jackbauer 2

Membre
  • Compteur de contenus

    9 657
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    33
  • Last Connexion

    Soon available - 78520

Messages posté(e)s par jackbauer 2


  1. Il y a 8 heures, Superfulgur a dit :

    Ils sont notre honte. Ils sont le pire. Ils sont la hideur. La vulgarité absolue dans sa robe de mort.
    Mais enfin, notre indignation ne va pas ici ... C'est un occidental riche et féru de "high-tech", donc un homme bien."

    (Aurélien Barrau)

     

     

    Le voilà le sujet, la signification profonde de son billet : la honte de soi, la haine de soi, la honte d'être occidental...


  2. Aurélien Barrau est un abruti complet. Je me souviens l'avoir entendu dans "La tête au carré" sur France Inter. Pas pour parler de ses travaux d'astrophysicien mais de son combat menant à faire interdire... de manger de la viande !
    Il débite ses conneries et, à un moment, le journaliste lui pose une question de bon sens : "Homo sapiens a de tout temps mangé de la viande, pourquoi faudrait-il désormais qu'il se l'interdise ?" ... et l'autre a cette réponse incroyable : "de tout temps l'homme a violé les femmes, est-ce que ça doit continuer ?"
    Voila, pour lui, violer les femmes et manger de la viande c'est pareil...

    • J'aime 1
    • Confus 2
    • Triste 1

  3. Il y a 1 heure, brizhell a dit :

    Je n'ai jamais eu malheureusement l'occasion de monter à l'OFXB, mais autant ce que tu nous en a montré que le commentaire de @LANTHA/Michaël me montre que je rate quelque chose. Il va falloir que je répare cela, mais le trajet cote Atlantique/Suisse est un peu difficile à caser dans mon emploi du temps.

     

    J'ajoute que le soir venu, la météo n'étant pas coopérative, la séance prévue d'observation a été remplacée par une visite de ce qui est peut-être le plus petit planétarium du Monde, dans le village de Saint-Luc. Confort garanti pour une virée  sur flots célestes ! 

    (photos J. Prelle)

     

     

    y1.jpg

    y2.jpg

    • J'aime 1
    • J'adore 1

  4. C'est good pour la mission :

     

    https://www.cieletespace.fr/actualites/a-seville-l-europe-renforce-son-engagement-dans-l-espace


    La mission Hera finalement financée


    La science spatiale obtient 1,7 milliard sur trois ans. À ce chapitre, bien que classée dans la catégorie « sécurité spatiale », la mission Hera, qui doit approcher l’astéroïde de 780 m de diamètre Didymos A, et qui jusque-là n’était pas financée, a finalement été adoptée. Cette sonde ira observer le petit satellite naturel de Didymos A, Didymos B (160 m de diamètre) qui aura été la cible d’un projectile lancé par la sonde américaine Dart en septembre 2022. Hera devrait être lancée en octobre 2024 et son objectif principal sera de mesurer le résultat de l’impact provoqué et d’obtenir pour la première fois des données sur les possibilités qui existent de dévier un astéroïde qui menacerait d’entrer en collision avec la Terre. Nous détaillons le principe de la mission Hera dans le Ciel & espace 568, p. 28, actuellement en kiosque.

    • J'aime 2

  5. A la lecture des compte rendus sur les sites de "ça se passe là-haut" et C&E, c'est vraiment une très belle découverte, étayée par deux années d'observations.

    C&E signale que l'étoile est observable par les amateurs :

     

    https://www.cieletespace.fr/actualites/decouverte-d-un-trou-noir-impossible-dans-la-voie-lactee

     

    extrait :
    Un astre observable par les amateurs
    L’étoile de type B qui gravite autour du trou noir est certes anonyme mais elle est assez brillante pour être observée par des amateurs. Elle se trouve dans la constellation des Gémeaux et atteint la magnitude 11,5, ce qui est visuellement accessible sans difficulté à tout télescope de 100 mm de diamètre. En photo, c’est encore mieux ! Nous avons recherché l’astre à partir de ses coordonnées galactiques données dans l’article scientifique et il semble que ce soit GSC 01877-00743, dont les coordonnées équatoriales sont : AD = 6 h 11,818 m et D = +22° 49,547’.

