Bruno- 3 994 Posté(e) 2 juin 2011 Les mesures peuvent se faire avec une petite caméra CCD (voir le livre de Ch. Buil, où il explique la manipe à base de transformée de Fourier de l'image). Et avec un APN ? Je ne sais pas mais je ne vois pas de raison pour que ce qui est valable sur une image CCD ne le soit pas sur une image d'APN. Mais bon, effectivement il faut plusieurs décennies ! (Cela dit, revoir le message de Legalet qui répondait à cette objection.)Le problème est que je sujet m'a l'air quasi impossible. Il n'y a pas grand chose qui bouge dans le ciel (si on met de côté ce qui ne ressort que de la mécanique céleste). Des supernovae, des comètes... mais c'est aléatoire.[Ce message a été modifié par Bruno Salque (Édité le 02-06-2011).] Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
jldauvergne 15 225 Posté(e) 2 juin 2011 Pour les exoplanètes oui ça fonctionnera le D80. Et ça c'est un truc qui bouge Bruno Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
legalet 650 Posté(e) 5 juin 2011 Bonsoir,Un 250 permet déjà de s'attaquer à des couples "serrés" (jusqu'à 0,5"-0,6" typiquement) mais il faut absolument une CCD "rapide" (genre DMK, SkyNix, Basler, PLA - ou encore mieux une EM-CCD..) pour figer au mieux la turbulence afin de faire des mesures.Il y a deux grandes méthodes de mesures :- soit directe sur un composite obtenu par sélection addition des meilleures images de la séquence- soit indirecte par inter/auto-corrélation de l'images des taveluresLa seconde d'accorde mieux d'images turbulentes mais requiert des temps de pose très faibles (typiquement de l'ordre de la 10aine de ms) donc des caméras très sensibles, sauf à se limiter à des couples brillants..Avec un APN, à mon avis, c'est rapé :-(Jocelyn Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites