vaufrèges

Que voit-on vraiment en contemplant le ciel ?

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Salut à tous.

Lorsque vous avez enfin laborieusement résolu tous les problèmes techniques, peut-être avez-vous, comme moi, des difficultés à exprimer ce que l’observation du ciel éveille en vous de sentiments profonds.

J’ai trouvé très récemment une interview de Jean Seidengart – philosophe et historien des sciences - sur la question de la place de l’Homme dans l’Univers. En conclusion de cette interview, il livre son ressenti lors de ses propres nuits d'observation comme astronome amateur… Son discours me semble révélateur et je me permet de vous le proposer :

Question : Reste la question du sentiment que tout le monde peut éprouver en regardant le ciel. Vous êtes astronome amateur, que voyez vous en regardant le ciel ?

Jean Seidengart : "En tant qu’amateur, je suis à la fois passionné et averti de ce que je vois. Et plus on est informé, plus on « voit » l’ordre, ou plutôt l’emboîtement de tous les ordres, dans le ciel. Je vois donc le poids de tout ce qu’il a fallu pour qu’on en arrive à l’Homme.

Et là, je me sens comme écrasé par ce poids, non par les connaissances scientifiques mais par l’immensité de ce que je vois avec les yeux et l’esprit.

Cette situation me conduit à éprouver ce qu’on appelait au XVIIIè siècle le « sentiment du sublime », qui est à la fois écrasant parce qu’il me montre ma faiblesse, ma fragilité, et valorisant car il suggère la grandeur spirituelle des hommes qui me permettent à présent de comprendre une part de ce que j’admire précisément. La grandeur m’écrase, mais j’ai l’idée de cette grandeur en moi.
Freud parlait du « sentiment océanique » que l’on pouvait ressentit en regardant le ciel.
Il consiste dans le fait de se sentir une minuscule partie d’un tout qui nous dépasse, nous englobe et que nous englobons à notre tour par l’idée même de notre participation infime. Et, bien que ce sentiment ne prouve rien scientifiquement, il est, pour moi, l’indice de la grandeur de l’esprit humain qui a réussi à prendre la mesure de sa petitesse.

Ainsi retrouve t’on la question philosophique du sens de ce que je vois, de ce que je suis et de la place que j’occupe dans l’Univers.
Le spectacle du ciel m’incite à la fois à me passionner pour la science et à poursuivre mes questionnements philosophiques."

Fin de citation.

Vous retrouvez-vous dans ce texte ou avez vous une autre philosophie ?

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Vaufréges

Si tu m'expliques comment insérer un texte(sous word),je t'envoie un petit récit que j'ai modestement composé et qui peut illustrer tes préoccupations(que je partage!).

n.b:je dis bien un PETIT texte!!

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Désolé,mais je merdouille autant...je suis un peu laborieux dirais-je mais zat's not worksss!!!

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Un copier – coller ça marche très bien, sous Word ou autre traitement de texte ...
La preuve.
J/B

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"Je vous contemple, étoiles !
La Terre n'étreint plus l'enfant qu'elle a porté.
Debout, tout près des dieux, dans la nuit aux cent voiles,
je m'associe, infime, à cette immensité.
Je goûte, en vous voyant, ma part d'éternité"

Claude Ptolémée

[Ce message a été modifié par Kaptain (Édité le 22-10-2006).]

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salut,

à mon sens "Jean Seidengart" que je ne connaissais pas, oriente le questionnement dans un sens intéressant : qu'observons-nous en nous-même lorsque nous observons quelque chose - les étoiles, le ciel ici - ?

On observerait d'abord l'inconnu pour lui-même pour se découvrir soi-même, mais à toute attention précise vaudrait une raison précise pour "l'en-soi" - terme cartésien, en freudien on dirait le Moi - je suppose ainsi une raison de mieux se connaitre à travers une "passion", ici celle de l'observation du ciel, et non de sa "connaissance".

kosmos en grec signifie "le corps", observer le cosmos reviendrait donc à observer "le" corps et à se questionner sur les mécanismes mêmes de l'intelligence.

Pour ma part, ayant plusieurs passions, dont l'observation astronomique, je pense que ma fascination pour les corps celestes vient avant tout d'une question sur la beauté que je vois, c'est tres subjectif, mais chez moi la beauté est un theme vraiment récurrent. Il ne s'agit pas pour moi de connaissance scientifique mais vraiment d'une observation d'un domaine du "beau", purement narcissique et egoïste, voire égocentrique... cela m'apporte du "bien", du "bon" et en photographiant/observant M42 au télescope durant 4h je me sens heureux, comme un pionnier, à chaque fois que je vois Saturne au télescope je pense aux écris de Galilée quand il émettait des hypotheses sur ce qu'il voyait de jupiter et ses satellites...
Je pense vivre pour éprouver du "bien", du "bon", je suis un épicurien s'il en faut, je suis pour le libre échange des idées, des concepts, je suis pour l'amour courtois, les relations entre les êtres les plus faciles et les plus intéressantes possibles. Je me sens également provocateur, à la fois pantin et marrionnetiste suivant la tendance. Si je me décris ainsi c'est tout d'abord pour tenter de me situer dans la trichotomie homme-nature-technologie...

