lyl

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Tout ce qui a été posté par lyl

  1. telescope pour jeune débutante

    Je ne te comprends pas : je suis en ville et quand je sors les instruments de 60 à 90mm devant la maison pour pointer Sud, encadrée par deux lampadaires, il y a toujours quelqu'un qui passe dans la rue pour venir regarder la Lune, Vénus, Jupiter et Saturne en ce moment. Dans la description du sujet, c'est pourtant précisé. Faire du CP en ville ... bof, j'ai eu un dobson 200, sur terrasse, je suis vite repassée à une lunette Vixen 102M avec laquelle j'ai fait un "Messier run" en complément pas la suite. A 18 ans tu peux appréhender des concepts que tu ne peux pas chercher seul à 11-13ans. En général les pre-ados veulent du concret et pointe sur ce qui attire leur attention. La distanciation, l'intellectualisation d'aller pointer M57 avec un dobson, c'est pas vraiment à cet âge là que tu l'auras.
  2. telescope pour jeune débutante

    A 11-13 ans c'est bien suffisant. C'est vrai qu'il y a une différence entre jeune femme majeure et "fille". pour ce qui est de l'utilisation d'un dobson.
  3. Ca dépend de la qualité de l'étoile artificielle. On peut faire tout et n'importe quoi suivant comment la source est connectée à la fibre : la fibre sert à disperser, on ne compte pas la distance de la fibre. https://www.thorlabs.com/images/TabImages/Multimode_Fiber_Beam_Lab_Fact.pdf https://www.sciences.univ-nantes.fr/sites/genevieve_tulloue/optiqueGeo/dioptres/fibre_optique.php Dans la pratique, le trou dans la feuille d'alu c'est 300-600um. A 20m c'est propre sur une 80mm de diamètre : tu peux t'en servir comme base. L'étoile 9um ça tient à 10.5m sur le même instrument mais j'ai un résidu détectable pour l'aberration sphérique. https://www.cloudynights.com/topic/797851-confirmation-about-an-artificial-star-test/ ---------------- Si tu as besoin d'un trou calibré : lis le tutoriel pour faire un filtre spatial pour obtenir un profil gaussien utilisable. https://www.thorlabs.com/newgrouppage9.cfm?objectgroup_id=14350
  4. telescope pour jeune débutante

    effectivement, ça portait à confusion. Le dob 200 ç'est parfait.
  5. telescope pour jeune débutante

    Ca dépend de l'âge de la petite, mais je ne préjuge pas, les minos sont doués avec les bidules à boutons. Sinon oui, au-delà de 90cm de focale, il vaut mieux de l'aide pour pointer Une 60-800 ou 60-900 en azimutal, c'est le truc de base quand on commence. En CM1 / CM2 les mômes sont assez futés.
  6. J'ai juste un retour sur le porte-oculaire OctoPlus, l'ancien modèle ressemblait à un Long Perng, il était déjà efficace. [ Je l'avais adapté à mon tube 6" : ç'était parfait avec un paracorr v1 pour de l'APS-C. On en avait discuté avec Tommy qui avait trouvé ça amusant et m'avait aidé pour les plans. J'avais pu descendre l'obstruction à 28% pile : 42.5mm/152mm. Romano Zen avait bien fignolé les bords du secondaire et j'ai eu un bon miroir GSO via Agena. Un machin bleu bizarre mais étonnant. ] Ce qui ne change pas : c'est un taille basse, motorisable, serrage auto-centrant (bague fendue + conique) Les retours utilisateurs ont conduit à la V2 : plaque d'adaptation modifiée° et roulements agrandis. ° : j'avais râlé auprès de TA parce que le système de maintien façon bague conique c'était bof en résistance, maintenant ils font deux versions 8" et 10" avec un à-plat. Il n'a plus rien à voir avec celui d'origine Taïwan.
  7. J'ai déjà vu une configuration proche en mode Astro-photo chez Manudu74 a qui j'avais revendu un petit tube pour les enfants. (quand papa est occupé à surveiller les photos) Attention lui il a la version AZ de l'EQ6 (achetée chez Pierro-Astro) et un 200/1000 plus gros bien chargé (guide, correcteur, EOS1000D) https://www.astrobin.com/users/manudu74/?view=table
  8. Anciens oculaires

    Après examen des optiques, le système négatif du Radian (aka la "barlow" intégrée) comprend un flattener en lentille avant. Il est derrière un système complexe de deux baffles coupe-lumière et du baffle en escalier de rétro-reflet. Ensuite le ménisque aplatisseur en enfin, plus loin dans le tube, la barlow après encore un coupe-lumière. C'est le ménisque d'aplatissement qui provoque le bord bleuté des Radian de 6mm à 3mm et lui ajoute ses 100g. Le reflet d'1/3 de champ : j'ai l'explication : j'ai eu deux Radian incomplets Le PUPIL GUIDE est indispensable en planétaire à fort grossissement. M'enfin, est-ce que ça veut dire que la plupart des observateurs qui les ont utilisés ne lisent pas les documentations ? Et ceci dit, c'est pas très malin non plus ... de l'avoir mis en démontable. Ca aussi, ça sent la rustine de dernière minute... Radian Eyepiece Instructions.pdf Le TMB ayant été créé ensuite, sans doute pour simplifier/corriger les petites imperfections du Radian... ---------- Dernier détail : la tension de l'instadjust (la bonnette) est réglable. https://www.televue.com/engine/TV3b_page.asp?return=Advice&id=100 ---------------- Bricolage en attendant, comme prévu : c'est efficace.
