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Messages posté(e)s par Jean-Noel
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Erratum : conditions météos=> condition de turbulence (seeing). -
Je découvre les nombreux posts quelques peu enflammés au sujet du Clavius et me permet de représenter la question initiale :"De nombreux combats ont eu lieu entre les 2 ennemis héréditaires (m703et mewlon180)le clavius166 mettrait-il tout le monde d'accord ? a quand 1 Clavius d'occas ? Il est permis de rêver. quelqu'un a-t-il pu comparer les 3 ?
merciIl me semble que Attila 08 se pose la question de ladéquation entre les différents systèmes optiques de références et de leurs performances intrinsèques en terme de qualité dimage.
Nous pouvons aussi nous poser la question sur ce que nous entendons par «qualité dimage » : Certain dentre nous pourrons ainsi préférer les contrastes et la finesse des objets observés alors que dautre mettront en avant la capacité dune optique à déceler des détails tenus parmi les demi-tons planétaires.
Il est clair que le Clavius peut-être perçu comme une chimère commerciale mais je ne pense pas que cela soit le sujet de ce post. Quelques observateurs utilisent ce télescope et semblent en être satisfaits. Je profite de ce post pour saluer lesthétisme des images prises au Clavius166 par notre ami Thierry Clavel et la qualité des pages de Laurent consacrées à cet instrument :
http://www.astrosurf.com/laurent/comparatif.htm http://www.astrosurf.com/laurent/clavius.htmIl est donc possible dobtenir des rapports dobservations effectuées avec le Clavius 166 !
Afin de faire évoluer le débat, non pas en terme de ce qui existe à la vente ou non, mais en terme dobservations comparatives fiables. Je vous propose de définir un programme dobservation en commun, dobserver objectivement les objets définis puis de relater précisément sur le post les résultats obtenus en précisant bien les conditions météos. Ainsi donc nous nous ferons une idée concrète sur la qualité des contrastes, sur lamplification utile et maximum atteinte et le niveau de perception des détails planétaires, compagnons détoiles multiples ou/et à fortes différences de magnitudes.
Nous pourrions par exemples prendre comme terme dobservations les objets suivants : Posidonius, rima de la Vallée des Alpes, Zêta Cancer et Saturne.
Aux observations réalisées avec les Intes M703, Mewlon180 et le Clavius de Thierry, nous pourrions également lire les rapports dobservations des réfracteurs de la catégorie Fs128 par exemples.
Par la suite, nous pourrions aller plus loin encore, en renseignant sur Astrosurf une base dinformation relative à la détection des détails les plus fins obtenus par chacun de nos instruments en regard dune liste préétablie dobjets planétaires, sélénographiques ou encore détoiles doubles serrées.
Voici deux propositions qui, je lespère, devraient faire avancer le débat, quen pensez-vous ?
Au plaisir de vous lire dès lundi soir.Jean-Noël (Ardennes)
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Toute les explications sont ici :
http://www.astrosurf.com/titixonline/bricolage-mewlon.htmRegardes les items "Mewlon : alongement de la latitude de mise au point" et "Raccourcissement de la taille du baffle"; Testé par copain, la modif fonctionne très bien.
Attention surtout de ne pas trop couper le baffle vissant sous peine de recevoir directement la lumière du fond du ciel dans l'oculaire et d'abaisser sérieusement les contrastes, procède donc par petite touches.
Amicalement.
JN -
Superbe récit Benjamin. Cela me rappelle mes belles observations rémoises et un mémorable 0/20 en sport pour cause dabscence, cétait en raison dune éclipse partielle de Soleil dans les années 70. Cest super de te lire sur Astrosurf. Jai de mon coté apporté au boulot des J80x20 (Perl de Nuit) équipées dune feuille astrosolar pour partager léclipse avec lensemble du personnel de la boite où je travaille. Les conditions nétaient pas du tout optimales et jai éprouvé quelques regrets de ne pas être présent à Rumigny ou chez moi avec un matériel un peu plus conséquent. Le moment est magique lorsque les yeux des visiteurs et curieux silluminent devant une belle image à loculaire. Essaie M42 et les Pleïades à la telementor, cest surprenant. A bientôt autour dun télescope ou dune bonne table.
