DOLGULDUR

Membre
  • Compteur de contenus

    494
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Last Connexion

    Soon available - 41274

Messages posté(e)s par DOLGULDUR


  1. il y a une heure, jldauvergne a dit :

    Oui c'est ça c'est de la diffraction. 
    Si tu forces les seuils tu vois un genre d'anneau de diffraction autour de la planète et du globe. La bonne nouvelle c'est qu'il est très homogène et de même luminosité partout, donc le télescope est très bien aligné (et il est bon mais ça je le savais déjà). 
    Si quelqu'un sait comment limiter l'impact de ces effets de diffraction sur l'anneau, je suis preneur :)
    Mais bon c'est les lois de l'optique, ce n'est qu'un 250, à un moment on peut chercher la petite bête, mais on est rappelé à la réalité par les lois de l'optique. 

     

     

    Si ces artefacts sont dus a la reponse instrumentale tu dois pouvoir essayer de les attenuer a l'aide d'une reference de reponse impulsionnelle (reelle, voire simulee en faisant un fit sur la version reelle) et d'un algo de deconvolution. L'image etant visiblement assez peu bruitee dans les hautes frequences ca peut etre une experience assez interessante.

    • J'aime 1

  2. Pour info, il existe une API opensource et tres prometteuse qui permet a priori de faire ce que fait astroplanner: https://github.com/astropy/astroplan

    Cette librairie permets de gerer (entre autres): AirmassConstraint, MoonSeparation, Twilight, et permet de definir des contraintes arbitraires (penalisation ponderee ou bien binaires go/nogo), comme l'horizon local, etc...

    Etant donne ces contraintes, le solveur fourni un plan d'observation optimal.

     

    J'ai realise une petite application proof of concept dont j'etais assez satisfait a l'epoque. Un exemple de ce qu'on peut faire en imagerie: scheduler les luminances avec le meilleur airmass, et la meilleur moon separation, et garder les slots couleurs pour "combler" le reste de la nuit.

    L'equipe du MMTO avait realise un super travail pour rajouter un tas de features a ce logiciel: http://spie.org/Publications/Proceedings/Paper/10.1117/12.2309295?SSO=1

    Autre exemple, le scheduler est utilise pour scheduler des runs d'observation d'un observatoire australien pro destine a la detection de faint galaxies:  https://github.com/AstroHuntsman/huntsman-pocs

     

    Pour trouver automatiquement des etoiles de references avec le bon type spectral, il y a un outil superbe: les bindings python de astropy pour le servier vizieR:

    Tutoriel pour utiliser vizieR (a la main): http://cds.u-strasbg.fr/tutorials/#vizierTutorials

    En python, on peut recuperer un type spectral / une region / une magnitude et surtout une combinaison de ces contraintes: https://astroquery.readthedocs.io/en/latest/vizier/vizier.html?highlight=vizier#specifying-keywords-output-columns-and-constraints-on-columns

     

    Je serai heureux d'echanger sur le sujet au stage Spectro OHP, car j'ai encore enormement a apprendre sur le sujet (et a realiser).


  3. Le protocole serie est opensource  (Je n'arrive plus a retrouver les sources officielles). Mais a une epoque il l'etait.

    Sous reserve que le firmware sois toujours le meme, il y a des clients qui trainent sur le net:

     

    En C++

    https://github.com/indilib/indi/tree/master/3rdparty/indi-aagcloudwatcher

    https://github.com/indilib/indi/tree/master/3rdparty/indi-aagcloudwatcher/docs

     

    en python

    https://github.com/panoptes/POCS/blob/develop/peas/weather.py

     

    Je cherche desesperement ce type de materiel d'occase depuis un moment, mais des qu'il y en a un a prix raisonnable sur les PA, il part en un temps record :(

     

    • J'aime 1

  4. il y a 23 minutes, FroggySeven a dit :

    ça peut s'automatiser pour devenir complètement transparent pour l'utilisateur

     

    Cette technique est valable pour certaines application d'imagerie, et d'ailleurs elle a ete implementee telle quelle dans un projet de photometrie / recherche d'exoplanete: https://github.com/panoptes/POCS/blob/develop/pocs/observatory.py#L446

    Par contre, il ne faut pas esperer (pour l'instant) de corrections hautes frequence, et / ou rattraper une monture ayant des derive par temps de pose unitaire qui depassent de loin l'echantillonage.

