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il y a une heure, jackbauer 2 a dit :

Lancement prévu à 16h19 chez nous 

 

Et voilà, la SNCF est encore battue à plate couture pour le respect des horaires.

Beau lancement !

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:)

Seule bonne nouvelle dans cette triste journée !

 

"...Bonjour Psyché !

Nous avons réussi à acquérir le signal complet du vaisseau spatial. Les premiers rapports de télémétrie montrent #MissionToPsyche en bonne santé et parcourra désormais 2,2 milliards de kilomètres vers un monde riche en métaux...."

 

 

 

La séquence de la séparation :

 

Modifié par jackbauer 2
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J'écris ce post en pensant encore à Hubert Reeves. Sa disparition m'a vraiment marqué alors que je ne le connaissais qu'à travers ses livres et ses apparitions médiatiques ! 

 

https://www.babelio.com/users/AVT_Hubert-Reeves_8990.jpg


 


https://spaceflightnow.com/2023/10/13/falcon-heavy-launches-nasas-psyche-asteroid-probe/


Traduction automatique, résumée et remaniée.


La sonde Psyché de la NASA s'est envolée vendredi dans l'espace au sommet d'une fusée Falcon Heavy, s'embarquant pour un voyage de 3,5 milliards de km vers un astéroïde très particuliers,  riche en métaux, qui pourrait contenir des indices sur les noyaux des planètes telluriques comme la Terre, et sur leurs formations.


20231013-FH-Climbs-Michael.jpg


Falcon Heavy s'éloigne du Kennedy Space Center, transportant le vaisseau spatial Psyché. Image : Michael Cain/Spaceflightnow


"Nous allons en apprendre davantage sur un type d'objet jusqu'alors non étudié qui a contribué à rendre notre Terre habitable, à savoir le métal qui se trouve maintenant dans le noyau de notre planète ainsi que dans celui de toutes les planètes rocheuses, noyaux à jamais directement accessibles mais sur lesquels nous voulons en savoir plus », explique la chercheuse principale Lindy Elkins-Tanton.


« 16 Psyché est le plus gros objet métallique de notre système solaire. Donc, si nous voulons en apprendre davantage sur les noyaux planétaires, c'est là que nous devons aller.

 

Découvert en 1852 par l'astronome italien Annibale de Gasparis, 16 Psyché est le plus gros des neuf astéroïdes connus riches en métaux, en orbite dans la ceinture externe d'astéroïdes, entre Mars et Jupiter, trois fois plus loin du soleil que la Terre.


Les observations radar montrent qu'il a à peu près la forme d'une pomme de terre, mesurant approximativement 277 km X 244 km, mais il n'apparaît que sous la forme d'un point en forme d'étoile, même dans les télescopes les plus puissants. Les scientifiques savent, grâce à leurs observations spectrales et autres, que sa teneur en métaux est élevée.


"Nous sommes convaincus qu'il est en grande partie composé de métal mais aussi d'autre matières",  Elkins-Tanton. «Cela pourrait être de la roche, cela pourrait être à base de soufre ou à base de carbone. Nous ne le savons pas. Et c’est vraiment ce qui est excitant."


Plus tôt dans le projet, un journaliste lui a demandé combien valait un astéroïde comme Psyché compte tenu de sa forte teneur en métaux. Les chiffres s'élevaient à 10 quintillions de dollars.


"C'est stupide, mais j'ai fait ce calcul", s'excuse Elkins-Tanton. "Cela fait un très bon titre d'article. Mais c'est faux à tous points de vue. Si nous pouvions exploiter cette masse métallique, ce serait probablement une erreur catastrophique. Cela inonderait le marché des métaux, qui au final ne  vaudraient littéralement plus rien. Donc en calculer la valeur est un exercice intellectuel amusant mais finalement sans aucune validité."


Ou comment il s’est formé en premier lieu. Il existe deux théories principales.


"La première est qu'il s'agit du noyau d'un corps, analogue à ce qui se trouve à l'intérieur de la Terre, avec un noyau métallique en fusion", explique Ben Weiss, chercheur principal adjoint de Psyché au MIT. "Mais dans ce cas, 16 Psyché a vu ses couches externes détruites par des impacts d'astéroïdes au début d l'histoire du système solaire, nous pourrions donc voir le noyau exposé aujourd'hui.


"La seconde est que Psyché est une sorte de corps primordial, non fondu, essentiellement formé à partir des tout premiers matériaux du système solaire qui ont été  conservé dans cet état primordial depuis lors."


Le vaisseau spatial Psyché, construit au Jet Propulsion Laboratory  tentera de répondre à ces questions et à bien d'autres au cours de 26 mois d'observations à courte distance à l'aide d'une suite d'instruments sophistiqués.