  9. Anciens oculaires

    Maintenant que c'est vieux... J'ai eu le 4mm il y a 4 ans, image terrestre voilée grisâtre, sinon rien à dire excellent oculaire sur mon apo triplet f/6 de l'époque. M'a lâchée un soir de gel. .... J'ai réussi à les avoir 2 ensembles, c'est une focale fondamentale que 6mm sur une lunette f/15 car ils permettent de monter x2.5D sur la Lune et accessoirement aussi testé sur une Vixen 90M (x166 ou x1.85D) en planétaire. Ce sont 3 soirées d'observation, en ville, lumière de lampadaire chiante à proximité. A vrai dire c'était gonflé de tester en planétaire à x166 sur la Vixen mais ç'est passé, on sent un peu trop fort et délavé, ça a exacerbé le côté couleur, on le verra ci-dessous. Le TMB étant plus bas, la lentille d’œil semble plus petite ; c'est exact, mais elles sont très proches. 16mm de relief d’œil pour le TMB, 20mm pour le Radian : bof pas évident de voir une vrai différence sans les lunettes. Je préfère le TMB qui guide plus le positionnement. Le caoutchouc déborde d'ailleurs vers l'intérieur et crée un pare-lumière efficace°. La bonnette également est plus stable que les clics du Radian mais c'est marginal. Le TMB est nettement plus léger. Bafflage : efficace sur le Radian, l'intérieur c'est pro, façon appareil photo, rien à dire. Refait sur mon TMB, j'ai repeint en Black 2.0, c'est noir de chez noir... Mécanique : c'est précis sur le Radian. Moulé, tourné, ajusté. Le diagramme mécanique ne laisse rien au hasard. C'est au 1/10e de millimètre voire mieux quand on doit démonter. Les pas de vis sont très longs, respectant parfaitement les normes de l'opto-mécanique de précision. C'est complexe mais fortement démontable sur le TMB, un peu poupée russe. La fixation de la barlow m'a toujours déplu. Il aurait fallu un anneau de bafflage supplémentaire quelques mm plus haut. Le Radian fait ça en résine acétal et c'est pas plus mal, pas de risque d'exposer une surface qui donnerait une réflexion spéculaire : c'est teinté carbone dans la masse du Delrin® ou POM (Polyoxymethylene). C'est bien imaginé sur le TMB mais c'est bien la complexité du besoin d'un ajustement qui a mis Burgess Optical en difficulté entre la version prototype et la version production : la distance entre la barlow et la partie œil avait été modifiée pour je ne sais quelle raison foireuse en usine. A vouloir protéger son design à laisser l'assemblage et réglage chez Burgess aux US, le manufacturier a fait planter le projet. En gros : rien à retoucher sur le Radian, réglage sur le TMB. Optiquement : tests sur réfracteur Astro M80 et Vixen 90M, tout deux calés à la perfection. Ce sont vraiment deux bêtes différentes, côté confort perçu. L'image est "distante" au premier abord sur le Radian, comme "projeté" sur le plan image. J'avais encore plus cette impression avec la 4mm, quelques blackouts -> réglage bonnette ...j'avais perdu l'habitude L'image est cash sur le TMB, pas de difficulté de blackout, on voit ou on ne voit pas assez le bord et il est toujours là disponible en repère. On met la bonnette à hauteur et hop. Sur la Lune : le TMB est tonitruant, très blanc voire même emmerdant pour l'intensité piquante côté bleu, le Radian est doux, jaune clair (je m'en souvenais mais quand on le passe après le TMB ça frappe) La précision est équivalente à f/15. A f/11, il y a petit bord bleu distractif (couleur latérale) de 1 ou 2 ° sur le Radian mais pas d'impact. Le Burgess TMB transmet mieux, bien mieux que les clones, mais il se calme avec le filtre Baader jaune 495nm et devient équivalent. Les deux sont impeccables : TMB + filtre et Radian seul. Je me dis que je dois avoir les yeux fatigués de la semaine mais j'ai pris l'habitude en lunaire de réduire la bande, ça aide beaucoup sur les réfracteurs achromatiques qui dé-corrige assez vite le bleu profond pour le mettre à la poubelle. Honnêtement, à f/15, je préfère le TMB. C'est discutable à f/11 près du bord et c'est parce que j'ai l'habitude. Ceci dit j'ai constaté que la courbure de champ est absorbée par le Radian, alors que le TMB a besoin d'un micro-ajustement sur le réfracteur de 1m de focale. Pas remarqué avant ... comme quoi. Halo et images fantômes hors champ : le TMB a un halo plus grand que le champ perçu, il faut dépasser d'un diamètre lunaire pour sortir d'une zone circulaire très faible (Lune hors champ). Ça ne se remarque que sur les réfracteurs exceptionnellement bafflés. Le Radian lui a un halo à un tiers du champ, plus fort que les orthoscopiques, plus blanc, un peu plus grand. Je pense que c'est un ghost sur une des lentilles ou le reflet sur mon œil° avec la lumière de la rue, ce dernier mange un peu de contraste mais c'est comme dans la revue faite par Thomas Back à propos du 5mm Radian : c'est presque invisible sur une apo f/8. Par contre ça commence à gêner à f/11 et à f/15 ou