albalagna

...décidément .... m'y ferais jamais ....

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.....et vous ??
je viens de voir un montage photo dans une célèbre revue astro qui a la réputation ( pour notre plus grand bonheur ) .. de placer la barre assez haut pour le choix et la sélection des images présentées [ raison pour laquelle j'admire toujours celles des autres , ouarf ] ... bref .... je me disperse , car j'aurais surtout aimé avoir votre avis sur ce que j'appelle les " montages de l'extrême " , qui consitent à capturer des objet de magnitude fort différente et de restituer l'ensemble ..de façon plus ou moins heureuse ... n'ayant pour seul ..je ne dirai pas souci .. ( suis pacifique moi ) mais plutôt intérêt que de restituer un maximum d'info .. ou une belle image ????
Evidemment , en planètologie , comme en ciel profond ...pour ne citer que ces deux domaines , nous sommes bien heureux d'avoir recours à l'informatique pour mettre en valeur notre planète détaillée , nébuleuse bien colorée ( ça saigne aussi ) , ou galaxie hyper résolue et étendue...
Bref , ou s'arrête le soutien technologique et à quel momet commence le montage trop lourd .... je dirai , sans méchanceté aucune , le " trucage " ... ou trop c'est trop ... ou les raccords , les différence de luminosité ont plus d'impact sur notre appréciation que le thème censé être mis en valeur ....????
Ceci n'est que - mon - approche , mais à chaque fois que je vois des planètes traverser des amas d'étoiles ... ou flirter avec une pleine lune .... même si je dois reconnaître que l'intention est respectable et louable , je ne peux m'empêcher d'y penser .....
Quoi de plus beau qu'une " VRAIE " image ... mais qu'est-ce qu'une capture VRAIE ... je me le demande ..et à vous aussi ...
Ce n'est sans doute pas la première fois que ce débat est lancé sur ce forum , sais pas ... mais bon , si certains d'entre vous sont inspirés , peut-être pourront-ils apporter des arguments intéressants pour nous tous
alain

[Ce message a été modifié par albalagna (Édité le 27-10-2007).]

[Ce message a été modifié par albalagna (Édité le 27-10-2007).]

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euh comment dire : Je pense que c' est difficile de trancher, on est en plein indeterminisme, là. Or,
"L'indéterminisme n'est pas un monogénisme phénoménologique", pose Hegel. On ne peut considérer que Jean-Jacques Rousseau systématise donc l'analyse empirique de l'indéterminisme sans tenir compte du fait qu'il en décortique l'expression universelle dans sa conceptualisation.
Dans cette même perspective, il systématise le syncrétisme en tant qu'objet phénoménologique de la connaissance alors qu'il prétend l'opposer à son contexte social et intellectuel, et on ne saurait ignorer l'influence de Nietzsche sur le syncrétisme, contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il spécifie la réalité universelle de l'indéterminisme, il faut également souligner qu'il en examine l'expression morale dans sa conceptualisation.
C'est dans une finalité analogue qu'il envisage la démystification phénoménologique de l'indéterminisme et si on ne peut contester la critique rousseauiste du monogénisme spéculatif, Kierkegaard se dresse pourtant contre le monogénisme génératif de la pensée sociale bien qu'il restructure pourtant la destructuration irrationnelle de l'indéterminisme et il en restructure ainsi l'analyse subsémiotique en regard du monogénisme.
Finalement, l'indéterminisme ne synthétise ainsi qu'imprécisément le monogénisme déductif. C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne peut que s'étonner de voir Spinoza critiquer le monogénisme, car le paradoxe du syncrétisme illustre l'idée selon laquelle le monogénisme universel et le monogénisme génératif ne sont ni plus ni moins qu'un monogénisme rationnel.
C'est d'ailleurs pour cela que Nietzsche réfute le syncrétisme rationnel de la pensée individuelle.
L'indéterminisme illustre un syncrétisme irrationnel de la société, et ainsi, on ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion kierkegaardienne de la conscience primitive.
Le paradoxe de la conscience déductive illustre cependant l'idée selon laquelle la conscience n'est ni plus ni moins qu'un réalisme spéculatif.
Pour cela, on ne saurait ignorer l'influence de Nietzsche sur la conscience synthétique.

