guyanais. Crédit : NASA/Chris Gunn Le télescope spatial James Webb à l'intérieur de l'installation de traitement de charge utile S5C. Crédit : NASA/Chris Gunn Trois des 18 segments de miroir primaire hexagonal de JWST. Crédit : ESA/CNES/Arianespace/P. Piron Crédit : ESA/CNES/Arianespace/P. Piron Crédit : ESA/CNES/Arianespace/P. Piron Images et légendes de https://spaceflightnow.com/2021/10/19/webb-telescope-unboxed-after-shipment-to-guiana-space-center/ Deux ou trois de ces images avaient déjà posté très récemment, mais, ignorant superbement les contributions des autres intervenants, je me fais un devoir de les reposter. Article non traduit automatiquement et donc non corrigée.
  20. mars 2020 rover

    https://mars.nasa.gov/news/9057/hear-sounds-from-mars-captured-by-nasas-perseverance-rover/ Cette illustration du rover indique l'emplacement de ses deux microphones. Crédit : NASA/JPL-Caltech. Traduction automatique corrigée : Grâce à deux microphones à bord du rover Perseverance, la mission a enregistré près de cinq heures de rafales de vent martiennes, des roues du rover crissant sur le régolithe et des moteurs ronronnant lorsque le rover déplace son bras. Ces sons permettent aux scientifiques et aux ingénieurs de découvrir la planète rouge d'une nouvelle manière. Tout le monde est invité à écouter. "C'est comme si vous étiez vraiment là", décrit Baptiste Chide, un planétologue qui étudie les données des microphones à L'Institut de Recherche en Astrophysique et Planétologie en France. « Les sons martiens ont de fortes vibrations de basses, donc lorsque vous mettez un casque, vous pouvez vraiment les ressentir. Je pense que les microphones seront un atout important pour la future science martienne et du système solaire." Ces microphones de qualité commerciale sont similaires à ceux du châssis du rover Perseverance. Crédit : Avec l'aimable autorisation de DPA. Perseverance est le premier rover à enregistrer le son de la planète rouge à l'aide de microphones dédiés, tous deux disponibles dans le commerce. Le deuxième micro se trouve sur son mât en complément des investigations de l'instrument laser SuperCam sur les roches et l'atmosphère. Le rover transporte deux microphones qui enregistrent directement les sons de la planète rouge, y compris ceux de l'hélicoptère Ingenuity et du rover lui-même quand il travaille. Pour la toute première fois, ces enregistrements audio offrent une nouvelle façon de découvrir la planète. Crédit : NASA/JPL-Caltech/LANL/CNES/CNRS/IRAP/DPA. Le micro du chassis a été fourni par le Jet Propulsion Laboratory, tandis que l' instrument SuperCam et son microphone ont été fournis par le Los Alamos National Laboratory (LANL) au Nouveau-Mexique et un consortium de laboratoires de recherche français sous les auspices du Centre National d 'Etudes Spatiales (CNES). SuperCam étudie les roches et le sol avec des tirs d'un laser, puis en analysant la vapeur résultante avec une caméra. Parce que le laser émet des impulsions jusqu'à des centaines de fois sur les cibles, les opportunités de capturer le son de ces tirs s'additionnent rapidement : le microphone a déjà enregistré plus de 25 000 tirs laser. Certains de ces enregistrements enseignent aux scientifiques les changements dans l'atmosphère de la planète. Après tout, le son voyage à travers les vibrations dans l'air. Depuis son perchoir sur le mât de Perseverance, le micro SuperCam est idéalement situé pour enregistrer les « microturbulences », des changements infimes dans l'air, et complète le travail des capteurs de vent du rover, qui font partie d'une suite d'outils atmosphériques appelée MEDA , abréviation de Mars Environmental. Analyseur de dynamique. Les capteurs de MEDA échantillonnent la vitesse, la pression et la température du vent une à deux fois par seconde jusqu'à deux heures d'affilée. Le microphone de SuperCam, en revanche, peut fournir des informations similaires à un rythme de 20 000 fois par seconde pendant plusieurs minutes. "C'est un peu comme comparer une loupe à un microscope avec un grossissement de 100 fois", explique le chercheur principal de MEDA, Jose Rodriguez-Manfredi du Centro de Astrobiología (CAB) de l'Instituto Nacional de Tecnica Aeroespacial à Madrid. Du point de vue du météorologue, chaque perspective, détail et contexte, se complète. " Le microphone permet également de faire des recherches sur la façon dont le son se propage sur Mars. Parce que l'atmosphère de la planète est beaucoup moins dense que celle de la Terre, les scientifiques savaient que les sons aigus en particulier seraient difficiles à entendre. En fait, quelques scientifiques, ne sachant pas s'ils entendraient quoi que ce soit, ont été surpris lorsque le microphone a capté les rotors bourdonnants de l'hélicoptère Ingenuity lors de son quatrième vol, le 30 avril, à une distance de 80 mètres. Les informations audio provenant de l'hélicoptère ont permis aux chercheurs d'éliminer deux des trois modèles développés pour anticiper la propagation du son sur Mars. "Le son sur Mars porte beaucoup plus loin que nous ne le pensions", a déclaré Nina Lanza, une scientifique de SuperCam qui travaille avec les données du microphone au LANL. « Cela vous montre à quel point il est important de faire de la science sur le terrain." Il y a un autre aspect de l'exploration spatiale qui pourrait bénéficier d'une dimension audio : la maintenance des engins spatiaux. Les ingénieurs utilisent des caméras pour surveiller l'usure des roues du rover Curiosity et l'accumulation de poussière sur les panneaux solaires d'InSight. Avec des microphones, ils pourraient également vérifier les performances d'un vaisseau spatial de la même manière que les mécaniciens pourraient écouter un moteur de voiture. L'équipe de Persévérance amasse des tonnes d'enregistrements à partir du micro du châssis du rover, qui est bien placé pour écouter ses roues et autres systèmes internes. Bien qu'il n'y ait pas encore assez d'enregistrements pour détecter des changements, au fil du temps, les ingénieurs peuvent être en mesure d'examiner ces données et de discerner des différences subtiles, comme un courant électrique supplémentaire allant à une roue particulière. Cela s'ajouterait aux façons dont ils surveillent déjà la santé du vaisseau spatial. "Nous aimerions écouter ces sons régulièrement", nous dit Vandi Verma, ingénieur en chef de Persévérance pour les opérations robotiques au JPL. "Nous écoutons régulièrement les changements dans les modèles sonores sur notre rover d'essai ici sur Terre, ce qui peut indiquer qu'il y a un problème qui nécessite notre attention."
  21. mars 2020 rover