l'on a la luminosité qui baisse et quand c'est la différence (le contraste) qui permet d'attraper le détail à la résolution optique. Bon, je vois pareil que sur le TMB mais dans l'autre sens le TMB snappe (attrape) tout de suite le détail, alors que je tournicotte la position dans le champ avec le Radian. Bref match nul : c'est le vrai orthoscopique (Abbe ou Duplet Abbe) qui gagne le match de toute façon, pas sur la précision mais sur le contraste. Je suis déçue, je le savais pour le TMB sur des difficultés comme la Rima Hadley qui ne sort pas tout le temps ; mais bon, le Brandon 12 + barlow met tout le monde KO, balle au centre. J'aurais du sortir le 152f8, je le ferais plus tard ; là c'était le TMB qui boutait le Brandon out, sauf avec la barlow Zeiss. Lune f/D moyen et long, en mode découverte : TMB avec ou sans filtre est vainqueur au centre, battu au 2/3 champ à f/11 (courbure et le halo) Jupiter sur la Vixen 90M : le TMB explose le Radian sur la beauté de l'image du côté des pôles. Les nuances bleues/indigo sont nettes. Par contre à l'équateur, c'est plus fourni sur le Radian : le bord des bandes est plus facile, fiesta sur les volutes de la transition bande brune et blanche. La situation s'inverse par rapport à la Lune. Saturne sur la 90M : même constat, les bleus et bleu-verts sortent mieux sur le TMB, l'hexagone polaire se fait désirer (trop de lumière ambiante dans la rue). Avec de la patience, le Radian montre pareil. Même constat : au bord de champ le Radian met le TMB hors course, on a vraiment les 60° corrigés (moins le liseré distractif quand on sort du bord) alors que le TMB faiblit après 20° hors d'axe, soit les 40° de champ. Là j'ai eu la flemme de refaire le focus, c'est tendu à se grossissement. Le TMB s'apparente à un orthoscopique confortable au bord élargi. Vraiment très proche mais KO sur des extrêmes, probablement du à la qualité de polissage, ça ne passe pas toujours ce qu'on voit avec la Brandon. Le Radian est majestueux, imposant, propre mais il ne faut pas tirer trop sur le grossissement, il a malgré tout un type de correction qui laisse filer un peu le bleu, ce qui ne pardonne pas sur un réfracteur alors que ça passe sur un newton ou une apo. ou un catadioptre. (A ce que j'ai entendu le Delite accentue encore un peu le premier défaut (plus complexe ?) mais par contre il ne laisse pas filer le bleu.) Pas la peine de commenter sur les f/D plus court, je sais déjà que le Radian se comporte pareil à f/6 et probablement jusqu'à f/4 car j'avais testé les doigts dans le nez le 4mm sur le 406 sur Jupiter waoou Sur les oculaires que j'ai eu entre les mains, le Morpheus 6.5 me fait meilleure impression sur la tenue chromatique mais pas sur le piqué à f/D plus court que 6, on l'avait essayé sur le 406 f4.5 du club, ça lâchait l'affaire au bord. Ça devient difficile de me séparer de ce TMB 6 mais comme je n'aurais plus la 90M prochainement... Bref, je vais refaire un autre test en condition extérieure meilleures sans la lumière de rue et ajuster la bonnette plus rigoureusement le plus loin possible, juste pour voir l'arrêt de champ. C'est, je pense, ce halo résiduel° d'un tiers de champ qui me fait perdre du temps pour capter la scène par rapport au TMB. Il faut que je valide d’où il vient : via rebond intérieur ou éclairage extérieur. Ça va être de l'observation sous la serviette molletonnée. J'ai bien rangé mon petit Burgess TMB "lanthane" avec soin dans sa pochette avec du déssicant et enfermé dans sa boîte, (il y a un crétin nouvellement inscrit sur WA (0 messages) qui m'en a proposé 40€ : tu peux aller te faire voir chez les grecs... ou te faire cloner chez les chinois ) Le Radian a remis ses bouchons et je réfléchis à quel emballage sera le sien parce que si il tombe ça fera de la casse, il est lourd le bougre. Il est dans une enveloppe à bulles pour l'instant et je vais me coucher en me répétant : "1 ou 2° en moins 60 - 3 = 57°. Finalement ça fait vraiment un radian utile ça 2 fois la surface du TMB ". -------------------------- Après examen des optiques, le système négatif du Radian (aka la "barlow" intégrée) comprend un flattener en lentille avant. Il est derrière un système complexe de deux baffles coupe-lumière et du baffle en escalier de rétro-reflet. Ensuite le ménisque applatisseur en enfin, plus loin dans le tube la barlow après encore un coupe-lumière. C'est le ménisque d'applatissement qui provoque le bord bleuté des Radian de 6mm à 3mm et lui ajoute ses 100g. Le reflet d'1/3 de champ, j'ai l'explication %$£*µ, j'ai eu deux Radian incomplets Le PUPIL GUIDE est indispensable en planétaire, m'enfin, est-ce que ça veut dire que la plupart des observateurs qui les ont utilisés ne lisent pas les documentations ? M'enfin c'est pas très malin non plus de l'avoir mis en démontable. Radian Eyepiece Instructions.pdf
