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Tout ce qui a été posté par Sky runner

  1. Catalogue explicatif des objets du ciel profond

    Bruno, je ne t'ai pas compris et toi non plus apparemment donc je reformule : "Je vois les Annals comme des ouvrages à lire, à prendre les notes, les figures ou images qu'il faut puis à mettre les ouvrages à la benne mais pas les précieuses notes traduites en français." Je fais cela avec beaucoup d'ouvrages et très peu restent au final dans ma bibliothèque. Pour les goûts en astrophysique, étant tous les deux des observateurs-dessinateurs, j'imagine qu'ils doivent converger. Là aussi, je n'ai pas compris... Fabrice M.
  2. Nuit du 18 au 19 août 2023 rencontres Astrociel

    Serge, pas sûr que le poids des années aille dans le sens d'une meilleure perception pour les faibles contrastes. Certains évoquent l'expérience mais tu l'avais déjà en 2007. On peut juste jouer sur la durée d'observation pour capter des choses pas trop diluées par la turbulence. Si tu vois plus de choses aujourd'hui, c'est que tu as changé quelque chose dans ta technique de rendu ou que tu as d'autres filtres mieux adaptés et d'autres raisons que j'oublie peut-être. Je reviens bientôt avec ma propre Bulle. Fabrice M.
  3. Catalogue explicatif des objets du ciel profond

    J'ai fait pareil Etoiles, juste zieuter les extraits des "annals of the deep sky" et j'étais arrivé aux même conclusions que toi. Il y a en plus des constellations qui ne m'intéressent pas, le prix global est élevé, la collection ne sera pas finie de notre vivant. Mais j'aimerais bien tombé sur des tomes d'occas que j'en tire le meilleur. A mon avis, il y aura beaucoup d'infos astrophysiques qui ne nous intéressent assez peu sur le plan observationnel . Je vois les Annals comme des ouvrages à lire, à prendre les notes, les figures ou images qu'il faut puis à oublier. Maintenant, Yann qui doit avoir la collection pourra nous en dire plus et faire le contradicteur. Je ne sais si tous les objets des atlas de Laurent "splendeurs du ciel profond" en bon français sont traités de la même manière que l'extrait d'Adam mais je crois qu'il ne faut pas aller chercher plus loin : cela me semble le plus approchant pour la demande de Benjamin. Fabrice M.
  4. Soleil , y a du monde !

    C'est vrai Etoiles des E que la capture visuelles de certaines naines galactiques peut donner du fil à retordre pour les faire ressortir du fond de ciel car leur classe de luminosité est autour de V (chiffre romain) voire plus ; ce qui correspond à des brillances surfaciques de folie dans le faible. Je commence à avoir pas mal de ces objets dans mon classeur, le dernier étant pour Yann : la naine de Pégase (UGC 12613).......... Et pourtant, sans le savoir, j'ai dessiné le seul amas répertorié pour cette galaxie : DDO 216-A1 comme une petite condensation. Ce n'est effectivement pas toujours le cas de voir du détail dans toutes les naines mais globalement, la moindre distance des objets du Groupe Local permet d'y découvrir plus facilement des superamas, des régions HII, des super géantes rouges... Rappel : la naine irrégulière Pegasus est à environ 3,5 millions d'al. tout en étant un satellite minuscule de M31. Fabrice M.
  5. Nuit du 18 au 19 août 2023 rencontres Astrociel

    Pour NGC 7635, la Bulle proprement dite reste assez décevante avec l'accroissement du diamètre instrumental pour celui qui tente de la refermer. C'est déjà un bon point dans le premier dessin de Xavier. Mes commentaires portent sur le premier dessin. La Bulle n'est qu'une partie du problème, le flux Halpha est vraiment prédominant pour le reste des draperies.Mais Il est difficile de comparer son ébauche avec nos propres dessins ou des images parce que déjà , l'orientation est fausse, pour les 2 dessins d'ailleurs. Secundo, on peine à reconnaître le canevas d'étoiles. Tertio, le drap de nébulosité très ténu qui étend la l'objet dans le sens NO/SE n'est pas dans le bon quadrant car il se trouve du côté de l'arc brillant. Peut-être que Xavier a mis en évidence la composante SE mais j'en doute, elle est beaucoup plus faible et a été partiellement arrachée au T600x149 & 199x +UHC. Le second dessin paraît mieux mais devient troublant lorsqu'on l'analyse, quelle est cette boucle assez intense qui part vers le haut.et ne correspond pas au pire à un chemin d'étoiles non résolues au télescope ? Après je peux me gourer complètement car le calage des directions cardinales n'est ici pas une mince affaire. Comme Xavier, j'ai eu l'étrange sensation d'avoir une bulle plus grande au C14 qu'au T600 mais j'avais grossi plus au SCT en omettant en partie les voiles environnants. Rien n'est grave ici, Xavier n'a pas besoin de se justifier sur ses qualités d'observateur, c'était juste pour renchérir sur les propos de Serge. Fabrice M.
  6. Soleil , y a du monde !

