den b

Encore une traduction à la va-vite... Le texte original sur le lien donné par Franck astro : “Without this daytime mode, we'd have no idea if one of the brightest stars in the sky has gone supernova until a few months after its explosive light reached Earth,”

Faut te mettre au boulot https://www.webastro.net/forums/topic/17242-chaise-pour-jumelles/ En plus nomade et très agréable à utiliser, à adapter bien sûr en fonction de l'instrument à supporter : https://www.webastro.net/forums/topic/166406-flute-me-vla-reparti-à-tailler-du-bois-lunette-et-sc-altaz/

http://www.astrosurf.com/topic/123016-quelle-magnitude-détoile-en-observation-diurne/

J'ai quelques antiquités que j'aime bien Le mur droit en version épée dans la lune ... Bullialdus : Et le même associé à une photo avec le même éclairage que j'avais trouvé : Et une région proche du limbe : Le tout avec un newton de 150 mm en 1981 et 82 donc. J'avais de meilleurs yeux et beaucoup plus de patience que maintenant

Pour tenir les jumelles à bout de bras assis ou allongé ou même debout on peut se poser une planchette sur la poitrine et y faire reposer les bras de chaque coté. Cela soulage bien les bras et améliore aussi pas mal la stabilité. Sinon pour le choix des jumelles, je définis le budget que je peux y consacrer et à partir de là je choisis les mieux placées dans ce budget en jumelles stabilisées. Ce n'est que mon avis, mais je ne suis pas près d'en changer https://www.webastro.net/forums/topic/9932-jumelles-stabilisées-canon-10-x-42-is-ed/ Mes 10x42 approchent doucement leur 20 ans et fonctionnent toujours parfaitement.

En détail sur quickmap Mais ça ne répond pas à la question de Norma Trouvé sur le site de Denis Bergeron : http://www.astrosurf.com/d_bergeron/astronomie/Bibliotheque/Explications_lune/expl_lune.htm

c'est chouette, on va pouvoir faire des concours, à celui qui voit le plus de satellites simultanément dans un champ de 6°. Avec mes 10x42, 2 ou 3 reste assez commun et se voyaient déjà couramment l'année dernière. Lors de mes dernières observations, j'en ai plusieurs fois eu quatre et j'ai manqué les cinq de peu, un sortant du champ à une fraction de seconde de l'entrée du suivant

Pour le problème de décalage d'axe optique on peut voir ce post (et au moins les deux suivant) sur un topic de webastro : https://www.webastro.net/forums/topic/152945-sentrainer-à-la-collimation/#comment-2349316 On voit que le positionnement du secondaire en fonction de son offset est déterminant.

Mais de rien, heureux que cela serve. C'était le but

Et pour marquer, vérifier le bon collage ou recoller en bonne place le secondaire : http://www.reto.fr/marquage/index.html Et comme le dit gehelem, cela permet de clarifier énormément de choses sur la collimation. Mon laser ne me sert plus et la collim est réglée juste à l'aide d'une boite percée et finition sur une étoile si besoin. Cela permet aussi de remarquer que le laser est souvent "trop précis" demandant de tripoter les vis du secondaire à chaque collim pour super bien centrer le point dans la pastille primaire alors que bien souvent on peut tolérer un très léger désaxage, ce que le laser ne permet pas devant pointer au centre de la pastille. Mon secondaire étant monté solidement, je n'y touche jamais sauf démontage conséquent du télescope.

Allez, une petite encore dans la catégorie " antiquité, one shot, argentique" . 31 mai 1982, newton 150 F6 Et finalement pas de changement majeur dans ce secteur

Bonjour, Question assez vague ... Par rapport à quoi et pour quel usage ? Voir le site LROC qui donne les coordonnées de tout point sur la lune, peut-être : https://quickmap.lroc.asu.edu/ Et la date et l'heure ne changeront pas grand chose du fait que l'on observe toujours la même face

Je savais bien que cela me disait quelque chose, mais il a fallu remonter loin pour le retrouver et si ce n'est pas le plus beau, c'est au moins le plus ancien de ce topic pour l'instant, et quelle magnifique mosaïque : Allez qui dit plus vieux ?

Cela se trouve sur un groupe de lentille interne donc pas grand chose à voir de face sinon une plus ou moins légère brume mais qui est très uniforme, donc peut-être pas très facile a remarquer sur des photos.

J'en ai eu un, acheté d'occasion et qui m'a donné satisfaction pendant une quinzaine d'année, jusqu'au moment ou il est devenu de plus en plus "brumeux". Apparemment un problème de collage ou traitement entre les deux composants d'un doublet de lentille (problème connu sur internet). J'ai démonté mais cela ne m'a pas mené loin

