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Elessar started following Bernard Augier
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Bonsoir. On est dans le vif du sujet en ce moment où dans mes chères montagnes du Mercantour Restefond le ciel s'est montré clément pendant les deux semaines sans Lune. Fatigué, rincé, par trois soirées d'animation publiques avec tout le toin toin habituel en pleine nature, et quasiment aphone (deux animateurs pour 50 à 60 personnes chaque fois...), j'ai fini par laisser Dobson 400, Lunt60, laser vert et Seestar50 dans le coffre pour ne plus utiliser en tout égoïsme, loin du vacarme et de l'agitation des vacanciers curieux du ciel aux question tellement confondantes de naïveté, que mon instrument de prédilection: ma chaise longue. Elle est de toute les sorties et ne m'a jamais décu Et là c'est le bonheur chaque fois renouvelé. Ce plaisir intensément régressif de relire les constellations, de renommer celle ci peu visitée avec mes tromblons, de reciter les noms des étoiles tels une litanie, de retrouver les Messiers détectables à l'œil nu sous mon ciel cristallin d'altitude. Comme il y a bien bien longtemps quand j'apprenais le ciel, rêvant d'instrument à l'époque inaccessibles. Et vous me croirez si vous voulez, j'éprouve alors un profond apaisement à cheminer sans autre but que l'émerveillement entre les étoiles et la Voie Lactée. Dans le calme et le silence. Loin du blabla, des bruits de moteur et des frontales, fussent elles rouges. C'est ainsi que ma passion astronomique se réenchante parfois, en "baissant les armes" constituées de tout mon attirail connecté optique, mécanique et numérique. Pour retrouver l'enchantement des débuts dans sa simplicité, sa ferveur et sa douceur. Comme des retrouvailles. La nuit dernière, je me suis même offert une nuit à la belle étoile pour guetter les Perséides, emmitouflé dans ma doudoune, allongé sur ma chaise longue fétiche, scrutant la voute céleste de mes seuls yeux. J'ai observé, j'ai rêvé, j'ai dormi, j'ai fait la causette avec mes copines du ciel pendant de très longues et merveilleuses heures, simplement éclairé par la lueur de la Voie Lactée au zenith. Que du bonheur je vous dit
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Mais où sont les atlas papiers ?
Bernard Augier replied to boris emeriau's topic in Practical astronomy
Bien qu'inconditionnel de Skysafari, qui m'a fait remiser mes Uranometria et autres NSOG ouTirion, je me régale avec mes Interstelarum Deep Sky Atlas et Deep Sky Guide. Coupler les deux permet de rêver ses observations futures, et de les valider sur le terrain. D'un côté le plaisir de cartes superbes où les objets sont classés par difficulté (par diamètre d'observation visuelle exactement), sur du papier totalement insensible à l'humidité, et de l'autre côté le Guide qui fournit pour chaque page équivalente du Deep Sky Atlas sur la page de droite les photos des objets en négatif et sur celle de gauche le dessin pour plusieurs diamètres. Un atlas fait pour le visuel, mais pas que! -
Es tu sur que l'on parle bien de largeur?
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Quelle marque? Parce que pour ma part, il y belle lurette que j'ai remisé mes filtres en verre de 90 et 200 au placard, depuis que je connais l'Astrosolar. De plus, outre le prix quasi négligeable des feuilles, elles permettent d'équiper n'importe quel diamètre. Jusqu'à 500 mm pour ma part... Quant à la résistance, impossible à déchirer sans outils! Et les piqures, c'est normal et absolument pas dangereux de l'aveu même de Baader. Il y en a aussi dans les filtres en verre...
