lyl

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Tout ce qui a été posté par lyl

  1. Chat GPT Lunette ou Dobson

    https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-chatgpt-force-a-creer-un-malware-indetectable-90098.html
  2. Polystrehl

    Maintenant une partie de la discussion du forum allemand Les réponses de G.Düring, disciple du Dr Pudenz (Université F.Schiller Jena), GD a conçu le remarquable doublet APM 152/1200, très équilibré avant qu'on ne puisse utiliser les gros diamètres en S-FPL53, maintenant en voie d'être abandonné suite aux difficultés d'obtention de ce verre en gros diamètres. En commentaire, je dirais que c'est une bonne évaluation générique pour du photo-visuel sur les instruments de bon diamètre, il semble que cela convienne à partir de 100mm. La TAL 100-R version semi-apo étant la référence pour le diamètre le plus petit en terme de correction chromatique. Les facteurs du Pr Düring sont pondérée par les éclairements et le contraste de l’œil en fonction de la longueur d'onde.
  3. Monture nomade : em200 ou am5 and Co

    Oui, c'est le cas de celle que j'ai acquise comme indiqué plus haut.
  4. Monture nomade : em200 ou am5 and Co

    J'ai lu qu'il faut de l'autoguidage sur l'AM5, en natif c'est du +:- 20" arc, cela fait un paquet de pixels mais je suppose que c'est un standard pour la correction maintenant.
  5. Monture nomade : em200 ou am5 and Co

    Je viens d'en acquérir une d'occasion, par un astronome du forum. J'ai eu l'occasion de voir la différence avec ma GM8 (que je suis donc en train de revendre). Cette GM8 avait remplacé une Bresser Mon-2, équivalente HEQ5 mais pas convaincante : la maxime qui dit qu'il ne faut pas négliger la monture est une réalité. Mais c'est encore plus valable pour les forts grossissements et la photographie. Ce que j'ai constaté : c'est plus agréable pour la mécanique et son ergonomie, plus adapté pour mon MN68 qui fait 1m10 et 12kg nu, donc un fort porte-à-faux nécessitant des précautions à la mise en station. En connaissance de cause, nous l'avions posé dessus lors d'un test côte à côte avec une apo LZOS 152/1200 Le verrouillage est également plus précis que le serrage de la Losmandy et comme je fais surtout du visuel, je repointe fréquemment. En bref, entre 30 livres (GM8 13.6kg) et 40 livres (18kg) de portance, je vois la différence avec ce tube long quand il est équipé. Pour l'électronique, je ne sais pas quoi dire, c'est un autre système qui est dessus, il me suffit vu qu'on a testé tout ce que je voulais ce jour là. Question transport, pour sûr, la GM8 est moins lourde avec ~13kg (10.5kg sans la barre massive incluse que je n'enlevais pas). Je pourrais me débrouiller en nomade avec l'EM-200 qui fait 16 kg et est plus lissée dans les protections des moteurs : donc on peut la poser à plat dans le coffre sans mettre autant de calage que la GM8 qui a des moteurs proéminents. La GM8, j'ai déjà fait des manœuvres acrobatiques avec le trépied + contrepoids dans une main et la monture dans l'autre. Ceci dit, pour L'EM200, c'est le cran au-dessus, je ne ferai pas de rando avec le trépied en plus, c'est fait pour être installé pas loin de l'endroit de déchargement. J'ai payé le supplément de confort, avec un peu d'hésitation, mais ça vaut la tranquillité.
  6. La révolution des capteurs est en marche....

    Le dernier point que j'ai expliqué
  7. La révolution des capteurs est en marche....

