Christophe Lehenaff

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Tout ce qui a été posté par Christophe Lehenaff

  1. Désintégration d'un objet entre la Lune et Vénus : LES EXPLICATIONS !

    Je me suis levé hyper tard (désolé pour le teasing non souhaité ! ). Je suis en train de caler les extraits vidéo et les images grand champ du phénomène. C'est donc bien un ballon-sonde qui a explosé, je présume au-dessus de Paris (je suis en Seine-et-Marne). Récit détaillé et vidéos à venir...
  2. Désintégration d'un objet entre la Lune et Vénus : LES EXPLICATIONS !

    Je viens de regarder les vidéos : probablement ! Deux extraits : En visuel direct cela ressemblait à une antenne tournoyant sans cesse. Sur la vidéo on voit apparemment un ballon en train de partir en vrilles... C'était très surprenant en direct, et encore plus à travers la lunette. Je verrai cela mieux demain.
  3. Désintégration d'un objet entre la Lune et Vénus : LES EXPLICATIONS !

    Objet de haute altitude. Aspect sphérique. Il s'est en partie désintégré laissant derrière lui de nombreux débris brillants. A 100% sur l'écran du boitier on voyait clairement qu'il possédait une antenne ou quelque chose ressemblant, le tout en rotation désordonnée. Un satellite ou quelque chose du genre...
  4. 2 milliards d'années-lumière à 10 km de Notre-Dame, qui dit mieux ? ;-)

    Un jour tu t'y habitueras. Bien joué en tout cas...
  5. La galaxie des Chiens de Chasse à Paris...

    Je change de sujet: je viens de voir passer les starlink... Effectivement, l'astro c'est fini ! On peut plier les gaules ! C'est au delà du pire que j'imaginais !
  6. La galaxie des Chiens de Chasse à Paris...

    D'ailleurs ce serait sympa d'avoir une idée du nombre d'astrams sur ce forum qui ont connu l'argentique... est ce que la plupart de ceux qui postent leurs images sont arrivés directement au numérique ? Tu soulignes très souvent dans tes posts le miracle du numérique, mais combien de ceux qui te lisent ont galéré avec de l'argentique pour pouvoir te comprendre ?
  7. La galaxie des Chiens de Chasse à Paris...

    de la magie noire je dirai plutôt, vu l'image...
  8. La galaxie des Chiens de Chasse à Paris...

    Un bien bon site tu as dis moi, et une très bonne image faite compte tenu des conditions. Venant aussi de l'argentique et ayant toujours à l'esprit ce que l'on ne pouvait pas faire à l'époque, je suis comme toi à apprécier ce que le numérique permet aujourd'hui de faire dans de telles conditions, et pas trop difficilement qui plus est. Comme toi aussi je ronge mon frein avec ce temps superbe et l'impossibilité de s'éclater plus. Mais j'ai la chance d'avoir un jardin et d'être plus éloigné (dans le 77). Du coup, je m'éclate à photographier tout ce qui passe devant mon objectif... Là j'en suis à shooter les pissenlits, les pâquerettes, le muguet qui est fleuri très en avance, etc. Bref, qu'est ce que je m'éclate...
  9. C&E : z'on besoin d'aide

    Bah moi, je tiens à saluer et remercier Jean-Luc Dauvergne d’avoir permis la divulgation d'informations aussi sensibles. Grâce à lui, nous savons dorénavant que : la situation de Ciel & Espace est "extrêmement précaire", le "dernier numéro ne se vend pas du tout", les employés sont au chômage technique, en télétravail, ils ne peuvent pas faire de reportages, ils sont "dans la merde", la boîte qui gère la revue (je présume l'AFA donc) "ne va pas bien", là ils ont "besoin de lecteurs" ! Un très bel effort de transparence en somme (sans doute partagé par toute la rédaction), dans un milieu qui joue trop souvent l'opacité la plus totale.
  10. Michel Verdenet (1944-2020)