Je ne saurais vraiment écrire sur le sujet "que voyons-nous lorsque nous observons les étoiles", mais je peux dire que pour ma part, complexes, libertés, privations et imaginations comprises, mon violon d'ingres est avant tout dans ce domaine d'observer la BEAUTE.
je retrouve ça dans l'art, chez les femmes, dans la nature autour de nous...

super questionnement Vaufreges, je n'apporte rien, c'est essentiellement un avis personnel... sur une question que je me pose à chaque fois que je pose mon instrument.

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La nuit de l’observatoire.

"Presque déshumanisé, ainsi engoncé dans ma combinaison aux multiples épaisseurs, je représente pourtant en cet instant une part de ma Terre natale.
Le comité d’accueil se résume à cette nuit étrangère qu’aucun frémissement n’ose troubler.
Des monts aux pentes douces s’offrent à mon regard, tel un décor de théâtre. Et l’astre qui affleure à l’horizon, diffuse sur la scène une lumière rassurante.
Je me redresse davantage, comme si les ombres me passaient en revue .Un intense plaisir délivre sa horde de frissons dans ma chair, là où même le vide échoue et ne peut m’atteindre.
Et je souris aussi. Personne pour capter ou disséquer mes réactions physiologiques, me rappeler les cas échéant à l’ordre de ma mission .J’en profite pleinement.

Dieu sait où se trouve le module lunaire ,sans doute posé aux abords d’une mer figée et d’un cratère non répertorié. Je suis en perdition, plus qu’en expédition. Enivrante perdition !
A la face de ce monde inconnu, j’existe comme jamais un songe n’a existé. Je prends corps, je fais corps avec mon nouvel environnement. Le mont Hadley, l’océan des tempêtes ,et Copernic, et Surveyor, cent noms, cent lieux se révèlent à mon regard panoramique .A des centaines de ces milliers de lieues qui justifiaient théoriquement ma présence.

J’accomplis alors ce geste que je crois partagé par l’univers, si l’univers accueille dans ses spirales infinies et ses enchevêtrements complexes le vivant, le bienveillant. Instinctivement j’adresse à la Terre un salut que personne ne verra. Et je souris encore.

Je sais qu’on se revoit bientôt…

J’étais très en avance ce soir et mon esprit vagabondait.
Un à un, mes condisciples débarquent, avec force lumière et bruits de moteurs. Les décors du sanctuaire sont alors escamotés. La campagne bourguignonne reprend ses droits ancestraux et mon costume change instantanément.

A la manœuvre avec les autres pour l’ouverture du toit de l’observatoire. Et ça grince durement aux oreilles et ça rigole dans le vaisseau ouvert aux navigateurs de plein ciel.
J’adresse à la Lune un regard un peu coupable. J’avais la tête ailleurs et je t’ai prise pour la Terre. Obscur astronome qui n’est qu’un hôte de tes surfaces, et qui n’a droit qu’aux effleurements de tes secrets."


Un petit "croa" authentique qu résume un peu ma vision du monde en tant qu'astronome amateur.

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Merci jexfour et hamilton de vos contributions, car c’est pour le moins un exercice délicat de disserter sur un tel sujet, et cela pour plusieurs motifs.
D’abord il est évident que nous sommes conduit là à témoigner de nos sensibilités intimes et donc à révéler beaucoup de nous-mêmes.
Ensuite il est facile de confondre le « sentiment du sublime » du philosophe d’avec le « sentiment du divin » et de basculer ainsi sans crier gare vers des croyances ou des mythes qui cherchent immédiatement un « sens » en offrant toutes sortes d’idées séduisantes.

Seule la réflexion philosophique peut permettre le passage du mythe à la raison, et d'ailleurs, à travers elle la rationalité a toujours cherché à se définir et se décrire.

C’est pourquoi j’approuve totalement le discours de Jean Seidengart lorsqu’il dit : « Le spectacle du ciel m’incite à la fois à me passionner pour la science et à poursuivre mes questionnements philosophiques ».
Il me semble que toute autre option pourrait conduire à une impasse.