  10. Améliorer sa vision nocturne ? Vraiment ?

    Ca me rappelle l'armée
  11. Perso j'ai bien ce circuit de relais de commande. L'anti-rebond d'inductance est intégré quand tu relaches la commutation.
  12. Olivier t'es obstiné, je connais bien le circuit d'entrée, ça m'a fait tilt quand j'ai vu la carte. C'est ce qu'on testait il y a pfiou... longtemps chez Philips Tu as plusieurs étages de division qui isole le quartz, c'est prévu.
  13. Pas besoin sur la version CMOS de ce circuit. C'est un vieux design je pense. Par contre oui, sur des cartes en alimentation secteur on met une capa générale pour éviter la ronflette. Mais comme tu sais, les capas chimiques ça dure pas terrible et on s'en passe dés qu'on peut pour des grosses sèches, qui malheureusement prenne de la place. Je ne suis pas aussi formelle que toi, l'un dans l'autre, je ne classifierai pas la carte d'inadaptée ou dégueulasse mais de simplifiée au maximum.
  14. La il faut quelques outils d'électronique : voltmetre/ohmetre La seule chose que je peut dire c'est qu'il y a 4 broches utilisées sur 7. (une qui à l'air seule est en fait connecté par l'autre côté du circuit et retraverse pas un via). Il faudrait le cablage des broches sur le moteur mais franchement c'est pas à la portée de tout le monde.
  15. J'en fais un petit sujet à part de celui des réfracteurs favoris, à titre informatif. Ceci parce que l'objectif de ce réfracteur est remarquable de qualité, on frisotte le maxima de strehl individuel des couleurs (>0.98) sur toute la plage utile Oiii-Halpha Le résidu chromatique est en dessous de 3, ce qui selon Lichtenknecker permet de pousser le grossissement aux limites utiles pour la résolution de l’œil. La M80, soeur de la R82 de chez Astro, ceux connus aussi sous le nom Royal Astro est un réfracteur très bien réalisé. J'ai étudié l'objectif avec quelques moyens que j'ai et il me semble un peu différent d'autres marques. Danjon et Couder préconisait 560-565nm pour le calage chromatique en 1935. Petit rappel du sujet d'à côté : http://www.astrosurf.com/topic/117742-poster-votre-refracteur-favori/?do=findComment&comment=2103323 Détermination du chromatisme (calage) En se basant sur cette image, un star test en extra-focale fait avec une source Hydrogène (lampe spectrale) ce sont les couleurs "natives" H-alpha 656nm et H-beta 486nm, je fais l'hypothèse d'un décompte de 7 anneaux rouges et 6 anneaux bleus En prenant des références dans un livre Optical Shop Testing de Daniel Malacara et consorts, on trouve une relation en racine de n.lambda sur la taille des cercles. Bref, par rapport à la position de mise au point de la photo le focus F bleu est plus près que celui de C rouge. Pour évaluer comme c'est calé, après quelques calculs d'après le nombre d'anneaux et des proportions, on arrive à une proportion de -√7*656 ~ 67.8 et -√6*486 ~ 54 => -7.53 pour -6 On triture un peu d'après le ray-tracing et la course du PO et on approxime pas trop mal le calage couleur, approximation à 0.65mm de position du focus rouge "rms" et à 0.75mm pour le bleu, ceci par rapport à celui du vert. Et aussi la forme des spots. Pour l'affichage, j'ai ajusté la formule optique pour les spots je remplace le bleu H-beta dont la contribution est assez faible dans les nébuleuses par la longueur d'onde Oiii plus intense, le H-beta donnera un cercle un peu plus grand mais très sombre. Cela correspond à un réglage typique dit FC, le point pour les focus se confondent est sur l'axe optique pour des rayons centraux. Calage FC, affichage Oiii / H-beta / H-alpha C'est un vieux réglage qui date d'avant les logiciels de ray-tracing et qui est calculé de manière algébrique, déterminé par Alexander Eugen Conrady (1866-1944) publié dans son livre de 1929 : Applied Optics and Optical Design. C'est un peu la Bible des opticiens d'avant-guerre parue 25 ans après le recueil traitant de l'optique allemande de 1904 (editor) "Die Bilderzeugung in optischen Instrumenten vom Standpunkte der geometrischen Optik", Berlin de Moritz von Rohr, traduit en anglais en 1920 : Geometrical Investigation of the Formation of Images in Optical Instruments, London: H. M. Stationery Office et avant le Lunettes et Télescopes de Danjon & Couder 1935 Il y fait part belle au ressenti visuel à la physiologie et édictera ainsi le critère de Conrady : 0.625 waves ou 2,5x le critère de Rayleigh (qui vaut 1/4 lambda) sur les raies F et C donne un ressenti nul sur le chromatisme des instruments visuels, ceci mesuré à l'observation donc chaine optique complète. C'est une condition en éclairage divers et variés, elle est donc stricte. Sidgwick, J.B. - 1916-1958, qui travailla sur des traductions de Couder, donna après guerre un critère pratique 1954-1955 dans son livre Amateur's Astronomers Handbook moins sévère sous condition d'adapter les instruments à l'utilisation (et donc l'éclairage fourni par la source). Il n'était pas un observateur expérimenté, mais possédait un brillant