Amitiés.
Jean-Noël (vireux-molhain 08)
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Salut à tous !
- Dobson 560mm à F/D 5
- Newton 320mm à F/D 6 monture fourche
- Meade LX200 305mm
- Dobson 250mm à F/D 6,5
- Jumelles 80x20 Perl de Nuit.
- A venir : T400 planétairePour en savoir plus : http://astrosurf.com/whoswho/fiche.php3?id=10206794653cd6552950928
J'utilise surtout les 560mm et 250mm. Je vais mettre du matériel en vente pour éviter un divorce
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La communauté des astronomes amateurs francophones est à nouveau relier grâce au travail de JP. Ce forum est un outil de communication et dapport de compétences dans le domaine de lastronomie pratique sans précédent. 1000x MERCI JEAN-PHILIPPE et à toute l équipe pour ce beau travail de conception, dadministration et de dépannage au service de notre belle passion et de notre petite famille astronomique. Cest vraiment super .Jean-Noël (Ardennes)
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Avec le T520mm chez Michel Walbaum, on travaillait au clavé :
- 8mm sur Saturne (375x),
- 6mm sur Jupiter, M42, les doubles, les nébs planétaires et les Amas globulaires (500x),
- parfois avec le 4mm sur la Lune (750x).
(C'était variable en fonction du seeing)Au T250mm Fd=6.52 j'utilise :
- 270x sur Saturne, Jupiter et les amas globulaires (Zeiss Abbe 6mm)
- 410x sur la Lune (Zeiss Abbe 4mm)
- il m'arrive de pousser de 450x à 690x sur quelques doubles serrées comme Eta CRB (Powermate2.5 + Nagler9 ou Zeiss 6mm)Amicalement
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Japprends à linstant cette bien triste nouvelle et présente mes sincères condoléances à sa famille, ses amis et l'équipe des RAP.Sincères pensées.
Jean-Noël (Ardennes)
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Le massif des Ardennes est sous un voile nuageux de haute altitude. Je suis scotché devant chaîne météo qui martèle joyeusement que le ciel est d'un beau bleu sur toute la région. Il y a de quoi être vert : Le ciel était déjà complètement couvert hier soir jusque 1h30' du matin. Le seeing a terminé d'achever les plus mordus d'entre nous. Ici, c'est l'enfer des astronomes.
Amicalement
[Ce message a été modifié par Jean-Noel (Édité le 21-06-2003).][Ce message a été modifié par Jean-Noel (Édité le 22-06-2003).]
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L'emploi d'un RV 2" sur ce télescope ne pose pas de problème particulier. Jean-Marie de Givet (08) utilise cet accessoire avec son CG9 pour observer avec un TV de 55mm.
Amicalement
Jean-Noël -
Bonjour mathieu et à tous.Je reviens sur ton post.
« Que choisir dans l'immediat ? un Pentax 40mm pour des grand champs ou un courte focale pour m'amuser sur MArs en opposition. »
Jean-Texereau écrivait quun équipement sommaire doit comprendre loculaire le plus faible se montant dans le coulant disponible. Il argumentait que cet oculaire est indispensable grâce à son champ permettant de reconnaître et centrer lobjet et la pupille est souvent suffisante pour permettre létude des objets faible. Dans cette perspective, il convient de souligner quune pupille de sortie de 4mm ou plus convient bien à lobservation du ciel profond (nébuleuses, galaxies, lumière cendrée, comètes, amas ouverts) bien que le champ dun SCT soit réduit. En se sens, il ne fait aucun doute que le choix de la gamme 40mm grand champ (U.O MK70, Rodenstock, Panoptic35, ) est préférable à acquisition dun oculaire de plus courte focale surtout si lon considère la hauteur de Mars au dessus de lhorizon cet été. Le Pentax de 40mm nest pas un oculaire grand champ, un copain utilise avec satisfaction un TV de 55mm, le MK70 pourrait être une bonne alternative au Panoptic de 35mm excellent mais cher..
