Alain 31

Béotien je suis, béotien je reste dans ce domaine. Mais une question me vient à l'esprit : Dans le problème simple de dg2, d'après communicationrel, est-ce qu'une fois que l'avion a fait un tour complet à la latitude lambda, à la hauteur h, et à vitesse v constante 1) les aiguilles des deux horloges restent de longueur identiques ? 2) les aiguilles n'ont plus la même dimension et alors où est l'horloge qui a les aiguilles les plus longues ? 3) si les aiguilles effectuant une rotation dans l'espace se décomposent- en deux composantes spatiales, la lecture de l'heure ne devient-elle pas problématique ? 4) Est-ce que la variation de la longueur des aiguilles dans l'avion, donc leur poids, ne va pas faire varier la hauteur h et peut-être la vitesse v de l'avion ?

En réalité IA se traduit en Français par CN (connerie naturelle)

D'où (Longueur de temps)² = (Longueur d'espace)² ?????

Bruno, un exemple simple de pente de l'espace : l'espace Tignes/Val d'Isère en Savoie ! D'ailleurs communicationrel a raison, si les jumeaux dévalent cette pente à des vitesses différentes, lorsque le moins rapide arrivera (en retard) au niveau de son frère, ils se retrouveront malgré tout avec le même âge ( si x est l'âge du vainqueur et y celui du perdant, on a alors la relation simple : cos x = cos y, à 2kPi près étant donné qu'ils possèdent le même angle de vision) Bien entendu on néglige par hypothèse le décalage Delta T à l'accouchement entre les jumeaux et une éventuelle chute grave du plus lent qui aurait pu faire dire aux mauvaises langues : _ Putaing t'as pris un de ces coups de vieux !

Vraiment très propre ! Même pas un mégot qui traîne

Il est paradoxal de constater que plus l'homme a du poids en liquidité, plus il veut trimballer ses bijoux de famille au delà des hautes couches de l'atmosphère. Mais tout le monde y gagne : les milliardaires pour la pub, les médias pour les mêmes raisons et éventuellement la vente de papier. Vont-ils s'arrêter en si bon chemin ? J'en doute ! A l'avenir je verrais bien des grands titres dans le style : "Première relation sexuelle en orbite !" ou bien "Un coït plus près des étoiles !" Le fantasque Elon Musk se réserve-t-il cet exploit qui restera dans les anales annales ?

Déjà posté en page 4 Kaptain

Ne rejette que de l'eau, oui pratiquement. Seulement voici les principaux procédés d'obtention de l'hydrogène : << 1) De l’hydrogène grâce au reformage Le reformage du gaz naturel par de la vapeur d'eau surchauffée est un procédé très utilisé pour produire de l'hydrogène. Sous l'action de la vapeur d'eau et de la chaleur, les atomes qui constituent le méthane (CH4) se séparent et se réarrangent en dihydrogène (H2) d'une part et dioxyde de carbone (CO2) d'autre part. 2) La gazéification produit de l’hydrogène Dans le procédé de gazéification, du charbon de bois est brûlé dans un réacteur. À très haute température (entre 1.200 et 1.500 °C), les gaz libérés se reforment pour donner du H2 et du monoxyde de carbone (CO). 3) De l’hydrogène par électrolyse Lorsque l'on électrolyse de l'eau (H2O), c'est-à-dire qu'on la décompose à l'aide d'un courant électrique, on obtient du dioxygène (O2) et du H2. Ce procédé est intéressant car il permet d'obtenir assez facilement un hydrogène pur. Mais il est loin d'être économiquement rentable.>> En fait on ne fait que déplacer le problème. Dans le cas de l'électrolyse obtenue à partir de l'électricité d'origine fossile on atteint des sommets dans le délire...

Ah les enfants ! C'est beau l'insouciance !

En ce moment les passagers se rendent sur le pas de tir ... en voiture. Leur bilan carbone est pire que ce que j'imaginais Même pas pensé au vélo électrique !