    Non, certes l’échantillonnage est plus élevé (détection de photons ultra-rapide) mais la restitution est empilée, ce qui explique la "trace" de l'impulsion laser Le fonctionnement est différent d'un capteur à puit. * en cmos on convertit la valeur du puit° par un CAN puis on restitue la "frame" en agrégeant classique colonne puis ligne avec comme contenu une valeur de n bits de précision, ici on détecte sur un seuil ( le "threshold" ) et on reconstruit temporellement par empilement des inter-frames qui ont pour contenu des zéros ou des 1. L'extraction des inter-frames est intense. En SPAD donc, on utilise intensément la vitesse de l'électronique numérique et on s'arrête au décompte de la valeur du photosite (0 ou 1), d’où le surnom de caméra quantique (quantum) Si c'est très lumineux (plusieurs photons par photosite dans l'intervalle de temps), le résultat sera toujours un 1 dans l'interframe. Le souci de ce procédé (ce que j'ai vu date de 2017/2020) est le niveau de bruit électronique du à l'extraction qu'il faut minimiser et la mémoire de traitement impliquée avant de restituer l'image. Je vous laisse calculer (j'ai tronqué la vieille étude de Ion Vornicu sur un capteur de 64x64) C'est quelque peu similaire à du "lucky imaging" avec, dans la philosophie, le besoin en ressources de post-traitement que cela nécessite. Grosso-modo on applique à l'optique ce qu'on faisait en audio il y a une vingtaine d'années, avec la philosophie : un photosite = un canal numérique. Ceci montre l'évolution exponentielle des capacités de traitement (réduction de taille des circuits grâce à la micronisation. Le nouveau processus SPAD de Canon règle le problème de la densité de l'électronique de comptage à côté, maintenant cachée derrière la surface efficace optique. Ancien vs Nouveau, à gauche on voit dans le prototype la surface importante exigée par l'électronique intégrée, Pour le nouveau, il y a d'évidence l'effort de miniaturisation en production mais aussi la mise en forme de type optique sur la couche épitaxiale (Epi) et permettant enfin, un niveau de SNR suffisant en modifiant la connectique et un format d’agrégation de sous-photosite (bining sur des blocs numériques dissociés) * 6.5% pour certains taux SNR en 2017 c'était catastrophique (tout comme en empilement en lucky imaging). Comme à l'habitude dans tout système la qualité dépend du ratio Signal/Bruit, la technologie évolue pour satisfaire à ce critère même si le principe d'acquisition est différent. Le challenge est réalisé en utilisant une forme de binning. C'est bien de la photographique quantique, je doute en l'état de nos connaissances en physique que l'on puisse faire mieux. Ceci dit, je ne suis pas certaine que cela serve en photo astronomique champ profond. ° pour les capteurs CMOS, la mémoire temporelle est dans la taille du puit du photosite (le nombre de bits qu'il peut traiter) et sa sensibilité ( nbre de photons / e- => précision de restitution)
  8. Chat GPT Lunette ou Dobson

    Merci pour ton rétro-engineering plein de clarté
  9. Doublet collé

    Hop on va suivre le bain de pieds ^^
  10. Chat GPT Lunette ou Dobson

    Encore une fois sur le crédit à accorder à Chat-GPT, le point fondamental est la pondération des sources. Pour un petit rappel, CGT ne serait pas né si notre infrastructure mondiale internet n'existait pas voir un peu l'histoire https://knowledgeone.ca/du-web-1-0-au-4-0/?lang=fr Le Web 1.0 : le statique => Objectif : distribuer l’information Le Web 2.0 : le participatif => Objectif : connecter les utilisateurs et partager du contenu Le Web 3.0 : le sémantique => Objectif : donner du sens aux données, connecter le savoir et guider les utilisateurs selon leur contexte exemple flagrant : le moteur Google efficace dans tous les sens° Le Web 4.0 : l’« intelligent » => Objectif : connecter le réel et le virtuel, faciliter les interactions entre utilisateurs et objets, favoriser l’intelligence collective et l’innovation exemple : la montre connectée, chat-GPT, les jeux 3D MMORPG ... °Il y a aussi des revers : l'uniformatisation qui est une régression par rapport à l'enseignement fourni par l'université (au sens Renaissance, la censure était qualitative) la manipulation de l'information : publi-information et filtrage (censure économique)
  11. Chat GPT Lunette ou Dobson

    Oui oui mais excuse-moi de chercher un peu plus concret que la recopie d'un article paru il y a quelques années dans le sujet du wikipedia. Un vrai article : https://intelligence-artificielle.com/test-de-turing/ En 2014, Eugene Goostman n'avait convaincu que 33% des "juges" et ça n'avait duré que 5 minutes. Perso cela m'ennuie profondément quand je tombe sur ce genre de bot déguisé quand je vais sur les sites des fournisseurs de service. En 5 minutes ça tient et c'est utile pour les cas d'usage mais quand c'est du sujet d'expert, c'est pas un bot qui va te débloquer ton boitier ADSL qui a perdu sa config suite à un éclair tombé sur le DSLAM du quartier par exemple.
  12. Chat GPT Lunette ou Dobson