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C'est dingue de voir que souvent on est passé par les mêmes ouvrages dont l'impact émotionnel a été déterminant. Je vais pas tous vous reciter, mais dans ma carrière d'astronome amateur on retrouve souvent les mêmes ouvrages. Le thème du post c'est "les premiers". Donc on va restreindre et désolé pour Serge Brunier, Pierre Bourge, Carl Sagan, Hubert Reeves et autres Viscardy, que j'ai découvert plus tard. Je m'épancherais simplement sur mes premières fois , quand la passion est née. L'objet le plus mythiques de mon musée personnel, c'est cette carte du ciel de 1884 qui a bercé mon enfance... Accrochez vous, respirez un bon coup et répétez après moi d'une traite: "Planisphère céleste, contenant toutes les étoiles visibles à l'œil nu dans les deux hémisphères et les étoiles doubles et variables dressé d'après le catalogue de Francis Baily et les dernières observations astronomiques sous la direction de Camille Flammarion" C'est du sérieux ce truc Etoiles doubles ??? Etoiles variables??? Et bien dis donc.... Cette carte tombait du ciel dans ma famille sans que l'on sache vraiment par quel circuit elle avait atterri chez mon grand père, la premier qui m'a appris la Grande Ourse et les Perséides dans les nuits d'été de son village de naissance.. C'est mon premier souvenir astronomique, dans ma prime enfance, qui m'a longtemps fait rêver comme toutes les cartes de ces mondes mystérieux propices à tous les fantasmes. La mise en application sur le ciel, plus tard, j'avais neuf ans, c'est grâce à ce livre déjà cité de la collection Petit guide dont je chinais tous les volumes à la librairie du coin à côté de mon collège (Astronomie, géologie, météo, coquillages, paléontologie), je nommerais "Observation du Ciel". Edition 1967. Vous vous rendez compte "observation du ciel". On parle bien d'observer pour de vrai sous les étoiles, dans le mystère de la nuit. Comme les petit personnages en arrière plan de l'illustration de couverture. Ou ce couple romantique déjà évoqué plus haut qui illustre le volume "Etoiles" de la collection. Trop bon!!! Très sympa ce bouquin, et la paire de jumelle sur la couverture mettait en confiance, vu que j'avais déjà les jumelles de mon papa. Et quand on l'ouvre on tombe sur ça : La vocation de l'observateur...Astronomie pour tous!!! Elle est pas belle la vie. Le credo de Bourge et de Dobson que je découvrirais bien plus tard ... Et à l'intérieur, avec toujours cette invite à l'exploration, les cartes et catalogues. C'est important les cartes et les catalogues quand une passion nait. Messier, NGC enjolivés de tout un tas de chiffres cabalistiques dignes de la science-fiction... ça sonne bien, ça en jette Et le meilleur à la fin, les cartes du ciel... C'est exactement grâce à cette double page que j'ai reconnu Orion pour la première fois. Par la fenêtre de ma chambre en ville. Quelle échappée digne de Peter Pan. Je l'avais vraiment ma poudre magique ! Et tout s'est enchainé très vite... avec ma première lunette, le club du collège, la première des anneaux de saturne. Enfin vous connaissez tout ça. Mais je ne peux m'empêcher de citer deux autres ouvrages fondateurs: "Les merveilles du Ciel" de Guido Ruggieri, déjà cité plus haut. Un cadeau de Noel de mon oncle, un peu au hasard... mais quasi prophétique. Avec une iconographie digne des beaux livres. Ca aussi c'est important, les beaux livres. On se dit que ce dont ça parle, ce doit etre très précieux. A l'intérieur la fameuse fresque de l'observatoire de Lund, représentant fidèlement la Voie Lactée. L'occasion pour moi de retrouver les constellations en les pointant tant bien que mal, tout en découvrant l'existence du Ciel Austral que je ne découvrirais en vrai que bien bien plus tard. Pour la première fois je m'imprimais dans la mémoire les Nuages de Magellan. Et puis une envolée lyrique qui marque à tout jamais: L'univers infini... Ouahhhhhhhhh. Quand tu as dix ans, ça en impose. Même maintenant en fait, tout bien réfléchi, quand le revois avec émotion cette double page. Et pour finir un bouquin déjà cité plus haut, que j'avais piqué à mon frère de dix ans plus âgé. Donc un livre vénérable pour moi "Les Merveilles de la Science" où on touchait un peu à tout avec l'enthousiasme des années cinquante. L'exploration polaire, la génétique, l'astronomie... Je ne peux m'empêcher de republier cette double page d'anthologie, un must, l'astronomie c'est geant!!!! Le Mont Palomar itself, dans toute sa majesté. Un truc à vous donner envie d'être astronome et de faire partie des élus qui ont l'insigne privilège de monter dans la cage. c'était le plus gros du monde à l'époque. J'avais tellement été impressionné que j'en avais fait une maquette en carton qui trônait entre ma Saturne 5 et mon LM. Je ne suis pas devenu astronome pro, mais peut être que j'ai bien fait d'être astronome amateur à tout jamais!
