ndesprez

Pour @serge vieillardet d'autres, Salut Serge : n'avais qu'à venir (je plaisante bien sûr). Belle représentation encore cette année ("remplissage" vers 90%), magnifique ciel (comme d'habitude), météo convenable à plus que convenable ... Des instruments à la pelle mais surtout cette ambiance particulière, peut-être due au coté historique de ces rencontres, en France la plus ancienne starparty à l'américaine si je ne me trompe. Quelques montures surprenantes, la "petite" lunette de mon voisin (la plus belle image solaire que j'ai observée cette année) comme quoi il n'y a pas que le diamètre et encore plein de surprises compris coté spectro (Remy se reconnaîtra). Je n'ai pas assisté aux conf car trop pris par les copains. Bientôt les ROS ensuite les NAT : les Français sont vernis !

Sur l'AVL tout simplement

Aïe, si ça ce n'est pas de la pollution lumineuse, c'est quand même vachement bien imité ! Bon, excellente réunion comme d'habitude. Coté matériels, quelques strock particulièrement bien finis ont retenu mon attention (et mon admiration). Bien sûr, les copains d'abord ... Ceux de il y a bien longtemps et d'autres tout neufs, un plaisir ! A l'année prochaine. Norma

Bonjour, Je profite de ce w-e prolongé pour poser une de mes questions stupides. Sur Terre, le méridien "zéro" passe par Greenwich : décision arbitraire de nos meilleurs ennemis. Sur la Lune, qu'en est - il ? Je penche pour le centre de la face visible, oui mais ... Quelle face visible ? Celle déterminée hors librations ? Au contraire en tenant compte des librations maximales ? Un autre critère ? Au secours, amis sélénistes !

Certes mais la question n'était pas où mais pourquoi. La définition de Denis est claire.

Et bien voilà ! Merci den b. Comme beaucoup, je pense "connaître" notre satellite (au moins en partie) mais le diable ne se loge - t - il pas dans les détails ? Et nous le savons tous, la face visible représente près de 60% de la surface lunaire. J'avais donc besoin d'une confirmation : c'est fait. Merci derechef. Norma

Perso, j'utilise une étoile artificielle de construction perso. J'ai rencontré les mêmes problèmes d'alignement : mon étoile est fixe et des repères sur la monture (fixe, elle aussi) me facilitent grandement la tâche. Ce n'est plus un problème.

Soyons clair : l'observation solaire hors lumière blanche (les taches) coute très cher à énormément cher. Nul besoin cependant de "posséder" : pour se cultiver et se surprendre, il suffit de fréquenter les Rencontres des Observateurs Solaires . Cet événement a lieu tous les deux ans et c'est le mois prochain. C'est ici : www.soleilactivites.fr Il reste encore quelques places. Norma

Comme beaucoup d'optiques : "liquide jaune" pour la vaisselle et vieux mouchoir en coton ayant supporté moultes lavages. Sinon pour améliorer la situation, sauf filtre exceptionnel * mais là attention au prix, direction poubelle et remplacement par un Astrosolar ou équivalent ... Soyez gentils, ne tapez pas ! * un filtre solaire en verre est construit avec du verre "à vitre" généralement flotté et point. Quelques fabricants ont réalisé des surfaces qualité astro ... En dessous de 4 à 500 euros, cela n'existe pas. Un filtre souple bénéficie d'une autre technologie et Baader Planetarium fut le défricheur grand public (au sens noble du terme). Il n'est pas le seul ...

Et un membre d'Astrosurf est animateur à Rodrigue (encore plus près).

Pas sûr. En solaire la qualité mécanique importe beaucoup et la lunette concernée est consternante de médiocrité. J'en dispose d'une. Mais bon, essayer n'engage à rien.

Question simple : comment ça fonctionne ? Quelle différence technologique avec une Barlow ?

Oui Guy, tu as raison mais si je considere une barlow, il n'y a que du verre mais je comprends tout

Merci. Bon, j'y vois à peine plus ...

Personne pour me détailler l'intérieur de la bête ?

Salut Guy, Ben oui ... Il pleut et il pleut encore 😭 Alors comme on ne m'a jamais expliqué les tripes de la bête, j'en profite.

Voilà qui est bien catégorique. Je n'observe le ciel que depuis 54 ans et ne le connais toujours pas l je crois bien que cela durera jusqu'au bout. Il y a tellement d'autres choses à comprendre ...

De la taille du prisme, Perso, c'est trois fois la taille de l'image du soleil au foyer qui est d'un peu moins de dix mm par m de focale donc indépendant de l'ouverture. Deux, c'est le minimum.

N'étant pas photographe mais disposant de prismes d'Amici, je suis curieux de voir une photo montrant ce défaut ... Pour l'heure, les miens remplissent leur fonction (visuel pur).

Avec la Lune, l'affaire était gagnée ! Même plein Nord au 7ème étage, un petit mak restait performant ; le programme d'observation pouvait durer des années à quelques pas coté Sud de l'immeuble. Maintenant, coté ciel profond, c'est beaucoup plus compliqué. Je reviens sur les jumelles : les miennes (25-65 x 100) ne sortent que quelques fois dans l'année. L'explication est simple : je ne suis pas amateur de taches floues. Pas facile tout ça puisque tous les goûts sont dans la nature. Restent les clubs au moins pour se faire une idée plus précise ... Beaucoup demeurent longtemps sans instruments dans un club ; c'est le meilleur rapport qualité / prix.

Je ne partage pas quelques points de vue évoqués précédemment : - la course au diamètre : à qualité égale oui (aves quelques réserves déjà évoquées), sinon joker. Passionné de Lune, mon instrument préféré est une petite lunette de 66 mm. En sa compagnie, je fis mes plus belles découvertes. Au risque de vous surprendre, le mak 180 que j'utilise parfois ne m'en montre souvent guère plus (théoriquement oui mais en rapport avec mes explorations non). - les jumelles : bon, on oublie. - voir les cratères lunaires : si, juste la vision vous motive, un seul mot "dommage" mais bon, c'est votre choix. Un cratère, comme bien d'autres formations lunaires, mérite qu'on s'y promène, que l'on comprenne ... Je vous donne deux exemples très simples fréquemment cités, c'est dire qu'ils sont abordables : le mystère de Lichtenberg et Atlas companion. Tout ça pour dire que la seule vision vous assurera quelques mois d'observation ; comprendre réclamera des années voire votre vie. PS si le mak 90 entre dans le budget : mille fois oui même en comparaison avec une lulu de base de même diamètre. Comme quoi la formule optique joue également.

J'entends bien et vous n'avez pas tort pour un achat groupé. Mais 200 euros aujourd'hui : combien dans un ou deux mois ?

A mon tour de manquer d'élégance : pourquoi donc suer, quatre années durant, pour en écrire un ? Voici mon point de vue : parce qu'on est convaincu de son utilité.

Merci @wilexpel pour l'idée de la table. Mon C11 sortira peut-être à nouveau. Sinon mon Mak 180 fait bien l'affaire. Plus léger, plus maniable, plus ... A 70 ans, tous les prétextes sont bons.

Bonjour, L'avantage avec la Lune, c'est qu'elle s'observe n'importe où et quasiment avec n'importe quoi. Une lunette ouverte à f/D 10 ou plus (c'est dans le budget) éventuellement d'occaz, un petit mak, tout ça fera l'affaire. En revanche, il faudra également apprendre à se servir de l'instrument et visiter les bons endroits sur notre satellite. Je propose le "Manuel d'observation lunaire" qui s'adresse dès le niveau débutant. Cordialement. Norma