« JN, le nagler 9mm me semble un peu proche du LVW13 que j'aime bien. »
Létude des surfaces planétaires nécessite une bonne adéquation entre lexploitation de linstrument par lil et la dégradation des images causée par la turbulence. Une valeur trop faible ou trop forte de l amplification de lordre dune cinquantaine de fois pour un télescope de 250mm se traduit souvent par une perte de visibilité des demi-tons planétaires les plus tenus. Il me semble donc judicieux dopter en premier lieux pour une amplification donnant le maximum de contraste, cest à dire une pupille de lordre de 1mm à 0.9mm.
(Zeiss AB 10mm, Rini 10mm, Radian 10mm, Pentax 10.5mm, Masuyama 10mm, Nagler 9mm, ) sur SCT fd10
Linstrument dont on espère de bonnes images jusquau moins une pupille de 0.6 à 0.8mm pourra être accompagné damplifications donnant une pupille de sortie de :
- 0.7mm pour létude du relief lunaire et des étoiles multiples
- 1.4mm plus adapté à lobservation dimages fines surtout lorsque les images sont turbulentes.Ce type damplification permets des bonnes images des amas globulaires, région centrale de M42, surface Jovienne (cest normalement le domaine de ton 13mm). Lutilisation dun 7mm ou 7,5mm sur un Meade SCT nécessite une optique de qualité correcte et bien collimaté et des images stables. Chez Michel Walbaum à Reims, nous utilisions le plus souvent les Clavé de 6 et 8mm sur son newtonien de 520mm ouvert à Fd6. Cela correspond à un 10mm et 14mm (les pentax 10.5mm et 14mm pourraient donc êtres un bon compromis entre la qualité et le champ). Sinon, un oculaire de 9mm constitue une bonne complémentarité en regard de ton LVW13. Jespère que ma réponse aura pu faire avancer le schmilblic.
Amicalement.Jean-Noël
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Un tampon JEX ou à défaut un bon papier de verre en insistant bien sur les parties sales.Plus sérieusement, je procède par une méthode classique qui me donne de bons résultats :
Jutilise une cuvette plastique qui ne sert quau nettoyage de mes miroirs (réflecteurs Newtoniens). Je la préserve de toute poussière qui pourrait provoquer des incidents de type défauts dabrasions (micros rayures, rayure rectilignes ) dont les effets pourraient provoquer de façon définitive une perte de contraste voir lapparition de une ou plusieurs aigrettes de diffraction orthogonales lors de lobservation dune étoile brillante. Je prends une cuvette assez grande pour pouvoir saisir le miroir plus ou moins glissant en fin de nettoyage sans risquer de le lâcher. Un tapis en cahoutchou garnit le fond de la cuvette. Je commence par massurer de la propreté de ces élément en les passant sous leau.Je pose délicatement le miroir dans la cuvette puis fait couler leau du robinet, à température ambiante afin d éviter un choc thermique, entre le bord de la cuvette et le bord du miroir jusquà ce que loptique soit submergée sous 5 bons millimètres deau. Le «must» serait dutiliser de leau distillée mais je ne pense pas que cela soit obligatoire pour cette phase de nettoyage.
Je dépose une goutte de liquide vaisselle tous les 5 cm2 sur la surface du miroir (pas plus) puis procède à un mouvement dondulation de leau (vagues) en déplacement ou en soulevant légèrement un coté de la cuvette. Jévite tout mouvement brusque et effectue cette opération jusquà ce que le liquide vaisselle soit correctement dissout dans leau.