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Atterrisseur lunaire Nova-C (Intuitives Machines) 14/02
Bernard Augier replied to jackbauer 2's topic in General Astronomy
Oui très probablement -
Bernard Augier started following Atterrisseur lunaire Nova-C (Intuitives Machines) 14/02
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Atterrisseur lunaire Nova-C (Intuitives Machines) 14/02
Bernard Augier replied to jackbauer 2's topic in General Astronomy
C'est le LPD Désignateur de point d'atterrissage. Le commandant (CDR... ah les acronymes Apollo! A l'époque je trouvais ça génial) peut regarder à travers un ensemble de marques sur sa fenêtre et l'angle LPD, que le LMP (pilote du LM) lui donne grâce au PGNS (le système de navigation principal qui interface l'ordinateur de bord, la centrale inertielle, les données optiques et radar, avec une autonomie vis à vis des données du centre de contrôle à terre, et tout ce bazar se recalle en permanence https://en.wikipedia.org/wiki/Apollo_PGNCS ), lui indiquera où regarder le long de l'échelle verticale pour trouver l'endroit où l'ordinateur pense qu'ils vont atterrir. Si le commandant n'aime pas le point d'atterrissage, il peut déplacer sa manette pour indiquer à l'ordinateur qu'il souhaite modifier le point d'atterrissage vers le haut, vers l'arrière ou d'un côté ou de l'autre. Un simple mouvement de la télécommande, qui déplace le point d'atterrissage d'un demi degré environ, est généralement appelé « clic » par les astronautes. Notez qu’il y a des marques à la fois sur la surface la plus intérieure de la fenêtre et sur la surface la plus extérieure. Le CDR se positionne de manière à ce que les deux séries de marques soient alignées. On évite la parallaxe Ce que j'en comprends, c'est qu'il y a désignation de la cible grâce aux coordonnées visuelles mesurées directement par l'équipage à travers la fenêtre, qui donnent directement après passage dans la moulinette de l'ordinateur de bord, l'impulsion à donner grâce aux petits moteurs d'attitude "RCS" pour recaller tout ça. Et on tourne ainsi en boucle en permanence durant toute la descente. Une coopération/surveillance/régulation permanente entre équipage et machine. Pour les curieux, et je suis sur que ça va plaire à Superfulgur https://www.nasa.gov/history/afj/compessay.html . Surtout à partir de "Typical Apollo LM Computer Utilisation". Même si on ne comprend pas tout, c'est fascinant non ? Pour retracer la descente historique dans son intégralité: https://www.nasa.gov/history/alsj/a12/a12.landing.html à partir de 110:29:30 Merci à vous les amis de m'avoir ainsi replongé dans ces moments extraordinaires qui ont rythmé mon enfance -
Le roseau pensant du père Blaise ça te cause ? Parfois, je ne sais pas si c'est du lard ou du cochon tes tirades, mais celle là, j'avoue, je l'aime bien
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Utilité de la vis sur Paracorr 2
Bernard Augier replied to Bernard Augier's topic in Practical astronomy
@spider_cochon @Pascal C03 Merci. Effectivement. Mais la bague à une course de plusieurs millimètres. Ce qui semble permettre de régler un back focus. Par contre si la bague n'est pas en butée et la vis de blocage serrée cela peut engendrer du tilt? -
Bonjour. Quelle est l'utilité de cette vis, 6 pans creux d'origine, que j'ai remplaçé par une bête vis ? Reglage fin du backfocus? Le correcteur est monté sur mon Sony A7s.