    Ainsi je pense que le terme de rattrapage est un peu plus adapte que guidage.

    • Merci 1

  5. edit.

    Tu as déjà un miroir parabolique à f2.85 ?

    Et une structure qui permet de maintenir tout ça collimaté (invar ?)

     

    Rien que ça est déjà sacrément impressionnant, tu compte imager au foyer primaire ou secondaire ?

     

    Une caméra au foyer primaire peut éventuellement te faire gagner un peu en luminosité (j'imagine que le secondaire doit générer une sacré obstruction à f2.85.

     

    Bon ça ne règle pas les problèmes d'échantillonage par contre.

     

    Tu peux peut être emprunter le matériel à quelqu'un pour évaluer la pertinence d'un tel èchantillonage pour ton seeing

     

    • J'aime 2

  6. Je pense que @FroggySeven mets le doigt sur un point assez interessant.

    L'explication sur les multiples images fantomes n'a pas l'air aussi triviale que ca (en tout cas pour moi, qui n'ai pas une grande experience en "differential topology"):  https://en.wikipedia.org/wiki/Odd_number_theorem

     

    Si je comprends bien, l'une des images est directe, et les trois autres sont des fantomes, de nombre impair ?

    Edit: ah oui, en fait c'etait evident sur la figure reproduite @jackbauer 2

    • Merci 1

  7. Celui là a l'air d'envoyer du paté:

    https://www.teleskop-express.de/shop/product_info.php/language/en/info/p4685_ASA-2-inch-Newton-Coma-Corrector-and-0-73x-Reducer-for-Astrophotography.html

     

    Je crois que quelques personnes ici l'utilisent avec succès sur des f/4, mais sur un f3.3 je ne connais pas de retour. (il est donné jusqu'à f3, mais le diamètre corrigé doit être réduit)

    • J'aime 1
    • Merci 1

  8. @FroggySeven il y a toujours une partie du flux qui disparait dans les zones non sensibles du capteur.

     

    Par contre, ce n'est pas du aux "imperfections" de la geometrie de l'optique si le rendu d'une etoile n'est pas ponctuel, une optique de taille finie, parfaite a tous les points de vue donnerai quand meme une tache de diffraction, et cela est du a la nature meme de la lumiere: https://media4.obspm.fr/public/ressources_lu/pages_optique-ondulatoire/oo-diffraction_impression.html

     

    Dans l'absolu, la tache de diffration a un support infini, donc si ton pixel a une surface finie, il viendra intercepter (en integrant le hasard quantique, sur un temps suffisamment long) une partie du flux, quelle que soit ton optique.

    Dans la pratique, je ne sais pas quelle partie du support on retient pour definir le diametre de la tache d'Airy (premier, second lobe, % du flux total integre ?), mais apparemment pour des longueurs d'onde du visible et des instruments d'amateur je pense qu'on reste sur des valeurs bien superieures a a la taille "inter" pixel, sinon cela voudrait dire qu'on a mal choisi son echantillonage.

     

    Mais dans une certaine mesure, tu as raison, on peut imaginer qu'un telescope suffisamment grand, et suffisamment parfait, en prenant des longueur d'ondes tres faibles (UV, X ? Gamma ?) aura une tache de diffraction qui finira par devenir suffisamment riquiqui pour que l'essentiel tombe en dehors du seau ^^

    • Haha 1

  9. il y a une heure, Roch a dit :

    peut-on, par une transformation mathématique exacte, transformer notre image prise au 250mm en l'image prise avec le 200mm ? ( sans connaitre l'image originale évidemment )

     

    En fait il faudrait preciser le cadre theorique ici (continue, discret, quantifie), certaines choses se font bien de maniere analytique, mais sont plus subtiles dans le domaine discret. Selon qu'on utilise l'analyse dans le monde continu, ou l'algebre dans le monde discret, on peut meme carrement avoir des reponses differentes.

