Masmich

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Tout ce qui a été posté par Masmich

  1. L'apparente immobilité du ciel nocturne..., la calme mouvance de l'eau..., et la voix sublime de la belle dame..... Merci Hamilton.... MM
  2. Bonjour, Pas facile d'avoir un avis au vu d'un empilage d'images traité..., en fait c'est sur une "brute" non affectée de défaut de MAP et/ou de suivi qu'on pourrait juger de l'optique..., tu as ça ? MM
  3. Petits instrument et grandes magnitudes...

    Bonjour, En fait tu conclus qu'une optique à f 4.2 est plus rapide photographiquement qu'une à f 5.4, jusque là on te suit.... MM
  4. Ouf, une trouée...

    Pour un débutant le "meilleur" logiciel, que ce ce soit de pré ou de post-traitement (faut bien séparer les deux phases) n'est pas forcément le plus récent, ni celui qui a le plus de fonctionnalités, ou le plus "à la mode", c'est celui qui va lui donner avec simplicité une image qu'il sera fier de montrer à son entourage, et peu importe les micros-défauts que seuls les spécialistes verront (exemple ci-dessus : le coeur cramé de M42, mais au début on s'en fiche, ça ne gâche pas le plaisir de l'image, on apprend à éviter ça plus tard...). Quand cette phase de "photo basique mais réussie" sera bien maîtrisée, comprise et routinière, le débutant n'en sera plus vraiment un et pourra alors se tourner vers des outils plus élaborés. Dans mon club je fais travailler les apprenti(e)s astrophotographes en ciel profond avec Deepskystacker (DSS) pour le pré-traitement. Très automatisé et facile d'emploi il donne des résultats plus qu'honorables pour peu qu'il soit bien paramétré (ceux qui le décrient ne savent souvent pas le paramétrer correctement...). Pour le post-traitement c'est Photoshop ou Gimp (qui est gratuit). Bon ciel ! MM
  5. Collimation qui n'en finit pas !

    Bonsoir, comme Bruno je vois dans certaines de tes images des défauts de MAP, peut-être la fais-tu sur une étoile trop brillante sur ton écran d'APN ? Lors de la MAP, que ce soit directement sur une étoile ou sur des aigrettes via un masque, l'utilisation d'étoiles trop brillantes nuit à la précision car ce qu'on regarde est empâté par l'éclat. Etoile d'éclat modéré, ISO juste suffisants, et tu auras une image fine et propre qui te permettra une MES précise. Ensuite il faut être certain que la MAP ne bouge pas pendant la session photo.... Pour la colim aussi, utiliser une étoile d'éclat modéré à l'oculaire. MM
  6. Ouf, une trouée...

    La seconde image que tu as postée est donc bien une "brute", c'est à dire une "pose" unique. Dans la mesure ou le suivi de ta monture a été bon pendant les 30s il est normal que les étoiles soient ponctuelles sur cette image. La première image, qui est "stackée", c'est à rire résultante de l'empilage de plusieurs "brutes", montre un défaut d'alignement des étoiles. En fait il semble qu'une ou deux images ont mal été recentrées par rapport aux autres avant empilage, on voit leurs étoiles en "fantômes" à côté de celles correctement empilées. 1 : Les images en cause sont peut-être affectées d'un gros défaut de suivi ?, as-tu vérifié ça ?. 2 : Dis-nous avec quel(s) logiciel(s), et surtout comment, tu as créé cette première image, on pourra mieux t'aider ensuite pour le pré-traitement. Sinon, pour le post-traitement, sous Photoshop, ou Gimp, ou ce que tu veux.... - il y a une dominante rouge à corriger, elle est évidente à l'oeil et l'histogramme la montre d'ailleurs très bien. Il y a plusieurs méthodes pour équilibrer tout ça, là, vite fait, je l'ai fait sous Gimp en agissant sur les canaux RVB des niveaux. - un petit coup de courbes pour rehausser un poil les faibles extensions de la nébuleuse. - et un recadrage pour virer la bande noire de gauche, dûe au recentrage des brutes, j'ai aussi coupé un peu à droite. Captures d'écran avant et après retouche (très) rapide sous Gimp, regarde l'histogramme à droite. MM
  7. Bonjour Sébastien , mon complice Daniel et moi nous souvenons des très belles images admirées dans votre corono aux dernières ROS, et c'est en discutant avec vous lors du repas suivant que l'envie d'en construire un est née , mais on a dû louper, occupés ailleurs, les explications détaillées de Franck ... Merci pour ton retour d'expérience ! MM
  8. Merci pour ce premier avis éclairant Norma . J'aurais bien emmené la chose aux ROS, mais c'est hélas cuit pour cette année... MM
  9. Ouf, une trouée...