    Hervé Burillier, qui l'a très bien connu, et que beaucoup d'amateurs connaissent aussi de par ses ouvrages, sa maison d'édition et le magasin Uranie qu'il avait sur Vannes, très peiné par la disparition de Michel Verdenet m'a envoyé un texte-hommage magnifique qu'il m'autorise à publier ici. Je vous laisse d'abord lire le préambule qu'il m'a envoyé par mail, puis le texte lui même... ---------------------------------------- Ce texte est un hommage, d'un amateur, à celui qui m'a enseigné une idée de l'astronomie quand j'avais 15 ou 16 ans et que l'été je plantais ma tente dans sa ferme. C'était une astronomie libre et contemplative. ---------------------------------------- Je vois des alpha sans éclats qui dégringolent le long de la Voie lactée, Les Jumeaux chutent vers l'ouest, muets ce soir ils chialent, Ils accompagnent la complainte de Vénus, L'astre s'effondre dans le pourpre blafard d'un soleil errant, J'entends les chevaux ailés qui hennissent des larmes dans la nuit silencieuse, Une étoile filante s'est égarée, elle a perdu son chemin dans l'obscurité, Le vieux Jupiter sur le perron de la cuisine, il patiente son quignon de pain, La fenêtre devant ton bureau cherche la lumière, Je vois la toile de tente d'un étudiant au champ Aubé, Un âne qui la bouffe en s'amusant, et toi tu ris, tes mains posées sur ton ventre. Un nid d'hirondelles a trouvé refuge, riveté au 530, il dort, paisible, Une chèvre perchée tout là-haut voudrait visiter le grenier, Elle campe en haut des marches de pierre, Et les orgues, de Santiago à Meudon, Jusqu'à Cronat chantent la triste mélopée. Halley en août croise Orion au petit matin de mes vacances scolaires, Le soleil noir est resté en Zambie, Gravé dans ton sourire, tu aimes à dire que là-bas, il y a l'équateur, Et plus austraux, y vivent des Z'ans biens... La muse est morte et s'est muée dans l'éternel silence, Au ciel azur d'avril, il manque un astre, Au-dessus de ta tombe, Ursa Major au zénith septentrional, Alkaïd, Mizar Aliothn les pleureuses, j'entends leurs lamentations, Il raisonne ton rire, gras comme un terroir, Au Petit Robinson, Bourgogne merveilleuse, Quand elle respire le bon vin et la bonne bouffe, Quand nos accents roulent les r comme les cailloux De la vigne, quand ils glissent dans l'orage d'été, En Avallon, de Buxy à Gueugnon, Que vois-tu Michel à présent dans les étoiles? Au Tastevin, tes joues rosées saluent le fard d'un soleil immaculé, Et nous cognions les soirs d'été, les mouches à grands coups de tapettes, En mangeant du jambon et du fromage blanc. Premier arrivé à cinq... A table lorsque nous dînions, Avant que sur leurs rails grincent les abris. Nénette malicieuse, les cadavres des mouches collés sur le ruban Tes énormes charentaises au coin du feu, Le four ancestral, sous le regard de ta grand-mère au mur, Sur son banc, assise. J'ai pas vingt ans, Gemma ne scintille plus, La perle au collier de la couronne s'est éteinte. Reliquat de la noble astronomie, populaire à Flammarion, Quand l'œil gelé contre le verre de l'oculaire, Aux petits matins blancs qui fracassent les arbres, Transis, nous partions, A présent tu reposes. Il y a des timbres dans des albums, Pour des voyages, à voyager à n'en plus finir, Des poilus pour mémoire dans les tranchées de ta mémoire, De la science fiction sur des K7 à faire pâlir la science de fiction, Tes pieds Michel, taillés pour des Everest, Parce que pour les Everest on se taille les pieds à grands coups de meurtrissures, Que vois-tu Michel là-haut ? Tes yeux fatigués. Toi qui repose. Malade est mon cœur ! Pardonne-moi mon silence... à ta mémoire, H.B.
  11. Michel Verdenet (1944-2020)

