lyl

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  1. Pour avoir déjà posé des questions là-dessus au support Bresser à propos d'une lunette Explore Scientific. ... je confirme. C'est lié mais n'est pas le back-focus de conception optique. Tout bon fournisseur de matériel optique évite au client de se hasarder à ça : cela t'évitera de toucher les surfaces avec ton réglet.
  2. polissage S-FPL55

    Une petit illustration de la WR (Weathering Resistance) dans sa partie tolérance génération de contraintes mécaniques lors des variations de températures https://fr.wikipedia.org/wiki/Larme_de_verre https://www.youtube.com/watch?v=24q80ReMyq0&t=208s Non ce n'est pas une erreur, ce n'est pas la balle qui explose l'extrémité de la goutte mais la vibration excessive de la queue, d’où l'effet d'explosion qui se propage en démarrant à la queue, là on l'on libère la tension négative du coeur https://www.youtube.com/watch?v=ww6QJNiOn4c&t=869s
  3. Doublet collé

    Je me dis en passant que l'essence de térébenthine contient des huiles essentielles qui peuvent dissoudre le beaume qui est une térébenthine de sapin beaumier, mais le xylène est la version épurée. A toi de voir.
  4. Doublet collé

    4 jours depuis dimanche ? Ça a tout l'air d'être du beaume jauni pourtant, le xylène ce n'est pas si dur à trouver. Ensuite cela dépend aussi de la surface de pénétration et de la distance de colle à dissoudre. Le ratio d'efficacité du xylène par rapport à l'acétone est vraiment élevé, je te le dis. Fut une époque ou j'ai laissé un doublet d'un plössl Clavé de 6mm de focale, il a fallu la nuit dans l'acétone tiède. C'est très peu efficace et ça pue...
  5. polissage S-FPL55

    Désolée pour la boutade, ça semble être la stratégie commerciale mais en matière de chimie physique des matériaux, on attend la mise au point d'un verre d'appariement plus efficace. Et dans ce domaine là, c'est plutôt la règle des 1%. 90 qui attendent, 9 qui essaye et 1 qui trouve.
  6. polissage S-FPL55

    parce que 55 > 53
  7. Doublet collé

    Si colle UV : https://35mm-compact.com/forum/viewtopic.php?f=13&t=59305 https://www.norlandprod.com/techrpts/separating.html Si beaume du Canada (vieux doublet) : xylène, toluène https://cbonvin.fr/sites/www.dotapea.com/benzene.html https://reptox.cnesst.gouv.qc.ca/pages/fiche-complete.aspx?no_produit=92619 Plus le doublet est gros, plus c'est long, très long ... Note : pour les colles silicones qui sont des intermédiaires entre beaume et colle UV, j'ai eu le cas avec mon doublet Lichtenknecker AK70 => La température, et ensuite acétone.
  8. polissage S-FPL55

    Oui la chaîne optique des objectifs à plus de 10-11 lentilles. Le marché du FPL-53 est principalement les objectifs photographiques (70mm de diamètre max 100mm, là il excelle) Si tu le changes en FPL-55, pour conserver les mêmes performances, c'est bien plus compliqué que d'ajuster les courbures. Je te laisse imaginer le bazar pour refaire les cellules, et changer toute la chaîne de production. ---- @jean dijon Pour revenir au doublet FPL55-BK7, il ne faut pas hésiter à mettre de l'espace d'air si tu le fais en f/D assez long. Ça te simplifiera les calculs et les retouches au détriment de la couleur latérale, ou de prendre un verre type H-K1 (ce n'est pas le meilleur ...) à la place du BK7. C'est un peu moins corrigé bleu mais tellement plus piqué L'idée est de simplifier ce contrôle du piqué car c'est difficile avec un PtV important. ex : 120/920 en S-FPL55 + * H-K1° puis BK7°° °les courbures sont plus strictes mais plus relaxées pour l'entreverre. N'hésite pas à tournicoter autour des verres un peu plus léger en index que le BK7 et avec une différence de Vd entre 30 et 35. Pour faire vrai apochromat, il faut un peu plus de f/D. °° Ça joue trop sur des anomalies mathématiques d'ordre 3 pour gérer la couleur, le CFS avec du BK7 : c'est n'importe quoi Les formules classiques présentées sur CN sont celles issues des fabricants en série, pour le particulier, il faut pouvoir contrôler correctement l'aberration sphérique plutôt que de maitriser les courbures. Je ne diffuse plus là-bas, ils sont trop obtus pour chercher à comprendre. Pour des fabrications uniques, on peut se permettre de recalculer d'après les données des melts. La bonne association donne une courbe de décalage chromatique comme celle là et des piqués max > 0.99 en 120/1000. Diagonale de 35mm à 2° d'angle, de g 435nm à C 656nm pour les spots. A ta dispo en MP si tu veux regarder ça. Le meilleur choix dépend de l'usage de ce doublet, visu/photo.
  9. polissage S-FPL55