    Un travail d'orfèvre comme je les aime. Crayon fin, travail fin...Ton critérium 0.5mm est en mine HB ou B ou autre ? J'ai remarqué que les travaux appliqués comme le tien permettaient d'en voir un peu plus au niveau des plus petites taches solaires que sur les images solaires disons courantes sans taper dans les images très haute résolution que finalement peu d'astrophotographes maitrisent. C'est le cas ici sur ton comparatif. Je m'en étais rendu compte aussi lors de mon unique essai en mode "blitz" durant la dernière partielle de soleil. Finalement en terme de confort visuel et de vision "facile" dans un milieu bien contrasté, le soleil arrive "prems" avec des détails irrésistibles qui ne nous demandent pas de nous arracher les yeux. Puis viendrait l'observation lunaire puis les planètes (surtout Jupiter et Saturne avec un cran en moins pour Mars) puis les objets de notre voie lactée puis les galaxies du Groupe Local puis les galaxies plus lointaines toujours suivant leur degré de facilité à détecter des détails internes. La distance qui nous en sépare semble être le facteur majeur juste après la qualité du seeing. On comprend mieux pourquoi les pros construisent toujours plus gros ! Mince, Bruno S. risque de me reprendre, la Lune est l'objet le plus proche dans l'échelle de distance. D'ailleurs, devant mon peu d'expérience graphique en planétaire, vous situeriez le Soleil ou la Lune en premier dans ce classement ? Fabrice M.
  7. galaxies d'automne

