lyl

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Tout ce qui a été posté par lyl

  1. Même avis que Laurent pour les optiques haut de gamme des dernières années. Il vaut mieux un fluide technique maitrisé que de l'air à composition variable dans un triplet non étanche. La seule chose que j'ai lu récemment en MP c'est le contrôle des bulles sur un vieux liquide. C'était la première fois que je lisais ça.
  2. Vixen 102M / 1000

    C'est une semi-apo, version spécialisée pour le grand champ et la photo. Un beau petit jouet très léger. Pas de couleur qui bave en visuel. A prendre avec des pincettes en lisant les revues, ce modèle est un "dérapage" chez Vixen à l'époque ou il restait encore des grosses quantités de verre spécial d'appariement pour sa voisine la FS102 qui est la version plus aboutie. Le verre principal n'est fluorite mais plutôt FPL51 et le design serait intéressant. Elle est vite limité par de l'aberration sphérique. En général ceux qu'ils l'ont la garde pour photo et Grab & Go : autrement dit introuvable sauf si tu tombes dessus dans les PA. Vixen a changé de concept depuis, il font dans le f/D un peu plus long et travaille plus sur les correcteurs/réducteurs (un peu à la manière de Takahashi) 1650$ en 2005 : vraiment pas cher pour ce diamètre et ce qu'il y a dedans, mais comme elle ne fait pas tout (grossissement limité...) ------------ De mon côté j'ai poursuivi dans la série des Vixen M et je suis tombée sur une occasion de 90M. Cette dernière nécessitait réglage mais c'est un solide instrument qui me console de la TAL100.
  3. lunette en 24,5 et en 31,7 mm

    Compris. Profites-en pour regarder dans le tube et dans ton PO 24.5 : de mesurer la distance du dernier baffle vers le bord de ce tube de mesurer le diamètre du trou du baffle (évaluer au moins) ------------ En général pour les lunettes sans marques : l'assembleur, même japonais ne se casse pas la tête. C'est du diamètre 0 pour le champ pleine lumière au point focal car ça limite un maximum les aberrations des objectifs. Itoo pour le baffle dans le PO en 24.5 : il fait souvent 25mm à 5-8 cm du bout du tube pour un champ PL de 18-20mm max. Ca fait comme les grands mais ... c'est "cache misère" comme disais mon prof de physique Ca vignette un max avec les oculaires de plus de 25mm. Il n'y a que les trois grands de l'astro Japon qui faisait de l'opto-mécanique soignée (Hino-"Mizar", Astro-"Royal", Vixen-"Perl") Takahashi est à part, ils ont débuté plus tard. ---------------- Exemple, Vixen, dés que la lunette fait 80mm de diamètre, tu passes au format qui ressemble à du Zeiss et non bafflé° dans le PO. tube vissant interne en M43x1 suivi de l'adaptateur M43x1 mâle <-> M36.4x1 femelle Ensuite encore un adaptateur M36.4 <-> coulant Zeiss 24.5mm Ca laisse la possibilité pour les grandes d'y mettre des oculaires vissant M36.4 (Erflé 32, K40, K50) sur tourelle (rarissime) ° : rectification : dans deux PO que j'ai récupéré dont un pour la 90M, il y 3 baffles de 34mm dont le plus proche est à 10cm de la sortie. Sur ma 102M, je viens de retrouver une vieille photo et il me sembles que les baffles du PO sont présentes. Pour une lunette de 1m de focale, celà revient à limiter le champ pleine lumière à moins de 29mm, probablement 25mm ce qui donne comme maxima le Ke40 pour un champ de 42° à l'oeil. L'erflé 32 étant donné vers 60° AFOV, ça colle pas trop mal pour 3mm de pupille : 47° pleine lumière sur l'erflé à x31, ce qui donne 1° et 26' d'arc pour du spectacle. Je ne me souviens pas d'avoir ressenti un fort vignettage avec l'erflé Edmund Scientific qui est à 82°.
  4. lunette en 24,5 et en 31,7 mm

