CPI-Z

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  1. Analyse Rodier

    Je dirais entre 2000 et 4000 sans compter le soft qui représente beaucoup de travail
  2. Analyse Rodier

    Magnifique ce Shack Hartmann, il doit coûté bonbon ... Si l'on veut investir pour améliorer sensiblement WR , mais de manière beaucoup moins onéreuse, il suffit par exemple d'utiliser un bon diviseur optique et 2 caméras synchronisées identiques pour une prise de vue intra et extra simultanée. Cela permet de s'affranchir de l’intervalle temps qui inexorablement modifie le front d'onde entre les poses d'un capteur unique. Là beaucoup moins d'images sont nécessaires. On peut aussi y adjoindre 2 objectifs pour normaliser l’incidence des rayons sur les capteurs. De multiples solutions existent ... après le rendement/coût rentre en compte.
  3. Analyse Rodier

    Enfin des propos plus constructifs, merci à vous. En labo avec un environnement maîtrisé quelques images peuvent suffire pour WR. Mais sur une étoile un couple d'image même de 30s n'intègrent pas suffisamment l'environnement dont en particulier les mouvements d'air ... (et si possible le télescope dirigé vers uns zone proche du zénith). Il faut plusieurs minutes au total pour chaque image résultante intra ou extra (comme pour le planétaire). Seulement dans ces conditions l'intra et l'extra représenterons les images défocalisées exploitables par WR (et encore, malgré cela, comme en planétaire, les images pourrons être non représentatives, si les conditions sont insuffisantes). Les 4 premières séries de seulement 2 images montrent déjà à l’œil trop de différences de formes pour imaginer une quelconque répétabilité. Et comme le précise JLD Une trop grande non maîtrise de paramètres environnementaux comme dans l'analyse de résultats, contribuent malheureusement à la mauvaise réputation de WR sur sa répétabilité, alors que le logiciel lui n'y est pour rien. Avec d'autres outils professionnels jusqu'au Zygo, dans un environnement mal maîtrisé ce serait pareil, une répétabilité serait impossible ou la comparaison avec d'autres moyens similaires. Dans l'exemple de MMeunier je vois un double problème complémentaire : - un correcteur sur le chemin qui ne permettra pas de comparer les résultats aux mesures sur le miroir seul - un problème de géométrie du cône de lumière, paramètre d'entrée indispensable pour WR incohérent.
  4. Analyse Rodier

    Oui JLD tu disposes maintenant des images de MM, donc quels sont tes résultats ?
  5. Analyse Rodier

    Il me semble évident que les caméras correctrices de ce télescope n'ont pas été réaliser uniquement à l’œil aussi expert soit-il.
  6. Analyse Rodier

    Et pour ceux qui ont encore des doutes, encore un exemple plus connu du public : En fait WR est un star-test amélioré qui permet de restituer informatiquement le front-d'onde (utilisé déjà à l'époque sur Hubble Space Telescope).
  7. Analyse Rodier

    JLD je ne suis pas d’accord avec toi concernant la fiabilité de WR. Si tu lui donnes à manger les mes données il te sortira les mêmes résultats. Donc sa fiabilité n’est pas à remettre en cause dans la mesure où l’on connaît ses limites. Faire croire qu’un star test est plus performant me semble … particulièrement douteux. Pour le contrôle des optiques il est très difficile d’avoir une répétabilité quand on cherche de la précision sur un front-d’onde tout particulièrement sur les grands diamètres. Il y a tellement de paramètres issues des conditions de mesures qui influent le résultat. On est dans l’optique pas dans la menuiserie ou la mécanique grand public. L’un des plus grand exemple est l’historique de Hubble. De plus il est impossible de faire une mesure sur une seule acquisition. Il faut faire une dizaine (voir des dizaines) de mesures, écarter celles qui sont trop loin et faire la moyenne pour avoir une idée objective d’un résultat (et cela ne dépend pas d'un soft). Il suffit de contacter les professionnels de grand miroir et aborder leurs problèmes de contrôle et de répétabilité avec des moyens autrement plus performants et dans des environnement maîtrisés, pour avoir une idée des difficultés. Dans l’optique de précision, un moyen fiable avec juste un coup de flash, ça n’existe pas. Même en laboratoire la répétabilité est un problème. Alors unique star-test ... Là où je te rejoins c’est qu’il est préférable en plus d’avoir des moyens différents et complémentaires pour confirmer un résultat. Si son miroir est à L ou L/2 alors une précision de L/5 à L/10 est largement suffisante. J'évalue à environ L/15 la précision atteignable par WR par un amateur en maîtrisant l'environnement des mesures correctement et si l'obstruction n'est pas importante (là c'est une question de polynômes non adaptés aux obstructions qui faussent les résultats au bord).
  8. Analyse Rodier