    Une bien triste nouvelle, une de plus. Bien que je ne l'avais rencontré qu'à quelques reprises, à l'occasion de ses visites à la maison de l'Astronomie, j'avais l'impression de bien le connaître au travers de son travail, de ses nombreuses publications et surtout au travers des récits qu'en ont fait certains de mes amis qui l'ont très bien connu. Ce que j'adorais chez lui c'est sa fidélité à l'observation astronomique pure et dure, sans céder aux chants des sirènes des nouvelles technologies. Une astronomie à l'ancienne, "à la Camille Flammarion", l’œil patiemment rivé à l'oculaire du télescope, où le plaisir du visuel l'emporte sur les heures passées à post-traiter. Ceux qui l'ont rencontré savent qu'il inspirait d'emblée l'empathie et le passionnel, et que sa carrure et son parler-vrai emportaient tous les suffrages. En apprenant sa disparition, j'ai fait quelques recherches pour retrouver un portrait "mythique" de lui fait par M. Birot et paru fin 1992 dans le hors série de Ciel & Espace : il pose fièrement dans sa ferme, ses cahiers d'observation sur les genoux. Une image très forte et incroyablement symbolique du personnage. Une image qui veut tout dire...
  12. Bah y a au moins un avantage au COVID-19...

    ... Y a pu d'avions dans le ciel ! Du coup hier soir, je me suis lancé dans une image improbable depuis mon jardin du 77, en plein couloir aérien : un filé d'étoiles sur 3 heures ! Matos : Canon 550D + filtre CLS clipsé + Tamron 15/30 2.8 fermé à 4.0. 30 poses de 6 minutes à 400 ISO. En zieutant ce matin les 30 images, j'étais tellement persuadé que j'allais quand même avoir x trainées disgracieuses... et bien : rien, que dalle, nada, RAS !!!
  13. Bah y a au moins un avantage au COVID-19...

    Il faut savoir positiver un minimum. En plus la météo est très favorable en ce moment, et j'ai l'impression aussi pour la semaine prochaine. C'est mieux que d'être condamné à regarder la pluie tomber par la fenêtre.
  14. Bah y a au moins un avantage au COVID-19...

    ... mieux c'est sûr !
  15. Starbase 80 (et origines)

    Bonjour à tous, J'interviens avec beaucoup de retard : toutes mes excuses. J'avoue que ce test et cette lunette m'ont laissé totalement perplexe. La Starbase 80 n'est pas une Takahashi. Elle n'est pas fabriquée par Takahashi. Mais le fabricant en assume visiblement le sérieux de conception, la distribution ainsi que les codes ergonomiques et de finition propres à la marque. C'est pourquoi lorsque je l'ai reçue, je m'attendais à du Taka version "basique mais de qualité", c'est-à-dire à une sorte de lunette des années 1980 modernisée, répondant aux impératifs techniques et tarifaires actuels. Au-delà de la déception relative liée à sa qualité optique, et je dis bien relative car les images qu'elle fournit sont très satisfaisantes (nous sommes ici très loin des performances médiocres obtenues avec bien des chinoiseries pour débutants), c'est plutôt du côté du tarif de vente que le problème se pose... A 300 € prix de vente public par exemple, la Starbase aurait été plutôt cohérente avec les caractéristiques affichées et nos conclusions auraient été bien plus positives. Mais à 680 €... Pour répondre à ceux qui recherchent des achromats qualitatifs : il reste encore et toujours les petites annonces. Pour 300 € justement, on trouve des lunettes types Royal/Unitron/SYW 76/80/1200 et autres Vixen 80/1200 et 93/1300 aux performances très élevées. C'était laquelle ? La Perl JPM/SYW 62,5/700 justement...
  16. Bonjour à tous, En préambule, je précise que je n'étais pas allé en Islande depuis quelques années... et je comprends maintenant mieux pourquoi certains ont pris du recul. La dernière fois que j'étais venu rares étaient ceux qui s'aventuraient sur les différents sites durant l'hiver, notamment la nuit... Aujourd'hui c'est un peu le choc, même lorsque l'on est prévenu, entre parkings aménagés, barrières, voitures et cars de touristes... chinois qui ont pris possession des lieux ! Ça se balade tous azimuts, ça fait des selfies de partout, ça utilise la led blanche du smartphone, ça pilote le drone pour se filmer... bref, l'Islande est devenue une destination presque banale en hiver (je n'ose imaginer en été !). Cela étant, on arrive à slalomer entre les Chinois, trouver des zones désertées et se faire plaisir facilement. Nous sommes partis 8 jours et avons eu de la chance côté météo avec 4 jours de ciel totalement dégagé dans le sud de l'île ! Pour se mettre en bouche, je vous propose quelques images d'ambiance généralistes qui témoignent notamment des lumières particulières qu'on voit là-bas... Région de Vatnsdalur : La spectaculaire jetée de Blonduos, recouverte d'une improbable gangue de glace... Région de Holtavorduheidi (là il faisait vraiment froid ) Grundarfjordur... Un somptueux crépuscule vers Dyrhólaey ... et un peu plus loin vers Reynisdrangar ! Jökulsárlón bien sûr (là il faut être rusé pour esquiver les touristes et leurs traces de pas). Et impossible de terminer ce tour d'horizon sans les classiques chevaux islandais : ... et quelques chutes d'eau juste exceptionnelles ! Venons en aux aurores boréales... Nous avons été gâtés, avec tous les soirs des aurores, dont un soir particulièrement spectaculaire ! Depuis Blue Lagoon : ... Thingvellir : Skogafoss : Skagaströnd... Et surtout Kirkjufell, où là ce fut le délire total pendant plus d'une heure !!!! On a même eu droit à une Grande Ourse émergeant des lumières ! Voilà, j'espère que la balade vous aura plu. On a quand même envie d'y retourner car l'Islande reste, malgré tout, magique à bien des égards... Christophe
  17. De retour d'Islande : les dernières images...