    Personnellement, j'ai des collègues qui s'en servent dans leur travail pour un tour d'horizon sur un sujet inconnu C'est sympa mais dans mon domaine informatique, je vais plus vite par moi-même avec un bon RTFM (read the fucking manual) Quand à la pertinence des réponses ça reste, comme dit plus haut, attaché aux idées reçues propagée sur le net. ------------- Juste pour préciser : ça analyse beaucoup de publi-information Quand au test de Türing +> https://fr.wikipedia.org/wiki/CAPTCHA
  13. Livre "à l'affût des etoiles" Questions

    veinard. Une belle triplette d'auteur en tout cas.
  14. Oui en fait plutôt bleu, la couleur du halo, c'est la bande 486-434, le ressenti est assez complexe suivant ce qui est lumineux dans le champ, l’œil subit un effet de dilatation ou compression de la bande de couleur. Enfin bref, avec ces vieux joujoux du début des ED on en arrive a des conclusions inverses : les FPL51 un peu plus longues bien façonnées sont plus intéressante que les FPL53 pour le visuel.
  15. Oui, son piqué maximum est proche de 1 et c'est très élevé du vert à l'orange et avec un champ moins courbe de part la combinaison de verres. Il y a pas mal d'ED trop courtes qui n'auront qu'à se rhabiller. Piqué natif, planète, CP Le piqué natif est théorique bien sûr, il faut voir par rapport aux tests que chonum avait fait sur les Vixen En CP, c'est limite pour le visuel, on peut ressentir un halo violet à 2mm de pupille sur les fortes étoiles.
  16. Vu l'époque, c'est normal que ce soit FCD1 - KF3, Ohara n'avait pas encore sorti le S-FPL53. La différence avec la Meade est une légère amélioration du verre ED par Hoya et la présence du verre ED en face avant, diminuant le sphérochromatisme. Toutefois, contrairement à la publicité, cette combinaison ne donne pas un apochromat ni selon Abbe ni selon Thomas Back mais c'est un instrument plus que compétent en visuel. En photographie, Vixen fournit un correcteur réducteur qui change le comportement pour l'adapter à la photographie. C'est quand même bien loin des possibilités d'une fluorite de même diamètre.
  17. ts 115/800 triplet fpl51

    Ce n'est pas une bonne idée. La principale contrainte dans un oculaire est plutôt l'astigmatisme et les aberrations d'ordre élevé. On résout cela avec des verres "lourds" (fort index). Le chromatisme est plus facile à gérer (petit diamètre des lentilles) ce qui permet aux nombres d'Abbe des verres d'être plus bas. Typiquement, des verres populaires sont le SK16 et le SF1 (voir comment est construit le panoptic) ou carrément du verre lanthane en crown et en flint. L'idée est de réduire les courbures qui vont de facto augmenter les épaisseurs et cela c'est pas bon, ça limite les angles possibles dans l'optique de l'oculaire. objectif : gérer des angles faibles, éliminer chromatisme, aberration sphérique et coma si champ >1.5°. L'astigmatisme n'est pas problématique à ces angles. (sauf les grand champs comme on fait sur les Tak FSQ) oculaire : gérer des grands angles, éliminer astigmatisme et coma (les aberrations de champ). Le contrôle du chromatisme, couleur latérale et aberration sphérique est plus facile. Du coup la fluorite avec son index plutôt faible, c'est bof et sa faible dispersion : c'est de la confiture pour les cochons.
  18. ts 115/800 triplet fpl51