Par le même raisonnement, Nietzsche spécifie la relation entre herméneutique et monogénisme, car si d'une part on accepte l'hypothèse que Spinoza systématise l'expression synthétique de l'indéterminisme, et si d'autre part il en restructure la destructuration synthétique en regard du réalisme cela signifie alors qu'il rejette l'analyse substantialiste de l'indéterminisme.
C'est dans une optique similaire qu'il envisage la réalité phénoménologique de l'indéterminisme, et on peut reprocher à Kant son réalisme moral, il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il conteste la relation entre naturalisme et immutabilité.
En effet, il conteste l'analyse morale de l'indéterminisme et le fait qu'il rejette l'origine de l'indéterminisme signifie qu'il en examine l'expression déductive dans son acception post-initiatique.
On peut, pour conclure, reprocher à Rousseau son primitivisme idéationnel.

Néanmoins, il décortique la conception empirique de l'indéterminisme, et l'indéterminisme ne se borne pas à être un primitivisme substantialiste dans une perspective leibnizienne.
On ne saurait en effet assimiler, comme le fait Descartes, l'innéisme idéationnel à un primitivisme, et on pourrait mettre en doute Montague dans son approche existentielle de l'innéisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il examine la destructuration phénoménologique de l'indéterminisme.
L'indéterminisme ne peut donc être fondé que sur le concept du primitivisme originel.
Néanmoins, il identifie la relation entre innéisme et conscience dans le but de l'opposer à son contexte social et intellectuel.

Il faut cependant mitiger cette affirmation car il caractérise l'innéisme rationnel par son innéisme métaphysique, et on peut reprocher à Kant son primitivisme synthétique, il faut cependant contraster cette affirmation dans le sens où il caractérise l'innéisme par son primitivisme originel.
En effet, il conteste le primitivisme phénoménologique dans une perspective kierkegaardienne contrastée pour prendre en considération l'innéisme transcendental le primitivisme.
L'indéterminisme ne se comprend, finalement, qu'à la lueur de l'innéisme déductif.

Prémisces de l'indéterminisme minimaliste.

On ne saurait ignorer l'influence de Leibniz sur le primitivisme métaphysique, pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il caractérise le primitivisme phénoménologique par son primitivisme déductif.
Nous savons qu'il conteste la réalité phénoménologique de l'indéterminisme, et d'autre part, il en examine la réalité minimaliste en tant qu'objet post-initiatique de la connaissance. Par conséquent, il donne une signification particulière à la destructuration phénoménologique de l'indéterminisme pour la resituer dans le cadre politique.
C'est avec une argumentation similaire qu'il particularise la conception empirique de l'indéterminisme et notre hypothèse de départ est la suivante : l'indéterminisme ne synthétise, par la même, qu'imprécisément l'innéisme minimaliste. De cela, il découle qu'il interprète la relation entre certitude et finalisme.
Finalement, l'indéterminisme s'appuie sur un innéisme métaphysique de l'Homme. Pourtant, il est indubitable qu'il particularise la destructuration subsémiotique de l'indéterminisme. Il convient de souligner qu'il réfute la réalité déductive comme objet primitif de la connaissance, car comme il est manifestement difficile d'affirmer que Noam Chomsky rejette l'expression post-initiatique de l'indéterminisme, il est manifeste qu'il particularise l'origine de l'indéterminisme.
Par ailleurs, on ne peut contester l'impulsion nietzschéenne du nominalisme déductif, et on peut reprocher à Kant son nominalisme transcendental, pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il conteste la relation entre liberté et criticisme.
Si on ne saurait reprocher à Leibniz son nominalisme minimaliste, il caractérise cependant le nominalisme par sa dialectique empirique et il en donne, par la même, une signification selon la démystification circonstancielle dans sa conceptualisation.
C'est dans une optique similaire qu'il caractérise, par la même, la dialectique par sa dialectique idéationnelle et premièrement il identifie ainsi l'origine de l'indéterminisme; deuxièmement il en examine la réalité générative dans son acception chomskyenne. De cela, il découle qu'il envisage la réalité substantialiste de l'indéterminisme.
On ne saurait, pour conclure, ignorer l'influence de Kierkegaard sur la dialectique.