l'histoire aurait peut-être du être relatée dans le bric à brac, mais au final comme c'est une séance d'observation aux jumelles qui m'a fait observer cette nébuleuse, et que je ne l'aurais jamais découverte autrement ... Suite à divers travaux, il m'a fallu déplacer le rhododendron de mon jardin qui dépérissait doucement vu son grand âge (50 ans ? dont 35 sous ma garde) et le déplacement ne lui a pas réussi. Je l'ai donc déterré afin de lui offrir une jolie euthanasie et devant la motte assez dense et conséquente, je l'ai nettoyé et en ai fait émerger le réseau impressionnant de racines et radicelles joliment imbriquées, et noyé auparavant dans une terre légère et moussue et cela m'a donné une jolie boule de bois que je posais dans mon atelier en attendant de lui trouver une utilité décorative ou autre. Et hier, le ciel et les températures bien clémentes m'ont incité à prendre les jumelles et aller observer un peu le ciel du moment, et à la fin de la séance d'environ 1h30 je vais ranger la chaise dans l'atelier, plongé dans le noir, mais après une heure dans la nuit et quelques lumières de la ville, pas besoin d'autre éclairage. Après avoir remis la chaise à sa place, je remarque du coin de l'oeil une très vague lueur diffuse provenant de la boule de racine du rhododendron. Je pense à un outil oublié dessous et qui reflète une lumière extérieure, et je déplace la boule pour m'apercevoir que cette lueur provient de l'intérieur de cette boule et voici donc que je découvre cette "nébuleuse du rhododendron", faible mais bien présente et joliment colorée de vert. Je vous ai quand même fait quelques photos pour apprécier cette magnifique nébuleuse bioluminescente provenant donc d'une partie de la racine vermoulue et certainement contaminée par un champignon provoquant ce phénomène. A noter que pour arriver à capter le phénomène avec mon petit compact, il a fallu 20 secondes de poses à 6400 ISO : Un petit gif : Lors du nettoyage, j'avais remarqué cette zone vermoulue et l'odeur de champignon qui en émanait, en avait enlevé la majorité par grattage, mais pas tout, bien heureusement. Plus qu'à observer la longévité du phénomène. Un autre exemple : https://www.sepaq.com/parcs-quebec/blogue/article.dot?id=dc70b8f5-e124-4137-bf38-6cfc163fce49

Dernières nouvelles : Le phénomène était éphémère, certainement dû au fait que j'avais gratté la partie vermoulue le matin avant la nuit de l'observation, après un nettoyage vigoureux de la souche les jours précédents et après séchage de cette partie vaguement humide, la luminescence s'est estompée. La nuit suivant celle ou ces photos ont été prises, je n'observais plus que quelques points très faibles à peine discernables en vision décalée. J'avais par contre récupéré quelques copeaux du grattage dans mes déchets verts et eux avaient gardé un peu de leur potentiel lumineux, mais cela n'a duré qu'une nuit aussi. Le vent breton a repoussé les nuages de Tchernobil Oui, je devrais peut-être essayer d'observer mes copains les acariens en nocturne. il doit bien y en avoir quelques uns de lumineux Surtout, si ils se nourrissent de champignons http://www.reto.fr/micro/index.html

Pas cher, qui permet d'en apprendre beaucoup, rapidement et de te faire une idée des différents matériels : une petite visite au club d'astro voisin, si possible lors d'une soirée ouverte ou d'initiation(pas de cotisation à payer) et plus par la suite si affinité

J'ai toujours eu des chercheurs coudés redressés, en général des 10x50 et pendant un temps un 10x60, lequel ne m'avais pas apporté grand chose de plus que le 50. J'utilise aussi un chercheur 80mm coudé redressé en guise de petite lunette pour des observations rapides ou ornitho, mais je ne me vois pas avoir ça monté sur un télescope. Un petit post sur les chercheurs : https://www.webastro.net/forums/topic/121940-strock-quickfinder-ou-6x30/#comment-1779936

Non. La comète sera à une élongation de 24 dégrées. Il faut au max un 80mm sur un capteur plein format pour faire rentrer l’éclipse et la comète dans le champ (au chausse pied). Tu peux utiliser Stellarium (ou autre) pour visualiser ce que différents montage (appareil photo + optique) donnent sur le ciel. Et pas besoin de filtre pour cela, car le seul moment où tu pourras avoir une chance de voir ou photographier la comète sera pendant la phase de totalité et donc sans filtre mais cela risque de ne pas être évident à mag 5. Jupiter un peu plus loin à 30° du soleil et mag -2 devrait être plus aisée et sinon encore plus facile, Vénus à 14 ° et mag - 4, mais précédent le soleil.

Mes premières lecture sur l'astronomie n'était pas dans un livre spécifiquement "astro". C'était le grand atlas mondial que mon père avait commandé en 1963 (j'avais alors 10 ans)et que je possède toujours. Il y avait dedans quelques pages sommaires sur le ciel, ainsi qu'une carte du ciel qui n'était pas vraiment aisée à utiliser et une carte de la lune. Et entre les pages de cet atlas on retrouve quelques articles de journaux conservés précieusement : Le suivant, tiré de je ne sais quel revue date d'avril1981. Ne manquez pas de lire le commentaire de ce dernier

Le tube d'efferalgan sert bien aussi si on a marqué son secondaire : http://www.reto.fr/marquage/imagepages/image16.html Pour effectuer ce marquage, c'est par là : http://www.reto.fr/marquage/imagepages/image1.html

Ah, c'est le genre de chose que je savais faire

Mettre un loir à l'intérieur, cela va réchauffer doucement les lentilles Peut-être essayer des hamsters si tu trouves pas de loir ?

Ah mince alors, c'était pourtant une carrosserie "made in France" https://www.ouest-france.fr/economie/elon-musk/recit-quand-elon-musk-faisait-affaire-avec-une-entreprise-de-louest-7bf50eac-7325-11ee-a00f-d55111ba52f2 " Vers l’infini, et au-delà L’histoire prendra une tournure étonnante, en février 2018. Lors du vol inaugural de la fusée Falcon Heavy, c’est une Tesla Roadster, avec la carrosserie made in ouest de la France qui prend place, sous la coiffe de la fusée. « C’est typiquement du Musk, sourit Jean Py. Capable d’un coup médiatique aussi incroyable qu’envoyer une voiture dans l’espace. Il s’est toujours vanté de n’avoir jamais eu besoin d’acheter de la publicité. » Désormais, dans l’espace, une Tesla Roadster tourne autour du soleil, avec sa carrosserie étudiée et produite en Mayenne, en Ille-et-Vilaine et Maine-et-Loire."