Revenons un peu au sujet. Je suis allé à l'agence de voyage la plus proche de chez moi (dans un souci écologique, il va de soi ) Eh bien il semblerait que mon séjour dans l'espace ne soit pas pour demain Satané virus !

https://theconversation.com/tourisme-spatial-quand-les-plaisirs-de-quelques-uns-polluent-la-planete-de-tous-146552 <<La compagnie Virgin Galactic, appartenant au milliardaire Richard Branson, a annoncé en juillet 2020 avoir déjà vendu 600 tickets pour son SpaceShipTwo. Le premier vol commercial est prévu début 2021 et pourrait être suivi de nombreux autres, car la société est en train de construire deux autres vaisseaux SpaceShipTwo. Cela signifie potentiellement des centaines de vols réguliers, puisque 9 000 clients ont déjà manifesté leur intérêt. La société Blue Origin du milliardaire Jeff Bezos est aussi sur les rangs avec sa fusée réutilisable New Shepard, elle aussi conçue pour lancer une capsule emportant six touristes spatiaux sur une trajectoire suborbitale culminant à environ 100 kilomètres. D’après le rapport d’évaluation environnementale du SpaceShip Two, on peut estimer que l’émission de CO2 d’un vol complet est de l’ordre de 27,2 tonnes. À raison de 6 passagers par vol, cela fait 4,5 tonnes de CO2 par passager. Cela équivaut à faire le tour de la Terre, seul dans une voiture moyenne. Pour quelques minutes d’apesanteur, cela représente plus de deux fois l’émission individuelle annuelle (« budget CO2 ») permettant, selon le GIEC, de respecter l’objectif du +2 °C de l’Accord de Paris. Autrement dit, chaque passager piétinera allègrement cet objectif et s’arrogera le droit d’émettre à la place des autres humains. La propulsion hybride du SpaceShipTwo ne produit pas que du CO2. Le vaisseau crache aussi des suies, résultant de la combustion incomplète d’un mélange de protoxyde d’azote (N2O) liquide et d’un dérivé solide du polybutadiène hydroxytéléchélique. Un article scientifique de 2010 a estimé que 1 000 vols suborbitaux par an produiraient de l’ordre de 600 tonnes de suies, qui, en restant à peu près dix ans en suspension dans la stratosphère, entre 30 et 50 kilomètres d’altitude, contribueraient à modifier le climat à l’échelle de la planète entière – même si tous les tirs partaient d’un même endroit. Par comparaison, l’aviation civile paraîtrait presque propre : elle émet plus de suies au total, 7 200 tonnes par an, mais à des altitudes de l’ordre de 10 kilomètres, ce qui réduit leur durée de suspension et permet leur lessivage par les pluies.>>

Oui et n'ayons pas peur des mots: "closer to the stars"

Bonjour VNA1, Comment est-il arrivé à ce chiffre ? Faudrait le demander au spécialiste de l'énergie qui a fait ce blog. Peut-être que la source d'énergie a été modifiée dans le temps ? Maintenant si on s'en tient à la propulsion hybride lithergol il faut analyser sa production et ses effets sur l'environnement. Wikipedia: L'hybride lithergol se compose de protoxyde d'azode et de dérivé de polybutadiène hydroxytéléchalique (à vos souhaits !) Je me contenterai de parler de la production et de l'impact du protoxyde d'azote. Richard Branson nous est présenté comme un ardent combattant du RC. 1) Effet de serre : 265 fois plus puissant que le CO2 ! 2) Contribue à la dégradation de l'ozone atmosphérique. 3) Production du protoxyde d'azote N2O4 : Il est produit par décomposition du nitrate d'ammonium fondu entre 250 et 260 degrés C Comment fait on de la chaleur ? Principalement par combustion de pétrole, gaz, charbon .... Comment est produit le nitrate d'ammonium ? Par barbotage du gaz ammoniac dans l'acide nitrique. Puis concentration, séchage, et granulation finale. Encore une utilisation massive d'énergie... Comment est produit l'acide nitrique ? Par oxydation catalytique de l'ammoniac (combustion catalytique de NH3) A l'origine on utilise des gisements de nitrate de sodium (pétrole pour l'extraction, le transport..) Bilan énergétique : je ne suis pas capable de le donner mais je parierais qu'il ne doit rien envier au 200 000l de kérosène pour la production d'un vol. Merci à celui qui pourrait le calculer approximativement. PS : pour la production du dérivé de polybutadiène hydroxytéléchalique il est peut-être intéressant de voir son équivalent kérosène.