    Comme promis voici quelques images supplémentaires. Région de Skagaströnd : un moment inoubliable... la visite de chevaux particulièrement curieux, alors que les aurores se déroulaient sous nos yeux. Région de Skagaströnd toujours : des aurores pas très brillantes ce soir là, mais avec des nuances de teintes très intéressantes... Skogafoss ! Nous n'étions pas seuls... des Chinois bien sûr, mais plus avertis cette fois, étaient comme nous en train d'admirer le spectacle au-dessus des chutes. Notez qu'il y avait une équipe de photographes qui éclairaient les chutes durant les poses (pratique pour nous d'ailleurs). Sur la droite des chutes, un "mur lumineux" se dressait : impressionnant ! A Thingvellir, la chapelle était très sympa sous une aurore naissante... Retour vers Blue Lagoon, avec des aurores assez brillantes au-dessus des bassins... Aller, la der des der : région de Brunasandur ! Nous étions vraiment au milieu de nulle part... L'aurore a été la plupart du temps faible... J'ai donc posé assez longtemps (20 minutes) pour avoir ce filé d'étoiles et un paysage légèrement éclairé par un croissant de lune...
  18. De retour d'Islande : les dernières images...

    Merci beaucoup ! Je prépare quelques images supplémentaires... A suivre.
  19. De retour d'Islande : les dernières images...

    Le fait qu'il y ait beaucoup plus de touristes a quand même un peu de bon... Il y a beaucoup plus de logements et les prix ont tendance - enfin j'ai eu l'impression - à baisser. On a ainsi pu trouver des chambres d'hôtes très sympas à 40€ la nuit, donc 20€ par personne. Il y a quelques années c'était mission impossible de tels tarifs, et d'ailleurs beaucoup de chambres d'hôtes n'étaient même pas ouvertes hors saison en fait ! Mais ce qui est difficile à avaler est de se retrouver de nuit à x personnes sur tel site là où avant on était tout seul.
  20. De retour d'Islande : les dernières images...