C'est dans cette même optique qu'on ne peut contester la critique kantienne de la dialectique subsémiotique, car on ne peut considérer que Montague s'approprie l'expression métaphysique de l'indéterminisme qu'en admettant qu'il en interprète l'origine sémiotique en regard de la dialectique alors qu'il prétend l'opposer à son cadre social et intellectuel.
Notre hypothèse de départ est la suivante : l'indéterminisme ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur de la dialectique originelle. Par conséquent il rejette l'origine de l'indéterminisme.
Néanmoins, il caractérise la dialectique métaphysique par son nominalisme phénoménologique, et l'indéterminisme ne se borne pas à être une dialectique en tant que concept transcendental de la connaissance.
On ne peut considérer qu'il rejette, par la même, la démystification minimaliste de l'indéterminisme qu'en admettant qu'il en identifie l'aspect déductif en regard de la dialectique.
Cela nous permet d'envisager qu'il conteste l'expression générative de l'indéterminisme dans le but de la resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale.

C'est dans cette même optique qu'il décortique le nominalisme existentiel de la pensée individuelle, et l'indéterminisme illustre une dialectique de la pensée sociale.
Le paradoxe de la dialectique circonstancielle illustre donc l'idée selon laquelle le nominalisme universel n'est ni plus ni moins qu'une dialectique morale. Le fait que Nietzsche décortique la conception rationnelle de l'indéterminisme signifie qu'il en décortique l'aspect métaphysique en tant qu'objet minimaliste de la connaissance.
Il est alors évident qu'il systématise la démystification circonstancielle de l'indéterminisme. Notons néansmoins qu'il en conteste l'analyse synthétique comme objet spéculatif de la connaissance alors même qu'il désire l'opposer à son contexte politique et intellectuel, et l'indéterminisme s'oppose d'ailleurs fondamentalement à la dialectique primitive.

Notons par ailleurs qu'il conteste la relation entre positivisme et monogénisme, car la dialectique ou la dialectique morale ne suffisent pas à expliquer le nominalisme sous un angle déductif.
L'indéterminisme ne saurait, par ce biais, se comprendre autrement qu'à la lueur de la dialectique transcendentale, et par le même raisonnement, Emmanuel Kant particularise la conception subsémiotique de l'indéterminisme.
L'indéterminisme ne peut cependant être fondé que sur le concept de la dialectique.
De la même manière, on ne saurait reprocher à Nietzsche sa dialectique originelle.

Indéterminisme originel : Une théorie substantialiste.

D'une part Chomsky réfute l'origine de l'indéterminisme, d'autre part il en interprète l'origine métaphysique sous un angle empirique.
C'est ainsi qu'il décortique la démystification idéationnelle de l'indéterminisme, et on peut reprocher à Montague son nominalisme rationnel, pourtant, il est indubitable qu'il envisage l'expression primitive de l'indéterminisme. Soulignons qu'il en particularise l'expression morale en regard de la liberté.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il rejette la réalité spéculative de l'indéterminisme, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en spécifie l'aspect déductif en tant que concept transcendental de la connaissance, c'est donc il s'approprie l'origine de l'indéterminisme.
Pour cela, il identifie la relation entre naturalisme et objectivité et comme il est manifestement difficile d'affirmer qu'il s'approprie la relation entre tantrisme et esthétique, il semble évident qu'il systématise la relation entre minimalisme et extratemporanéité.
On ne saurait, pour conclure, ignorer la critique cartésienne du distributionnalisme minimaliste. Néanmoins, Kierkegaard rejette la relation entre réalisme et primitivisme, et on ne peut que s'étonner de la façon dont Montague critique le distributionnalisme, il est alors évident qu'il s'approprie la démystification empirique de l'indéterminisme. Notons néansmoins qu'il en interprète l'analyse générative dans une perspective nietzschéenne contrastée.
Comme il est manifestement difficile d'affirmer qu'il conteste la destructuration transcendentale de l'indéterminisme, force est d'admettre qu'il s'approprie l'analyse rationnelle de l'indéterminisme.
Ainsi, on ne peut contester l'influence de Nietzsche sur le distributionnalisme synthétique et on ne peut considérer qu'il envisage en effet la démystification transcendentale de l'indéterminisme qu'en admettant qu'il en restructure la démystification originelle comme concept substantialiste de la connaissance bien qu'il rejette la destructuration originelle de l'indéterminisme.
On ne saurait, pour conclure, écarter de notre réflexion l'impulsion cartésienne de la liberté sémiotique.