    Parce que quand l'objectif est finalisé c'est qu'il a passé les épreuves stressantes de la mise en forme optique. Par contre c'est intéressant de savoir à quel point il cause du déchet, ce qui fait monter les prix : soit du matériau soit du produit fini. A titre d'anecdote, CGDM est parfaitement capable de produire un équivalent mais ils ne le font pas : leur but est de déporter la difficulté du contrôle qualité en aval et de produire sans recyclage de ce qui est "raté" C'est exactement du même acabit que la différence des tolérances mécaniques entre SkyW et Vixen. Les verres optiques doivent respecter un très haut niveau d'exigence sur les tolérances pour que ce soit admissible dans un processus automatisé, au point que certaines séries de melts de Schott (à l'époque de la réforme ECO) ont été bradées à cause des défauts internes.
  10. polissage S-FPL55

    En premier lieu, le 55 est légèrement moins mou que le 53 et présente moins d'incidents d'homogénéité. Mise en forme et état de surface final : cf ci-dessus, surtout meilleur en résistance chimique de surface, ce qui sert lors du polissage final pour la tenue (humidité, traces de doigts, fluctuation en température). Le 53 a mauvaise réputation à cause des mauvaises surprises en phase de polissage final. Les tensions internes se relâchent plus facilement et peuvent causer des craquelures profondes même sous un simple courant d'air malvenu. Cela fait partie des faits avérés quand on discute avec les fabricants d'objectifs astro qui ont testés... Ceci est imputable aussi à des problèmes d'homogénéité qui s'enchainent ensuite avec des ennuis de dé-vitrification (amorce de cristalisation : grumeaux) Fabrication : il est plus facile à stabiliser au refroidissement : légèrement meilleure conduction thermique et point de transformation plus haut en température. Bulles moins grosses. Tous ces points font que son rendement industriel (pour atteindre la qualité nominale) est plus élevé, le prix proposé par Ohara est fixé à 2/3 de celui du 53. Dans le tableau sur CN, il manque, entre autres, le verre d'appariement utilisé pour la 120ED et la 150ED et d'autres verres Kz de Schott et leurs équivalents.
  11. Le surprenant combat des apos

    C'est parfaitement compréhensible.
  12. Le surprenant combat des apos

    Certes, mais pas d'hélioscope ce jour là chez le spécialiste en solaire chez qui j'étais et honnêtement j'ai vu tellement de choses intéressantes avec du H-alpha et Ca-K, ce qui englobe largement les possibilités de résolution en bande LB, qui est le propos de Christian entre résolution et luminosité, que j'ai du mal à y concevoir un quelconque intérêt maintenant. Le soleil dispense tant de flux que tant qu'à filtrer : autant le faire sur la largeur de bande. A la rigueur pour être conforme à la résolution de l’œil peut-être en continuum vert mais je ne suis même pas sûre que ce soit le mieux.
  13. Le surprenant combat des apos

    Hello je n'ai pas beaucoup d'expérience là-dessus, je dirais seulement (sous surveillance de qui me l'a montrée) 130mm : très impressionnant, c'était une apo Astro-Physics. 80mm fabrication maison, objectif collé 900mm de focale : excellent mais je n'ai pas vu la granulation, que ce soit en H-alpha ou en Ca-K (trop sombre). 100mm (la TAL suscitée) en H-alpha avec un daystar de compétition : c'est beau, (protu active en plus) mais le soleil était trop bas sur l'horizon, ça turbulait trop, je ne suis pas formelle sur la granulation.
  14. Soleil ovale.

    Pour moi c'est évident. Fais réparer ta bague Z
  15. Soleil ovale.