    Le coefficient est excessif pour le S-FPL53, le ratio de 13/10 s'applique plutôt pour le S-FPL51 dans l'exemple de référence suivant. l'APM 152f8 (S-FPL51 + H-LAF53) De plus comme je disais plus haut, c'est dépendant du f/D. le coefficient est variable. C'est du principalement à cause de la modification due à l'aberration de sphéricité (courbe du point focal suivant la pupille -ou L.S.A. en forme de S inversé comme les images ci-dessous) Le fameux appairage S-FPL53 + X° de la Skywatcher 150ED n'est pas meilleur que l'ancien appairage classique S-FPL-53+ N-ZK7 (qui n'existe plus, remplacé par N-ZK7A légèrement moins bon mais plus stable) au contraire, c'est uniquement une question de prix.°° X° : que je ne donnerai pas. Le polystrehl de la ED (mes coeffs visuels) : 0.95 contre 0.96 avec le ZK7A. L'appairage ZK monte plus haut dans le violet et il est apochromatique, il va aussi plus loin dans le rouge. Le doublet lanthane de SkyW, par contre, est plus facile à fabriquer. <LA-ZK> En bref, c'est peu fiable Par contre, il y a un vrai intérêt avec la fluorite. Le décalage violet-bleu (dF,g "flint" - dF,g fluorite) légèrement positif est intéressant pour réaliser un croisement optimal (à droite représenté en bleu/bleu clair par Vla). Le bleu clair est plus "tordu" mais le décalage léger fait que ça se croise pas trop mal : Ça se gère parfois de façon bizarre avec le FPL51 pour obtenir des piqués maximals du vert à l'orange (à droite une combi FPL51 + ZK7A, couleurs plus proches de la réalité). Le décalage est plus grand mais c'est aussi plus tordu. La superposition violet-rouge-bleu n'est pas tout à fait sur la partie (bleu clair 500nm)-vert-jaune°-orange mais bon l’œil n'est pas terrible sur les trois extrêmes : ° la ligne blanche c'est la convention des 555nm au max de sensibilité lumineuse de l’œil. D'après Thomas Back, ça doit être très piqué mais ce n'est pas forcément la meilleure longueur d'onde, il y a un peu de marge. Parfois c'est dans le jaune, d'autres fois c'est dans le vert au gré du concepteur. cf Apochromatisme moderne Thomas M. Back "that has a peak visual null (~5550A - the green-yellow) with a Strehl ratio of .95 or better". Il y a une raie proche pour le valider : une de celle de la lampe de laboratoire au Krypton à 557nm La courbe de dispersion partielle au-delà du bleu (F,g'), elle influence directement la position du focus des couleurs au centre de l'optique, c'est le pied de la courbe, près du 0 en ordonnée : Le document ne parle pas non plus de l'appairage de la Evostar 72ED. (72/420) qui n'est pas un lanthane mais un Kurz-Flint présent chez tous les constructeurs. °°: c'est le verrier allemand Schott uniquement pour le verre ZNK7, qui est devenu N-ZK7 avec la réforme anti-pollution puis faute de le stabiliser correctement, ça a maturé en à N-ZK7A. Schott n'est pas réputé pour ses coûts bas sauf quand ce sont des promos dues à quelques pépins de fabrication. Chez CGDM par contre (Chine) on a le minerai de lanthane à pas cher. En trouvant une conception optique tolérante aux marges de fabrication du verre (CGDM n'est pas réputé pour être très serré dans les tolérances) ça passe.
  19. TEC 140 ....

    Pas d'après Baader, ils ont remis les mêmes informations que pour la version ED. Ceci dit, tu peux aller voir le site de Laurent qui en parle : http://www.astrosurf.com/laurent/apo140.htm
  20. ts 115/800 triplet fpl51

    Oui pour une version qui soit apochromatique. Le color blue n'est pas adapté à cette classification : il ne permet pas de classifier l'apochromatisme moderne Le spectre secondaire est calculé entre les raies F et C (656nm), il ne préjuge pas de la correction entre F (486nm) et g' (~435nm) Ci dessous : La largeur 1 et 2 correspond à la différence de point focal entre une fluorite f/8 (100mm si je me souviens du calcul) et une 80mmf11 (Vixen 80M) La largeur 3 et 4 à la partie tertiaire Fg' La Vixen 80M est apparemment plus piquée car c'est (Δf/f)2 qui compte en cas d'absence de sphérochromatisme. Mais ici la fluorite est meilleure que l'achromat grâce à l'utilisation de l'aberration de sphérochromatisme à bon escient. => contre ceci pour l'achromat : L'écart e vs FC sur l'achromat est une plaie en photographie mais ce n'est pas si grave à travers un oculaire puis l’œil. Dans la partie bleue (pour 3 et 4), la fluorite annule et il ne reste que le sphérochromatisme qui là, n'est pas favorable pour aucune des deux. Le spectre secondaire est une valeur qui est indicatrice du "pire des cas", c'est la raison du coefficient particulier pour le CB, il tient compte de l'aide du sphérochromatisme. Même pour le BK7-F2, la valeur 2000 est meilleure que la dispersion pure ΔF/F qui vaut ~1850 Une autre possibilité est le triplet N-ZK7 // S-FPL51 // N-ZK7 qui serait apochromatique en 115/800 (c'est limite) Une antiquité maintenant car le N-ZK7 est maintenant remplacé par le N-ZK7A plus stable et homogène. (même évolution que le S-FPL53 -> S-FPL55 : stabilisation)
  21. ts 115/800 triplet fpl51

