alaindumercantour

Bah t'es pas obligé, t'as qu'à parler de parsec. Moins de 100 parsecs. Ça fait bien environ 100 m non ?! De toute façon quand je vais monter à l'Ehpad, ça va faire 45 km. C'est légal.

Ça existe sur le formulaire "dérogation pour mamie nova" je rends visite à un proche dans le besoin, c'est un alinéa dans "Déplacements pour motif familial impérieux, pour l'assistance aux personnes vulnérables et précaires". Normal, on va bientôt la voir faiblir. En tout cas bravo ! Alain G

Bonjour, J'ai eu l'occasion il y a 4 ans de récupérer dans le containeur poubelle un spectro Jobin CP200 avec l'indication 133 (traits au mm ?). Depuis il dort sur une étagère. C'est lourd (2340 g) avec un petit miroir parabolique au fond. Pas très vieux (octobre 1989) Il manque la fente d'entrée. Le miroir est "sale" je n'ai pas osé le nettoyer des fois que le réseau soit gravé dessus. Semble encore vendu par une boîte japonaise ayant repris Yvon-Jobin. Comment utiliser ce spectro pour s'amuser un peu en astro ? Comment le remettre en état ? (Nettoyage du miroir, réalisation d'une fente, dispositif pour le fixer sur un SC soit derrière le tube soit sans tube ou posé en parallèle, comment y fixer une Atik ?) J'ai pas mal lu et relu les différents fichiers de Christia'n Buil mais je vois quand même pas trop comment m'y prendre de manière pratique. Je vous mets quelques photos et si je le retrouve un schéma glané sur le net. Bref : " Please Help ! " comme c'est dit dans un célèbre film...

>PerrouriefhCedric ah bah nan, chais pas. Je suis passé 2 fois à Angoulême (gare) pour aller chercher un membre de ma famille et lui éviter une double correspondance vers Saintes puis Jonzac, mais le festival jamais mis les pieds. Et mes dessins ne sont que sur Internet pour quelques amis qui me suivent. En plus des dessins j'en fais depuis que j'ai 7 ou 8 ans. Donc soixante ans plus tard, Angoulême... Sinon j'étais membre des "dessineux' mais la structure n'a pas duré. Et mes échanges avec des auteurs publiant dans Causette se sont estompés avec les aléas de la vie professionnelle. Le seul truc un peu incongru dans cette histoire de dessin, c'est que dessiner ce que je vois à l'oculaire ne m'a jamais tenté. Pourtant j'aime bien les dessins astro des autres, il m'arrive de faire un croquis de ce que je vois et j'ai quelques dessins astro vintage tout comme je suis amateur de dessins de grands peintres, mais sans que cela déteigne sur ma pratique astro. Peut être parce que, pour moi le dessin est avant tout un moyen de renseigner un carnet d'expérience ou de labo pour garder trace d'une manipe.

Bonjour, J'ai découvert par hasard l'astro en 1991, à peu près, par un stage professionnel lourd à l'Observatoire de Paris, avec des kadors comme Brahic, Gouguenheim etc. Spectro, carto, utilisation d'instruments à Meudon, etc. Tout fier dès le premier jour de me repérer sur les planètes entre les immeubles sur le boulevard Arago. Un tour dans une boutique bien connue de Rivoli et je suis ressorti avec une lunette à oiseaux. Club normand havrais. Puis Nice en ville et ma ferme viticole de 1730 dans un hameau dépourvu d'éclairage le long de la Gironde, cognac classé "fin bois" (mais je ne produis pas bien qu'ayant droit à 3000 m2), et aussi ma grange isolée dans le Mercantour. Une poignée d'instruments, surtout mes zoeils, mon Taka newton 130, un vieil ETX, mon Mead e 254 RC lx200, ma vieille Secrétan, et mon Lightbridge 16 ainsi que des jumelles 100. Nul en photo, d'autant que j'ai commencé en posant un bout de pelloche découpé par la porte latérale d'un chambre Flatfield et du Bourge de 400 en bois et ferraille de 400 kg. Je détestais le ciel profond et ses floutitudes. Mon truc c'étaient les manipes qui tuent, les astéroïdes, les planètes Puis progressivement j'ai appris à me repérer dans le ciel et j'ai même pris goût au CP. Je continue à adorer les manipes, occultations, étoiles variables. TNO, courbes de lumière d'astéroides. J'ai même réussi à me procurer un spectro Jobin que je cherche à installer sur mon lx200. Sinon, je suis retraité, et secrétaire général de l'Hypertélescope. Je dessine de la BD, j'adore les instruments anciens, les météorites, et mes abeilles. J'observe environ 95 à 100 fois par an. J'aimerai bien faire du solaire avec une petite Lunt 60 avec PT (becose l'altitude). Si un jour je vois passer un petit Boudin dans mon budget...

Par contre ce n'est pas ce que l'on peut appeler plat. Ni sur le terrain de ma grange dans le Mercantour, ni sur les anciennes cultures d'orge, d'épeautre ou prés de fauche de mon fils. À ma grange je suis obligé depuis un an que j'ai abandonné l'observation sur le balcon en bois, plutot vibrant, de bâtir une plate-forme d'observation sur le rocher surplombant ma grange. Chez mon fils ben va falloir là aussi que je décaisse pour faire une plate-forme...

Bonjour mon homonyme, Alain G comme moi... Non, dans ma ferme, ancien chai, j'y vais pour de long séjours liés à mes quelques interventions sur mes abeilles (visite de printemps, pose de hausses, récolte et mise en hivernage) et mes ramassages de fruits (cerises guignet, prunes, figues et mures). J'en profite pour faire des travaux lourds sur les batiments. De l'observation bien sûr aussi, car peu de pollution lumineuse (Bordeaux à 80 km au Sud). Tandis que ma grange où je suis seul dans la vallée, j'y passe quelques jours (5 jours possibles en autonomie). Là aussi bricolage, ramassage des champignons, cueillette des fraises des bois, des noisettes. Et bien évidemment un beau ciel étoilé du Mercantour à 1300 m d'altitude. Ces temps ci, mon plus jeune fils vient d'acquérir plus de 10 hectares dans le Mercantour avec un hameau complet de 1698. Je l'aide à retaper depuis un mois, et je vais donc avoir un nouveau point d'observation si la station de ski proche s'éclaire pas trop ses pistes.

Hooo, merki, mais en fait j'étais déjà en face, lol. C'est juste qu'il m'arrivait de croiser AS et j'ai voulu régulariser. Mais je ne suis pas un gros poster. Ne serait ce que parce qu'à ma grange et à ma ferme, je n'ai pas internet et même la 2G (=edge) ne passe pas dans ces ruralités profondes.