     

    Dans une approche simpliste, si on considere que l'instrument peut etre defini uniquement par sa psf, et qu'on connait parfaitement la psf des deux instruments, sous reserve d'avoir un echantillonage adapte (pas de repliement) en principe oui, c'est une simple multiplication (inimaginable en pratique pour des raisons de bruit et de stabilite numerique).

     

    Si il faut prendre en compte les aberations optique du systeme qui dependent de la position du capteur, c'est a dire dans les cas ou on est soit proche soit carrement moins bon que le diffraction limited, c'est pas trop mon rayon, ca va dependre de l'invertibilite de l'operateur de rendu.

     

    A mon sens, si l'on ne prends pas en compte les experiences d'interferometrie, les cas ou l'information presente dans le petit telescope ne peut pas etre reconstruite par le telescope de gros diametre (toute chose etant egale par ailleurs) doivent etre tres rare et tres subtiles (liee au lien entre l'echantillonage du capteur et la psf de l'instrument en question, par exemple si elle a des creux ou des bosses caracteristiques, comme peut etre dans le cas des aigrettes ?).


  10. Le 18/02/2019 à 19:16, Roch a dit :

    Malheureusement, si j'ai bien compris, l'algorithme parfait n'existe pas car il existe plusieurs solutions "d'image réelle" pour notre image finale. Donc nos algorithmes permettent de gagner un peu de résolution, mais plus on accentue ces transformations, plus on risque de créer des artefacts.

    Oui et non, si on se place dans le cadre ou on suppose un operateur de "degradation" lineaire et connu, il peut y avoir plusieurs images "reelles" (le probleme est sous determinee), mais il peut aussi n'y en avoir aucune (les mesures se contredisent).

    De maniere plus generale, c'est le conditionnement d'un probleme lineaire qui indique la difficulte qu'on aura a la resoudre.

     

    Pour s'affranchir des problemes de sous determination et stabiliser la resolution du probleme, cela fait bien longtemps qu'on a remplace les equations des problemes inverse par des fonctionelles convexes. Et ces fonctionnelles utilisent de maniere generale, implicitement ou explicitement des apriori sur les conditions de prise de vue, ou la nature meme du signal a reconstruire (bruit de nature gaussienne, spectre a bande limitee, parcimonie dans un espace d'ondelettes, etc...).

     

    Les artefacts proviennent souvent du fait que l'apriori est imparfait (trop simple) et/ou mal pondere, et/ou que les defauts sont mal modelises.

     

    Le 18/02/2019 à 19:16, Roch a dit :

    Donc l'idée est la suivante : serait-il théoriquement possible d'utiliser des images prises avec différents diamètres ( à l'aide d'un simple diaphragme par exemple ) afin d'obtenir un panel plus restreint dans les "images originales possibles" envisagées par notre algorithme, ce qui permettrait de pousser le traitement un peu plus loin sans l'apparition de ces artéfacts et de fait d'obtenir une image plus précise de l'objet en question ?

     

    Une approche en quelque sort similaire existe deja depuis un petit moment, ou l'objectif est d'apprendre le mapping entre images faible resolution classiques, et images haute resolution correspondante.

    Ces methodes ont ete teste avec succes dans plusieurs domaines de l'imagerie. Si on a un bon simulateur, meme pas besoin d'acquerir les images avec de petits diametres, il suffit de prendre la meilleure image, et lui appliquer des operateur de degradation (simple sous echantillonage bicubic, psf, bruit, seeing, etc...).

     

    Il y a plethore de methodes basees sur le deeplearning qui permettent de faire cela, en vrac et non exhaustif:

    - simple cnn:http://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/download?doi=10.1.1.642.1999&rep=rep1&type=pdf 

    - plus intelligent avec une couche de deconvolution: https://arxiv.org/pdf/1608.00367.pdf

    - plus profond, avec residual learning: https://arxiv.org/pdf/1511.04587.pdf (et il y a un paquet d'architectures bases sur differentes saveurs de residual networks)

    - gan (modele generatif, fourni une fonction de cout "sur mesure") https://arxiv.org/pdf/1609.04802.pdf 

    - Variante probabiliste du gan: https://arxiv.org/pdf/1702.00783.pdf

    - reseaux siamois: https://ieeexplore.ieee.org/abstract/document/8322848/

     

     

    • Merci 1

  11. Il y a 2 heures, Saci- a dit :

    Je me dis aussi que si la buée passe en travers de mon système c'est que le ciel n'en vaut pas le coup..