langage poétique et savait exprimer des sensations comme personne. De part son intellect brillant et sa vie sociale d'itinérant et de poète, il a eu l'occasion de contacter et de consolider le savoir des grands observateurs et opticiens du siècle. Il était une si célèbre plume journalistique que lorsque son décès survint en France alors qu'il préparait une expédition archéologique qui devait avoir lieu en Afrique du Sud, son décès fut annoncé dans le Times, son corps fut rapatrié et ses cendres dispersées suivant ses dernières volontés. Ca fait deux-trois constats : a) Il est fort probable que cette optique fait donc l'objet d'un calcul FC "on foot" et pas FC "même focus" rms (qui est plutôt F'C' Zeiss "on foot") que Nikon fait sur ses optiques. => C'est bien un objectif astronomique et non prévu pour le terrestre. La mention astrographe peut surprendre. b) le spot de taille minimal sur une nébuleuse, enfin plutôt sur des objets plus concentrés (on est à f/D 15) est minimalisé sur la plage Oiii-H-alpha au foyer. On est pas loin de l'épaisseur du trait comme on dit. c) elle n'est pas dédiée planétaire comme d'autres lunettes comme fait GOTO° sur son modèle f/15 : ce dernier est calé un peu plus bas. On a donc à cette époque, je pense, 3 catégories de calage. Le Zeiss/Nikon en F'C', l'Astro-Royal en FC, le GOTO/Vixen/Telementor/Danjon&Couder en He (502-668) Les minimas chromatiques donnent du choix : autour de 1) 546nm, de 2) 557nm et 3) 565nm (approximatif). Le 1) est plus haut semble le plus pertinent en lunaire et photo générale, pas de bleu perçu et pas de halo sur les étoiles brillantes ni de résidu en bord de Lune. Utilisable en terrestre. Le 2) un compromis médian qui a de la marge en 80f/15 comme constaté, un liseret discret en zone de fort contraste lunaire. Le 3) un compromis bas orienté visuel, halo sur étoiles brillantes, un peu sur surfaces lunaires, perfection en planétaire sauf un poil de liseré sur Jupiter. ° : GOTO utilisait et utilise tous les calages suivant le besoin. Les autres calages que j'ai retrouvé, cela concerne des achromats longs jusqu'à 110mm environ. Pour éviter tout erreur d'interprétation, les mentions de calage sont des calages calculés sur l'axe optique et au centre de la pupille d'entrée et non des calages Rms. (je vois souvent la confusion). Calage Oiii-C, minima vers 563nm, type Danjon & Couder/GOTO/Vixen/ planétaire f/D long/Telementor, c'est plus rassemblé du vert à l'orange mais laisse apparaitre des halos bleus francs si le f/D n'est pas assez long car l'œil est très sensible aux teintes sur 480-500nm. Je dirais que c'est le calage astronomique historique, à l'époque ou le diamètre était limité et le champ visualisé faible. Une époque des années 1880 ou la fabrication des aplanats n'était pas encore apparue. On faisait peu de champ profond à part sur les réflecteurs newton. On cherchait plus à cette époque à optimiser le réglage à diamètre contraint pour l'observation de la Lune et des planètes. La photographie balbutiait avec des sensibilités de pellicule très basses. Mais ce calage est favorable à certaines observations et certains oculaires, on peut filtrer sans gêner. Ce sont des instruments plus techniques que spectacle. J'aurais tendance à l'utilisation en direct sans renvoi coudé mais avec un pied/monture à crémaillère donc. C'est la façon de faire en 1900 sur les petits diamètres. (Une phrase d'Albert König début 20eme siècle, avant le BK7 : "calé entre F et quelque part entre la raie B et C" suivant l'usage) Voir Oxygène doublement ionisé, raies de transition interdites et nébuleuses planétaires J'ai également vu des calages d'aberration sphérique sur le H-alpha et plus haute en réglage sur ce type d'objectif, ça simule ce type de comportement Oiii-C. Mais ça fonctionne bien surtout avec des oculaires moins couteux type plössl symétrique (Vixen) qui compensent et avec d'autres oculaires, ça a tendance à noyer les halos bleus au prix d'une perte de piqué. J'ai été intriguée à Rocbaron sur ce point à l'oculaire Clavé sur un Vixen 80L, j'ai eu l'explication. Le Clavé est sur-corrigé et ç'est la barlow Clavé (Marcel Paul) qui le stabilise, mais ça explique aussi le si bon comportement du Clavé en CP et lunaire sans barlow sur un newton et avec barlow en planétaire toujours sur un newton. (arf : un sujet à polémique pour sûr car non expliqué dans les compte-rendus SAF tout ça) Calage F'C' : type Zeiss/Nikon après WWII, je n'ai pas la date exacte du changement d'outillage pour les raies Cadmium. Cela me semble lié à l'utilisation généralisée du BK7 à la place du verre baryum BalkN2/BalkN3. Je rappelle que le BK7 a été inventé en 1907 et qu'à cette époque et juste avant guerre sa mise en œuvre a été orientée microscopie et à partir de la crise de 1929, fortement militaire : jumelles, lunettes de tir et photographie aérienne. J'en veux pour preuve que dans le domaine astro, on est resté plus longtemps sur d'autres utilisations