lyl

moi si, c'est juste incohérent

keski dit ? On parle français ici, faites l'effort de mettre vos propos dans cette langue. Google traduction peut faire le job.

Comme je disais plus haut, la limite basse du bleu c'est ~480, si le Hbeta (486) n'est pas dedans tu perds le bleu "unique" et il reste un peu de la zone d'incertitude bleu-vert et du vert "unique" (>500) Ça apparait pour beaucoup très vert, avec un soupçon de bleu.

Arf, je crois qu'on en a parlé sur WA, et moi j'ai pas reporté ici Ça se gère, modulo l'amortissement du bras qui reste, pour moi, en suspens.

@CDLC Belle présentation Christophe, très convaincant, je ne l'avais pas encore vue. @Sevun Ça me parle plus que la page du site.

Oui et Non Oui pour l'étude Non pour le résultat. La vision est une perception, il y a plus d'une dizaine de variants génétiques connus pour les pigments de l’œil. Les différences de sensibilités existent, avec quelques longueurs d'onde qui nous sont communes, n'empêche ... L'"égouts et les couleurs, c'est personnel.

Orion (exagérée) tel que je la perçois pour les nuances bleu et vert. Souvenirs du cœur, plus fort grossissement. dobson 734mm, ethos + filtre plus on grossit moins on perçoit les nuances rouges (effet Purkinje). (Images retravaillée pour retranscrire ma perception, je vous invite à la mettre en plein écran (touche F11) sans bordure blanche (ouvrir nouvel onglet) pour mieux apprécier)

Il y a correction à apporter Hydrogène alpha devient Vert pur C'est Hydrogène Beta et c'est bleu-vert clair, pile dans la zone d'incertitude mais c'est une couleur hyper connue... (voir en fin de post). Les raies importantes en astronomie : les raies indicatrices des précurseurs de la vie. Ce n'est pas vraiment H alpha que l'on recherche mais les raies Nii autour, c'est la raison de la largeur des filtres d'imagerie, ainsi que récemment les raies du souffre Explication de Christian Buil Nebulium-120473a0.pdf ajp-jphystap_1912_2_442_0.pdf --------------------- Analyse du rendu caméra : diffraction d'un spot illuminé par une lampe spectrale à hydrogène. L'image H-alpha, Hbeta, Hgamma etc : le Hgamma est quasi-invisible. Décomposition sur la partie G d'une raie H-alpha. (à gauche c'est sans la composante R) d'une intra-extra d'un réfracteur Vixen 90M en cours de calage. Intensité relative des raies hydrogène d'une lampe spectrale : La raie H-beta a la couleur du ciel ... et à côté les raies helium assez proches hydrogen.txt helium.txt Le rendu SHO / palette hubble est une convention : l'interprétation de l’œil dépend du contexte, c'est à dire de son type de fonctionnement. En faible luminosité, seul les bâtonnets fonctionnent correctement (scotopique), les cônes S et M sont très peu actifs mais influencent la nuance (découverte récente) des premières couleurs perçues (effet Purkinje) La zone autour de 500nm est très difficile à discriminer dans ce mode mais pour moi H-beta apparait bleu et Oiii apparait vert, c'est net sur Orion M42/M43 dans un 734mm.

Une compilation d'études : PhiliponaVisNeurs.pdf Le jaune est très bien défini dans plusieurs groupes de population. Ces études sont indispensables pour le besoin de conception des optiques. Par exemple, Takahashi règle (constaté pas officiel) ses fluorites pour une absence de défaut de perception du chromatisme jusqu'à 473 nm. (Contrôle du maxima de la déviation de correction par rapport au jaune)

Bonjour, les travaux expérimentaux d'Hurvich & Jameson (1955) https://www.google.com/search?q=Hurvich+%26+Jameson+1955 Poursuite à notre époque actuelle. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0042698905003032 Salut Alain, depuis peu il existe une batterie d'études expérimentales commandées par le CIE. https://cie.co.at/ Turquoise n'est pas une couleur unique ou fondamentale du point de vue scientifique (physiologie humaine) C'est une teinte. (Probable que la définition du dictionnaire se précise ) Voici une palette de turquoise : https://chromaticstore.com/Inspirations/famille-couleurs/turquoise Comme dirait De Gaulle : "L'EUrope, l'EUrope" Toujours à vouloir tout normaliser.