    C'est en lumière blanche je suppose c'est du chromatisme latéral dans ce cas. Si c'est au centre de ton champ : c'est le chemin objectif-plan de l'image qui est tilté. soustraction de la même image après rotation de 90°
  16. Anciens oculaires

    Peux-tu être plus précis sur le passage en question ? Vu le nombre d'âneries au km dans ce fil, le sujet reste à caution. En fait et comme d'habitude c'est celui qui fait le plus de bruit à qui on décerne les lauriers. La mise au point et les tests des premier types de traitements anti-reflets multicouches sont dus au travaux théoriques de Katharine Burr grâce également au patronage d'Irving Langmuir (prix Nobel) Par la suite c'est la société OCLI en Californie qui déposa en Avril 1970 le brevet des ingénieurs d'applications J.Apfel & R Gelber Il est de notoriété publique qu'à cette époque Pentax et Zeiss travaillaient en collaboration sur le sujet. Ils ont tout deux rachetés les droits du brevet. Nikon étant déjà séparé de Zeiss à l'époque (controverse nikkor), peu d'information sur leur position à ce sujet. Zeiss considérait le sujet acquis et que c'était une évolution normale, ils n'ont pas fait de battage là-dessus et ont introduit le traitement là ou c'était nécessaire. Le symbole T3M sortit en 1978 était un besoin pour ne pas être mal compris dans cette situation concurrentielle. Pentax a par contre fait un gros effort d'investissement en 1972 et un bon gros battage médiatique pour faire passer la pilule de l'augmentation de prix due au SMC. En bref, aucun des deux n'est l'inventeur de ces traitements. (il y a plusieurs méthodes décrites, variant le nombre de couches de Ti02 et SiO2) Brevet US : https://patents.google.com/patent/US3679291 Un vrai distinguo est apparu ensuite avec le Zeiss T* qui utilise en plus d'autres matériaux Les soucis du SMC sont probablement dus à une période de fiabilisation de l'industrialisation. Je ne pense pas que les conséquences sur la qualité optique finale soient rédhibitoires. Meade utilisait ce type de traitement dans les années 1970; ils ont connu la même période de stabilisation sur leurs oculaires grand champ et les objectifs "FMC" sans préciser si c'est chez eux qu'ils traitaient les lentilles ou à la source au Japon. Quant à la qualité des PENTAX orthos SMC 0.965", elle est excellente mais pas parfaite. Elle convient particulièrement pour le piqué des instruments f/7- f/10, c'est une adaptation de la formule des CZJ "jupe alu". Les meilleurs en piqué sont ceux de Zeiss en version ortho bronze, calculés pour les instrument longs. Ça n'avait que peu de sens de faire une série spéciale à l'époque vu le raccourcissement des f/D des réfracteurs. J'ai eu sous les yeux, certes, moins d'une dizaine de Pentax orthos en 1"1/4 et 0.965", les 1"1/4 sont intéressants en focale médiane pour binoculaire par exemple mais franchement détestables sous 8mm et en dessous pour la focale. La version 0.965" est elle, conforme aux attentes pour ce type de produit. Avec le recul, il est difficile de recommander franchement une marque car il y une variation certaine dans la qualité de fabrication des othoscopiques. L'assemblage du triplet reste encore aujour'hui une opération délicate. Jean Texereau décrit cela avec des détails lors des tentatives de la SAF de produire un oculaire standardisé. Je ne peux pas en faire une généralité malheureusement vu le faible nombre pour en faire une étude statistique. Mais je l'ai constaté à plusieurs reprises sur des Tani, des Nikon et même la dernière version des Fujiyama. La seule marque qui m'a paru faire un contrôle strict de qualité sur les 4 que j'avais acquis est ... Edmund Optics pour son rebrand des Fujiyama et ce fut ma deuxième boulette de les avoir revendu tout comme le CZJ bronze que Zirkel2 possède maintenant. Ah, et je dois préciser que je n'ai pas eu de ZAO en test, donc pas d'avis là-dessus.
  17. En aparté, la fluorine en soi n'est pas soluble dans l'eau pure. C'est la pureté du matériau et l'alcalinité de l'eau qui lui est préjudiciable. En particulier, pour des surfaces exposées aux pollens et spores champignons, l'association avec un brouillard humide produit ce cas de figure. Ce n'est pas un mythe comme indiqué ici http://scopeviews.co.uk/Fluorite.htm A l'origine, pour les minuscules lentilles des objectifs de microscopes, on pouvait utiliser directement des morceaux du minéral quand il se présentait sous forme transparente et blanche, signe d'absence de matériaux "polluants" le cristal. Un petit extrait d'un rapport d'état (bureau des recherches géologiques et minières) Note : la France était auto-suffisante dans la production de ce matériau en 1997-99 et grâce à une protection anti-dumping contre le "spath acide chinois" votée en l'an 2000 par la CE envisageait de bonnes perspectives à long termes.