    J'ai du mal à comprendre, est-ce que tu utilises des oculaires de coulant 1"1/4 et 24.5 mm sur cette lunette (avec un adaptateur) ? Le problème tel que je le comprends semble venir de l'oculaire.
  5. Ca va même plus loin que ça, ... pour les télescopeux qui savent faire des paraboles ou des débuts de paraboles. Avec ce liquide, on peut faire des doublets Steinheil F2-BK7 flat back huilés avec une phase de mise en forme rapide comme un miroir pour le verre F2, sans toucher au crown. Le liquide prenant la forme de la conique dans l'interstice.
  6. Et tu as raison, suite à discussion avec Ales Krivanek par exemple, il vient assez régulièrement sur la table, lorsque je lui pose la question de la finesse des optiques et des résidus de chromatisme que l'on ne pousse pas les gros diamètres au maxima optique qu'on souhaiterait. Parce que cela n'a que peut d'intérêt, nos anciens nous l'ont appris : le plus grand perturbateur et limitateur des observations c'est l'atmosphère. Quand tu pêtes un 400 ou 300x respectivement en planétaire et en lunaire, c'est souvent le maximum pour tout le monde. Le diamètre est là pour rendre l'image plus belle et contrastée. Une observation à 1D est suffisante quand tu disposes d'assez de flux (pour le mode surface éclairée). Ca laisse une marge énorme pour les petits instruments qu'on monte à 2 ou 3D pour que notre pauvre vision malhabile puisse décrypter le contraste. Bien évidemment qu'on peut pousser plus tant que l'image n'est pas trop sombre mais on entre dans "la zone obscure" dans laquelle notre capacité à discerner le détail n'évolue plus sans pourtant les perdre parce que le grossissement aide. C'est la typique magnificatométite du non expérimenté. La diamétrite arrive ensuite et fini par se calmer d'elle-même quand le budget dit stop. Rien de mal à celà, c'est juste qu'il vaut rester les pieds à terre, désolée de gâcher un peu le rêve.
  7. Super video sur Takahashi

    Le minerai était impur, le rôle de la formation du tamahagane est de fabriquer un gradient de matériau acier, on le casse et on sélectionne les parties intéressantes et on refusionne. le tamahagane est formé à la température la plus basse possible pour limiter la décarburation, ce sont les composants dont "les fondants" des sables de Shimane qui permettent cela. non et honnêtement, la composition un peu plus précise que fer + carbone m'étant connue ne sera pas publiée ici. (en cherchant un peu on trouve) Je peux juste ajouter parce que c'est connu que du carbure de tungtène est présent sur les gradients les plus durs. Les armes en question ne dépendent pas que d'une seule qualité de métal. Donc comme je disais c'est un processus spécialisé trop complexe° pour que ce fut vulgarisé partout sur le Japon entre le 15eme et 17eme siècle et en celà ce ne peut pas être le commun de ce que les combattants avaient à disposition. Par contre les quelques objets d'excellente qualité ont contribué aux légendes de l'époque. De plus comme l'histoire est écrite par les vainqueurs, c'est souvent très enjolivés pour briser le moral des troupes qui sont en train d'être vaincues. Néanmoins, sur les échantillons qui sont passés par l'IRSID, les propriétés mécaniques était plutôt abouties sans être extraordinaires. °: et ça va dans le sens de ton propos J'en reviens sur le rapprochement avec le savoir faire, la culture japonaise mêle de la modernité et de la tradition avec une bonne dose de religiosité par dessus. ---------- ou plutôt de "sacralité" je crois que ce terme est plus approprié. ---------- (ou même de "magie" dans l'esprit de certains)
  8. Super video sur Takahashi

    Bon, on va te laisser à la légende approximative. Ce qui est intéressant, c'est la démarche qui ne s'est pas faite en un jour, la méthode met beaucoup de temps à se mettre en forme mais comme dans leur culture les japonais sont très conservatistes pour une bonne raison ou non : on perpétue jusqu'à ce qu'on vous prouve qu'autre chose fonctionne mieux et que c'est reproductible. C'est difficile de leur faire changer de méthode, j'ai beaucoup appris auprès d'eux en quelques mois et chaque décision a une raison antérieure profondément ancrée. ------------- la purification des résidus azotés qui fragilise le métal en favorisant la formation des criques. En Lorraine on est passé à la lance à oxygène en remplacement des fours Martin dont la productivité est plus faible. C'est le concept d'apport d'oxygène purifié ou "métallurgie au soufflet" qui est à retenir dans l'élaboration des tamahagane. Le détail de comment ça ce passe dans le bas-fourneaux pour éliminer les gaz nocifs comme l'azote et ses composés m'échappe : ce n'est pas mon métier.
  9. Super video sur Takahashi