    Tiens Yann, je n'avais pas le souvenir que M74 regorgeait autant de condensations (j'aurais dit 2 à 3 de tête), il faut dire que j'avance péniblement dans les Messier ! Surtout sur les dessins de Yann et Serge, on dirait une petite M33. Ayant apprécier M83 à ce jeu là, elle me tente beaucoup. Adam, mais que fait cette intruse de Jones 1 dans cette jolie série de spires ?........................................... Réponses possibles d'Adam : - la spire se referme, c'est une galaxie à anneau - elle a la chance d'être tout proche du carré de Pégase, prolifique en galaxies Fabrice M.
  8. Même si on est sur des données basiques, je vous livre un extrait d'un article que j'ai écrit pour les belges "dessiner le ciel profond au XXIème siècle" sur ma mise en pratique de ces 2 notions fondamentales. Il est possible que vous procédiez autrement pour ceux qui donnent l'indication dans leur dessin : .... ● l’échelle : elle n’est pas toujours représentée dans les rapports d’observation, ce qui pourtant me semble essentiel et basique. Sur le premier dessin, lorsque je n’avais pas encore l’accès aux bases de données professionnelles, je m’aidais uniquement de mon atlas Millenium pour reporter l’échelle à l’aide des étoiles les plus brillantes sur mon dessin, l’ouvrage étant muni d’un calque bien pratique. Désormais, je travaille avec Aladin (réf. 1), le logiciel me mesurant l’écart inter étoiles ou entre une étoile et l’objet par exemple. Mais il faut toujours user de la règle de trois pour le jeu des rapports. .Bien entendu, la précision de son échelle découle du soin plus ou moins précis au placement des étoiles de champ. J’ai ainsi remarqué que sa précision augmente avec la réduction du champ dessiné et devient donc plus fiable si l’on travaille à fort grossissement. J’essaie de ne pas trop utiliser des étoiles trop faibles posées en limite de vision et je prends des alignements dans tous les sens pour en faire une moyenne car il traîne toujours des distorsions dans certaines parties de son dessin. Vous comprenez mieux pourquoi cette étape rebute certains. Elle prend du temps et sa précision est directement fonction du temps à établir proprement ses étoiles de champ. Une fois la donnée moyennée en secondes, minutes d’arc voire en degrés (pour un dessin à l’œil nu), on sait tout de suite si on a réussi plus ou moins l’exercice de la veille. .... ● l’orientation : c’est un autre point qui peut pécher dans les rapports d’observation. Elle figure en général sur la plupart de ceux-ci mais le soin est parfois grossier. Cela est souvent du à une pose trop rapide des étoiles ou trop peu ou plus rarement à une comparaison avec des sources photographiques erronées. Du temps où mon tube optique était fixé sur une belle équatoriale allemande (la monture !), les axes N/S et E/O étaient directement reportés sur le dessin, avec donc une précision de terrain. Désormais en mode altazimutal, l’outil Aladin m’aide à le faire précisément mais cette fois plus tard au bureau. Je dispose alors mon dessin plaqué sur l’écran et je le tourne jusqu’à qu’il se superpose avec l’orientation de l’objet et le canevas d’étoiles. Il est certain que je n’aurais pu le faire avec un atlas papier aussi précis soit-il, l’échelle et les magnitudes perçues n’étant plus du tout les mêmes avec le gros Dobson. A noter que je n’échappe pas à des problèmes de rotation de champ puisque je passe plusieurs heures sur un même objet. C’est pourquoi, au cours de la nuit, je décale régulièrement ma planchette de dessin sur mes genoux pour compenser la rotation de la terre. A ce stade, vous l’aurez deviné, la précision de l’orientation comme celle de l’échelle est liée directement au mode de suivi du télescope. Il est certain que le suivi automatique (qu’il soit altazimutal au T600 ou équatorial pour d’autres) est une aide précieuse d’autant plus si l’on utilise des forts grossissements. Il est toujours possible de dessiner avec un suivi manuel mais dans les instruments moyens à gros, l’énergie que l’on perd à constamment tirer ou pousser son engin contribue à une distraction de l’observateur qui a déjà assez à faire à se concentrer sur sa cible. On dit que l’instrument doit se faire oublier, non ? Au final, j’arrive à une précision de moins de 5° d’angle de position sur la plupart des objets. Enfin, petit sondage, est-ce que ça vous plairait que je publie l'article dans son intégralité en France ? bien à vous, Fabrice M. désolé Serge pour cette ( ) dans ton post...
  9. C'est exactement çà Yann. C'est beaucoup moins vrai pour les dessins de Serge et de quelques autres astrodessinateurs pointilleux qui peuvent se passer d'un tel luxe. Car ils sont en général assez fidèles aux photos et l'orientation en découle immédiatement. Mais j'ai galéré par le passé sur d'autres dessins de confrères comme rainer T. , certaines représentations de NP détaillées pouvaient encore coller même quand tu retournais son dessin. L'orientation est également essentielle sur des représentations picturales sans aucun tissu stellaire ou avec très peu d'étoiles. Pour les cibles détaillées, l'orientation permet de calculer l'angle de position (le PA des anglais ou l'AP de Ciel extrême) de certaines zones (nodosités, étoile interne,...) et c'est alors un premier repère de communication avec les astronomes professionnels lorsqu'on se penche sur leurs publications. Tiens Serge, il manque encore l'échelle sur tes dessins, ce sera pour le prochain cru... Exemple, si tu tombes par ex sur une SN sur ta NGC 7252 : tu pourras alors annoter : SN du temps situé à 14" en PA 50° (d'après l'orientation et ta propre échelle et donc ta propre précision d'observateur). Fabrice M.
  10. Quels gros plans Serge de ces galaxies. Un jour peut-être je tomberais sur un de ces dessins pour comparer, ou mieux pour étudier les détails que tu as entrevus. Barres, bandes obscures, segments de bras...cela ne manque pas. Malgré le rendu diffus, beaucoup de lumière se dégage de tes dessins et les parties faiblement contrastées sont lisibles sans excès. Merci pour l'apport du grossissement employé ainsi que l'échelle, tu m'as donc écouté. Ethos 8 et Ethos 6 pour moi aussi en deepsky courant ! Fabrice M. Nota : l'orientation Nord n'est pas bonne pour 7314 mais j'ai pas tout vérifié pour le reste.
  11. NGC 246 au T610 de l'OFXB

    Possible d'autant que l'avais vue celle-là au T1000 de David V. à Valdrôme un été. Mais je ne me souviens plus n'ayant aucune mémoire si je ne dessine pas. Je me souviens juste qu'elle prenait une bonne partie du champ de l'oculaire. NGC 246 est un objet que les dessinateurs aiment bien, beaucoup de dessins circulent. Merci d'avoir mis ta version au T610, c'est apprécié comme disent les québécois. Fabrice M.
  12. Nuit du 14 au 15 août 2023 rencontres Astrociel

    Xavier, tu pourras renommer ta 5907 en "galaxie du niveau à bulle"...
  13. Epilogue d'un été généreux