Je laisse ensuite tremper un bon quart d'heure ou vingt minutes afin que les poussières, boues et toiles daraignées éventuelles aient le temps de se ramollir puis se décoller.
Je regarde létat de leau puis recommence à créer des vagues à la surface de leau pendant environ 10, ceci avant une nouvelle phase de repos de 15. Je répète ces opérations autant de fois que nécessaire selon de degrés de salissure de mes optiques soit de 1 à 2 heures.
Je procède au remplacement de leau (retrait du miroir/retrait de leau/nettoyage de la cuvette/pose du miroir/ajout de leau/ajout du liquide vaisselle) dès que jobserve la moindre trace de poussière, de boues ou de poussières à proximité de laluminure , cest très souvent le cas après la première phase de repos.
Quand le miroir est propre, je le soulève très délicatement de la cuvette en faisant surtout très attention de ne pas le laisser tomber car loptique peut-être lourde et très glissante. Je soulève le miroir de la cuvette en le prenant par le coté puis par le dessous avec les deux mains. Je lincline ensuite fortement contre le mur, le long de mon lévier dans la cuisine, le rince abondamment avec de leau distillée pour fer à repasser (afin déviter toute trace de calcaire ou autre dépôt) puis le laisse sécher dans cette position.
Au bout de quelques minutes, loptique est prête à être remontée dans son barillet avant collimation.
Ceci dit, je procède aux nettoyages des optiques le moins souvent possible. Une fois par an me paraît suffisant.
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J'aime bien le Nagler 9mm et le Tak LE7,5 sur ce genre de matériel.
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QSL ?
dans Astronomie pratique
Bonjour à tous,L'astronomie, la radio et la musique me semblent rendre hommage à la curiosité humaine et au sens de l'esthétisme en générale, cest peut-être là un point commun qui rapproche ces trois disciplines.
Astronomie ?
Etant peut-être un peu philosophe ou poètes, sûrement amateur de découverte et de sciences, nous ne pouvons rester insensibles à lémerveillement que procure, lors dune belle nuit dété sans Lune, la vision de notre voie lactée. Ces images nous font rêver telle une mélodie et nous transporte vers des dimensions toujours plus lointaines, plus belles et plus fortes au fur et à mesure de la découverte de lunivers et des surfaces planétaires.Lintérêt que suscite la vision de nouveaux paysages lunaires à loculaire nous pousse à repousser les limites de nos instruments dastronomie, à collectionner les galaxies de plus en plus lointaines et à toujours partir à la découverte dautres images de plus en plus tenues et détaillées. La turbulence atmosphérique ne permet bien souvent dobtenir de bonnes conditions dobservation que quelques fois par an, en fonction des conditions locales, de la puissance et de la qualité optique de linstrument utilisé. Une bonne dose de patience est donc nécessaire pour observer correctement un détail planétaire difficile. Je retrouve bien souvent ces éléments dans les activités liées au radio amateurisme. Je retrouve également la part du rêve auprès de mon piano.
La radio
Lécoute dun contact radio entre deux stations situées au cur de locéan Pacifique procure un intérêt certain pour le contact et le voyage.
La difficulté de certains contacts dus à la faiblesse des signaux et aux parasites obligent parfois lopérateur radio à attendre de trente ou quarante ans avant de réaliser le contact de ses rêves avec une contrée réputée rare et très difficile.La patience requise et la difficultés des contacts intercontinentaux en certaines périodes, parfois très longues, conduisent à sinterroger sur laspect technique et scientifique de la question. Il convient alors détudier les facteurs de hasard et létude de la propagation des ondes en milieu ionosphérique, la propagation des ondes radio est directement liée au cycle de lactivité solaire de 11 ans. La turbulence devient alors «QRM », le pouvoir séparateur devient «rapport S/B » et «directivité », la magnitude limite instrumentale devient «gain en D.B. » et «angle dattaque des couches ionosphériques » Ces éléments suscitent des questions du type «comment contacter tel archipel perdu lAlaska et la Russie ou dans locéan pacifique Nord». Les sujets connexes comme «YAGI VS QUAD ? » sapparentent alors un peu avec celles du type «LUNETTE VS TELESCOPE ? ».