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J'ai raccourcis mes profilés pour qu'il rentrent pile poil en largeur dans mon véhicule en travers. J'en avait assez de les entendre brinqueballer entre les sièges Mais c'est vrai que c'est moins confortable pour le dos à l'usage. Point à étudier soigneusement en tout cas!
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Eh oh faut pas exagérer. Mes roues gonflables basse pression n'ont jamais eu a être regonflées en 20 ans... C'est pour mon Dobson 400 avec sa table équatoriale solidarisée. Je peux même le déplacer une fois complètement monté pour mieux me positionner. Les traverses sont des règles de maçon en aluminium, légères, avec un gros plat bien stables (profil rectangulaire), faciles à usiner et percer. Et en tout terrain (prairie bosselée, pierres, pistes...) ça passe à merveille sur des centaines de mètres. Apres sincèrement je vois pas trop l'intérêt d'un chariot pour du matos genre Newton ou SC 8" qu'on transporte sous le bras. Ma limite c'est mon 300 Newton sur AP1200, monté en quinze minutes. Le jour où j'aurais un C14 je changerais peut être de chanson
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Il y a quarante années, j'avais déjà "Le" Serge Brunier "Nébuleuses et galaxies: astronomie du Ciel profond". Mais un ouvrage me faisait rêver, difficile d'accès en province, et tellement essentiel. C'est lors de mon premier voyage à Paris que j'ai pénétré dans ce temple de l'astronomie, Rue de Rivoli, où étourdi par tous ces instruments inaccessibles pour mon budget, j'ai pu enfin me procurer la fameuse Revue des Constellations! Je l'avais enfin dans mes mains avec sa pochette de cartes "à l'ancienne". C'est toujours, à ce jour, un des fondamentaux de ma bibliothèque. Dix ans après, début des années quatre vingt dix, mon dobson 400 Starfinder, une folie démesurée, je l'avais tout logiquement acheté à la Maison de l'Astronomie...
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Petite précision sur cette tache aveugle. Non seulement cette zone de la rétine est effectivement aveugle. Mais notre système nerveux, rétine/nerf optique/cerveau (en effet la rétine fait déjà du traitement d'image, et c'est une image largement traitée et "améliorée" qui arrive au cortex cérébral) reconstitue ce que l'on devrait voir sur cette tache, en fonction des données moyennées fournies par la couronne de cellules rétinienne alentours. Bref dès l'étage rétinien le trou dans l'image est reconstituée de manière probabiliste! Ce qui fait que non seulement on peut ne pas voir quelques chose, mais que surtout on ne s'en rend même pas compte. Comprenez bien grâce à cet exemple, que les cellules rétiniennes (photosensibles, comme les batônnets ou les cônes, ou non, comme les cellules du "câblage" de connexion, au moins dix couches interconnectées) travaillent comme un tout. On fait du binning sans le savoir! Tant pour améliorer la sensibilité par recrutement, que pour confirmer ou infirmer un signal noyé dans le bruit rétinien. Un vrai travail d'équipe Concernant le balayage du regard qui permet d'augmenter la détection, qui a été évoqué au dessus, il est très efficace, permettant de travailler la vision indirecte pour les zones très faibles de l'objet celeste observé, mais peut être complété par des périodes brèves de fixité permettant l'accumulation des photons sur un photosite. Pour des étoiles de magnitude limite. Du compositage de glimpse sans le savoir! On est loin de l'image d'Epinal d'une rétine "appareil photo de grand papa" couplée à un cerveau qui serait dénué de plasticité et d'interprétation comme un simple appareil de mesure de labo! C'est pour cela qu'il y a tant de manière d'observer, et tant de témoignages divers et nuancés.