    Je parle pas de la fonction de recentrage de WR (si elle existe Image/Centrer), mais sur tes images brut. C'est ce qui assure un pointage de l'étoile proche de l'axe du miroir. OK pour la précision du focuser, mais le best-focus d'une étoile n'est le milieu de l'intra et de l'extra pour qu'elles est le même diamètre en pixels. C'est pourquoi il faut un outil lors de l'acquisition pour parfaire les captures (DiamEater par exemple). Et la mesure du défocus sera la moitié de la somme des défocus mesurés sur ton focuser (qui je le rappelle sont légèrement dissymétriques pour avoir 2 disques de même diamètre à un pixel près). Ces 2 diamètres sont remesurés et donnés par WR dans les informations de chaque image, masque visible, et sans changer le seuil des Valeurs (c'est une des données principales du calcul). Ton astig serait si important qui influe sur les images ? en tous les cas n'est pas bon.
  9. C'est bien ce que j'imaginais, des laser d'auto-collimation. C'est mieux que rien mais c'est pas précis pour un télescope "très ouvert". D'ailleurs quel est son rapport d'ouverture et sa focale ?
  10. Analyse Rodier

    2mm de défoc c'est 36 ondes, on est dans la fourchette. 148 pixels pour l'image du miroir. Seul bémol, 1 seule image c'est trop peut. il faut des couples de séries d'images non saturées. Et la différence de diamètre en pixels entre l'intra et l'extra était de combien ? Et la différence du centre des disques sur le capteur sans avoir changer le pointage du télescope était de combien ?
  11. Analyse Rodier

    Bon puisqu'on ne dispose pas de plus d'informations par MMeunier je me lance ... WinRoddier dans un premier temps est le plus simple à mettre en œuvre soit sur la polaire soit sur une étoile plus brillante vers le zénith (puisque tu dispose certainement d’un bon suivi). Je suppose également que tu dispose d’une caméra avec laquelle tu peux faire beaucoup d’images (comme en planétaire) en RAW, en avi ou en SER. Je rappelle que WR pour bien fonctionner a besoin de 3 choses, des images bien symétriques (quasiment au pixel prés), centrées, et d’un défocus correspondant entre 15 et 50 ondes. On pourrait aller plus loin (75 ondes) mais ..., pourquoi pas ce sera à tester après en fonction des défauts trouvés avec une défocalisation moindre. Combien d’images ? Pour bien intégrer les turbulences il faut totaliser 3 à 6 minutes mini. On peut facilement faire des milliers d’images en planétaire. Un faible tracking (léger défaut de suivi de qqs pixels) aide aussi pour la résultante. Les 2 images finales Intra et Extra sont donc la somme des images capturées sans dépasser la plage du logiciel de traitement (de 0 à 32767 pour IRIS). Le rapport signal/bruit compte bien évidemment aussi. Problèmes de défocalisation. Le focuseur doit être sensible et stable. L’étoile est alignée sur le capteur si son image intra et extra sont fixes (ou relativement fixes) entre les deux positions. Surtout ne pas ce fier au centre du capteur, il est plus que probable que le capteur ne soit pas centré sur l’axe optique mécaniquement. Le valeur et surtout la symétrie des défocus se règlent sur l’écran de l’ordinateur, diamètre du disque image en pixels. Personnellement j’utilise un logiciel dédié qui permet d’afficher et placer un cercle totalement paramétrable pardessus l’image (pointillés, couleur, diamètre, position …). Le bord du disque image n’étant pas toujours bien défini, je paramètre le cercle de 1 à 2 pixels plus grand en rayon (couleur jaune), ça aide. Une fois par exemple l’intra mesuré et positionné, je garde le même cercle pour régler l’extra, seuls de faibles déplacements X et Y du cercle sont alors nécessaires (pas du télescope comme l’étoile doit être centrée). http://www.ristaino.net/software/diameater/fr La valeur du défocus (ou des défocus si on fait plusieurs séries) est donné par le fichier joint. Defocus pour WinRoddier.xls Elle dépend donc du rapport F/D et de la taille des pixels du capteur. Attention au problème de déballage des ondes, le nombre d’onde, qui trop grand fausse tous les résultats. Donc dans un premier temps il faut évaluer ce qui est possible entre le F/D et pixels. Le diamètre de l’image résultante du miroir en dépend. Donc au départ pas de défocus trop important et une image du miroir restreinte. Paramètres dans WR. On peut s’appuyer sa la valeur de la dimension des pixels du constructeur de la caméra. Perso je préfère la mesure et j’utilise un comparateur au 0,01mm placé sur le focuseur. Erreur absolue +-0,02mm. Donc pour un défocus donné on peut calculer l’incertitude en %. Une caméra NB sera mieux qu’une caméra couleur à cause du dématriçage. 550nm en NB me semble suffisant pour exploiter le front-d’onde et déjà donner une bonne idée du miroir. L’utilisation de filtres réduit le spectre comme l'incertitude la valeur de la longueur d’onde choisie. Mais au risque d’ajouter une optique intermédiaire influente. On peut aussi mesurer le miroir au centre de courbure, donc s’affranchir de la météo. Mais il faut des moyens complémentaires. Pour le paramétrage de WR on pourrait voir cela sur des exemples concrets.
  12. Analyse Rodier