Les aspects techniques, performances et découvertes des deux disciples les rapprochent. Elles incitent lune comme lautre à la découverte de nouveaux horizons et à repousser les limites du matériel utilisé par des moyens techniques de longueur dondes différentes (0.56 pour lastronomie visuelle en lumière jaune et 0.3 à 30Mhz pour la décamétrie HF, 10m pour le SETI ).La musique et lémoi
Bien des musiciens furent également astronomes et vis et versa. Les images dastronomie montrées au public sont bien souvent accompagnées dune mélodie soulignant la profondeur des images (lespace inter galactique, voie lactée, régions HII ). De même la musique met en avant limpression du ballet majestueux qui accompagne la contemplation de Saturne et de son système de satellites. Elle enrichit latmosphère particulière et enchanteresse de nos belles nuits étoilées.
Je retrouve cet aspect philosophique et poétique au touché du piano et à la lecture dune partition. Toutes deux me laisse imaginer la part du rêve dans lobservation astronomique.
Les crescendo et decrescendo apportent à lexécution dune partition musicale le relief que les subtiles nuances des détails planétaires apportent à limage télescopique. Quel plaisir de revivre les beaux moments dune «nuit des étoiles » sur une partition de VANGELIS !
Lété, les envolés musicales décuplent le plaisir de lobservation la plus grandiose qui soit : Celle de notre Galaxie vue par la tranche. Il suffit découter le final de «Pavane pour une infante défunte » en regardant le splendide poudroiement détoiles que constitue la voie lactée à lil nu ou dans un Nagler pour sen convaincre.Trois belles passions.
Je collectionne personnellement les contrées radio comme les objets MESSIER, NGC, O. STRUVE et ne résiste pas au plaisir de compléter lobservation astronomique en jouant quelques partitions musicales. Ces trois belles passions me sont complémentaires et me font voyager telles les plus belles des rimae et la vision extraordinaire de la région centrale de M42 au télescope73 et bons cieux à tous.
Jean-Noël
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Bonsoir à tous,Propriétaire dun SCT MEADE LX200 de 305mm, je peux peut-être apporter ma contribution à ce post.
- sont-ils livrés avec valise de transport ?
Si oui, quelles dimensions.Lensemble tube optique + fourche + table AZ du LX200 de 305mm nest pas livré dans une valise de transport mais dans un carton, de dimension 1080mm x 730mm x 530mm garni dun épais tapis de mousse dans lequel il convient de ranger le LX200 pour le transport.
- Quel point de vente serait le mieux adapté ? (prix, SAV,...etc)
Les SCT MEADE sont vendus avec des optiques de quatre qualités différentes : A, B, C, D dont la première est suffisante à une utilisation en astronomie planétaire. La qualité D peut être suffisante à une utilisation en salle de bain pour Madame (si loptique nest pas trop astigmate). Il est donc préférable de faire sélectionner le télescope par un revendeur sérieux ou directement par limportateur.
- on annonce le UHTC comme faisant gagner 20% de luminosité. Donc si je fais correctement mon calcul, le 254 a la luminosité d'un C11 ! me trompe-je ?