  18. Le traitement anti-reflet, sur un doublet constitue une amélioration faible de la transmission, ce n'est pas la raison du traitement. Les chiffres qui suivent sont pour 550nm (vert) La perte sur le verre fluorite non traité est de 3.2% environ, et 1.77 à 2.2% avec la couche de MgF2 (probablement en dépôt basse température donc moins efficace), seul le multi-couche donne une avancée significative sur ce verre. En simple couche il est là plutôt en protection complémentaire contre les agressions et l'humidité. Sur le KzFlint O_SSL5, c'est de 1.4% à 1.1%. En comparaison, BK7 nu : 4.22% et mono-couche 1.11 à 1.43%, Son compagnon classique F2 nu 5.6% et mono 0.53% à 0.75%. Sur le F2 et plus "lourds", le monocouche MgF2 est suffisant. En fait, sur les instrument à verres "légers" le traitement sert surtout à gérer les reflets dans l'entreverre et donc à optimiser le contraste. Entre la luminosité de l'image superposée + déformée du reflet et l'image principale, l'idéal est de dépasser 1/100 mais quand on a des objets franchement lumineux dans les parages : genre occultation de Ganymède sur la surface de Jupiter, il faut pousser ce ratio de plusieurs magnitudes, idem pour les étoiles doubles. En général, l'image secondaire est projetée à plusieurs lambdas plus loin 'par les différences de courbures et l'espace d'entreverre pour être au moins triplée pour plus en taille (1/9e en luminosité) et diminuée de 2500 par le traitement. Ce qui fait un ratio de 1/22500 ou ~11 magnitudes (plus facile à comprendre) Avec des courbures similaires sans collage et sans traitement, ça devient un casse-tête du genre image agrandie de 40% (1/2 luminosité) et 1/420 par le reflet -> 1/840 ou 7.35 magnitudes. Cela donne un contraste ingérable pour les occultations. Note, magnitudes apparente : Jupiter -2.7 à -2.9, Ganymède 4.61 soit 7.3 à 7.5 d'écart. On peut faire sans traitement dans quelques combinaisons optiques (collée) ou grand espace (lunette de Lick et Yerkes de la famille Clark) C'est également utile de le faire sur une formule qui a un faible sphérochromatisme : les traitements modernes MC permettent les nouvelles formules avec un faible entreverre. La fameuse pub technique Zeiss pour les instruments ZeissT-Optics.pdf
  19. Il faut que tu sois plus précis pour le seuil du violet car délibérément je donne la limite du violet en visuel nocturne beaucoup plus bas que le violet de l'arc en ciel qui en lumière du jour. ---- mais je vais complémenter sans trop repartir sur la physiologie Le violet est gênant quand tu ne peux pas en tirer d'information utile et qu'il gêne le contraste sur l'observation des autres couleurs là ou l'on recherche les détails.
  20. Ah, et bien toutes les faces optiques sont traitées, mais ça ne dit pas avec quoi ni le nombre de couches.
  21. J'ai une explication plausible, le changement de dispersion d'indice est classique pour MgF2, apposé sur un verre frontal KurzFlint on a une accélération significative de la raideur de la courbe de réflexion C'est du au fait qu'entre les raies F et g, le verre Kurz Flint change moins vite qu'un verre classique, accentuant le phénomène. Mathématiquement : pour un monocouche. voir les calculs des réflexions : https://fr.wikipedia.org/wiki/Traitement_antireflet n1 (air), n3 (Kz flint o_ssl5 ~1.52), n2 (MgF2 1.38) Le traitement dépend fortement du ratio R = n22/n1n3 avec en minima (annulation) quand ces conditions sont réunies. Note : c'est rare d'obtenir la condition 4.1. C'est surtout dans quelques oculaires lourds qu'on l'obtient. Ex. Brandon Mon propos est que n1 (air) reste quasi-constant proche de 1 entre 400nm et 700nm, n3 évolue lentement vers le violet sur la plage 440-500nm et n2 évolue normalement Ensuite l'effet KurzFlint n'est pas permanent, c'est juste un retard qui ne se place que sur une plage de longueur d'onde qui va vers le violet mais pas plus loin. n3 regrandit vite plus loin dans le violet profond et UV Le ratio R croit donc plus vite sur un verre KzFlint typique de la construction Steinheil (flint spécial devant des fluorites) que sur par exemple du BK7 (n3 ~1.517) d'un achromat. En image variation d'indice de MgF2 (suivant les épaisseurs) : on est probablement dans un cas entre 1 et 2 (couche mince 50-60nm), à comparer avec la variation pour O_SSL5 Retard de croissance d'index changeant les proportions réfléchies BK7 vs Kurz Flint léger (du à antimoine et arsenic dans la composition) A noter que le BK7 (borate ajouté) est déjà un comportement du même type par rapport à d'autres verres comme K7 qui rend encore plus bleu en reflet La fluorite donne le même effet que le KzF => on cumule En conclusion c'est un sujet poil à gratter qui donne encore un avantage de plus aux lunettes fluorites anciennes (avant les tt multi-couches) en visuel
  22. Regarde comment et si la couleur change avec l'inclinaison. Voici un assombrissement bleu typique MgF2 sur l'objectif d'une achro 102M pas trop vieille. Le ciel derrière était plus clair (2eme image), pris en été vers 10h du matin. C'est difficile de sortir du violet avec du simple couche MgF2 ou alors c'est qu'il est raté. Le plus proche du violet de jour serait celui de la 80-1200 Planet Killer qui est calé très bas et je garantis que ce n'est pas aussi prononcé, il sort bleu sombre comme les Clavé MgF2 "durs". Ci-joint le graphe du traitement de la PK et un normal comme sur la 102M. Pour sortir un violet comme ça je connais un BBAR russe 4 couches qui fait ça (coupe à 440nm-680nm en U très prononcé) En éclairage terrestre ça pulse un reflet violet prononcé ------------------ Retrouvé : mon 2" méga-prisme GOMZ en BAK4 avec son traitement BBAR russe. Une bête qui bronche pas au froid, dispo. sans bloblottement dés que tu les mets en place. Je dirais que sur la fluorite, c'est un multi-couches (5 à 7) de la grande époque Meade : la bande est un peu plus large et cette teinte perçue comme ça de jour est invisible en vision nocturne.
  23. Anciens oculaires