    Bonjour, qu'entends-tu par "non stackée" ?, s'il n'y a pas d'empilage c'est donc une brute unique ? MM
  10. Bonjour, j'ai eu des soucis assez similaires, quoi que plus marqués au centre de l'image que sur les bords. J'ai soupçonné un reflet qui jouait au ping-pong entre le capteur et les filtres, j'ai donc installé la caméra sur une bague de tilt et ça a complètement disparu ! MM
  11. Flat field image

    Tu n'as pas encore bien compris ce qu'est un flat... Un flat ne corrige pas les écarts de luminosité d'une séance à l'autre mais les hétérogénéités de luminosité dans UNE image. En bref il ne travaille pas dans le temps mais dans un espace 2D. Un flat, normalement obligatoirement réalisé sur une "surface" de luminosité homogène, va corriger les défauts d'homogénéité de luminosité qui sont présents dans lui-même ET dans l'image à corriger. Les hétérogénéités de luminosité qui ne sont QUE dans l'image à corriger et pas dans le flat resteront intacts, et tant mieux car il s'agit du ou des sujet(s) photographié(s) . Cependant, si tu poses tes objets à photographier juste devant un fond clair et que tu images "avec" et "sans" les objets, l'image "sans" (donc juste le fond) peut te servir de flat car elle contiendra, comme les images "avec", les hétérogénéités d'éclairage de ta source, mais que pour la séance en cours. Si tu fais plusieurs séances il faudra faire un flat à chaque fois car rien ne garantit que les hétérogénéités d'éclairement, les poussières, etc..., seront les mêmes et au même endroit d'une sénace à l'autre. As-tu songé à placer (si c'est possible, je ne connais pas ta manip), juste contre l'objet qui va varier de pouvoir réfléchissant d'une séance à l'autre (tu veux mesurer cette variation si j'ai bien compris), un "témoin" qui lui ne variera pas ?... En mesurant, sur tes images, la luminosité du témoin puis celle de l'objet d'étude, puis en réduisant tes données pour ramener à 1 (ou 100%) la "luminosité" du témoin tu obtiendras l'évolution de "luminosité" (de la "noirceur" dans ta manip) de l'objet d'étude, et cela corrigera automatiquement les éventuelles variations d'éclairage dues à ta source d'une séance à l'autre. Sur ce, bonnes manips et bon courage ! MM
  12. Flat field image

    Bonjour, Le flat ne corrige QUE les hétérogénéités de luminosité sur l'image dues au train optique (de l'instrument de prise de vue pour faire simple), écarts causés par des éléments mécaniques, optiques, poussières, salissures. Çà répond à tes deux questions... Bonnes manips ! MM
  13. Flat field image

    La correction d'une image brute par un flat, opération qui vise à corriger l'image brute des "défauts" d'éclairement du capteur, ne se passe pas comme ça. Voici comment nous (ou les logiciels automatisés) procédons globalement pour nos images astro de ciel profond, tu en retireras ce qui te paraît utile pour ta manip : - prise des images brutes. - sans toucher à la mise au point ni à l'orientation du capteur par rapport à l'optique, prise de X flats (PLU) sur une source lumineuse uniforme, temps de pose réglé pour obtenir un histogramme calé vers les 2/3 de la dynamique. - prise des darks (noirs), avec des paramètres "caméra" identiques à celles des brutes, température incluse, mais dans le noir complet bien sûr. - prise des offsets (bias) avec des paramètres "caméras" inchangés sauf le temps de pose réglé au mini possible, et là aussi dans le noir. Puis - réalisation d'un offset maître, en général par médiane (si on a fait N offsets, chaque pixel de l'offset maître prendra alors la valeur médiane des N pixels situés au même endroit, de mêmes coordonnées sur le capteur si tu préfères). - réalisation d'un flat maître, d'abord en soustrayant l'offset maître à chaque image flat, puis en faisant un flat maître par médiane de ces flats corrigés de l'offset. Comme pour les offsets, le pixel 1-1, par exemple, du flat maître aura alors la valeur médiane des X pixels 1-1 des flats corrigés par l'offset. - réalisation d'un dark maître, même procédure que pour les flats. Puis - soustraction de l'offset maître de toutes les images brutes. - soustraction du dark maître de toutes les brutes précédemment corrigées. - division de chaque brute (corrigées de l'offset et du dark) par le flat maître (là on réduit furieusement la dynamique). - multiplication de chaque image corrigée du flat par une constante d'une valeur voisine de la moyenne des valeurs des pixels du flat maître (là on remonte la dynamique aux environs de son niveau d'origine). Puis - alignement des images corrigées - empilement des images alignées - post-traitement de l'image obtenue. Voilà... MM
  14. Flat field image