    Bonjour René, Effrayant pas du tout. Cela dépend en premier lieu de l'intensité de l'aurore... si elle est légère / faible, le spectacle n'a rien d'extraordinaire (les photos rendent alors mieux). Si elle est intense et varie beaucoup en aspect, luminosité voire couleurs, le sentiment tient plus de l'admiration que d'autres choses. On est alors sidéré par les formes lumineuses qui apparaissent et disparaissent parfois rapidement, et par la pureté des lignes de force très tendues qui vont traverser le ciel sur 180° ! Les draperies sont sans doute les plus belles car on a vraiment l'impression qu'il "pleut de la lumière" ! Ensuite, le spectaculaire tient aussi au fait qu'on ne sait pas vraiment à quoi s'en tenir quand une aurore commence : elle peut rester très diffuse et faible pendant des heures sans qu'il se passe quoi que ce soit, puis monter en puissance quelques minutes pour se calmer de nouveau. Ou bien d'un seul coup s'organiser, devenir très lumineuse et offrir un spectacle de plusieurs heures en se réinventant en permanence.
  21. De retour d'Islande : les dernières images...

    Ce fut l'apothéose du séjour en fait... Aller, une petite salve d'images de ce soir là... Là c'est au début de l'aurore, alors que c'est tout faiblard et qu'on ne sait pas si la soirée sera top ou non ! J'ai dû poser près de 3 minutes pour avoir quelque chose de sympa... Après ? Bah la folie... Image réalisée sans trucage ! C'était féérique : A droite de la montagne, ça se développait énormément aussi : Et dans mon dos, vers les chutes, le spectacle était tout aussi dément ! Sur cette dernière image, tu vois nos amis chinois en train de profiter de la scène... y en avait aussi plein d'autres en contrebas à gauche. J'ai dû m'exiler sur l'autre versant pour être tranquille.
  22. De retour d'Islande : les dernières images...

    Merci Pierre-Jean ! Effectivement, c'est un régal, même s'il faut être bien couvert car les conditions nocturnes peuvent être problématiques (froid et vent en particulier).
  23. De retour d'Islande : les dernières images...

    Merci à tous. Canon 5D MKIII + Tamron 15-30 2.8 d'une manière générale, et notamment pour les prises de vue nocturnes, et souvent aussi le 24-105 L dans la journée...
  24. Unitron 128 mm dispo

    C'est une très belle lunette cette Unitron, mais c'est vrai que le prix est vraiment too much. Mais bon, certains amateurs de belles pièces optiques et mécaniques ne se posent pas de question et ont surtout le porte-monnaie qui va avec. Tant mieux pour eux. Tiens, pendant qu'on parle de "vieilles" japonaises et de qualité optique, je vous invite à dévorer le prochain Astrosurf-Magazine dans lequel vous trouverez un rétro-test concernant - justement - une de ces lunettes en 60 mm de diamètre : les mesures qui ont été faites par Airylab vont faire se décrocher quelques mâchoires. J'en jubile d'avance.
  25. Bon, le cœur n'y est pas trop avec la disparition de Gérard mais bon... J'ai passé quelques jours à l'observatoire du Pic de Château Renard la semaine dernière. Quelques jours mouvementés durant lesquels on a fait du cardio pour monter une partie du matériel. Je vous propose quelques images d'ambiance du site pour ceux qui ne connaissent pas le Queyras, donc dans les Hautes-Alpes... Des images hélas généralistes car on n'a pas pu monter le matos astro. Une vue générale et lointaine de l'observatoire depuis la montée vers le pic : on est à près de 2 990 m. Vue rapprochée des bâtiments principaux : à gauche l'une des coupoles abritant les RC 500, et à droite la coupole "historique" hébergeant le 620 mm. La deuxième coupole RC 500, située quelques mètres plus au nord... La nuit tombe sur le site. Une petite grimpette le lendemain matin de mon arrivée pour admirer le panorama depuis le sommet du pic. Depuis là haut on a une belle vue sur le Mont Viso qui culmine à 3 841 m. Une image que j'aime beaucoup, très épurée : le croissant de lune du 27 octobre, suspendu au-dessus du Viso. Beau souvenir pour moi, accolé à la coupole du T620 pour me protéger du vent... La coupole du 620, toujours à l'aube... Une vue générale côté italien, l'aube est alors bien avancée... Côté ciel nocturne, des images sympas à cette période de l'année, avec une Voie lactée estivale encore bien présente ! Un séjour un peu court certes mais particulièrement intense (ceux qui étaient avec moi en conviendront).