Quelques chiffes pour comprendre le délire de "l'espace pour tous": Il faut environ 200 000 litres de carburant avec un vol aller retour pour 3 minutes d'extase ! (sentir ses grelots flotter autour du globe ça doit être quelque chose) https://blogs.letemps.ch/laurent-horvath/2019/01/13/le-tourisme-de-lespace-ce-nouveau-jouet/ "250’000 lt de carburants pour 2h30 de vol Alors que les Branson ou Musk génèrent une partie de leurs revenus dans la lutte contre le changement climatique, à l’opposé le tourisme spatial englouti des quantités gargantuesques de pétrole. Schizophrénie ou green waching ? L’envoi d’un vaisseau dans les hautes couches nécessite entre 150’000 et 250’000 litres de carburants. Ce voyage de 2h30 minutes annonce une moyenne de 100’000 kg/CO2 par passager ! Dans le monde, aucune machinerie n’est plus prolixe pour émettre autant de polluants en un laps de temps aussi court. Dans les années à venir, on peut se poser la question de l’utilité, de la pérennité et de la justesse de ce nouveau concept d’autant que les quantités mondiales de pétrole à disposition tendent au déclin." Admettons qu'une population française valide de 60 000 000 de personnes prenne son billet pour un baptême de l'espace, sauf erreur il faut environ (3 personnes dans l'engin) 4 milliards de mètres cubes de carburant ! Sachant que le kérosène représente moins de 10% du pétrole brut il faudrait 250 milliards de barils. Et sachant que la production de pétrole est de 97 millions de barils par jour, on utiliserait 7 ans de production mondiale ! Et même si seules les personnes très aisées se paient ce caprice d'ado il s'agit à mes yeux d'une insulte contre l'Humanité.

C'est déjà bien qu'il n'ait pas évoqué Falcon Heavy de Bill Gates

Mon voisin a payé 70 euros pour 5 secondes Bon ok c'était un saut à l'élastique Sinon, content pour BFMTV qu'ils aient eu la primeur d'un événement aussi considérable pour l'Humanité !

Super ! Un deuxième effet régulateur avec le covid : les cartes bancaires ne vont plus chauffer !

Soyons indulgents, quand quelques touristes iront passer un week-end sur Mars ça va au moins coûter 1,5 fois plus cher Vive le tourisme spatial et l'élevage des protozoaires patte au gène !

Surtout lorsque les tas sont en équilibre instable Voilà 22 pages que je me retiens sans maudire ...

Chez nous en 1957 au salon du Bourget la SNECMA- Safran faisait déjà un peu les mêmes études sur les silos avec l'ATAR volant .... Bon ok, l'étude de la chute des débris et des cratères n'était pas encore au programme

Bah oui, le but de cet essai était aussi de vérifier la loi de Galilée sur la chute des corps (conventionnellement nommée pour l'occasion "chute dans le décor") Test en partie réussi seulement car tous les débris ne sont pas montés à la même hauteur et puis les rafales de vent ont faussé les mesures. Ici on remarquera comme toujours quelques mauvaises langues pour dire que "tout ça sert à rien", "de l'argent jeté par la fenêtre de tir" Cependant, si l'on en croit le Washington Post, Elon Musk, qui n'a pas fini de nous étonner, va progressivement augmenter le nombre de raptors en ignition et ce faisant multiplier les retombées pour une étude plus complète. A la décharge de notre héros et des ferrailleurs texans, si certains avaient été un peu plus attentifs, ils auraient remarqué que tout est consigné dans le cahier des décharges charges de SpaceX. Non seulement elles ont tenu mais on peut dire que pour Musk les tuiles s'accumulent !

Bienvenue Seb33000 Pour ton problème tu n'es pas dans la bonne rubrique. Reviens à "Astronomie" puis sélectionne "Astronomie Pratique" Tu auras plus de réponses car ici vois-tu c'est le repère des scientifiques pointus, des philosophes de l'astronomie, des contrepéteurs sans vergogne, des nostalgiques de la vie sur Mars et des adeptes du gourou Apétélon Musk. Il va sans dire que tout ce beau monde ne saurait se laisser attendrir par les gémissements brefs de ta monture car ici on écoute plutôt les sons, que dis-je, les fréquences dans le domaine audible en provenance de la planète rouge

Elle en était accro Paule !

Occitan en ce qui me concerne