     

    En fait tout se joue sur le concept de point de rosee. Parfois l'air est vraiment trop chargee en vapeur d'eau pour pouvoir esperer avoir un "bon" ciel c'est vrai, j'imagine que c'est le cas en Bretagne ou autre zones cotieres.

     

    Parfois, il fait tellement froid que la capacite de l'air a conserver de l'eau a l'etat gazeux devient tres faible, et le point de rosee se rapproche plus rapidement de la temperature courante, et cela meme alors que la turbulence peut etre faible et le ciel bien transparent, je crois que c'est plutot mon cas en zone montagneuse, et particulierement en hiver ... ou le secondaire et l'interieur du tube se couvrent parfois carrement de givre.

     

    J'ai trouve un document qui explique comment analyser les diagrammes psychrometriques, ca n'est pas forcement evident a voir, mais en calculant les valeur de point de rosee pour des temperatures "seches" entre 10 et -10, on voit que le gap t seche - t rosee se reduit avec la temperature, pour un niveau d'humidite relative donne:

    PsychrometricChart-SeaLevel-SI.jpg.9180263d6e08d5a8fbdf3af17016b130.jpg

    v3-diagramme-de-lair-humide.pdf

    • Merci 2

  12. il y a une heure, Arno C a dit :

    Depuis 3 ans aucun problème de buée sur les secondaires, on scratch, cela s'adapte et hop!  Je l'utilise avec un pare buée tapis decat car en Normandie c'est souvent dégoulinant de flotte. 

     

     

    Ce retour m'interesse, est-ce que la "sangle" elastique s'adapterait en toute securite a un support de secondaire cylindrique de 60mm de diametre ?

    Car, je me suis interesse de pres a ce modele precis, et de memoire, il etait juste compatible avec les porte secondaire de 31.75mm et 50.8mm.

     

    Il y a 3 heures, FroggySeven a dit :

    C'est clair que le système de chauffage va de pair avec un pare-buée, pour limiter la température de chauffe au maximum.

    Probablement oui, mais comme je compte rajouter un "clapet" pour fermer le tube, je ne pourrais pas adapter les deux. Dans un premier temps je vais essayer un systeme simple sans regulation, a part le fait que le systeme sera mis en oeuvre lorsque le point de rose sera atteint (les capteurs seront deportes dans un premier temps pour une integration plus facile)

     

    Il y a 3 heures, FroggySeven a dit :

    Du coup, un pare buée qui pourrait se fermer automatiquement ça t'intéresse ???

    J'ai peur que ce soit trop complique a integrer avec en plus le dustcap / flip flat.

     

    Pour l'instant je cherche juste un compromis acceptable qui me permettrait d'automatiser une partie de mes acquisitions.

     

    Toutes les erreurs de conception/integration je les mets pour l'instant de cote afin de pouvoir designer a l'avenir un tube sur mesure, (secondaire avec resistance + sonde thermo + hygro) et tube un peu surdimensionne en longueur pour limiter encore plus les reflets et jouer le role d'antibuee tout en permettant d'installer un flip flat.

     

    Ma premiere mission sera donc de decoller la feutrine, coller les resistances au silicone, integrer l'electronique de commande simple (pwm + relai) dans un boitier et recoller la feutrine. Je reviendrais poster mes resulats ici quand ca sera fait.

    • J'adore 1

  13. Il y a 2 heures, FroggySeven a dit :

    D'après ce que tu dis, il te faut une résistance très importante, de l'ordre  de 48 à 72 ohms.

    ça va être difficile à faire avec du fil résistif, sur une bande aussi étroite.