La sonde est équipée de deux caméras multispectrales pour cartographier la surface avec des moult détails, de deux magnétomètres pour mesurer le champ magnétique qui pourrait être figé dans le métal, autrefois liquide, d'un spectromètre de masse à rayons gamma et à neutrons pour étudier la composition chimique de l'astéroïde et d'une expérience scientifique radio pour mesurer son champ gravitationnel.


Mais ce ne sera pas facile. Et ce ne sera pas rapide.


Pour atteindre sa cible, le vaisseau spatial utilisera une propulsion électrique solaire accélérant électriquement des atomes de xénon ionisés dans l'un des quatre propulseurs à effet Hall pour produire une poussée faible mais constante.


Psyché sera lancé avec 2 392 livres de xénon dans sept réservoirs. L'énergie électrique nécessaire pour éliminer les électrons et ioniser le carburant proviendra de deux panneaux solaires à cinq sections, capables de générer 21 kilowatts de puissance près de la Terre, mais seulement de 2,3 à 3,4 kilowatts à la distance de 16 Psyché.


Contrairement aux moteurs de fusée à propulsion chimique, qui consomment massivement de façons ponctuelles des ergols de puissance énergétique élevée, les propulseurs à effet Hall produisent beaucoup moins de poussée. Mais ils peuvent fonctionner 24 heures sur 24, augmentant lentement mais sûrement leur vitesse tout en parcourant environ 16 millions de km avec moins de 4 litres de xénon.


Après trois à quatre mois de tests et de vérifications, Psyché se dirigera  vers Mars, la survolant en mai 2026, à une altitude comprise entre 2 700 et 3 200 km pour une manoeuvre de fronde gravitationnelle.


101323_trajectory.jpg


La sonde Psyché aura besoin de près de six ans pour atteindre sa cible située dans la ceinture externe d'astéroïdes. Après un survol de Mars en 2026, le vaisseau spatial se dirigera vers l'astéroïde 16 Psyché, se mettant en orbite autour de ce corps spécial, riche en métaux en 2029. Image : NASA.


En route vers Mars, les ingénieurs réaliseront l’expérience Deep Space Optical Communications, ou DSOC. Un ensemble laser infrarouge et télescope fixé sur le côté du vaisseau spatial  tentera de renvoyer des données vers la Terre à des débits bien plus élevés que ceux possibles avec les signaux radio traditionnels.


Les communications laser ont été testées autour de la Lune, mais DSOC est la première à être utilisée dans l'espace lointain. À de telles distances, renvoyer des signaux au télescope Hale de 5m situé au mont Palomar en Californie équivaut à peu près à frapper un euro à une distance d'un mile (1,6 km).


"Nous sommes très enthousiasmés par cette expérience et attendons avec impatience les résultats, qui permettront à l'avenir des missions humaines sur Mars et l'utilisation d'instruments à très haute résolution", assure Abi Biswas, responsable DSOC au Jet Propulsion Laboratory.


Le survol de Mars enverra Psyché en spirale plus loin dans le système solaire, rattrapant lentement mais sûrement sa cible. En mai 2029, les caméras du vaisseau spatial commenceront à imager l'astéroïde, utilisant les données pour affiner son approche.


Deux mois plus tard, après un voyage de 2,2 milliards de kilomètres, Psyché sera suffisamment proche pour être capturée par la faible gravité de l'astéroïde.


Quatre altitudes orbitales de base sont prévues, commençant à une hauteur d'environ 700 km au-dessus de la surface, puis descendant à 300 km et enfin à moins de 80 km avant de revenir à une altitude d'environ 300 km.


Tout au long de ces observations, les caméras de Psyché cartographieront la surface à des résolutions de plus en plus élevées, les magnétomètres étudieront le champ magnétique de l'astéroïde tandis que les scientifiques sur Terre mesureront son champ gravitationnel en étudiant les changements infimes dans la vitesse du vaisseau spatial, comme l'indiqueront les changements subtils dans les signaux radio renvoyés vers la Terre. 


À son altitude la plus basse d'environ 80 km, le spectromètre à rayons gamma et à neutrons de la sonde caractérisera la composition minérale à la surface de l'astéroïde.


La dernière série d'observations orbitales devrait commencer à la mi-janvier 2031. La mission principale de Psyché devrait se terminer le 1er novembre 2031.


 

Modifié par Huitzilopochtli
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Quelques photos du lancement et du retour des 2 boosters :

 

 

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Modifié par jackbauer 2
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Bonjour à tous,

 

Je vous suis sur ce forum depuis quelques mois déjà et je ne suis jamais intervenu.

L'astronomie, d'une manière générale, est une discipline fascinante et passionnante. Déjà par le fait qu'il y a encore tellement de choses à découvrir.