    • J'aime 2

  6. Les antennes radio du satellite relais dénommé Queqiao sont enfin déployées (avec difficulté ; lire le communiqué). L'instrument NCLE va essayer de capter les signaux de "l'âge des ténèbres"


    https://www.astronomie.nl/dutch-antennas-unfolded-behind-the-moon-73


    Traduction :


    Des antennes hollandaises déployées derrière la lune


    Les trois antennes du radiotélescope néerlando-chinois, qui se trouve actuellement derrière la lune, ont été déployées. Cela a été officiellement annoncé aujourd'hui par l'équipe néerlandaise. L’explorateur de basses fréquences néerlando-chinois (NCLE) a été mis en attente  dans l’espace pendant plus d’un an. Ce délai était plus long que prévu initialement, car le satellite de télécommunications qui l'accompagnait devait assister un atterrisseur lunaire chinois plus longtemps.
    Nuit lunaire de 14 jours
    Marc Klein Wolt, directeur général du Radboud Radio Lab et chef de l'équipe néerlandaise, est heureux: «Notre contribution à la mission chinoise Chang’e 4 a considérablement augmenté. Nous avons la possibilité d’effectuer nos observations au cours de la nuit de quatorze jours derrière la lune, ce qui est beaucoup plus long qu’à l’origine. La nuit lunaire est à nous, maintenant. "
    La semaine dernière, Klein Wolt s'est rendu en Chine avec l'ingénieur Eric Bertels du fabricant d'antennes ISISpace pour préparer le déploiement des antennes. Bertels: «Le lancement, il y a dix-huit mois, était déjà extrêmement palpitant, bien sûr, mais nous n'y avions aucune part. Maintenant que notre propre instrument était concerné, les choses étaient assez différentes. ”
    Albert-Jan Boonstra d'ASTRON est ravi de constater que les antennes ont été déployées après trois ans de travail acharné: «Il s'agit d'une démonstration unique de technologie qui ouvre la voie aux futurs instruments de radio dans l'espace."
    Instrument de radioastronomie d'origine néerlandaise dans l'espace
    Heino Falcke de l’Université Radboud et dirigeant scientifique du radio-télescope néerlando-chinois est impatient de mettre la main sur les premières mesures. «Nous sommes enfin à l'oeuvre et disposons d’un instrument de radioastronomie d’origine néerlandaise dans l’espace. L'équipe a travaillé d'arrache-pied et les premières données révéleront la performance réelle de l'instrument. »
    Le  séjour prolongé derrière la lune a probablement eu un effet sur les antennes. Au début, les antennes se déployaient sans heurts, mais à mesure que le processus avançait, cela devenait de plus en plus difficile. L’équipe a donc décidé de collecter d’abord les données et peut-être de déplier les antennes ultérieurement. Avec ces antennes plus courtes, l'instrument est sensible aux signaux de 800 millions d'années environ après le Big Bang. Une fois dépliés, ils pourront capter les signaux juste après le Big Bang.


    Netherlands-China Low Frequency Explorer
    L’explorateur des basses fréquences néerlando-chinois (NCLE) est un prototype de radiotélescope construit pour enregistrer les signaux radio faibles d’une période suivant le Big Bang, appelée l’âge des ténèbres. Ces signaux sont bloqués par l’atmosphère de la Terre. C’est pourquoi le télescope a été placé sur un satellite et placé derrière la lune.

    • J'aime 1

  7. ça commence à gueuler sec du côté des astronomes pros ; Un projet de la plus haute importance comme le LSST risque d'être impacté par le déploiement des constellations Starlink et autres.

     

    Traduction automatique :

     

    https://www.aura-astronomy.org/news/aura-statement-on-the-starlink-constellation-of-satellites/

     

    L'Association des universités pour la recherche en astronomie (AURA) est l'organisation qui gère les télescopes optiques / infrarouges au sol pour le compte de la National Science Foundation (NSF), existante ou en construction. Nous notons que le lancement des nombreux satellites du système Starlink (et d’autres similaires) peut avoir une incidence sur la qualité des observations disponibles depuis les installations astronomiques au sol.
    L'un de ces sites, le LSST en construction au Chili et géré par AURA dans le cadre d'un accord de coopération avec NSF, devrait débuter en imagerie à large champ du ciel en 2022. Le LSST créera un film couleur de l'univers. et, pour la première fois, l’humanité contemplera l’univers optique avec une vue panoramique dans l’espace et dans le temps. Cependant, alors que le LSST est presque terminé, le ciel sombre peut être partiellement masqué par de brillants satellites en orbite basse.
    L’équipe scientifique du projet LSST a simulé les impacts potentiels sur les observations LSST. Leur dernière mise à jour des résultats préliminaires de novembre 2019 indique que (en supposant le déploiement complet des satellites prévus) presque chaque exposition dans les deux heures suivant le coucher ou le coucher du soleil aurait une traînée de satellite. Pendant les mois d'été, l'impact sur l'observation du crépuscule pourrait être de 40% (moins en hiver) et la saturation des capteurs par les satellites pourrait durer bien après le crépuscule astronomique. En raison de la lumière dispersée dans l'optique par les satellites brillants, l'utilité scientifique d'une exposition entière peut parfois être annulée. La détection des astéroïdes proches de la Terre, généralement recherchés pendant le crépuscule, serait particulièrement affectée. Les enquêtes sur l’énergie noire sont également sensibles aux satellites en raison des traînées causées aux images. Éviter la saturation des traînées est essentiel. L’équipe du LSST note que «pour la totalité de la constellation Starlink, à tout moment de la nuit, plus de 200 satellites en orbite terrestre basse (LEO) seront visibles. Ce nombre augmentera d’ici au milieu des années 2020 avec l’ajout de nouvelles constellations planifiées de satellites LEO. »
    L'impact des constellations de satellites sur d'autres télescopes au sol à champs larges, à longues expositions et / ou sur des pipelines de traitement de données moins sophistiqués peut être aussi important que l'impact sur le LSST.

