Discret68

Member
  • Content count

    405
  • Joined

  • Last visited

Community Reputation

386 Excellent

About Discret68

  • Rank
    Active Member
  1. Une nouvelle allsky en service

    Oui, c'est beaucoup trop, d'autant que ton "power injector" dont tu disposes est limité à 12W. En alimentant la résistance de désembuage en 24V, on utilise une autre formule plus directe que P=UI (car il faut calculer l'intensité puis la puissance) qui est P= U2/R, dont on déduit que R = U2/P. Ce qui nous donne une résistance globale de 24 au carré/10 soit 57,6 ohms. Si tu mets les résistances en série, il faut diviser la résistance globale par le nombre de résistances. Avec 3 résistances, il faut des résistances unitaires de 19,2 ohms et de 14,4 ohms si tu en mets 4. Il n'y a pas de restriction sur le nombre de résistances à connecter, c'est la puissance globale qui est importante et la place que ça va occuper. Autre point à prendre en compte dans le choix, c'est la puissance admissible par chaque résistance utilisée, et qui dépend du nombre de résistances utilisées. La puissance unitaire est égale à la puissance totale divisée par le nombre de résistances. Avec 3 résistances, la puissance unitaire dissipée sera de 3,3W et 2,5W avec 4 résistances. Il faut donc que tu trouves des résistances (en général du type céramique ou bobinée) dont la valeur en ohms est à minima la valeur calculée (prendre moins va augmenter la puissance) et dont la puissance admissible est au moins égale à la puissance à dissiper ; 19,2 ohms/3,3W ou 14,4 ohms/2,5W. Par exemple : https://www.ebay.fr/itm/393373518780?hash=item5b96e38bbc:g:E7kAAOSwiilgtn~L&amdata=enc%3AAQAIAAAA8M2zl6EE3BjlhWbSYFrUdc12QU%2BaqbbxxOul7f0ABhHOU91zwkXbUARUghMdaRLljZVPRn0PorzTzGlM%2BNQaarQ4PMlrGTMTmMWCPYSjMTG3vHzYkw%2FdNoGJIX6mQFv%2B0jOXBKEiWSwMTXCpzLmrN5fAwrGwTyGMNh%2Fkc9QrV8ZMtiaCJE6o9yzex3b2LMD%2BIGRqK0xwWamq75y3O1g6OvI%2BfuqJCCzxnrUZegW7Sag0AT2aCRnzvP3NY1CIXTE5r01GWuSbDQpn6mVjfzMfo7QBjI3ahU7oiplpi4IGpony8si29d4XMmFBNgyHqruZKA%3D%3D|tkp%3ABk9SR9SSqLnXYg ou https://www.gotronic.fr/art-resistance-bobinee-5w-22-8486-2835.htm ou https://www.gotronic.fr/art-resistance-bobinee-5w-15-8486-2833.htm En mettant 3 de 22 ohms en série, ça te fait une résistance totale de 66 ohms et 8,7W de puissance totale dissipée, et avec 4 résistances de 15 ohms, tu obtiens 9,6W. Dans les 2 cas, c'est suffisant et c'est compatible avec ton "power injector".
  2. Une nouvelle allsky en service

    De mon coté, j'ai mis 3 résistances de 4,7 ohm en série, ce qui donne une puissance de 10W sous 12V. Pour info : http://astrowick.fr/index.php/bricolages/allsky La régulation du fonctionnement des résistances se fait par le biais de l'inertie thermique de l'intérieur du boitier. En clair, lorsque la température de chauffe est atteinte, les résistances sont coupées, mais leur température fait que la température interne du boitier monte encore un peu (de l'ordre de 1°) et lorsque la température redescend, le temps que les résistance mises sous tension remontent la températures interne du boitier, cette dernière descend encore un peu (moins de 1° également). Et ainsi de suite. C'est simple et ça fonctionne sans problème. De toute façon, on n'a pas besoin d'une régulation au 1/10°, qui nécessiterait par exemple une régulation en PWM des résistances, et qui demanderait des composants électroniques supplémentaires. Pour la gestion des résistances en fonction des différents paramètres mesurés (température et hygrométrie) aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur de la allsky, j'ai développé un programme en python qui fonctionne sur le RPI qui pilote la caméra. Voir les explications ici : http://astrowick.fr/index.php/bricolages/developpement-informatique/20-developpement/86-gestion-conditionnement-allsky J'utilise 2 capteurs BME280 que je trouve plus fiable que les DHT22. Avec ces derniers, j'avais des valeurs fantaisistes qui apparaissaient de temps à autre et ça perturbait le fonctionnement du système. Avec les BME280, plus de soucis. Mes BME sont en service depuis au moins 6 ans. Depuis, j'ai ajouté un capteur supplémentaire (AM2320) qui me permet de mesurer la température dans le coffret où se trouve une partie de l'électronique ...histoire d'occuper le RPI. Si tu veux le programme, pas de soucis pour te le transmettre. La température de chauffe varie en fonction de la température extérieure de manière à rester au dessus du point de rosée, et une limitation de la température de chauffe est calée à 25°. A cette température, sauf à être sous les tropiques, pas de risque de dépôt de rosée et pas plus de voir le dôme se ramollir sous la chaleur. Je peux aussi forcer les résistances si besoin, mais en 6 ans, ça n'a pas été nécessaire.
  3. NINA c'est de la bombe