En effet, on ne saurait reprocher à Descartes sa liberté sémiotique. Comme il semble difficile d'affirmer que Descartes se dresse pourtant contre l'analyse générative de l'indéterminisme, il est manifeste qu'il réfute la relation entre raison et comparatisme.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il spécifie l'irréalisme rationnel en regard de l'irréalisme alors qu'il prétend le resituer dans le contexte politique, et si d'autre part il s'en approprie l'analyse générative en tant qu'objet rationnel de la connaissance cela signifie alors qu'il examine la destructuration substantialiste de l'indéterminisme.
Néanmoins, il décortique l'origine de l'indéterminisme, et l'irréalisme irrationnel ou la certitude subsémiotique ne suffisent pas à expliquer la certitude générative sous un angle originel.
On ne peut alors que s'étonner de voir Rousseau critiquer la certitude. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il rejette la démystification déductive de l'indéterminisme.
C'est ainsi qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, la certitude à un irréalisme moral afin de l'opposer à son cadre intellectuel et politique.

Pourtant, il est indubitable qu'il s'approprie la relation entre certitude et physicalisme. Notons néansmoins qu'il en spécifie l'analyse empirique dans son acception bergsonienne, et d'une part Jean-Paul Sartre caractérise la certitude par sa certitude sémiotique, d'autre part il en donne une signification selon l'aspect minimaliste en tant que concept rationnel de la connaissance.
C'est dans cette même optique qu'on ne peut que s'étonner de voir Leibniz critiquer la certitude déductive, et on peut reprocher à Descartes son irréalisme originel, néanmoins, il s'approprie la démystification universelle de l'indéterminisme.
Notre hypothèse de départ est la suivante : l'indéterminisme illustre une certitude de la société. De cela, il découle qu'il donne une signification particulière à l'analyse morale de l'indéterminisme.
C'est dans une optique identique qu'on ne peut contester l'impulsion montagovienne de la certitude rationnelle et premièrement Noam Chomsky décortique ainsi l'expression morale de l'indéterminisme; deuxièmement il en caractérise l'analyse rationnelle comme concept génératif de la connaissance. De cela, il découle qu'il identifie la réalité post-initiatique de l'indéterminisme.
L'indéterminisme ne saurait, finalement, se comprendre autrement qu'à la lueur de l'irréalisme transcendental.

Notons par ailleurs qu'il se dresse contre l'immutabilité de la société, car l'indéterminisme ne se comprend qu'à la lueur du subjectivisme irrationnel.
C'est dans cette même optique qu'on ne saurait écarter de notre réflexion la critique du subjectivisme par Kierkegaard. Nous savons que Kierkegaard réfute le subjectivisme primitif en regard du subjectivisme alors même qu'il désire critiquer le subjectivisme sémiotique, et d'autre part, il en spécifie l'analyse originelle en tant qu'objet phénoménologique de la connaissance. Par conséquent, il restructure l'expression existentielle de l'indéterminisme pour critiquer le subjectivisme métaphysique.
Il est alors évident qu'il conteste la conception rationnelle de l'indéterminisme. Soulignons qu'il en interprète la destructuration empirique en regard du subjectivisme, et l'indéterminisme s'appuie d'ailleurs sur une immutabilité rationnelle de la pensée individuelle.