    Ben oui..., pourquoi j'ai interprété <0 moi ???? , l'âge sans doute.... Hé bien si on divise les valeurs de tous les pixels par une même valeur l'opération n'aurait aucun effet de correction... Pour corriger le vignetage via un flat (le raisonnement est le même pour les poussières), les valeurs des pixels en bord de capteur des images brutes , affaiblies par ledit vignetage, sont divisées par les valeurs des pixels correspondants du flat maître, où elles sont aussi affaiblies par le vignetage, on divise donc une valeur "faible" par une autre valeur "faible". Au centre du capteur, zone non soumise au vignetage, on divise une valeur "forte" par une autre valeur "forte". Au final les valeurs aux bords et au centre se retrouvent dans les mêmes ordres de grandeur, mais faibles... On multiplie alors tous les pixels par une valeur approximativement de l'ordre de grandeur des valeurs du flat pour rehausser l'image à peu près à son niveau de luminosité d'origine. Toutes les brutes étant divisées par le même flat maître puis multipliées par la même constante (c'est un pléonasme ça...), l'ensemble des brutes corrigées est cohérent. MM
  15. Flat field image

    Bonjour, je ne comprends pas tout.... Si on divise un petit nombre par un grand, des deux étant positifs, on obtient une très petite valeur...positive, jamais négative. Sinon, sur les logiciels astro peu automatisés, comme Iris (excellent ! ), pour chaque image brute, après division par le flat il y a multiplication par une constante que l'on choisit, en général dans l'ordre de grandeur de la moyenne des valeurs du flat, pour rehausser l'histogramme vers ses valeurs d'origine sur l'image brute. Sur les logiciels très automatisés où l'on a pas accès à cette constante le soft doit certainement la déterminer lui-même. Bref, ceci permet, après division par le flat, de conserver la dynamique de l'image d'origine . MM
  16. Première Rosette

    Superbe image, bravo ! Quel modèle ? MM
  17. Mise au point mak 127

    C'est un des modes qui provoquent le moins de vibrations. Dans un APN il y des éléments mobiles au moment du déclenchement, le miroir est le plus connu et le plus redouté pour les vibrations, mais même les rideaux peuvent à eux seuls provoquer un léger flou à fort grossissement. MM
  18. Mise au point mak 127

    Bonjour, bien que ce genre d'instrument ne pose en général pas de gros problème de collimation, as-tu fait un star test visuel, histoire de voir si des fois n'y aurait pas un loup ? Sinon, faire la MAP en liveview est une bonne idée, mais il ne faut pas le faire sur une étoile trop brillante, ou juste pour dégrossir, ensuite il faut prendre une étoile plus modeste, et descendre les ISO pour avoir une petite image bien propre, qui ne bave pas, là on peut faire très précisément le point. Si tu fais la MAP directement sur le terminateur lunaire, pareil, descend les ISO pour ne pas avoir de zones cramées sur ton écran, tu jugerais mal la MAP. Et enfin, le déclenchement d'un APN va provoque des vibration très néfastes à la netteté, il faut au moins relever le miroir avant déclenchement (y'a une fonction pour ça dans les menus), voire déclencher directement en liveview. MM
  19. astrophotos

