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50.000 satellites 5G, pour quoi faire ? Entretien avec Jean-Marie LOPEZ, astronome.

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Ah ah ah !! Non c'est pas moi !

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Par abus de langage et déviation du vocabulaire, on entend parler trop souvent de prétendus ennemis publics à propos de quelques criminels notoires, dont l'action certes abominable, reste néanmoins très circonscrite et ne nuit directement qu'à un nombre de personnes relativement restreint, et sur une durée le plus souvent tout aussi limitée... on n'emploie jamais cette locution superlative pour désigner les grands malfaiteurs de la pollution industrielle qui font parfois des milliers de victimes et sur des temps beaucoup plus longs, et ne parlons même pas de ceux qui s'arrogent le droit de passer outre le bien commun, le droit international et les conventions officielles censées protéger le patrimoine universel, sans même également parler des conséquences de leurs méfaits sur la santé, la biodiversité et tout simplement le bien être général et naturel de tout un chacun...

 

S'il est un cas absolument spécifique où il serait totalement légitime de parler d'ennemi public, voire de crime contre l'humanité, il me semble que la pollution lumineuse, et particulièrement cette abomination satellitaire en phase de développement exponentielle en est clairement une illustration typique et exemplaire, car elle affecte l'intégralité de l'humanité sans aucune exception, et de surcroît lui est imposée d'autorité sans qu'elle n'ait eu son mot à dire...

 

Et je n'ai pas peur d'ajouter que les tristes laudateurs de ces grands criminels qui vont même parfois jusqu'à la fanfaronnade médiatique en se prétendant défenseurs de liberté s'avèrent être complices, l'apologie d'un crime est également un méfait répertorié dans le droit.

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Il y a 2 heures, Daniel Bourgues a dit :

totalement légitime de parler d'ennemi public, voire de crime contre l'humanité

C'est dans l'inconscience et l'indifférence générale que les crimes les plus abjects ont eu leur auréole de sainteté...

Jean Marc Lechopier

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Le 29/11/2022 à 13:54, Daniel Bourgues a dit :

Et je n'ai pas peur d'ajouter que les tristes laudateurs de ces grands criminels qui vont même parfois jusqu'à la fanfaronnade médiatique en se prétendant défenseurs de liberté s'avèrent être complices, l'apologie d'un crime est également un méfait répertorié dans le droit.

 

Sauf que comme Musk, ils sont convaincus de réellement œuvrer pour l'humanité ! 

 

Principe du rasoir de Hanlon : « Ne jamais attribuer à la malveillance ce que la bêtise suffit à expliquer ».

 

Pour la philosophe américaine Ayn Rand : « La cause du mal est la bêtise, pas la malveillance ».

 

Il y a 1 heure, etoilesdesecrins a dit :

Bien triste actualité en ce moment

 

... où la bêtise trouve toute sa place !

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il y a 46 minutes, George Black a dit :

Sauf que comme Musk, ils sont convaincus de réellement œuvrer pour l'humanité ! 

 

Principe du rasoir de Hanlon : « Ne jamais attribuer à la malveillance ce que la bêtise suffit à expliquer ».

 

Pour la philosophe américaine Ayn Rand : « La cause du mal est la bêtise, pas la malveillance ».

 

C'est quand même un peu facile voire simpliste et ça n'excuse rien, c'est précisément ce dont a très bien parlé Hannah Arendt avec la "banalité du mal"... thèse très mal comprise en son temps et très injustement décriée, par ceux là même qui aiment à entretenir une forme de manichéisme simpliste, et qui prétendent bien à tort que cette "fameuse" banalité du mal ne tend qu'à minimiser la responsabilité des coupables. Une lecture plus incisive démontre tout le contraire et explique avec finesse que c'est là justement que se trouvent les origines du totalitarisme, conduisant vers notre devenir d'animal laborans que nous constatons et déplorons aujourd'hui.

 

Nul de peut nier la complicité passive d'une part non négligeable de ceux là même, qui aujourd'hui sont soumis aux conséquences de l'hégémonie qu'ils ont admirée et longtemps invoquée en exemple indépassable, par veulerie  dans le meilleurs des cas, et complicité active au pire, par intérêt mal compris.

 

Et entre nous, "philosophie américaine" ça frise quand même un peu l'oximoron...;)

Modifié par Daniel Bourgues
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il y a 25 minutes, Daniel Bourgues a dit :

C'est quand même un peu facile voire simpliste et ça n'excuse rien

 

Je n'excuse rien ! ;) 

 

il y a 26 minutes, Daniel Bourgues a dit :

Nul de peut nier la complicité passive d'une part non négligeable de ceux là même, qui aujourd'hui sont soumis aux conséquences de l'hégémonie qu'ils ont admirée et longtemps invoquée en exemple indépassable, par veulerie  dans le meilleurs des cas, et complicité active au pire, par intérêt mal compris.

 

Totalement d'accord. Mon paternel disait : "On a le droit de ne pas savoir, mais on n'a pas le droit d'être con !" ;):D 

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