Je suis également impressionné par vos connaissances sur le sujet. Et encore merci pour le partage et relai d'information continue que vous faites, c'est extraordinaire.

Que de saines lectures !

 

Pour en revenir à Psyché, j'ai suivi sur la chaine youtube le lancement et j'ai trouvé cela superbe. J'ai été impressionné, et le mot est faible, par le retour sur terre des 2 boosters. C'est incroyable !

 

En tout cas, continuez ainsi messieurs, votre passion et le partage que vous en faite est extraordinaire.

 

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Bonsoir,


Démonstration de communication optique dans l'espace profond de la NASA qui envoie et reçoit ses premières données :


https://www.nasa.gov/missions/psyche-mission/nasas-deep-space-optical-comm-demo-sends-receives-first-data/


L'expérience Deep Space Optical Communications ( DSOC ) de la NASA a envoyé par laser proche infrarouge codé des données de test d'une distance de près 16 millions de kilomètres (soit environ 40 fois plus loin que la distance nous séparant de la Lune) vers le télescope Hale de l'observatoire Palomar du Caltech dans le comté de San Diego, en Californie. Il s’agit de la démonstration la plus lointaine jamais réalisée de communications optiques.


À bord du vaisseau spatial Psyché récemment lancé, DSOC est configuré pour envoyer des données test à large bande passante sur Terre au cours de sa démonstration technologique de deux ans, alors que Psyché se rend dans la ceinture principale d'astéroïdes entre Mars et Jupiter. Le Jet Propulsion Laboratory gère à la fois DSOC et la sonde Psyche.


La démonstration technologique a effectué une opération de transmission dans les premières heures du 14 novembre après que son émetteur-récepteur laser de vol se soit  verrouillé sur une puissante balise laser de liaison montante du laboratoire de communication des installations de Table Mountain du JPL, près de Wrightwood, en Californie. La balise de liaison montante a aidé l'émetteur-récepteur à diriger son laser de liaison descendante vers Palomar (qui se trouve à 130 kilomètres au sud de Table Mountain) tandis que les systèmes automatisés de l'émetteur-récepteur et des stations au sol affinaient le pointage.

 


Apprenez-en davantage sur la manière dont DSOC sera utilisé pour tester pour la première fois la transmission de données à large bande passante au-delà de la Lune – et comment il pourrait transformer l’exploration de l’espace lointain. Crédit : NASA/JPL-Caltech/ASU (Traduction des sous-titres possibles avec les paramètres)


« Réaliser cette opération l'une des nombreuses étapes critiques du DSOC dans les mois à venir, ouvrant la voie à des communications à très haut débit de données, capables d'envoyer des informations scientifiques, des images haute définition et des vidéos en streaming pour permettre le prochain pas de géant de l'humanité : envoyer des humains vers Mars », déclare Trudy Kortes, directrice des démonstrations technologiques au siège de la NASA à Washington.


Les données  test ont également été envoyées simultanément via les lasers de liaison montante et descendante, une procédure connue sous le nom de « établissement du lien » qui est l’un des principaux objectifs de l’expérience. Bien que la démonstration technologique ne transmette pas les données de la mission Psyché, elle travaille en étroite collaboration avec l'équipe de Psyché pour garantir que les opérations DSOC n'interfèrent pas avec celles du vaisseau spatial.


"Le test de mardi matin a été le premier à intégrer entièrement les ressources au sol et l'émetteur-récepteur de vol, obligeant les équipes opérationnelles DSOC et de Psyche à travailler en tandem", explique Meera Srinivasan, responsable des opérations DSOC au JPL. "C'était un défi formidable, mais nous pendant un court laps de temps, nous avons pu transmettre, recevoir et décoder certaines données."


Avant cette réalisation, le projet devait exécuter plusieurs actions, comme le retrait du capot de protection de l'émetteur-récepteur laser et la mise sous tension de l'instrument. Pendant ce temps, le vaisseau spatial Psyché effectuait ses propres vérifications, notamment en activant ses systèmes de propulsion et en testant les instruments qui seront utilisés pour étudier l'astéroïde Psyché en 2028.


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L'équipe opérationnelle des émetteurs-récepteurs laser de vol pour la démonstration de la technologie Deep Space Optical Communications (DSOC) de la NASA travaille dans la zone de support de la mission Psyché au JPL aux premières heures du 14 novembre, lorsque le projet a atteint les « premières lueurs ». NASA/JPL-Caltech


Avec le succès de cette première phase de transmissions, l'équipe DSOC va maintenant travailler à régler très précisément les systèmes qui contrôlent le pointage laser de liaison descendante sur l'émetteur-récepteur. Une fois cela fait, le projet pourra commencer sa démonstration durable de la transmission des données à large bande passante depuis la sonde vers Palomar, à différentes distances de la Terre. Ces données prennent la forme de bits (les plus petites unités de données qu'un ordinateur peut traiter) codées dans les photons du laser. Après qu'un réseau spécial de détecteurs supraconducteurs à haute sensibilité ait détecté les photons, de nouvelles techniques de traitement du signal sont utilisées pour extraire les données des photons qui arrivent au télescope Hale.