en particulier sans le verre d'appariement F2 mais le KzF2 dans l'objectif AS "astro-spezial" qui reste dans un calage qui rapproche les focci vert-jaune-orange et corrige le bleu pour éviter qu'il file comme sur le calage Oiii-C : le meilleur des deux mondes pour utilisation sans filtre. L'AS a été créé en 1929, sans doute marquant la séparation des besoins astro et terrestre(militaire). Bonus-malus : le focus des bleus est nettement avancé, l'image intra-focale devient carrément verte. mais également l'observation lunaire monte sur une plage plus élevée en fréquence, longueur d'onde plus courte, on gagne un "chouilla" en résolution. Les images en terrestre sont adaptés à une illumination du soleil de midi -> mais quand je dis ça, c'est un calage adapté à l'utilisation des jumelles, on traverse plusieurs prismes qui changent l'aberration sphérique autant que le calage chromatique vers le rouge. On revient vers le calage FC "on foot". Je dirais que c'est particulièrement intéressant pour l'utilisation avec un montage binoculaire à prismes. La raie violette sur le diagramme correspond à un rouge-orange proche ~620nm. Voire même le type de correction 2, avec une sur-correction de l'aberration sphérique du vert (vu sur un Shack-Hartmann d'une Nikon FH 80-1200 et un gros objectif Zeiss spatial). Les focii sur la bande turquoise 514 à orange 588 est ainsi très étroite, excellent pour du lunaire, on a un fort flux et une bonne résistance à la turbulence à ce diamètre. C'est le schéma de réglage de la TAL 100R, mais avec un apparence complètement différente du diagramme (calage à 530-532nm) verres différent, f/D à 10 carrément plus court, plus forte ab sphérique mais très contrôlée. Bref, on fait un peu l'impasse sur un grossissement élevé en planétaire à cause de la correction dans le rouge qui se relâche. Le flux sur une 80mm n'est pas énorme non plus, il faut de très bonnes conditions d'observation pour l'exploiter en planétaire (notamment la pollution lumineuse). légende : ligne violette <-> rouge 620 Mais en gros, à f/D long on attrape les mêmes détails, elles se valent parfaitement en utilisant des filtres quand l'aberration sphérique est bien réglée. 80f/15 donne de la marge évidente sur les réglages. Je comprends qu'on fasse du plus court en 80/1000, 70/900 ou 60/800 voire 62.5/800. Le reste est je pense plutôt sur le confort/stabilité de la mise au point des long f/D. Le star test en lumière blanche que l'on peut trouver intéressant pour comparaison, pris de jour, vent moyen (on a du mal a effacer la turbulence même en empilant) : Des anneaux en intra et un halo discret bleu-violet, une extra très blanche avec des résidus colorés vert-jaune-orange-rouge-bleu. La séparation/nuancier couleur est un gage de piqué. J'ai vu souvent des extra-focales brouillées puis rapidement distinctes en vert-jaune avec un cœur bleu qui domine. Note : sur ces réfracteurs, on est assez loin du focus, 9mm sur la périphérie de la molette, le ratio est de 1/6e entre le bord de la molette et le déplacement du focus. J'espère vous avoir donné des idées sur un réfracteur vintage dédié astronomie et bien équilibré, comme dans les livres. Comme je tentais de l'aborder au-dessus, l'utilisation des renvois coudés à prisme changent la donne, ainsi que certains modèles d'oculaires. Cet état de fait semble avoir été clarifié vers les années 80 par Nikon et Olympus en microscopie et ensuite Thomas Back a sorti la règle d'apochromatisme moderne car avec les lunettes qui se raccourcissent, on ne pouvait plus appliquer les règles de calage à cause du fort sphéro-chromatisme relatif. La règle moderne s'intéresse au résultat obtenu plus qu'à la manière d'y parvenir. Au moins, ça aura mis un peu d'ordre dans le bazar de l'interopérabilité et spécialisation pendant un temps, mais faut quand même constater que ces 10-20 dernières années c'est à nouveau le bordel avec celui qui pisse le plus loin à faire l'astrographe le plus court possible en f/D et qui vient ensuite proposer de l'oculaire à prix exorbitant pour compenser la différence entre besoin photo et visuel. *** soupir *** Ah, également, de nos jours, la plupart des optiques commerciales (achromats) sont calées F'C' pour ne pas faire apparaître de halo avant tout, et la plupart sont plus courtes : f/8 à f/11. Au vu de leur imprécision de fabrication, l/6 0.92 en général pour les grandes séries, de ce calage, ils ne peuvent atteindre la résolution maximale qu'offrent ces anciens tromblons. On est sur de la limitation commerciale à x2 en lunaire (pb de qualité générale), et une impossibilité de monter fort en planétaire à cause de l'étalement chromatique des focii utiles dans les orange-rouge, aggravé par le f/D plus court. La sensation n'est pas un halo rouge (là ça sera gravement mal calé) mais d'une mollesse du piqué. Ca passe bien en lunaire, il n'y a que quelques constructeurs qui dédie plus leurs réfracteurs en bougeant ce réglage chromatique.