    Oui, ça, je l'avais bien compris. Mais rien n'empêche de passer par le séquenceur simple puis de basculer si besoin vers le séquenceur avancé ! C'est juste le "il faut" de Roland qui me laissait perplexe ! En ce qui me concerne, il est clair que j'utilise le séquenceur avancé. Tu as bien installé les bases qui vont avec ? En ce qui me concerne, j'ai installé la D80.
  4. NINA c'est de la bombe

    Pour quelle raison ?
  5. NINA c'est de la bombe

    Ben oui, NINA, c'est de la bombe ! Surtout par rapport à Maximdl et SGP que j'ai utilisé et abandonné sans regret après avoir goûté à NINA.. Vu que tu débutes, je suppose que tu n'as pas encore eu l'occasion de tester certaines fonctionnalités, notamment l'astrométrie (je te conseille d'utiliser AStap avec NINA qui est super rapide et efficace) ainsi que les flats auto, fonction qui fonctionne nettement mieux que sur SGP et en plus, tu peux faire les dark de flat en même temps. Tu verras qu'il existe plein de plugins complémentaires qui peuvent t'être utiles. Tout dépend de ton setup. De plus, l'équipe de développeurs est ultra réactive pour traiter les problèmes. A titre d'exemple, j'avais un soucis avec un plugin spécifique pour ma monture 10Micron. J'ai contacté le développeurs via le forum discord. Il m'a contacté en pleine nuit, ben oui, il y a au moins 8h de décalage horaire avec les States, heureusement que j'étais devant mon ordi. Je lui ai expliqué mon problème et il a modifié le plugin directement pour que ça fonctionne. L'approche du logiciel est un peu "déroutante" au début, surtout lorsqu'on utilise plusieurs setup. Mais on s'y fait très vite. Le séquenceur est aussi au top car il permet d'automatiser bon nombres de tâches. Il est notamment possible d’exécuter des scripts externes pour exploiter des systèmes non ASCOM. Je me sers notamment de scripts VBS qui me permettent de replier complètement le matériel en fin de session (fermer les obturateurs sur les différents setup, couper les alimentations, fermer le toit de l'abri, ....). Un point que tu cites est effectivement l'absence de certains catalogue pour effectuer le cadrage de l'objet désiré. En tout cas, en ce qui me concerne, je ne vois pas d'autre logiciel du genre qui soit d'un si bon rapport qualité/prix. Bonnes découvertes.
  6. Une nouvelle allsky en service

    Salut Quel modèle de caméra utilises tu pour ta allsky ?
  7. Roulettes Scopedome 3m

    Avec ton pseudo, j'imagine que tu es du coté de Rixheim. Moi, je suis du coté de Colmar. En général, pour la plupart des roulettes, le bandage est en nylon Eh oui, ça sert de faire un peu de ferroviaire, on apprend des choses. Si en plus, le chemin de roulement est en alu, ce n'est pas le top pour le contact électrique. Pour que l'alu soit bon conducteur, il faut que la surface soit exempte d'alumine, qui se forme naturellement au contact de l'air en surface de l'alu, mais heureusement pas trop rapidement) . Et comme l'alumine est un bon isolant, ça n'arrange en rien le contact électrique. L'idéal serait d'avoir un profilé dans un métal qui ne s'oxyde que difficilement L'acier et le cuivre vont s'oxyder assez rapidement avec l'humidité, surtout dans nos contrées. L'inox serait pas mal et mieux encore (comme en modélisme ferroviaire), du maillechort. Mais pas évidant à trouver en profilé de bonne taille. Il faudrait du rail à l'échelle O. JP
  8. Roulettes Scopedome 3m