    Oui c'est pour celà que le gouvernement japonais a décidé en 1975 de rallumer les bas-fourneaux de la préfécture de Shimane pour analyse des propriétés. J'en parle en connaissance de cause, relation directe avec l'ancien directeur qualité d'Usinor-Sacilor pour Arcelor qui a participé a des échanges technologique avec Hitachi Metals https://ur.booksc.eu/book/82287897/2336d5 La méthode est bonne, une anticipation de la méthode de métallurgie en poche. https://www.lemonde.fr/archives/article/1961/05/02/l-acier-a-l-oxygene-pur_2268109_1819218.html Les raisons des propriétés exceptionnelles sont connues et dues au minerai local.
  10. Super video sur Takahashi

    ptdr, là c'est dans le délire par rapport à deux APM LZOS monté en bino que j'ai vu présenté ici. Surtout pour y coller la palanquée de lentille du Nikon 17mm HW De la confiture aux cochons et pas une seule image, un vrai geek fortuné.
  11. On ne doit pas parler des mêmes instruments, une 80mm ça monte à 200-240x en lunaire, j'ai les mêmes retours de la part d'autres observateurs aguerris, au-delà c'est du gâchis de photons. Un oeil entrainé n'en a pas besoin et, pour qui a un peu d'expérience, on capte les reflets spéculaires sur des pointes volcaniques dans les cratères près du terminateur qui montrent des anneaux de diffraction ; à ce moment là tu sais parfaitement que ça ne sert plus à rien de grossir sauf pour se faire mousser.
  12. Ah oui, je connais un veinard qui a tapé la Jupiter AE-108-1600 avec une optique SYW un peu sous-corrigée mais sacrément bonne. Une petite caresse sur le calage et je suis sûre qu'elle flanque la frousse à une FC-100 posée à côté. Elles auraient pu être fabriquée en huilé mais c'est vraiment coton vu les étapes supplémentaires à gratter le verre pour ajuster correctement. (Même Couder parlait d'asphérisation en 1933 pour la lulu de strasbourg). Le faire en air-spaced c'est plus facile. Je reste admirative devant le talent nécessaire pour faire ce type d'objectif de plus de 100mm. Surtout quand le résultat est au rendez-vous.
  13. (HS) mais peut-être pour une 80 1200 de chez Astro qui est calée plus visuelle. Teste avec El Pancho à l'occasion c'est peu de différence mais je pense que ce sera visible. Je suis curieuse de ce type de retour aux limites de ces bêtes de course. Nikon et la Scopetech que j'ai réglée pareil sont des brutes en lunaire (Maurice M m'a indiqué qu'elle fracassait une 127 Meade en lunaire, ce qui n'est pas peu dire sur un ciel "normal"). Enfin et pour mémoire, Ohara ressort régulièrement du vieux flint F2 au plomb recuit fin. Ce verre mine de rien est meilleur optiquement que les équivalent F2 modernisés sur au moins deux points. ------------------ Pour en revenir aux huilées ou collées, je pense que c'est devenu plus rare à cause des disparités sur les verres optiques. Le coup de bamboo du S-FPL53 chez Ohara semble avoir découragé TEC : un triplet huilé ça doit être calculé avec les données de melt. Zeiss avait coupé court à ça avec l'APQ en produisant en série dépendante des verres d'appariement disponibles. K10 / K11 / ZK2 / BAK2 Enfin bon, ça prouve que cela a été largement testé et que ce n'est pas le film liquide qui pose problème. Sur une autre diamètre, on discutait d'un collage possible (colle NOA souple/flexible) pour pallier à un soucis d'épaisseur sur une 160mm f/20 dernièrement. Projet 160mm Je pense que les technos sont mûres pour tenter ça.
  14. (HS) C'est du United Optics, à Kunming. La société fournit régulièrement TS et APM depuis quelques années. M'est avis qu'elle est faite pour du lunaire et du CP. Sa grande soeur ED est fléchée pour ça aussi, clairement en surcorrection pour observation dans le vert. (option solaire avec filtre continuum à 540nm)
  15. Mesure de l'état de l'aluminure d'un miroir

    un doublet MgF2 tu comptes 4 faces à 1.2-1.5% ~ 94 à 96% Pour du doublet en BBAR 4 couches, 98 à 99% Triplet : ça plafonne à 97-98% Triplet huile 99% --------------- Peut-être que Jean l'a précisé mais l'état de surface avant aluminure est important, en particulier sur les pyrex. Des défauts d'homogénéité peuvent poser des soucis à long terme quand on refait l'aluminure. Ca serait bien qu'un des polisseurs français ou par exemple une personne de MCM donne son avis sur le sujet. Précédemment les miroirs argentés n'occasionnait que peu de soucis quand on enlevait la couche déposé car l'interaction chimique était plus faible.
  16. Super video sur Takahashi