  16. c'est du diviseur de fréquence pour le moteur pas à pas https://octopart.com/datasheet/tc4013bp-toshiba-2174859 https://www.alldatasheet.com/datasheet-pdf/pdf/31665/TOSHIBA/TC5036AP.html Probable que ce soit celui-là qui ait un circuit cassé/grillé : c'est le commutateur anti-rebond quand tu as des circuit magnétiques (moteurs, self-inductance). Si tu as eu une sur-tension ou je ne sais quoi ça a pu griller. https://www.allaboutcircuits.com/electronic-components/datasheet/TD62004AP--Toshiba Je ne pense pas qu'il utilise toutes les pattes, tu peux peut-être vérifier laquelle est en court-circuit ou ouverte et plugger sur une autre. A noter que si c'est du montage propre : tu auras les pattes inutilisées connectées ensemble sinon ça te fait une jolie radio
  17. Rétro-design astro M80

    Ce n'est pas fait à la va-vite, c'est intentionnel ou impossible à contourner, la plupart des manufacturiers d'objectifs astro ont disparus. De nos jours, les doublets sont conçus principalement pour le terrestre et fabriqués en masse. Donc sauf quelques grands manufacturiers chinois comme Synta ou JOC, UO ou LongPerng (taïwan), japonais Vixen Tak, quelques sorties chez Ricoh ou Nikon, on a vite fait le tour. Les autres marques assemblent avec ce qu'ils trouvent ou font en sorte qu'il n'y ait pas de retours utilisateurs. Un réfracteur daubesque en grossissement, ça ne se voit pas : le critère diffraction limited, c'est assez facile à atteindre et tu auras tout le monde qui se planque derrière sur la raie e. Enfin bon, un 80mm avec 0.81 de strehl sur la raie e à f/12.5 tu peux juste viser la poubelle ou faire un peu de CP... (ps j'ai quand même eut des gens qui m'ont dit avoir atteint efficacement x200 soit 2.5D avec, je pense que ce sont leurs yeux ou le cerveau qui sont à corriger). Apochromat, c'est un peu plus difficile à contourner mais même les grands comme Synta ou JOC s'en sont foutu comme de l'an 40 fut un temps (enfin c'est moins le cas maintenant).
  18. c'est pas fait pour. Tak est revenu sur du Petzval, AP sur de l'aspherisation pour rester dans les critères apo et LZOS a f/8 sur une meilleure combinaison de verres (OK4,TK12(BAK2),K8(BK7))
  19. Rétro-design astro M80

    Oui : ici http://www.astrosurf.com/groupes/24-un-réfracteur-français/ Je capitalise de temps en temps. Ce n'est pas forcément exempt de quelques erreurs, il faut laisser maturer. Ce n'est pas simple de comprendre la pensée des auteurs, ils ont leur propre historique et leur habitudes techniques, bref pas mal de non-dit : la vérification par l'expérience est nécessaire. Le plus grand écart entre cette époque et maintenant vient du passage du calcul algébrique au ray-tracing. Le ray-tracing permet l'optimisation directe sur le champ visuel/photo utilisé. Le calcul algébrique nécessite plusieurs modifications successives des paramètres entrés pour résoudre les équations. Il faut avoir suivi 50 années d'échanges pour comprendre que la calage FC et Oiii-H-alpha à f/15 signifie qu'on veut optimiser et contrôler pour ce que l'on veut observer sur les émissions Oiii-Nii. Comme d'habitude de chaque profession : du décryptage de jargon/raccourci technique. A ne pas mélanger avec ce qui est nécessaire avec la vision terrestre. ---------------------- J'ai validé un point intéressant ce soir, le filtre jaune Baader est nettement plus efficace sur l'astro M80 calée FC que sur la Scopetech 80-1200 que j'avais recalée plus haut façon Nikon. J'ai eu plus de détails dans la mer des Crises (Fahrenheit et doublet Cléomedes). A méditer.