    Vu la description des roulettes sur le site allemand, la partie roulante est en plastique. Le contact électrique entre une roue en métal et un rail nécessite des surfaces très lisses. C’est notamment le cas pour les locomotives pour lesquelles le retour de courant s’effectue via les roues et les rails. Par contre le bandage des roues et les rails sont polis. De plus, le poids exercé au contact roue/rail est important et ça favorise le maintien du contact lors du roulage. Pour une coupole, j’imagine que les surfaces ne sont pas si lisses que ça. Je me demande si une petite modification ne serait pas possible en ajoutant des charbons sur ressort ou des brosses en cuivre ou inox pour effectuer le contact.
  9. J'ai visualisé les vidéos que Sauveur a indiqué. Il ne s'agit effectivement pas de dé-rotation de l'image, mais d'une rotation périodique destinée à éviter une trop forte rotation des images entre le début et la fin de séquence. Ce principe fonctionne, c'est que je présentais comme solution secondaire (et la plus simple) dans mon message du 30/08 à 9h38, juste en amont de la feuille de calcul. Ce système nécessite néanmoins de limiter la durée de chaque pose en fonction de la rotation de champ maximale qu'on veut admettre pour chaque image. Il s'agit de ne pas se retrouver avec un filé d’étoiles sur une partie des images. Dans ce genre d'approche, il faut déterminer la plus courte durée de pose acceptable (compte-tenu du défaut admissible) et ce, sur toute la plage de temps nécessaire à la séquence. L'objectif étant de planifier une séquence sur la base de cette durée, avec le nombre de pose qui correspond à la durée planifiée. Eh oui, la photo longue pose en altaz, c'est pas du gâteau
  10. Salut Rosario Faire de la pose longue avec un dobson est un sacré challenge. Pour commencer, 2 sites sur lesquelles tu peux t'approprier les contraintes de la rotation de champ qui a le premier désavantage d'être variable en fonction de la zone du ciel retenue : http://www.astrociel.net/rotation_de_champ_theorie_rgb.php https://kelly.flanagan.io/astronomy/astrophotography/field-rotation-and-alt-azimuth-mounted-telescopes/ Pour contrer la rotation de champ, il ne faut pas un rotateur mais un dé-rotateur. Le premier (rotateur) sert à tourner la caméra pour cadrer la cible retenue dans le champ de la caméra, et en général une fois cadrer, on déroule la séquence complète sans retoucher. Le rotateur a donc son application principale avec un équipement installé sur une monture équatoriale. La vitesse de rotation est constante et précision de calage angulaire n'a pas besoin d'être très importante vu que les logiciels de traitement photo vont opérer un recalage angulaire des images par rapport à une image référence. Le deuxième (dé-rotateur) a effectivement pour objectif de compenser la rotation de champ. Comme tu as pu le lire dans les 2 articles, la rotation de champ est évolutive en permanence selon la zone visée, selon le site où tu te trouves et selon le temps qui s'écoule (c'est cool !). Le dé-rotateur doit pouvoir en permanence actualiser sa vitesse de dé-rotation. Vu que la rotation de champ peut prendre des valeurs très différentes, le dé-rotateur doit avoir une résolution importante et une capacité de vitesse de rotation importante. La précision du dé-rotateur dépend directement de la taille du capteur. Plus le capteur est grand et plus la rotation de champ se fait sentir dans les angles. En fonction de ce qu'on veut admettre comme défaut admissible dans les angles, la résolution doit être en conséquence. Le logiciel qui pilote le dé-rotateur doit connaitre en permanence les coordonnées de l'objet pointé afin de corriger la vitesse de dé-rotation. A noter que le dé-rotateur peut également faire office de rotateur. Qui peut le plus peut le moins. J'avais créé une petite feuille de calcul excel qui permet rapidement de connaitre la valeur de rotation de champ selon la portion de ciel visée. J'en avais profité pour calculer également le temps de pose maxi pour faire des photos sans dé-rotateur. L'idée secondaire était de partir sur une autre solution qui consiste à ne pas utiliser un dé-rotateur, de faire des poses d'une durée compatible avec la rotation de champ (défaut acceptable) et utiliser éventuellement un rotateur toutes les X photos pour recaler angulairement l'image de manière à ce que sur l'empilement final, il n'y ai pas trop de "crop" de l'image induit par les images décalées. Toute cette réflexion a été faite dans le but de pouvoir effectuer de la photo pose longue avec un dobson de 600 fraichement commandé par un copain astram. Il m'avait demandé de lui étudier une cage secondaire pour faire de la photo au foyer. Voici la cage en question en cours de montage chez moi : Le seul dé-rotateur que nous avons trouvé est le modèle est l'ARCO 3" de chez Primaluce Lab : https://www.primalucelab.com/-arco-3/arco-3-camera-rotator-and-field-de-rotator.html Il existe également en 2" Le logiciel PLAY de la marque doit être en mesure d'effectuer la dé-rotation en conséquence. Cela fait quelques mois que le copain a réceptionné son dobson et il est en train de le tester en visuel et de faire les modifications nécessaires pour pouvoir le transporter dans sa voiture. Un dobson dont la base fait pratiquement 1m au carré avec une centaine de kilo, ce n'est pas évidant à loger dans une voiture. Pour le moment, la cage photo n'a pas encore pu être testé, donc je ne sais pas si la voix que nous avons choisi est probante ou pas. En conclusion, je dirais que la pose longue avec une monture alt-az est encore très délicate à mettre en oeuvre. Je n'ai pas encore regardé les 2 vidéos citées et je vais peut-être découvrir d'autres choses que je que j'ai écrit. Je pense que la solution la plus appropriée avec un dobson est de faire des acquisitions en poses courtes, durés qui dépend de la zone visée, voire de faire du "lucky imaging". Ce sont des solutions qui ne coutent pas cher. Il faut néanmoins que le dobson dispose d'une motorisation pour effectuer le suivi de la cible. Jean-Pierre
  11. Problème sur FLAT avec dalle led