L'expérience DSOC vise à démontrer des débits de transmission de données 10 à 100 fois supérieurs à ceux des systèmes radiofréquences de pointe utilisés aujourd'hui par les engins spatiaux. Les communications radio et laser proche infrarouge utilisent des ondes électromagnétiques pour transmettre des données, mais la lumière proche infrarouge regroupe les données en ondes beaucoup plus serrées, permettant aux stations au sol de recevoir un package beaucoup plus important. Cela facilitera les futures missions d’exploration humaine et robotique, et autorisera l'emploi les instruments scientifiques à plus haute résolution.


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Les opérateurs d'émetteurs laser au sol DSOC posent pour une photo au laboratoire de télescope de communications optiques des installations de Table Mountain du JPL, près de Wrightwood, en Californie, peu de temps après que la démonstration technologique ait atteint la « première lumière » le 14 novembre. NASA/JPL-Caltech


"La communication optique est une aubaine pour les scientifiques. Les chercheurs veulent toujours tirer plus d'informations des missions spatiales et devrait contribuer à l'exploration humaine de l'espace lointain", affirme le Dr Jason Mitchell, directeur de la division Advanced Communications and Navigation Technologies au sein de la NASA. (SCaN). "Plus de données signifie plus de découvertes."


Alors que la communication optique a été démontrée en orbite terrestre basse et jusqu'à la distance de la Lune, DSOC est le premier test dans l'espace lointain. Tout comme l’utilisation d’un pointeur laser pour suivre une pièce de monnaie en mouvement à un kilomètre et demi de distance, la visée d’un faisceau laser sur des millions de kilomètres nécessite un « pointage » extrêmement précis.


La démonstration doit également compenser le temps nécessaire à la lumière pour voyager du vaisseau spatial à la Terre sur de grandes distances (il a fallu environ 50 secondes pour transmettre de Psyché à la Terre lors du test du 14 novembre). Pendant ce temps, le vaisseau spatial et la planète ont bougé, les lasers de liaison montante et descendante doivent donc compenser leurs changements de positions.


« Réaliser ces premières transmissions est une formidable réussite. Les systèmes au sol ont détecté avec succès les photons laser de l'espace lointain provenant de l'émetteur-récepteur de vol du DSOC à bord de Psyché », se réjouit Abi Biswas, technologue de projet pour le DSOC au JPL. « Et nous avons également pu envoyer des données, ce qui signifie que nous avons pu échanger des « morceaux de lumière » depuis et vers l’espace lointain. »
 

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"La Nasa a fait traverser 31 millions de kilomètres en 101 secondes à une vidéo de chat. Cette prouesse, réalisée grâce à la sonde Psyché, lundi 11 décembre 2023, visait à tester le DSOC, un système de communication par laser. Cette technologie devrait remplacer les ondes radio pour transmettre une grande quantité de données lors des missions habitées vers Mars.(...) 

Cette vidéo de 15 secondes mettant en scène Taters, un chat blanc et roux appartenant à l’un des employés du Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la Nasa, fait en effet partie du test d’une technologie très avancée, à savoir celui d’un système de communication par laser à infrarouge : le Deep Space Optical Communications (DSOC). Petit clin d’œil, dans la séquence, Taters, installé sur un canapé, essaye d’attraper… un pointeur laser. "

(O-F du 21/12/23)

 

L'article du JPL : https://www.jpl.nasa.gov/news/nasas-tech-demo-streams-first-video-from-deep-space-via-laser

 

La vidéo de Taters (il est chou et il ressemble beaucoup au mien :x)

 

 

 

 

Bonne journée :) 

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Il y a 2 heures, penn a dit :

La vidéo de Taters (il est chou et il ressemble beaucoup au mien :x)

 

Anecdote en passant : quand je faisais des vacations à la Ferme des Étoiles dans les années 90-2000, un chat du lieu était notre mascote, qui se livrait à des prouesses acrobatiques pour tenter d’attraper le spot des pointeurs lasers ! Il n’avait pas son pareil pour amuser la galerie, surgissant de l’ombre à l’improviste au moment où on l’attendait le moins ! 

Je ne compte plus les fous-rires que nous avons pris en jouant avec lui comme des gamins ! xD (je ne me souviens plus le nom de l’ami félin ? Patrick si tu passes par là ?)

 

Modifié par Alain MOREAU
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