    Non effectivement, la salle blanche est nécessaire dans les étapes préparatoires avant de poser les traitements optiques. Pour ce qu'ils font, un atelier correctement ventilé (aspiration/clim/VMC) bien positionnée suffit. Pour ma part, j'ai trouvé un coin non turbulent dans ma maison pour faire ces petits travaux. Je remarque quand même que la surface des bureaux et des stands de rangement est majoritairement en bois recouvert d'un rectangle d'élastomère antichoc comme dans le labo de fabrication de composant que j'ai fréquenté chez Philips à Caen. Des petits détails qui ont leur utilité pour éviter la casse et les vibrations. Même si ça fait vieillot ou rustique, ce n'est pas un hasard. En tout ça ça m'a confirmé dans ma façon de procéder pour la pose des baffles. L'encrage / peinture faible reflet avec une solution plastifiante, par contre, c'est une évolution ingénieuse de l'encre de chine (ou d'inde) qui est encore utilisée pour le bord des lentilles. Difficile de faire mieux et régulier que les pigments carbonés, de l'alcool et de la gomme-laque pour faire mince et insensible à l'humidité. Le résultat global est vraiment bon. On descend sous les 4% de réflexivité sans pour autant que ce soit poudreux comme certaines peintures récentes acryliques (les Black xxx)
  17. Toutes choses égales par ailleurs, les fuites ou la stabilité des huiles et/ou gels ou même colles utilisés ne sont plus un problème depuis assez longtemps. L'exemple de l'APQ conçue optoméchaniquement par les deux compères de Zeiss donnent un état de l'art lors de la puublication : "Karnapp, A ; Pudenz, J.: Das APQ-Objektiv 100/1000 - Ein neue Qualität in der astronomischer Optik. revue : Jenaer Rundschau 31, 140 (1986)" A vous lire je me demande si les barillets sont correctement conçus, une des méthodes modernes est de jointer avec des substances elastomères comme les RTV (certains sont utilisés comme silicones de moulage ou joint de vos salles de bains) Se référer aux publications de Daniel Vukobratovich (Optomechanical Design Principles. 1999) et de Paul R Yoder dans le Handbook of Optics de l'OSA, volume II, chapitre 6. Ensuite, je ne saurais dire si l'athermalisation est faite correctement. Un triplet huilé est censé mieux conduire la chaleur mais ça ne préjuge pas du tout du comportement dynamique qui ne se calcule pas de la même façon. Une réalisation standard actuelle (voir la vidéo juste à côté sur Takahashi) : mise en position et pose d'un joint sur un objectif de TOA. M'est avis qu'une bonne caisse alu-mousse et dessicant est encore la meilleure solution. Ensuite tu l'orientes debout couché ou la tête en bas si ça te chantes mais en tout cas pas à côté d'un radiateur
  18. Super video sur Takahashi

    (Tient donc, je ne savais pas que le moulage au sable à 600°C pouvait s'apparenter à la fonderie de l'acier à 1100°C.) Je ne connaissais pas cette version de la vidéo, merci.
  19. Lunette Takahashi FC 76

    Bonsoir Guillaume, je ne connaissais pas, merci pour la découverte. J'ai cherché un peu par rapport au besoin que tu as exprimé dans les différents posts, c'est une valeur sûre. Restera la monture mais probablement bien moins ruineuse que les plus grosses en 100mm.
  20. Takahashi TSA 120 versus TOA 130

    G8 est-ce pareil que GM8 ? parce que je monte régulièrement mon mak new de 12kg dessus pour du visuel et ç'est bien équilibré pour atteindre x400. est-ce l'équilibre du tube qui est en cause, par exemple du au poids de l'optique sur un seul côté ? NB : GM8 donnée pour 30 livres= 13.6 kg en visuel.
  21. Takahashi TSA 120 versus TOA 130

    Et encore la TSA-120 testée est loin d'être au mieux de ce qui est possible Sur-correction forte : perte de 8% de strehl.
  22. Takahashi TSA 120 versus TOA 130