    Salut bb-9e, c'est un grand classique visuel + astrographe avant la sortie des verres FPL53 Probablement le triplet de formule K7 - S-FPL51 - K7. C'est : durable, pas exceptionnel en mise en température. équivalent à un doublet FPL53-N-ZK7 (combinaison optimale) de même diamètre et f/D mais avec plus de champ. Vu qu'on est au limite du f/D pour ce diamètre, il dépend beaucoup des qualités de fabrication
  22. TEC 140 ....

    Non pas seulement Simon, il y a des vrais plus techniques sur chacun de ces instruments. La TOA permet de monter très loin hors de la bande visuelle mais avec des temps de mise en température à considérer. Chez AP la fabrication mécanique est exceptionnelle, la correction couleur est vraiment apochromatique et le maximum de champ. La TEC présente un optimal de contraste et de mise en température, une correction de champ 'in Airy' spot sur un peu plus de 1° de champ. Pour ma part en catadioptre : le MN68 est aux alentours de 3000€ avec un piqué comparé side by side une TMB 152f/8. Une largeur de bande extrême pour profiter des observations/photo en filtre bleu sur la Lune par exemple, un champ plat. Mais la mise en température du Mak est plus longue : stabilisation du courant de tube nécessitant le ventilateur et il faut ajuster la collimation avant une observation importante. Le transport dérègle toujours un peu. Il y a des avantages et des inconvénients même en haut de gamme qui justifie le prix pour une disponibilité maximale. Je crois que certains oublient souvent ces particularités. La TEC 140 reste une référence encore de nos jours comme instrument photo-visuel. A l'époque de la décision d'achat pour mon instrument de 150mm c'était sur la liste. Juste pour mémoire, voici ce dont elle est capable (c'est une approximation du design meilleur que celle de Vla sur telescop-optics.net) dans les utilisations principales. VIsuel (en observation lunaire, c'est la bande la plus large) et photo (1.08° diff limited, mode apo -> les photosites 465nm, 525nm et 615nm) sont très bien gérés. La principale inconnue dans la fabrication de l'optique de cet instrument est le verre S-FPL53, que l'équipe TEC gère avec les données des melts du constructeur. C'est avec suffisamment peu d'inconnues pour sortir des séries de très haute qualité, voire excellente. cf une des premières (run 3) : http://www.astrosurf.com/laurent/apo140.htm
  23. TEC 140 ....

    La TEC 140 est un triplet huilé,c'est un sandwich avec du verre K10 bien résistant en face avant et du BK7 à l'arrière. Uniquement deux faces à surveiller, plus facile à nettoyer que la plupart des optiques. Avec un bon coup de purosol ou d'autre produit optique (et pas deux mains gauches) ça suffit. On est en plein reflet direct, ce n'est pas nettoyé mais ce n'est pas crado. Image à côté, un objectif de Vixen 102M est gras dans l'entreverre, il a été démonté pour tamponage à l'acétone (on peut sur celui-là) C'est du simple dépôt de poussières/pollens et des traces d'humidité séchées dans la partie en haut à droite. Cela fait partie des difficultés quand l'objectif ne sort pas de l'atelier optique. Ce n'est pas simple d'éliminer chaque poussière en faisant ça à la maison. Je ne vois pas l'utilité de ce genre de remarque sinon à remonter le prix à un prix neuf.
  24. Si l'autoguidage est en série sur ton système, c'est comme si tu appuyais sur les boutons de ta raquette. Réciproquement, quand je branchais le ST4, l'ordi avec PHD et la raquette, je voyais mes impulsions sur les boutons dans PhD Pour mémoire.