    Ohi Optical c'est Masuyama depuis plusieurs générations. https://digiborg.wordpress.com/2019/09/21/masuyama-ohi-optical-manufacturing/ https://www.imaging-resource.com/news/2018/04/17/glass-for-geeks-an-in-depth-tour-of-nikons-hikari-glass-factory Dans ce sens là, MOP signifie Masuyama Optical Production. Circle-T, Mr Tani a travaillé toutes ses années de production avec des lentilles provenant de chez Ohi qui parfois, sur les verres délicats utilise les mêmes technique de recuit que Zeiss fait pour ses verres d'oculaires et pour les minuscules lentilles des objectifs de microscopie. Ceci pour garantir l'absence de bulles et de contraintes et l'homogénéité dans certains verres difficiles à mettre en forme. Les verres sont produits par Nikon Hikari Glass qui est la filiale de Nikon. https://www.lesnumeriques.com/photo/faconneurs-de-verre-visite-de-l-usine-nikon-hikari-glass-pu122803.html
  24. Bonjour, cette information est remontée dans l'état "SMART" du disque. L'utilitaire devrait l'indiquer. La fin de vie est brutale sur les SSD...
  25. Renvoi coudé Takahashi 50.8

    Et donc aussi un bafflage moins efficace aux alentours du plan focal quand on observe les objets à forte luminosité. Les RC 2" sont à recommander pour l'observation grand champ quand c'est nécessaire. Pour le grand champ, le RC de Tak offre dans ce cas le bénéfice d'une collimation plus poussée pour éviter les effets de dédoublement d'image/astigmatisme quand le miroir est trop tilté par rapport au 45° requis. C'est également assez rare qu'on offre mieux que lambda/4 sur la surface totale. Cela nécessite également des tolérances fines sur le coulant.