    Dans les bonnes conditions d'éclairage, on peut photographier la rainure de la vallée des Alpes avec une 80mm et la voir à partir de 100mm Personnellement je n'ai pas eu l'occasion pour la TSA-120, et j'ai pas pensé à demander à jeter un oeil dans une TOA quand je suis aller récupérer une caméra Basler. C'est effectivement exceptionnel. Mars n'est pas facile avec une lunette apo. moderne, il n'y a guerre que les 4 ou 5 cadors des fabricants qui propose du matériel pour atteindre ce niveau de performance. La TAO 130 a beaucoup de marge sur ce type d'observation dans la plage couleur nécessaire pour Mars, plus encore que la TSA. Je n'ai eu qu'une fois l'occasion avec un instrument planétaire de 150mm de dépasser ce niveau de grossissement mais c'était en pleine tempête de sable lors de la dernière opposition : chou blanc pour les détails en surface. Il faut attendre la prochaine.
  23. Dommage en effet, je vais regarder si il lui reste des chutes.
  24. c'est normal, le coefficient conique entre linéairement en compte dans la formule du front d'onde de l'aberration sphérique qui impacte tout le champ. https://www.telescope-optics.net/two-mirror.htm#First Primaire (Aberration Sphérique, Coma, Astigmatisme) Secondaire (Aberration sphérique) Note pour la suite : D2 ~ kD1 (secondaire minimal) mais le ratio D2/R2 est proche de D1/R1 en restant supérieur pour faire sortir le foyer. Les coefficients de Ws2 sont pondérés par k par rapport à Ws1 => au premier regard, forte contribution du primaire à cause du terme en puissance 4. Les coniques des RC sont plus élevées (primaire hyperbolique/secondaire hyperbolique) que les cassegrains (parabolique/hyperbolique) et encore plus que les DK (elliptique/sphérique) Ps : j'ai été surprise qu'un primaire parabolique ne souffrait que du défocus dans l'axe (Ws1=0 pour K=-1). C'est le secondaire qui amène de l'aberration sphérique quand on change la distance s=d(M1,M2) Mais c'est logique sinon le newton simple avec miroir parabolique aurait des problèmes rien qu'avec le défocus. Pour l'aplanétique (le Ritchey - Chrétien aplanétic Cassegrain ), voici le calcul des coefficients (merci Schwarchild) Par convention : f1, f2, s et i sont négatifs, f, i' positif. m= magnification apportée par le secondaire (2.5 à 4 sur les RC) Note (cf schema cassegrain) : valeur absolue ( f2 + s ) > valeur absolue (f1) sinon ça marche pas m = -i'/i = -i f2 / (( i - f2 ) * (f1 -s )) = -i f2 / ( f1 -s - f2) * i => Obstruction k : Avec kd (taille minimum de secondaire) (0<k<1), d étant le diamètre de M1 En général k~0.25 pour m=4 (plutôt 0.28 pour un grand champ illuminé) A la louche : k est proche de 1/m et 1-k se rapproche de 1 si m augmente En reprenant l'aberration du miroir M1 primaire, formule générale aplanétique. C'est K1 +1 et un faible résiduel pour l'AS. => on enlève le -1 et on approxime 1-k ~1 en regardant WS1 ~> est entre -3.2/m3 et -2/m3 pour m=2.5, Ws1 ~ -0.213 m=4, Ws1 ~ -0.021 Apport du miroir secondaire M2 ; Notes : Ω-1=(m+1)/(m-1)=(2ρ/k)-1 => le premier terme négatif de la conique va s'annuler (approximation°) avec le terme (Ω-1)2 => en (m+1/m-1)2 du Ws2 il reste le 2eme terme qui est fort à m faible à cause de m-1 en dénominateur (mêmes approximations pour k en 1/m) mais en décroissance pour tendre vers -2/m2 m=2.5 => M2b ~ -2.47 m=4 => M2b ~ -0.37 même pondéré par k ~1/m ~0.4 (obstruction) => avec un RC c'est toujours la conique du secondaire qui importe le plus. Et donc : autour du point d'équilibre des deux Wsx, dés que tu fais varier la séparation : la conique pour rééquilibrer l'aberration sphérique bouge plus vite sur le RC que sur le Cassegrain et carrément minimaliste avec le DK.
  25. Infos sur Skyvision

    D'accord, je comprends mieux, vous souhaitez ajouter une contrainte de plus sur le bras articulé ? J'ai regardé la conception du Clément en triangle de bras, le positionnement dépend principalement de la déformation homogène des ressorts, c'est pas bête. Une conception avec un axe fermé sur le bras alors ? un peu comme le positionnement des tubes sur un dobson serrurier