    Je pense que le test avec un écran noir découpé au diamètre du tube pourrait être effectivement une bonne chose. Néanmoins, avant de mettre un tube sur le panneau pour éviter les fuites de lumière, je poserais directement le panneau sur le tube en vertical, avec le masque découpé, histoire de voir ce que ça donne. Es-tu en remote ou pas ? Si tu n'es pas en remote et si le test avec masque est concluant, une solution alternative serait d'utiliser un panneau électroluminescent rond, adapté au diamètre du tube. C'est beaucoup plus léger et facile à manœuvrer qu'un panneau led. Si tu a un primaire de 300, l'extrémité du tube doit être à 350/400mm de diamètre. Un exemple de panneau EL dispo en diamètre 400: https://fr.aliexpress.com/item/1005003717410344.html?spm=a2g0o.productlist.main.31.1d2319d6ls518Q&algo_pvid=efa5a665-a095-47d2-8c32-1f4ef1f6d7df&algo_exp_id=efa5a665-a095-47d2-8c32-1f4ef1f6d7df-15&pdp_npi=4%40dis!EUR!57.12!41.7!!!60.20!!%4021038ede16931149568842657ef4c6!12000026916926401!sea!FR!828974389!&curPageLogUid=nThOQYmSg4RA Un "couvercle" peut accueillir le panneau de manière à le placer sur le tube sans risque de fuite de lumière. Comme le dit @Raphael_OD, il est possible de moduler la luminosité par pilotage Arduino et programme afin d'adapter le temps de pose au mieux et ce, en fonction des filtres utilisés. C'est ce que j'ai fait pour mes lunettes avec des obturateurs motorisés comprenant le panneau EL, mais d'un diamètre beaucoup plus petit (70 et 90). Ce type de panneau pourrait être utilisé en remote, mais manœuvrer un disque de 400mm de diamètre, il faut un bon motoréducteur, et c'est encombrant ! Et à éviter lors des tornades Moi qui ai un newton de 300 (tube de 390), mon obturateur est en 2 demie-parties, c'est beaucoup plus facile à manœuvrer, à contrario, je suis obligé d'avoir recours au panneau led de 600 plaqué au mur.
  12. Problème sur FLAT avec dalle led