La luminosité d'un instrument est directement liée à son diamètre et à la perte de lumière engendrée par les réflexions ou réfractions des différents composants optiques. Cela implique de prendre en considération :
- le type et à létat du traitement de chaques surfaces optiques,
- le nombre de surface optique,
- le % dobstruction du secondaire (en surface)La transmission lumineuse de mon 305mm pourrait être évaluée comme suit :
- obstruction centrale de 33% soit environ 89%
- lame de fermeture traitée MgF2 (2 surfaces) soit environ 97%
- miroir primaire (1 surface, aluminure haut pouvoir de réflexion) soit environ 92%
- miroir secondaire aluminé (1 surface soit environ 92%
- renvoi coudé (1 surface aluminure standard)soit environ 88%
Ce qui donne une transmission lumineuse globale d'environ 64%.Cest bien mieux quun MAKSUTOV dont le ménisque est suffisamment dévastateur en terme de transmission lumineuse pour handicaper sérieusement la pratique de lobservation des nébuleuses et galaxies. Cest par contre bien en dessous de la luminosité globale dun bon newtonien dont la perte de lumière se limite à 2 surfaces :
- Obstruction centrale de 20% soit environ 96%
- miroir primaire (Aluminure standard)soit environ 88%
- miroir secondaire (Aluminure standard)soit environ 88%
la transmission lumineuse totale peut être évaluée à 74%Le SCT devrait obtenir une transmission lumineuse à peu prés égale à 86% de celle dun newtonien obstrué à 20% et donc laluminure est neuve. Jai effectivement pu vérifier ce point entre mon Newtonien de 250mm et le LX200 de 305mm et également entre le T250 et un Celestron CG9.
L'observation comparative entre le CG9 et mon LX200 de 305mm ma montré approximativement la même clarté à pupille égale. Il me semble donc que les traitements MEADE et CELESTRON sont à priori du même ordre defficacité.
Ceci dit, quel que soit le pouvoir de transmission lumineuse et sous réserve dune optique correcte, le diamètre (même fortement obstrué) garde lavantage de son pouvoir séparateur sur les couples stellaires de composantes de magnitudes égales (Struve 1338, Otto Struve 235, Zeta bouvier, Eta CRB actuellement).
- Si j'opte pour un pare buée avec résistance chauffante pour les éternels problèmes de givrage de la lame de fermeture, combien cela coute-t-il ? je ne trouve pas cette piece sur le webJai opté pour un magnifique pare buée en carton à 0 euro, un copain utilise un pare buée de marque Decatlon, cela à lair de bien fonctionner.
- Peut-on connecter directement la bete sur la prise allume cigare ? est-il livré avec un cable d'alimentation ?
Ma version était vendue avec le transformateur 220/18V, je suis à la recherche dun adaptateur 12/18V, je ne sais pas si les nouvelles versions "LX200 GPS" fonctionnent directement sur 12V.
Lun des éléments à prendre en considération avec la possibilité dobserver souvent est le poids. 60 kg dans le cas dun LX200 de 305mm. Si lensemble (tube optique + la fourche + la base dans sa version ALTA) pèse 35 kg et se porte encore facilement sur quelques mètres. Un SCT de 305mm ne constitue aucunement un instrument apte aux déplacements fréquents sur des sites de hautes montagnes ou simplement en raz campagne.
Amicalement
Jean-Noël
[Ce message a été modifié par Jean-Noel (Édité le 27-03-2003).]
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J'ai essayé ce filtre sur un SCT 9". Je n'ai pas été emballé, ni par le contraste final, ni par la qualité globale des images planétaires en terme de propreté. Peut-être un léger plus sur Jupiter de l'avis de l'ami en propriétaire du SCT. Je nachèterai personnellement pas ce filtre. -
Ils étaient plus difficiles hier car déjà très loin du terminateur. J'ai surtout exploré les rimae dans la région de Gassendi. Le cratère central de Platon était facile, les trois autres étaient visibles mais difficile dans les trous de turbulence au T250/1630 oculaire OR Zeiss de 6mm, Turbulence = II à III dans les Ardennes (optique légèrement décollimatée).
Amicalement[Ce message a été modifié par Jean-Noel (Édité le 15-03-2003).]
[Ce message a été modifié par Jean-Noel (Édité le 15-03-2003).]
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Bonjours à tous,Quelques musiciens furent parfois astronomes et vice versa (Eratosthènes, Herschel, Fracastor et même quelques-uns d'entre nous). Le compositeur peut trouver dans lobservation du ciel une source dinspiration musicale et ces deux belles activités ont certainement en commun un impact important sur la sensibilité et le rêve. Elles sont à mon sens une ode à la découverte et se complète merveilleusement.