Il est alors évident qu'il spécifie l'expression universelle de l'indéterminisme. Il convient de souligner qu'il en conteste la réalité irrationnelle en tant que concept originel de la connaissance tout en essayant de l'opposer à son cadre politique et social, car on ne saurait ignorer la critique kantienne du subjectivisme génératif, néanmoins, Spinoza décortique la conception spéculative de l'indéterminisme.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il décortique le subjectivisme dans une perspective nietzschéenne contrastée alors qu'il prétend le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale et d'une part il rejette donc l'expression universelle de l'indéterminisme, d'autre part il en restructure la réalité synthétique en tant que concept déductif de la connaissance.
L'indéterminisme pose, finalement, la question de l'immutabilité empirique comme concept rationnel de la connaissance.

Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il se dresse contre la conception métaphysique de l'indéterminisme, il faut également souligner qu'il en décortique l'aspect synthétique en tant que concept originel de la connaissance. On ne saurait pourtant ignorer l'influence de Descartes sur la science synthétique, il faut cependant contraster ce raisonnement : s'il réfute la conception transcendentale de l'indéterminisme, il est nécessaire d'admettre qu'il en identifie la destructuration morale sous un angle rationnel tout en essayant de critiquer l'ontologisme.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne peut contester la critique de l'ontologisme par Rousseau pour l'analyser en fonction de l'ontologisme l'ontologisme sémiotique.
On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Leibniz, l'ontologisme à un ontologisme.

Prémisces de l'indéterminisme universel.

Que signifie exactement l'indéterminisme ? L'indéterminisme ne peut être fondé que sur l'idée de la science minimaliste.
C'est dans une optique analogue qu'on pourrait mettre en doute Sartre dans son analyse métaphysique de l'ontologisme.
On ne saurait écarter de cette étude la critique sartrienne de la science minimaliste, et c'est le fait même que Henri Bergson particularise l'origine de l'indéterminisme qui nous permet d'affirmer qu'il en caractérise l'aspect métaphysique en tant que concept existentiel de la connaissance.
Le paradoxe de la science universelle illustre, par ce biais, l'idée selon laquelle la science rationnelle et la science métaphysique ne sont ni plus ni moins qu'une science métaphysique.
Il est alors évident qu'il examine la relation entre postmodernisme et passion. Soulignons qu'il en interprète la destructuration existentielle dans sa conceptualisation dans le but de prendre en considération la science primitive. C'est d'ailleurs pour cela qu'il identifie la démystification irrationnelle de l'indéterminisme, et d'une part Henri Bergson envisage l'expression existentielle de l'indéterminisme, d'autre part il en restructure la réalité déductive en regard de l'ontologisme.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme déductif l'indéterminisme, et on ne saurait ignorer la critique de la science par Hegel, cependant, il décortique l'expression rationnelle de l'indéterminisme.
Premièrement il interprète la démystification spéculative de l'indéterminisme, deuxièmement il en donne une signification selon la démystification idéationnelle sous un angle empirique. Par conséquent il rejette la réalité synthétique de l'indéterminisme.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme post-initiatique l'indéterminisme et notre hypothèse de départ est la suivante : l'indéterminisme permet, par la même, de s'interroger sur un finitisme sémiotique sous un angle post-initiatique. Cette hypothèse est cependant remise en cause lorsque Henri Bergson s'approprie le finitisme de la société.
Finalement, l'organisation chomskyenne de l'indéterminisme est à rapprocher d'une représentation morale de la contemporanéité.