    Bonjour, On dirait une réflexion parasite, j'ai eu ça voici quelques années et en ai gardé une archive. La paroi intérieure de l'un de tes accessoires n'est peut-être pas assez noir mat et réfléchit de la lumière rasante, si oui il faut repeindre ça ou y coller de la feutrine noire. Teste tes accessoires à main levée face à une source bien lumineuse. Tu peux aussi, avec ta config complète, photographier une cible de jour et voir si tu as ce reflet. Voici la bague qui m'avait posé ce soucis et l'image que ça donnait au travers d'une L80/600ED; peindre l'intérieur en noir mat a complètement fait disparaître le reflet. MM
  20. ASI 1600 - problème de trame

    Bonjour, je ne vais hélas guère t'aider car je planche aussi là-dessus..., je suis donc preneur sur le sujet ! J'ai un problème similaire avec mon Altaïr 130M, ça n'est pas du tout le même genre de caméra mais, sur des "poses courtes" de quelques secondes je retrouve bien "ma" trame verticale sur "ton" image.... En revanche, contrairement à toi, j'image avec un gain proche du max. Je retrouve cette trame sur les darks, elle est déjà là.... Elle est aussi bien sûr sur les brutes et le pré-traitement ne corrige pas.... Monter le "point noir" cache un peu la misère mais on perd en dynamique , en bin 2x2x la trame est pire ! Voici une moyenne de 5 darks à 22°C (*), bin 1x1, 12 bits, gain max, 5s, point noir "caméra" à zéro, niveaux resserrés. * : test fait à la maison, mais sur les darks faits en fin de séance d'imagerie par -3°C le résultat est voisin... NB : admirez l'électroluminescence en haut à droite !..... Ca dira peut-être quelque chose à quelqu'un qui pourra nous aider.... MM
  21. problème Dmk41

    Tu peux étudier ce problème en faisant des essais de jour sur un petit instrument très diaphragmé et/ou dans une pièce très assombrie. MM
  22. N200 / 1000 sur HEQ5

    Ah oui !..., je viens d'aller sur https://www.soleilactivites.fr/ et découvre ça... . Bon, nous qui avions peur de ne pas pouvoir finir notre corono pour les ROS, on a finalement jusqu'à l'an prochain ! (je blague, nous sommes impatients de le tester, même en faible activité solaire...) MM
  23. Bonjour, par expérience, et après avoir pas mal galéré avec des "trames" impossibles à éliminer sur mes images en ciel profond, j'ai arrêté de compter sur un léger décalage de mise en station ou les irrégularités de suivi pour régler ce problème. Un décalage systématiquement " dans le même sens" conduit toujours à de la trame, plus ou moins, et des fois on arrive à la planquer au post-traitement , mais toujours... Depuis que je fais de l'autoguidage avec dithering aléatoire (PHD2+PHDmax) plus de trame !.... MM
  24. N200 / 1000 sur HEQ5

    Bonjour Norma, 3 membres de mon club ont cette config, ça passe bien même avec APN sur le PO et un chercheur avec une p'tite cam pour l'autoguidage, mais faut pas plus pour être sûr de faire du bon boulot. Et oui, en cas de vent irrégulier, même pas très soutenu, il y a des mini-bougés..., un tube court réduit ce pb, sans l'éliminer. Mais faut pas rêver, nous avons aussi deux membres équipés d'EQ6, une avec un C9, l'autre avec un 250/1250, là aussi par léger vent irrégulier il y a du déchet pour bougé dans les brutes... A (presque) bientôt aux ROS ? MM
  25. Maksutov 90/1250 - Que puis-je voir ?

    Bonjour, c'est un bon petit instrument pour débuter ou faire de l'astronomie familiale au fond du jardin , sur la Lune et les planètes il sera bien agréable. Pour le ciel profond son diamètre sera bien sûr un handicap, il permettra de "repérer" beaucoup de ces objets (ce qu'on fait d'ailleurs avec des diamètres encore plus petits) mais, hormis les principaux comme M42, pas de les "observer" au sens d'y déceler des structures. Je suppose qu'il a été livré avec les classiques oculaires de 25 et 10mm ?, ce n'est qu'un avis mais je pense qu'un 40mm à champ large, au moins 70°, pour fouiller le ciel profond et un bon 6mm planétaire le compléteraient certainement bien. Bon ciel ! MM