    • J'aime 2

  8. 9_9

     

    Je remet la réponse que j'avais fait à Huitzi pour combler ton ignorance :

     

    "...Pour sonder Khéops sans y percer le moindre trou, on a fait appel à trois équipes de « muographes », deux japonaises et une française. Tout comme les photographes recueillent les photons, les grains de lumière, les « muographes » sont les physiciens qui exploitent les propriétés d’un autre genre de particules, les muons. Aussi appelés « électrons lourds » en raison de leur charge électrique négative, ils naissent dans les cascades de particules que provoquent les collisions continuelles entre les rayons cosmiques venus de l’espace et les atomes de la haute atmosphère..."

     

    • J'aime 2

  9. https://www.businessinsider.fr/le-patron-darianespace-estime-quelon-musk-veut-coloniser-lorbite-basse-avec-sa-mega-constellation-de-satellites-starlink/

     

    Le patron d'Arianespace estime qu'Elon Musk veut coloniser l'orbite basse avec sa méga-constellation de satellites Starlink

     

    Avec son projet de méga-constellation Starlink, qui devrait à terme être composée de 42 000 micro-satellites, Elon Musk et SpaceX seraient en train de coloniser l'orbite basse terrestre située entre 500 et 2 000 kilomètres d'altitude, d'après Stéphane Israël, PDG d'Arianespace interrogé au micro de France Inter ce vendredi 22 novembre 2019. Le patron du constructeur aéronautique européen a déclaré : "Son projet, c'est d'être le constructeur, le lanceur et l'opérateur de 40 000 satellites et donc c'est un projet de monopolisation du secteur et de colonisation de l'orbite basse."
    (...)
    SpaceX a commencé à travailler sur la désorbitation d'une poignée de ses satellites expérimentaux Starlink, par l'intermédiaire d'un moteur embarqué appelé propulseur à effet Hall. L'objectif à terme serait de pouvoir rediriger les satellites vers l'atmosphère terrestre pour qu'ils s'y désintègrent totalement sans devenir ou causer des débris spatiaux. Ces expériences ne sont toutefois pas sans risque : le satellite Starlink numéro 44 a failli entrer en collision avec un satellite Aeolus de l'Agence spatiale européenne (ESA) en septembre dernier.

     

     

    Un autre lien :

     

    https://www.industrie-techno.com/article/spacex-met-en-orbite-60-nouveaux-satellites-de-sa-constellation-starlink.57969

     

    SpaceX indique avoir augmenté la capacité du spectre pour les utilisateurs finaux à travers des mises à jour dans la conception qui maximisent l’utilisation de bandes de fréquences Ka et Ku. L’entreprise ajoute que tous les composants de ses satellites sont capables de se dégrader à 100 % dans l’atmosphère terrestre à la fin de leur vie, ou s’ils sont désorbités au cas où ils ne fonctionneraient pas correctement. Une avancée par rapport aux modèles lancés en mai dernier où seulement 95% des composants étaient « dégradables » dans l’atmosphère.

    • J'aime 1

  10. il y a 56 minutes, Tyco a dit :

    Donc ce projet me parait plus là pour séduire les investisseurs et faire de la levée de fonds...  L'avenir le dira...

    Aujourd'hui, le projet ne fait que lancer des démonstrateurs.... il ne faut pas s'enflammer pour la suite...

     

    :D

    Ah bin tout va bien alors ! Et les astronomes pros qui commençaient à paniquer : déjà 120 lancés, un millier dans 1 an : pas de quoi s'inquieter...