    Comme dit Serge, cet espace est pour nous tous et suis sûr que tu pourras nous présenter des dessins plus fouillés de ces mêmes objets toujours avec ton T300 lorsque tu auras saisi les détails à plus fort G. C'est pas toujours évident, il faut souvent patienter à l'oculaire mais ton expérience d'observateur devrait faire le reste. En tout cas, ta couleur turquoise est parfaite sur mon écran. Il est sûr que le dessin va te permettre d'en voir plus. Je ne sais d'ailleurs que lorsqu'on y a touché on retourne en arrière... Fabrice M.
  14. En lisant mon Sky&Telecope d'octobre, je parcours l'excellent article du spécialiste Fred Espenak. Sur le papier, cette "annulaire" n'est pas pour moi. Je reste tout de même intrigué par la carte de couverture de l'éclipse, celle qui suit : Je prends d'abord l' archipel du Cap Vert pour celui des Canaries. Et si je pouvais tenter un bout d'éclipse sur l'horizon vers le coucher du soleil. Je fais tourner quelques simulateurs (Starry night, Desktop universe et Coelix). Apparemment, ce serait jouable déjà à Tenerife. Comme La Palma est l'île la plus occidentale de l'archipel, les chances augmentent. J'ai pour moi un peu d'altitude (950m) et un bon spot. Malheureusement, plusieurs jours avant, la vague de calima est bien présente avec un désastre sur les horizons marins. Par miracle, le samedi fut une accalmie avec un taux de poussières bien moindre dans l'atmosphère. L'évènement aurait lieu pour mon site à 19h25 locale. Je ne vous cache pas que si l'observation se réalise, cela me ferait en fait un lune toute jeune de 30mn, soit une pulvérisation de mon record de 17h et quelques du fin croissant lunaire. Remarquez qu'ici la Lune serait noire par rapport aux craquelures blanc pâle du vrai chasseur de jeune croissant lunaire. Vous me direz aussi qu'un gars dans la bande d'annularité exploserait le record avec zéro mn d'âge lunaire. Disons que ce qu'il me plait dans la tentative, c'est que ces évènement ont en commun une lune basse sur l'horizon. A 19h10, j'installe le matériel et observe une photosphère irrésistible, on ne dirait pas que l'on se trouve à quelques degrés sur l'horizon, même un aspect granuleux est perceptible. L'observation est facile est confortable et ne relève pas de l'exploit. Voici quelques croquis pour camper la chronologie, viendront plus tard les dessins de Serge plus détaillés avec du plus gros matériel et plus de temps que moi. Ce pauvre croquis a été réalisé en quelques mn. J'aurais du m'installer bien avant pour fignoler les taches solaires car elles sont vraiment détaillées. Transparence pas exceptionnelle mais sans limbes nuageux devant le disque solaire. Le seeing excellent a ravi mon observation. C'était agréable de voir l'encoche lunaire se décaler vers la gauche. Un peu plus tard à l'oeil nu entre deux pins canariens. Les éphémérides donnaient une fin du phénomène pour 19h38 légale mais j'ai eu un peu de rab, certainement du à la dépression sur l'horizon pour ceux qui connaissent. Avec l'altitude et la réfraction atmosphérique, les formules de Wittman et de Danjon donnent environ un gain de 0,9° sur horizon pour mon altitude. Serge V. est passé le lendemain pour la visite amicale, je n'étais pas sûr qu'il y ait pensé mais son groupe de camarades ci ! Il y aura donc une suite certainement haute en couleurs... Fabrice M.
  15. Eclipse (très) partielle de soleil du 14 oct. 2023

    Pierre, je n'ai failli pas le reconnaître sans cravate ! Non, franchement, tu n'as pas changé. Plaisir partagé de revoir toute l'équipe. J'attends de voir les détails photosphériques sur le dessin de Serge car il y en avait de très faibles au delà de l'image blanche de Pierre. Par exemple, sur le groupe de taches sous le centre, je l'ai décomposé en 5 points (le plus petit point est une saleté du scanner), on en voit 3 sur l'image déjà bonne de Pierre à cet endroit. Un gros regret, ne pas avoir mis le réveil assez tôt pour l'évènement, j'aurais vraiment aimé peaufiner toutes ces taches. Fabrice M.
  16. Nuit exceptionnelle

    Cédric et etoilesdeecrins, c'est vrai que les petites planétaires contrastées, lorsque les conditions sont là, méritent bien leur dénomination de "planétaires" au niveau de l'obtention des détails. Au niveau de notre technique visuel, on relève beaucoup de points communs avec l'observation planétaire : des couleurs s'invitent, nombreux petits détails, les grossissements employés. On a même un avantage de plus, pas de rotation de la planétaire sur elle-même et donc pas de course de vitesse pour la capture visuelle. Fabrice M.
  17. Un peu de dessin... Jupiter 1er Octobre