    Très discrets changements de la surface martienne. Deux gif de tau (UMSF) réalisés avec des images prises aux mêmes heures et à une quinzaine de sols d'intervalles montrent d'infimes déplacements de grains de sables. Cette reptation de particules minérales est, avec la saltation, à l'origine des mouvements dunaires sur de très longues périodes. C'est aussi le processus érosif le plus actif et le plus constant sur Mars, avec les écarts thermiques, pendant la période amazonienne, qui dure depuis plus de 3 milliards d'années. Se servir de la fonction "loupe" peut s'avérer utile.
  22. nouvelles de LOFAR

    Si tu avais une éruption de bouton, le serais-tu encore ?
  23. nouvelles de LOFAR

    Bonjour Mercure, Pour le terme "éruption", je ne suis pas trop choqué . Une expulsion violente de matière ou de gaz chaud me semble pouvoir s'accommoder de ce mot. Un peu de souplesse que diantre !
  24. nouvelles de LOFAR

    LOFAR révèle l'activité éruptive des trous noirs super-massifs : https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/trou-noir-lofar-revele-activite-volcanique-trou-noir-supermassif-eruptions-58641/
  25. mars 2020 rover

    https://mars.nasa.gov/news/9055/my-favorite-martian-image-the-ridges-of-south-seitah/ Traduction automatique corrigée : Nous nous sommes arrêtés sur un belvédère pour avoir une première vue de notre destination", déclare Núñez, de l'Université Johns Hopkins, Maryland. « Ce panorama est spectaculaire car on a l'impression d'y être. Il montre non seulement l'échelle incroyable de la région, mais aussi toutes les possibilités d'exploration que South Séítah peut nous offrir. Avec de multiples affleurements rocheux et lignes de crête intrigantes, chacun est apparemment plus intéressant que le précédent. Si ce n'est pas le rêve d'un géologue de terrain, c'en est assez proche. Composée de 84 images aux couleurs améliorées qui ont ensuite été assemblées, la mosaïque a été saisie le 12 septembre (le 201 e jour martien, ou sol, de la mission) par le système de caméra Mastcam-Z alors que le rover était stationné sur un point de vue surélevée juste à l'extérieur de son entrée dans le sud de la Séítah. Persévérance venait de terminer un record d'une étape de 175 mètres le sol précédent Perseverance Rover's View of 'South Séítah : Cette image annotée indique l'emplacement de plusieurs caractéristiques géologiques importantes visibles dans cette mosaïque composée de 84 photos prises par l'imageur Mastcam-Z à bord de Perseverance. Crédits : NASA/JPL-Caltech/ASU/MSSS La mosaïque a été prise au plus fort grossissement et étirée pour permettre aux différences de couleur subtiles dans les roches et le sol d'être visibles à l'œil nu. À gauche du centre et à mi-hauteur de l'image se trouvent les affleurements rocheux gris, gris plus foncé et couleur café de la crête surnommée « Faillefeu » (d'après une abbaye médiévale dans les Alpes françaises). La stratification distinctement mince, parfois inclinée, évidente dans plusieurs des roches de Faillefeu aurait été en haut de la liste des choses à explorer de l'équipe scientifique, car la stratification inclinée suggère la possibilité d'une activité tectonique. Mais des caractéristiques similaires, ainsi que d'autres géologies fascinantes, étaient visibles sur une autre ligne de crête que l'équipe scientifique de la mission a choisi d'explorer à la place. La "Crête de Martre" (du nom d'une commune du sud-est de la France) est comme Faillefeu mais trois fois plus grande. Elle contient non seulement des roches plates basses près de la base de la crête, mais aussi des affleurements rocheux avec une mince couche à la base et des couvertures massives près et au sommet de la crête. Les promontoires sont généralement constitués d'un matériau plus dur et plus résistant que ceux empilés en dessous, ce qui suggère des différences potentielles dans la façon dont le matériau a été déposé. "Une autre chose intéressante à propos de cette image est que l'on peut également voir en arrière-plan, à droite, le chemin emprunté par Persévérance alors qu'il se dirigeait vers le sud de Séítah", nous dit Núñez. « Et enfin, il y a le sommet de 'Santa Cruz au loin. Nous ne prévoyons actuellement pas d'y aller, c'est trop loin de notre parcours. Mais c'est géologiquement intéressant, démontrant à quel point l'équipe peut choisir parmi d'excellentes choses ici à Jezero.