Je pense que, tout comme toi jexfour, beaucoup d’astronomes amateurs sont des Epicuriens et que ta fascination pour la Beauté sous toutes ses formes, même subjectives, rejoint et traduit le besoin permanent de transcender notre misérable existence au-delà des valeurs « matérielles ».
Pour la sagesse antique, la contemplation procure seule le bonheur parfait…La contemplation du beau, du vrai, du bien, du bon… et donc des femmes aussi bien sûr… :

J’emprunterai des mots au vent, à la terre, aux
volcans, aux rivières
Pour te célébrer ô femme
Des mots puisés à la source même des étoiles, des
mots qui prêteront leurs ailes à ton
exaltante Beauté….

( Poème de Patrick Dabard )

Ta « nuit de l’observatoire » hamilton est tout simplement magique.
Lorsque tu dis, observant les cieux et la lune : « A la face de ce monde inconnu, j’existe comme jamais un songe n’a existé », tu exprimes, je crois le même sentiment que J. Seidengart qui parle du « sentiment océanique » : se sentir une minuscule partie d’un tout qui nous dépasse, nous englobe et que nous englobons à notre tour par l’idée même de notre participation infime.
« Je prends corps, je fais corps avec mon nouvel environnement » traduit bien cette pensée qui nous envahie lors de ces nuits : Nous prenons conscience de notre imbrication totale avec l’univers,
Pour Camille Flammarion « la contemplation du ciel transporte la pensée en des régions supérieures que n’atteindrait aucune méditation. »
Il estime aussi que « l’Astronomie surpasse toutes les sciences, qu’elle devient notre souveraine éducatrice, qu’elle est le phare de la philosophie moderne.. ».
On est vraiment tenté de le croire !

Ainsi que kaptain le révèle avec le texte de Ptolémée, la contemplation des cieux n’a cessé de fasciner l’humanité. Ptolémée y voyait « sa part d’éternité ».

Aujourd’hui, en constatant le désastre que constitue la pollution lumineuse, il est pourtant à craindre que nous perdions lentement mais surement cette immense et féerique fenêtre ouverte vers la beauté, et vers nos songes intimes.

Salut à tous

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Un bien beau et vaste sujet que tu abordes là Daniel .

Pour ma part, j'ai souvent fais ceci lors de mes nuits d'observations :
Je contemple à l'oculaire maints objets. En voyant Mars, voir ce disque ocre onduler sous le coup de la tubulence, arriver à peine à discerner des formations telles que Syrtis Major et immaginer que là-bas, en ce moment même, deux robots roulent à sa surface et qu'on peut voir des détails micrométriques, cela me donne le vertige. Il se passe la même chose quand je passe sur Saturne où quelque part dans l'abîme, vogue Cassini.
Que dire des Pionneer et Voyager, irrémadiablement perdus et inaccessibles, qui continueront sans doute leur chemin alors que l'humanité pourrait s'éteindre des millions d'années plus tard...
La vue d'une nuit étoilée avec la Voie Lactée barrant le ciel est une vision qui m'est toujours incroyable. Tant de choses, de richesses, de profondeur... Des dimensions qui dépassent l'entendement. Savoir que nôtre vaisseau Terre file à 60 000 km/h sur son orbite, que le Soleil nous emporte à une vitesse toute aussi folle... Que la Voie Lactée elle-même nous porte à une vitesse équivalente à 900 km/s... Et devoir ce ciel si ... immobile.... Ce sont des choses qui vous donne vraiment le vertige et effraient quelque part.
Je me souviens étant tout petit, à l'âge de 4 ans environ, de voyage en voiture de nuit, avec mes parents, moi à l'arrière du siège, levant mon regard vers la fenêtre. C'était mon premier contact avec les étoiles. J'en fut effrayé au point de me recroqueviller sur mon siège pour ne plus voir ces points de lumière, tels une myriades d'yeux qui semblaient me guetter de façon insolente. Mais de ce premier contact en à découlé l'envie de mieux comprendre tout cela plus tard.

Les mythologies y lisaient dans ces étoiles les conflits millénaires qui ont éclaté dans l'univers entre les dieux pour aboutir à l'homme. Aujourd'hui, nous nous aperçevons que nous ne sommes pas très loin de ceci : il suffit de remplacer les dieux par des éléments tels que l'hélium, l'hydrogène, de la matière sombre, des énergies diverses...

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Damien > Ton souvenir d'enfance me rappelle la chanson de Barbara :

" Dis l'oiseau, ô dis, emmène- moi
Retournons au pays d'autrefois
Comme avant,dans mes rêves d'enfants
Pour cueillir, en tremblant
Des étoiles, des étoiles, des étoiles..."