    J'ai également un panneau led dans mon abri. La luminosité est effectivement beaucoup trop importante. Le mien n'était pas équipé de variateur à l'origine et j'avais mis du plastique blanc pour réduire la luminosité. Mais le bleu était beaucoup trop filtré. Finalement, j'ai supprimé l'alimentation d'origine et mis en place un module step-up qui me permet de régler très précisément la tension sur le panneau à partir de l'alimentation 12V de l'abri. L'avantage des panneaux leds et que la tension aux bornes du panneau est une tension continue qu'on peut faire varier. Contrairement aux panneaux électroluminescents qui fonctionnent à une tension alternative d'environ 100V et une fréquence aux alentours de 400Hz. Mais pour ces derniers, il est également facile de moduler la luminosité. Depuis la mise en place de cette alimentation, j'ai pu régler la luminosité de manière à avoir des temps de pose de 1 à 2s pour éviter les effets de clignotement car ton temps de pose est actuellement beaucoup trop court. Dans mon abri, j'ai installé 2 modules step-up qui me permettent d'avoir 2 niveaux de luminosité. C'est intéressant dans le cas d'utilisation de filtres à bande passante large ou étroite. Tu peux avoir un peu plus de détails sur mon site : http://astrowick.fr/index.php/bricolages/flat Le premier point à connaitre et la tension d'alimentation présente aux bornes du panneau lorsque la luminosité est la plus faible actuellement. C'est ce qui permet de trouver le module step-up dont la tension max est compatible avec la tension nécessaire.
  13. T2SB...ça vous dit quelque chose...?

    Ça ne résoudra pas vraiment le problème. L'idéal serait plutôt d'avoir un système triangulé, c'est à dire remplacer la tige fileté par 2 bout de plat alu (20 x 2) comme représenté sur le schéma ci-dessous (vue par dessus de l'araignée). Lorsque la visée est au zénith, c'est la hauteur des plats qui fait la rigidité. Et lorsque le tube tend vers l'horizon, c'est le triangle qui fait la rigidité. Et c'est toujours aussi léger.
  14. T2SB...ça vous dit quelque chose...?

    Je pense que la collimation sera (à priori) intenable. le fait d'avoir remplacé le bout de fer plat de 7 x 27 par une tige filetée de 8 va entrainer une "belle" flexion lors des différents pointage du télescope. A titre de comparaison, j'ai rapidement calculé le moment d’inertie de chacun des profilés (plat et tige filetée) et ce dans les positions extrêmes (pointage zénith et horizon). La valeur de la flexion sera linéairement inverse au rapport des modules d'inertie. Pour l'instant, je ne calcule pas une valeur de flexion, mais je donne une tendance quant à la résistance du profilé utilisé. Bref, le rapport des moments d'inertie va varier entre 4 et 56. C'est à dire, lorsque le télescope vise le zénith, le fer plat est 56 fois moins flexible que la tige filetée. Dit d'une autre façon, la tige filetée est 56 fois moins résistante que le bout de fer plat dans cette position. Lorsque le tube va se rapprocher de l'horizontal, le rapport tombe à 4. C'est normal vu que le fer plat est .... à plat ! Il est moins résistant et donc plus flexible. Mais la tige filetée est quand même 4 fois plus flexible que le fer plat. La situation la plus délicate est la visée du ciel en se rapprochant de l'horizon. A ce moment, un phénomène de torsion va s'ajouter à la flexion de la tige filetée vu que poids du secondaire n'est pas dans l'axe de la tige filetée. Cette torsion va entrainer un décalage du secondaire , s'ajoutant à celle générée par la flexion de la tige filetée. Bon, tu verras bien en réel ce que ça donne. Mais personnellement, je pense que tu seras obligé de reprendre la partie attache du secondaire à la structure L'avenir nous dira.
  15. Merci pour les photos. Le coin à l'air vraiment très sympa pour l'astrophotographie. Concernant le télescope, je pensais que c'était un tube "habituel de chez Meade", c'est à dire équipé d'une fourche solidaire. Moi qui ai un Meade RCX400 en 10" dans mon musée avec sa fourche, il pèse le poids d'un âne mort. Alors en 16" ..... !