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Les ouvrages Astrodessin bien sur. Et surtout comprendre...et admettre, que l'observation visuelle ça s'apprend. Lentement. Sans précipitation surtout. Bien sur qu'il y a des techniques et du bon sens, mais rien ne remplace le temps passé sous les étoiles. Il faut en bouffer comme on dit! Nettoyer ses optiques, entretenir son matériel, le connaitre sur le bout des doigts, le collimater sans concession, le rendre ergonomique, bien s'installer (s'assoir par exemple), être en forme en ayant bien dormi, en ayant sainement mangé (et bu...) , jongler avec les oculaires et les focales sans aucun préjugés . Et les préjugés sont nombreux dans ce domaine, à l'origine de barrières psychologiques. Rien de pire que les limites imposées par les mandarins. C'est ainsi que j'ai découvert qu'en ciel profond, il faut parfois grossir...beaucoup. Et que les conneries sur le diamètre max en fonction de la turbulence sont...des conneries. Et j'en passe... Observer, observer, observer encore. Et pour cela il n'y a pas d'instrument privilégié. je pense même qu'il faut diversifier les expériences, et profiter de tout ce à quoi on peut avoir accès pour observer. Et tu verras comme c'est étrange de redécouvrir des objets que l'on croyait pourtant bien connaitre, en y revenant encore et encore au fil du temps. C'est important d'y revenir, on constate la progression du "savoir regarder". C'est enthousiasmant. Et entretien la passion. Je suis tout étonné par exemple de me rendre compte de ce que je peux "sortir" de petits instruments que j'avais relégués jadis au garage, maintenant que j'ai (très probablement...) des milliers d'heures de vol en visuel sur des instruments plus pêchus. Mon regard a appris. L'instrument est transcendé et je me dis qu'il y a un an, dix ans ou 50 ans j'étais pas au top des capacités dont pourtant je me contentais. C'est un peu ce qui se passe lors des rassemblements où l'on côtoie tous les niveaux d'observateurs. On constate souvent une palette de sensations très variées, et on appréhende sur le terrain l'abîme de la différence entre jeter un œil comme un touriste et observer comme un esthète. D'ailleurs, il est important d'observer pour soi, hors sessions, rassemblement ou club. Pour aller à son rythme, pour vagabonder tranquillement sans arrière pensée, pour sortir des entiers battus, des sempiternels Messiers et se frotter au "ciel extrême". J'adore cette expression "ciel extrême". On peut à ces occasions aussi apprendre de quelques personnes expérimentées qui attirent ton regard: regarde bien là, est ce que tu vois, est ce que tu as fait attention à ce détail... le compagnonnage, ici comme dans beaucoup de domaines c'est important. Nous sommes un peu des artisans des étoiles. Pour en revenir aux ouvrages Astrodessin, ce sont des pépites. Mais ils n'auront pas atteint leur objectif si l'envie de crayonner sur un calepin ne nait pas en toi. Car dessiner, c'est une éducation de l'œil, c'est extraire l'information. La déguster, la confronter aux souvenirs, parfois aux émotions des premières fois. Et ce parfois sur une poignée de minutes, parfois une heure, parfois deux heures, plusieurs nuits quelquefois en y revenant. Grande école de patience et de précision. Parfois une méditation… C'est en ce sens que j'aime à dire que je considère l'astronome amateur comme un naturaliste. Le dessin n'est rien finalement si tu ne connais pas, si tu n'expérimentes pas, sa genèse sous le ciel.
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