    Peux-tu en dire plus, D520, focale, valeur de défocalisation ... et le nombre de prises de vues ?
  13. Analyse Rodier

    Déjà disposes-tu d'une caméra (astro ou non) reliée à un PC? Avec un APN c'est plus difficile, mais c'est possible ...
  14. Je veux bien en parler ici mais c'est un peu long et ça dépend surtout des matériels disponibles. Messagerie, je parlais de la messagerie d'Astrosurf ...
  15. Analyse Rodier

    WinRoddier fonctionne et fiable bien si on respecte ses conditions d'utilisation.
  16. powermate

    Exactement où te la montré capt-flam plus haut :
  17. Cecil-Kris c'est à la fois simple et plus difficile à mettre en œuvre. Il faut faire une double collimation. collimater ton porte caméra (ou focuser) au niveau de ton secondaire, en clair que l'axe du porte accessoires pointe bien le centre de ton miroir collimater ton miroir sur le centre de ton porte accessoires par basculement du miroir primaire Il faut donc quelques moyens et utiliser la méthode classique dite par retournement. Peut-être pourrait-on en discuter par messagerie ?
  18. powermate

    Il y a déjà eu un sujet sur les différents tirage de la Powermat x5 , si ça peut servir
  19. Magnitudes à déterminer : au coin du feu

    Merci jmr on rentre vraiment dans le sujet et je découvre cela avec grand intérêt.
  20. Magnitudes à déterminer : au coin du feu

    Salut Lucien, perso j'utiliserais une nouvelle fois IRIS avec l'onglet Analyse/Photométrie d'ouverture. Avec les cercles et la constante de correction paramétrés, on a directement le résultat, 15 pour ta ref. et environ 14 pour MX1 et 16 pour MX2 (mesures à affiner). Pour une magnitude visuelle l'étoile ne doit pas être saturée, sa magnitude est propositionnelle à son intensité (somme de l'intensité des pixels qui la compose) avec une correction logarithmique : x2.5 = -1 magnitude. Donc on peut aussi passer par là pour calculer une magnitude par rapport à une étoile connue.
  21. Grosse différence de couleurs entre JPEG et RAW

    Cbuil et Lucien, je suis parfaitement en phase avec vous, les couleurs dépendent tellement des paramètre des prises de vues, de l’environnement objet des instruments d’acquisition jusqu’au moyens de restitutions, qu’il est logique et cohérent qu’IRIS restitue dans cette chaîne de manière la plus neutre et la plus objective possible ce que voit le capteur, les fichiers raw bruts, si on veut faire de l’astronomie à base d’images. D’un autre coté il y a le coté artistique, l’image « belle » que recherchent tant les pros dans les revues et tous les amateurs comme dans la Galerie d’images d’Astrosurf. Les constructeurs d’APN ne si trompent pas, la concurence veut qu’ils incluent dans leurs boîtiers de plus en plus de logiciels de corrections pour une restitution d’esthétisme optimal … Mais la différence entre une image brute et sa conjointe en .jpg ont tellement de différences en terme de couleurs et surtout en terme de température de couleurs, que parfois cela déroute les utilisateurs d’IRIS. Mon but était de retrouver ses paramètres car IRIS fait tout ou presque tout, mais pas cela. PIPP est une solution gratuite pour contourner ce point. Perso il m’arrive aussi de traiter des images non astro avec IRIS, cela m’intéresse donc. Je croix que le sujet est maintenant bien cerné, il pourrait être clôturé à moins que d’autres solutions gratuites soient proposées ...
  22. Grosse différence de couleurs entre JPEG et RAW

    Serte mais Alain nous a montré avec astroart ou PIPP que le paramètres sont directement retrouvés
  23. Grosse différence de couleurs entre JPEG et RAW

    Merci à vous de me prendre pour une buse. Au pif des paramètre RGB !!! NON. Sur mon APN je suis obligé de passer par RawTherapee par exemple pour retrouver les coefficients utilisée à la capture. Et sur ma petite caméra astro j'utilise le soft de capture et dont les valeurs sont affichée. Les température de couleurs dans un APN n'existent pas pour vous?
  24. Grosse différence de couleurs entre JPEG et RAW

    Merci C Build pour ces explications et IRIS est mon soft préféré parce que tout est décomposable et logique (pas comme dans certain soft où tout se fait à l'aveugle). Seul petit détail : Pourquoi au pif ? Ces informations ne sont-elles pas dans un fichier RAW ? Je pense aussi comment retrouver la bonne température des couleurs ? Essayer de retrouver ces paramètres (au pif) en s'appuyant sur une image qui vient d'ailleurs pour essayer de la copier me semble non sérieux. Peut-être c'est impossible, ou alors j'ai mal compris ? Pourtant souvent les soft photo retrouvent les paramètres des appareils photo de l'image .jpg crée simultanément. PS le coté artistique des images stellaire n'est-il pas aussi rechercher pour les astro-amateurs ?