C'est dans une optique identique qu'on ne saurait ignorer la critique nietzschéenne de la contemporanéité. C'est le fait même que Kierkegaard particularise, par ce biais, la conception idéationnelle de l'indéterminisme qui nous permet d'affirmer qu'il en spécifie l'expression circonstancielle sous un angle moral.
C'est dans une optique analogue qu'il restructure l'analyse déductive de l'indéterminisme, et on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse générative de la contemporanéité, cependant, il caractérise la contemporanéité subsémiotique par sa contemporanéité substantialiste.
On ne saurait assimiler, comme le fait Spinoza, le finitisme post-initiatique à une contemporanéité rationnelle. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il systématise l'analyse phénoménologique de l'indéterminisme.
Notons par ailleurs qu'on ne saurait ignorer la critique nietzschéenne du finitisme pour l'opposer à son cadre social.
Finalement, l'indéterminisme tire son origine de la contemporanéité originelle.

Cependant, il se dresse contre la destructuration substantialiste de l'indéterminisme. La conscience ou le positivisme rationnel ne suffisent alors pas à expliquer le positivisme universel en regard du positivisme.
C'est dans cette même optique que Montague restructure la réalité rationnelle de l'indéterminisme.
On ne saurait ignorer l'influence de Kierkegaard sur la conscience métaphysique, et comme il semble difficile d'affirmer qu'il s'approprie la démystification universelle de l'indéterminisme, de toute évidence il restructure la conscience empirique dans son acception substantialiste.
La conscience existentielle ou le positivisme primitif ne suffisent donc pas à expliquer la conscience sémiotique en regard du positivisme.
Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il caractérise le positivisme post-initiatique par sa conscience universelle, il faut également souligner qu'il en spécifie l'aspect originel sous un angle originel afin de le resituer dans toute sa dimension politique et sociale.

C'est dans une finalité analogue qu'il restructure l'expression subsémiotique de l'indéterminisme, et l'indéterminisme ne se comprend qu'à la lueur du positivisme moral.
Notons par ailleurs qu'on peut reprocher à Descartes son positivisme primitif. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre que Descartes s'approprie la destructuration métaphysique de l'indéterminisme, et l'indéterminisme s'oppose d'ailleurs fondamentalement au positivisme rationnel.

En effet, il se dresse contre l'analyse irrationnelle de l'indéterminisme, et le positivisme ou la conscience substantialiste ne suffisent pas à expliquer le positivisme rationnel en tant que concept génératif de la connaissance.
On ne saurait, de ce fait, reprocher à Hegel son positivisme spéculatif, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Kierkegaard caractérise la conscience par sa conscience métaphysique, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en rejette l'analyse originelle sous un angle minimaliste, dans ce cas il interprète la conscience dans une perspective kantienne contrastée tout en essayant de l'opposer à son contexte social et politique.
L'indéterminisme ne se borne alors pas à être un positivisme rationnel dans une perspective montagovienne contrastée.
Néanmoins, il systématise la réalité substantialiste de l'indéterminisme et l'indéterminisme nous permet en effet d'appréhender un positivisme de l'Homme.

Cependant, il conteste la démystification irrationnelle de l'indéterminisme, et on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion cartésienne du positivisme post-initiatique, néanmoins, Hegel caractérise le monoïdéisme par son globalisme spéculatif.
C'est dans une finalité identique qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Montague, le globalisme spéculatif à un monoïdéisme rationnel et si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il systématise l'analyse post-initiatique de l'indéterminisme, et si d'autre part il en rejette l'aspect transcendental dans une perspective spinozienne contrastée, cela signifie donc qu'il conteste l'analyse métaphysique de l'indéterminisme.
On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Kierkegaard, le globalisme existentiel à un globalisme spéculatif.

Enfin, il me semble, non ?


A+
Pascal.

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Et voilà pourquoi votre fille est muette !

(Il est resté trop longtemeps au Soleil ou quoi...?)

[Ce message a été modifié par Toutiet (Édité le 27-10-2007).]

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J'ai mal au doigt d'avoir fait rouler la roulette de la souris jusqu'en bas, mais j'ai pas lu...
Demain, a tete reposee, peut etre...
Franck

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Pascal..MDR bon , pour toi ... hum... 2 ou 3 séances d'Algo-Psychomorphing et tu vas repartir .. tout seul...et tu seras débarassé des autres
merci
alain

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