    Pourquoi ne pas faire ça avec des petites réistances électroniques collées avec du silicone

    (et un isolant pas dessus... comme de la feutrine ;-) ) ?

     

    Sur une hypothese 3W sous 12V, il me faudrait 48ohm en effet, alors que les resistances lineaires plates pour e-cigarettes c'est generalement 16 a 72 ohm par metre, ca va etre complique, a moins que je triple ou quadruple la longueur en faisant un enroulage avec du fil fin.

     

    L'ideal etant biensur de realiser ce genre de montage:

    Bon, malheureusement, je n'ai pas les competences pour decoller mon secondaire, et refaire tout tout le support de secondaire en incluant le fil resistif et la sonde de temperature.

     

    La solution des resistance ceramiques en serie peut fonctionner, mais ca fait beaucoup plus de travail, de soudures, et donc d'erreurs potentielles. Je pense rester sur le fil resistif, mais pas celui pour les e-cigarettes ducoup :)

    Par contre tu a raison, je vais probablement devoir retirer la feutrine noir pour etre en contact direct avec le miroir secondaire (et la replacer apres), si elle est autocollante, ca sera encore plus simple pour solidariser le tout.

    • J'aime 1

  14. Bonjour a tous,

     

    Je possede un newton 200/800 unc de chez TS (repare depuis mon ancien post ici:

     

    Et j'aimerai l'equiper d'une resistance chauffante pour le secondaire, afin d'eviter la condensation de goutelettes d'eau sur le secondaire pendant les sessions d'imagerie.

    J'ai contacte TS directement, et on m'a confirme... Qu'il n'existait pas dans leur catalogue de reference, de resistance compatible. En effet, il s'agit d'un secondaire colle, et le support fait 60mm de diametre (74 mm de petit axes pour le secondaire), alors que l'immense majorite des resistances disponibles sont compatibles avec des support de secondaire de 32 ou 50mm de diametre, exemple:

    kendrick.png.eaef7ab9f63e8573bf9608b13fc2e337.png

     

    D'ou ma question: Connaissez vous un kit du commerce compatible, ou a defaut un tutoriel particulierement bien fait pour fabriquer une telle resistance ?

    Apparemment les resistance kendrick dissipent 2 a 3 w, pour une alimentation en 12v, il faut que je vois si c'est compatible avec du fil resistif plat pour e-cigarette dispo sur internet.

     

    Pour l'electronique de commande je devrais pouvoir me debrouiller avec une solution faite maison, mais la partie bricolage de la resistance m'inquiete un peu.

    En particulier, mon secondaire a deja un genre de feutrine noire collee sur la surface externe, j'imagine pour reduire les risques de reflet et refroidissement par emission d'IR, quelle solution choisir pour coller efficacement une resistance au dessus de ce tissus ?

     

    Merci d'avance pour votre aide.

     

     


  15. Aha au début je m'attendais à une vidéo faite au microscope électronique à balayage ^^

     

    Super manip qui doit nécessiter un certain sang froid. On a hate de voir des comparaisons en effet !

     

    Vu la rareté des capteurs nb récemment et la diminution du nombre de ccd produits, c'est un savoir faire qui est amené a être de plus en plus utilisé dans l'avenir à mon avis. Tu fais pas de sessions de formation par hasard ? ^^

    • Merci 1

  16. Superbe ! nombreux details dans les "volutes" de la nebuleuse, meme si le centre a une allure un peu speciale (a ce f/d il doit falloire un sacre full well pour ne pas saturer, rapidement !)

    Le setup est... dementiel, extraordinaire.

    Le champ a l'air plutot propre de ce que je peux voir a mon petit niveau, a part peut etre le coin superieur droit, mais c'est quand meme impressionnant pour une optique a f2.8 sur une si grosse structure :)

     

    Sur ton site tu parle de

    "Je remercie également Anton (le fabricant d'Astrosib) et Eric qui analysaient les images avec les moyens professionnels pour nous valider nos réglages"

     

    De quels moyens professionnels parles-tu ? Peux tu elaborer un peu plus sur le sujet ?

     

    Merci et encore bravo.