Avez-vous déjà écouté le final de "Pavane pour une infante défunte" version TOMITA lors d'une observation de la voie lactée ? Essayez en utilisant un bon NAGLER ou encore lors d'une séance de planétarium simulant une vision spatiale. Vous verrez, c'est étourdissant, grandiose, gigantesque et le grand vertige est garanti ! Il faut toutefois un rendu correct des graves pour ressentir l'ampleur de la composition faire vibrer nos triples au rythme de la voie lactée.
J'aime parfois accompagner un lever de Lune au télescope par "Dark side of the moon" des Floyds (cela transcende la turbulence). Sinon, j'écoute parfois Vangelis dans lattente de pouvoir un jour jouer correctement quelques thèmes de ce sympathique compositeur au piano numérique...
Bons cieux et bons rêves musicaux à tous .
Jean-Noël
[Ce message a été modifié par Jean-Noel (Édité le 08-07-2002).]
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Félicitation pour l'acquisition,
un 250mm commence à être très sympa pour l'observation du ciel profond. J'utilise un T260mm Fd5 équipé d'un filtre OIII, ça décoiffe déjà. Avec ce filtre, un bon large champ (type U.O MK70 40mm, panoptic, pentax...) les dentelles seront superbes. Dans ces conditions n'oubliez pas une bonne paire de "Ray-ban" pour l'observation de M57Bonne première lumière au T250
Jean-Noël
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J'observe de temps en temps avec le Mewlon 180 d'un amis qui fournit de belles images.
Je garde en souvenir le fuseau argenté de M82 plongé dans un champs bien contrasté et rempli d'étoiles ponctuelles (90x). Quatre cratères dans Platon, la dépression dans Davy Y et Rima Hadley sont visibles dans leurs intégralités à 270x et 370x. Zéta Bouvier est parfaitement résolue. L'image est du même ordre de qualité que celle du Mewlon 210mm que j'ai également utilisé. Je trouve donc ces deux modèles excellents (le 210mm est effectivement particulièrement sensible à la turbulence).L'ami en question était propriétaire d'un intes MK66 dont il garde des souvenirs grandioses : Images lunaires fines et très contrastées malgrès l'obstruction centrale importante. Il était étonné par la capacité de ce petit télescope à pouvoir pousser l'amplification mais le trouvait trop peu lumineux sur le ciel profond (la présence du ménisque introduit ne perte de lumière suplémentaire significative).
Dans le cadre d'une observation purement planétaire et si la monture supporte une charge de 10 ou 12 kg j'opterais personnellement pour le Maksutov. voir notation et aprèciation du MK91 sur : http://www.excelsis.com/1.0/entry.php?sectionid=12&entryid=171&PHPSESSID=21380d4e6e31becff572d18ddaec1dc6)
Pour une utilisation moins spécifique et davantage tournée vers une revue générale des constellations, le choix du Mewlon me semble judicieux.
Un troisième choix possible pourrait être celui du Takahashi CN212, utilisable dans sa version Cassegrain F/D=12,4 (Focale de 2630 mm) et également en montage Newton à F/D=3,9 (820 mm de focale)
voir test sur : http://www.eurospacecenter.be/astrotestcn2121.htmJ'ai personnellement un faible pour le Newtonien Planétaire, faiblement obstrué, dont le rapport diamètre/qualité/prix permet de passer à des optiques fines de plus grand diamètre. Ce type de télescope notament utilisé par Maurizio Di Sciullo (Excelsior optics E-258 Fd=8) n'est pas malheureusement pas transportable, sauf en version Dobson Fd<5 (peu propice à l'observation de Gamma 2 Andromède à 900x).
Bon ciel et bon choix.