(L'Aigle noir - Barbara)

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hihi,

le lyrisme l'emporte vite....

je serais vite pris entre deux constatations :

- toutes les limites - du son, de la vitesse de la lumiere... etc " ne sont dépassable que par la connerie de calculs humains foireux

- d'un autre côté je suis tres énervé de ne pouvoir écrire qu'avec mon sytlo à bile.

on a sans doute tous un stylo à bile dans l'encéphale qui nous fait croire et voir plein de choses trop - ou tres - belles, et qui nous éloigne de "l'analyse", tant mieux

joli Fourmi ce témoignage, à peine accros à Mars hein
j'aime bien.

j'aime beaucoup le texte de Hamilton,
Hamilton, t'écris over bien. :p méga top top délire méga groove.

j'vais retrouver le poeme "aube" de rimbaud et en retranscrire ici un passage, ou aussi le "coup de dé" de Mallarmé, ça vaut le coup
de dé.

>Kaptain ô mon captain, super citation je l'aime trop çui-là - et à propos c'était vraiment "Claude" Ptolémée, c'est pas possible.......... :s :s :s :s :s l'était pa frenchie le gonz.... non ?

[Ce message a été modifié par jexfour (Édité le 26-10-2006).]

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Bah! jexfour, si on avait qu'une machine à calculer et à analyser dans la tête la vie serait bien triste, non?

Par ailleurs, Etienne Klein, physicien au CEA, estime que "la physique théorique actuelle manque d'un travail philosophique régulier qui permettrait de mieux la situer et de mieux l'interpréter" et "qu'ainsi on laisse le champ libre...à la promotion d'idées trop simples et irrésistiblement séduisantes ".
Sous-entendu > La finalité de l'UNIVERS c'est l'Homme etc...etc..

Il nous faut absolument conserver précieusement la faculté de nous émerveiller, même et surtout quand on est scientifique, mais en se gardant de dérailler vers une quête de sens, car alors on passe instantanément de la philo au mythe...
En clair, on peut être donc être lyrique sans faire appel au mythe, et on doit faire appel à la philosophie pour être vraiment rationnel.

[Ce message a été modifié par vaufrèges (Édité le 26-10-2006).]

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Salut ô cercle des poètes-astram retrouvé!
Tous vos témoignages témoignent bien finalement d'un grand mystère éprouvé lors de la contemplation des cieux.
Chacun avec notre mode d'expression,nos revendications("épicurien","amoureux","apeuré par les myriades d'étoiles comme autant d'yeux qui nous scrutent...,et oui juqu'à l'aigle noir...).Merci au passage pour vos compliments sur mon ch'ti texte.

Ce qui me trouble le plus lorsque j'observe le ciel,au delà de la prodigieuse beauté des sphères qui paradent avec leur anneau ou des bandes émouvantes,des diamants bleutés regroupés en figure,des subtilités nuageuses vestiges d'étoiles défuntes,c'est aussi ce que je ne vois pas mais que je ressens.

Disons le mot,une conviction d'espérance devant cette perfection non fortuite à mon sens et qui place l'Homme au centre de ce "donner à voir".

J'arrête là pour le moment,sachez que je subis en famille du harcélement pour le "à mon tour sur internet".Ca y'est,je craque sous la pression........!!!!!!

A+

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hamilton > Tu es vraiment talentueux... Aurais-tu une suite à ta "nuit de l'observatoire" ??
jexfour et moi on attend !

Peu de participants pour l'heure à cette idée de faire participer à ses émotions nocturnes.
Mais c'est assez normal pour les raisons citées plus haut.
Et puis peut-être, l'astronome ,amateur mais viril, se veut-il rationaliste "pur et dur", ne laissant aucune place aux émotions(alors qu'au fond il a le coeur tendre bien sûûûûr ce grand pudique!!)
Je plaisante, je plaisante...
Et moi, ancien rugbyman (15 ans de carrière de brute épaisse), que fais-je dans cette galère ?

P.S.: L'O.M. et Auxerre éliminés en coupe hamilton, c'est la bérésina !!

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Vaufréges,

Je rentre à l'instant d'un cours séjour dans mon pays icaunais(de l'Yonne=Auxerre)comme qui dirait en cette période pour échanger un peu avec ceux qui ont touché une autre rive....Pour la petite histoite,un observatoire surplombe le cimetière de la ville de Joigny et son propriétaire se repose maintenant au pied de son oeuvre.Une plaque sur sa tombe rappelle d'ailleurs qu'il avait une passion.Poussière tu es.

J'aime bien aussi le "RRRubi" comme on dit dans le sud ouest,heureux d'apprendre qu'un ancien pratiquant signe dans ce forum des pages d'une poésie digne de Mr Herrero.

Tu as raison L'AJA va pouvoir se consacrer au championnat,comme TON OM!!!

Une suite à la nuit de l'observatoire?Je crois que c'est prévu.J'ai deux ou trois idées à développer.

Bons cieux et à bientôt.

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