    Tu as produit tellement de dessins avec de petits zooms sur Ganymède et même Callisto montrant des taches d'albédo que te posais la question. Les autres dessins à venir nous en diront plus. Fabrice M.
  18. Lune : gros plan sur les Alpes et Monts Apennins et voie lactée

    Une lumière naturelle s'en dégage. Pas besoin de filtre pour contempler tes dessins lunaires. Fabrice M.
  19. Un peu de dessin... Jupiter 1er Octobre

    Le seeing a été très bon ces derniers temps sur La Palma (au détriment de la transparence), Jupiter montrait de belles choses. J'attends la suite des dessins de Nicolas car j'ai été intrigué par un petit pont "bleu" qui est rehaussé avec les filtres, peut-être le détail visible sur le limbe droit de son dessin. J'aime Jupiter surtout pour ses couleurs qui parfois peuvent être vives. Nicolas, quand on commence à voir des détails sur Ganymède, à combien estimes-tu la qualité du seeing ? Je dirais entre 0.5" et 0.8" et toi ? Fabrice M.
  20. Joli astérisme du Verseau

    Cédric, au moins ce brin d'ADN-ci ne modifiera pas tes gênes d'observateur.... Fabrice M.
  21. Mission Fornax

    Bruno, je n'ai pas trop de repère pour un T300 mais ta NP NGC 1360 présence déjà un remarquable aspect nuancé. Il n'y a guère plus de choses au T600x149+UHC. Il serait intéressant que tu reproduises l'exercice dans ton gros télescope... Fabrice M.
  22. NGC 246 au T610 de l'OFXB

    Jose, la plupart des renforcements OIII sont bien placés, tu as fais un joli exosquelette de la "Pacman". Il me tarde de la reprendre celle là au 600 aussi. Bonne continuation, Fabrice M.
  23. Dessins des NCN, encore !

    Encore de beaux dessins référence au 400. Je ne sais même pas si j'ai des Henize dans mon classeur PN. Tu sais Fred que ton dessin de l'année dernière (faible néb. dans le lézard, les dentelles du Lézard) m'a poussé à la faire au 600 et ceci grâce à toi. Il faut parfois un petit coup de pied de ses collègues pour passer de l'observation au dessin. J'avais déjà observé l'objet avant ton dessin mais je ne me sentais pas le courage de le coucher sur papier. Il est vrai que la texture peut sembler un peu uniforme au premier coup d'oeil et dès que les crayons opèrent, on arrache de subtils détails. Tes dessins en sont la preuve. Je me lance rarement dans un dessin pour une misérable tachouille sans aucun caractère sauf objet intéressant physiquement. C'est le cas de nombreuses NP par trop stellaires. Je suis à ce niveau d'accord avec Serge sur le côté peu crayonnable de certaines galaxies elliptiques. C'est pourquoi vos choix de galaxies sont vraiment des cibles inspirantes. Merci encore pour le partage. Fabrice.
  24. Séjour astro en Namibie, du Namib au Kalahari

    Salut Laurent, une expérience de plus pour toi dans le ciel austral. J'aime bien ta photo de la girafe sur fond d'arche anti-crépusculaire. Tu n'as pas trop fait d'objets grand champ au regard de ton instrumentation, le côté Dobsonien a pris le dessus... Fabrice M.
  25. Vadrouilles d'été, Valdrôme & Nuits du Causse Noir

    ...Et je clôture peut-être le fil. Avec tous les travaux de chacun qui parfois (et même de plus en plus souvent) retracent les mêmes objets, cela pourrait faire de jolies planches comparatives comme celles inoubliables de l'ouvrage Astrodessin. Peut-être que pour de futurs objets, je recommencerai ce style de comparaison pour des dessins faits à l'oculaire car les auteurs voient des détails intéressants parfois à la même place et parfois à d'autres endroits. Serge, la qualité est constante et élevée pour tous tes dessins, il n'y en a pas un qui est en sous-régime. Un grand bravo pour Abell 74, j'étais resté sur des observations et croquis peu sûrs au C14, jamais remis au propre, pas retenté depuis mais l'affaire m'avait bien effrayé ! Tu m'as aussi impressionné en tentant de grandes nébuleuses mais je t'en savais capable. Sur ton expérience OVNI, le retour est intéressant, je pensais sur le papier que des observateurs avertis pouvaient être subjugués à l'oculaire, tu restes donc avec tes oculaires traditionnels. As-tu d'autres souvenirs autres que ceux relatés dans le fil avec cet accessoire onéreux ? Fabrice.