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Bonjour à tous,Le choix d'un dobson de type obsession de fabrication perso et articulé autour d'un bon miroir de 300mm me paraît être un choix judicieux. Je possède un 260mm Astam et 320mm Arcane tout deux excellents mais attention au seeing.
Bon ciel.
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Jean-Noël
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Bonjour à tous,Je réside sur les Ardennes, pointe de Givet
Bon ciel à tousJean-Noël
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Bonjour à tous,L'un de mes amis a acheté plusieurs oculaires chez Astronomix :
- Astronomix 16mm,
- University Optic 16mm,
- Speer-walers 10mm.
Il m'a dit être réellement satisfait des conseils de M. VINEL et du rapport qualité/prix de ces oculaires. Il compte bientôt s'offrir un University Optic de 12mmJ'ai téléphoné puis discuté technique avec M. VINEL à plusieurs reprises. Je pense sincèrement qu'il est honnête, sérieux, passionné et compétent. Je ne comprends donc aucunement la raison des attaques perpétrées contre la société Astronomix et le CLAVIUS dont personne n'a encore pu apprécier les qualités intrinsèques et donc les défauts !
Je pense que les produits astronomix actuels constituent une alternative de bon rapport qualité/prix en regard des autres productions orientées vers l'observation planétaire :
- APOs ht de gamme, superbes mais chères,
- lunettes Synta bon marché,
- SCTs traditionnels,
- Newtoniens planétaires,
- Mak...En fait, nous savons tous que l'acquisition d'un matériel destiné à l'observation est un acte, voire une discipline, où l'improvisation doit céder la place à des techniques de choix mûrement réfléchies : en fait, chacun des produits précités correspond au meilleur choix possible en fonction de :
- notre centre d'intérêt premier (CCD, observation du ciel profond ou planétaire, résolution des étoiles multiples serrées...),
- nos critères relatifs à la satisfaction de notre besoin (transportabilité, contraste, finesse, luminosité, puissance, achromatisme...)
- nos contraintes (budget, pollution lumineuse, seeing, site d'observation...).Je souhaite bonne chance à la sortie du Clavius. Ne l'attaquons pas avant même sa naissance. Nous ne pourrons nous faire une opinion qu'après observations comparatives avec d'autres instruments de même ordre de prix et si le clavius tient ses promesses, la fête pourra être des plus passionnante, que ce soit par l'observation des anneaux de Saturne, l'étude des WOS, l'observation des Rimae... rien ne manquera alors et pas même la science.
Bon ciel à tous.
Jean-Noël (Dept. 08) -
Bonsoir à tous,Un copain (NE france) désire acquérir un instrument pour une utilisation spécifiquement planétaire. Il habite au 2ème étage dans un appartement et doit descendre son télescope pour observer depuis un jardin commun aux locataires de son immeuble. Il est donc soumis aux délais de mise à température de l'instrument avant d'observer.
Il dispose d'une monture CG4 renforcée (reste d'une Synta)et d'un budget de 8000 à 14000FF pour le tube optique.
Il hésite entre :
- la Linear de 127mm Astronomix
- un Intes de 150mm Fd12Etant pris un peu de court, je n'ai encore pu lire ou relire les différents thèmes abordés sur ce forum ni consulter les sites :
http://www.scopereviews.com/ http://www.cloudynights.com/reviews.htm http://www.excelsis.com/Compte tenu de la taille angulaire des WOS sur Jupiter et autres rimae observables sur la surface Sélène, je lui ai conseillé de pousser un peu et d'opter pour un MAK Intes de 180 mm malgré l'obstruction centrale du secondaire.
Quand pensez-vous ? Pour quel instrument planétaire opteriez vous dans son cas pour une observation haute résolution ?
Merci à tous de vos appréciations respectives. Je les espérent nombreuses et argumentées de tests d'observations sur étoiles doubles serrée, fines rimae, détails Joviens ou sur les anneaux de Saturne.
Bien astronomicalement.
cartes Polu : Champagnes !!
dans Astronomie pratique
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