  20. Rétro-design astro M80

    Documents complémentaires/Bibliographie Optique allemande 1904, traduit 1920, citation d'Albert König Histoire Optique : échelle temporelle. La méthode D-d inventée par AE Conrady 1929 : Astro-Spezial par Sonnenfeld, il utilise une forme asphérique (premiers calculs datant de 1905) la référence est donnée dans le système FC L'objectif AS est ainsi défini qu'il a pour but de donner à la fois un focus presque commun à F et C et commun pour e (vert 546) et d (hélium 588) C'est une reprise des deux habitudes expérimentales : - renaissance, rassembler les couleurs jaune-vert-orange (Frauhöfer, Merz, Alvan Graham Clark, Taylor, Danjon & Couder...) - époque industrielle autour de 1904-1905: physiologie -> Conrady norme FC (pour des instruments à f/15) Ci-dessous à gauche et à droite, on apprend que l'objectif historique E de Zeiss est calé Oiii-C ! Il y a une petite ruse de ce point de vue, le montage steinheil fait descendre de 1 à 2 nm le minima de la courbe par rapport à l'arrangement Fraunhöfer. que le premier apochromat astronomique de Taylor : il fut calculé pour annuler la dispersion chromatique sur l'axe, centre pupille d'entrée sur les 3 points C 656, F 486 et G' 434nm. Quand on lit la présentation d'A König, il s'agit d'une double correction pour convenir à la fois à la photo et au visuel car pour imager avec les pellicules de l'époque, en achromat on optimisait les objectifs pour les radiations G'-d. (actinique ~434-588). Le résultat convenait pour le spectre lumineux en argentique. L'objectif de Taylor resserre la tolérance en ajoutant la correction FC (deux points) Pour l'AS, il s'agit bien de continuer sur une correction optimale jaune-vert-orange et de contenir ce qui se passe entre F et G'. La définition de l'objectif AS fixe la limite à 123/100000 de la focale sur FG' soit 64% de la dispersion ocasionnée par l'objectif E (F2-BK7). Facile de comprendre que ce fut une décision pour améliorer les objectifs de diamètre de 130, 150mm et peut-être un peu plus de l'époque. Mais il de faut pas perdre de vue les 58% entre e et d, qui est un gain un peu plus fort. Les gros Zeiss AS 200-250mm furent calés différemment et préservèrent en premier lieu cette bande e-d voire e-C Egalement, la combinaison pour l'AS présentant du sphérochromatisme, les données ci-dessous sont des focii "on foot" Les verres les plus proches de l'époque dans OSLO : PBM2Y et O_BK7-O, c'est bien un calage Oiii-C Zeiss-ST-E80-1200.len Zeiss ancien et Zeiss moderne après WWII => utilisation des raies Cadmium, dite F'C' probablement à l'époque ou l'on défini l'étalon métrique. http://articles.adsabs.harvard.edu//full/1953LAstr..67..357L/0000359.000.html Dieter Lichtenknecker et son interprétation pratique du résidu chromatique ou évaluation du spectre secondaire. Le RC effectif est calculé suivant le RC-Wert (valeur du RCFC de l'instrument) comme ratio avec la taille de la pupille de sortie ou simplement comme facteur du grandissement ramené au diamètre. On pourra étendre son usage à l'utilisation du RCbande lors de l'utilisation de filtres.
  21. Tu as raison, c'est pas raisonnable, réponse trop rapide et c'est du f8.5 pas du f/15 *autobaffe* j'ai regardé plus épais et évaluation par la photo. Il y a une bonne solution à 42mm d'épais, compte tenu de la rigidité du verre, ça tient bien la route en photo lunaire. 0.95 au moins au centre et limite de contraste au bord de Lune (diff limited sur 1/2 Lune, 0.125° hors d'axe)
  22. f8.5 -> 25mm, ça ne change pas beaucoup avec le diamètre. La bête est régulée en température, c'est indiqué.
  23. Oculaire Nikon ou Pentax?

    un University Optics König II, c'est la version simplifiée du Pentax. (le Pentax donc) Je me permet cette affirmation parce qu'à f/D 15, tu vas viser de temps à autre des cibles planétaires et lunaires : je n'ai pas aimé le placement d'œil du SW et le reflet que tu peux attraper de temps en temps sur la lentille concave de sortie du Nikon. Le Pentax n'a pas ce problème. Les SW et HW du Nikon viennent du design des jumelles, t'es censé appuyer ton arcade sourcilière sur la bonnette pour bien te protéger des reflets et de régler cette dernière pour voir la limite de champ. En astro, on est moins immersif, le reflet sur la cornée arrive plus souvent si tu ne règles pas correctement. C'est aussi un défaut sur les TV plössl...
  24. Comment demonter des Nikon TC E2 (Yeux de hibou) ?

    Peut-être collé, recherche un point de colle Dans ce cas alcool et si ça résiste, de l'acétone. Mais attention, l'acétone ça mange bien certains traitements AR et ça décolore parfois l'alu anodisé.