double clic ^^

Je confirme, c'est entre 496 et 503, plus long que l'invariant humain du début du vert 492nm. L'oeil y est très sensible à la teinte dans cette plage de longueur d'onde (480-500) Leds calibrées pour les CCM des caméras astros : La deuxième ligne est le ressenti visuel (dépend de la calibration écran)

https://youtu.be/qdS2ki0CYVw?si=9FvMXdZ2f7lmpQ3j --------------- Même avis, et pour certains c'est inscrit dans la masse de métal. Par exemple, Je lisais Andreas-TAL (sur Cloudy Nights). Il expose le bréviaire de l'opticien de Schvabe (Y Kletsov). On y apprend que si le tube TAL 200 (f/8.5) prends une beigne (bon faut y aller quand même c'est du 3mm avant usinage) la perte de collimation est significative. Le tube, le porte araignée et la partie support miroir primaire : tous ça est usiné au tour. Un post avec des images. : https://www.cloudynights.com/topic/703525-rejuvenating-my-tal-200k-klevtsov-cassegrain/ et d'autres... Pour information le miroir primaire des TAL est à f1/1.9, presque comme les Clavius http://r2.astro-foren.com/index.php/de/12-beitraege/04-zweispiegel-systeme-astrofotografie/409-d083-tal-klevtsov-200-f8-5mit-fs-mangin-spiegel Déjà sur un tube moyen (0.89) au départ un 200/f10 (même pas le plus compliqué)

Bonjour, pour information le Weitwinkel 14x de LOMO discuté quelques pages avant a été accepté sur Optic Explorer sous cette référence https://opticexplorer.sharedigm.com/#search?query=Scidmore

Idée : en faisant un autre essai en BIN2 cette fois, j'ai une évaluation des paquets de 4 photosites qui vont faire un pixel. Visuellement on peut multiplier plus fort la valeur avant de voir du blanc. Il y a beaucoup moins d'intensité sur un point chaud et ça se constate car l'écart type sur la bin2 chute de 35.9 à 12.4 sur l'image dark non filtrée des points chauds. Pas d'agrégats importants de pixels chaud. C'est le lot normal d'un capteur. En utilisant Astrosurface, sur le dark compilé, je compte ~0.001% de pixels (1/100 000) supérieurs à 295, ~0.002% (2/100 000) supérieurs à 158. Pour la dynamique ça fait 0.4% > 3 écart-type. pour 12bits, 0.12% pour 11bits, 0.028% (1/3600) pour 10bits. Je ne sais pas trop ou placer la barre de tolérance mais 12bits ça me parait mérité. Ça donne pour une erreur par carré de 16x16. Et en 10 bits, une erreur par carré de 60x60 C'est rassurant, ce sont des pixels isolés qui nuiront peu en dé-bayérisasion. La dynamique me semble bonne donc, je pense que l'évaluation de Sharcap procède comme ça mais je ne sais pas comment il positionne le seuil. Au final c'est ce que j'avais constaté à l'utilisation, En refroidissant fort (-15°) j'arrivais à 5mn max de pose pour ne pas diminuer le contraste. Un tuto : https://astronomy-outcast.com/sharpcap-sensor-analysis/ On y voit le résultat sur la 2600MC : capteur plus récent IMX571 Autre tuto : https://www.astronomie-va.com/forum/viewtopic.php?t=775 En conclusion, on peut se débrouiller avec ASI Studio, Astrosurface, Fitsview, Sharpcap pour évaluer la caméra. Merci pour le petit coup de pouce qui m'a débloquée, j'espère avoir fait des commentaires réalistes, n'hésiter pas à enrichir sur les évaluations des capteurs.

Bonjour, ça fait un moment que j'ai une caméra, je souhaiterai savoir dans quel état de forme est le capteur. Quel outil puis-utiliser pour avoir des statistiques sur l'image ? Que pensez de cette partie centrale d'un dark de 120s à 0°C 0002c.7z

J'ai fait l'analyse recommandée par Sharcap, c'est proche des spécifications. Le capteur n'a pas beaucoup bougé. Un peu de bruit en plus mais moins de 10% par le packaging ZWO, c'est bien conçu. Le puit de potentiel est linéaire jusqu'à 70%. Le read noise est à 0.1/0.2 au-dessus de la spécification du capteur seul, le gain très proche. Un autre post pour comparer : http://www.astrosurf.com/topic/153826-besoin-daide-pour-calcul-bruit-de-lecture-cmos-asi-290mm/ Le dark sans les pixels chauds est propre, le médian change peut donc ils sont peu nombreux en ratio. C'est un dark, offset retiré de 120s à 0 degré. Pour 99.7% des pixels on est à 3.12 + (3.07*3) ~ 12.33 max de bruit thermique / 16383 valeurs (14bits). Le rapport sharpcap me semble plus gentil, j'aurai dit 10-11bits utilisables plutôt que 13. Avec une utilisation jusqu'autour de 100 en gain (~1e/ADU) on s'équilibre avec le bruit de lecture pour le max de dynamique Voilà les statistiques des darks non filtrés et filtrés des pixels chauds. Quand je vois d'autres capteurs, je suis moins inquiète... https://www.astronomie-va.com/forum/viewtopic.php?f=30&t=3329 Je vais chercher à compter les photosites supprimés en % pour me faire une idée et surtout si ils sont groupés ou isolés. En effet c'est bayérisé en RGGB, c'est le pixel de 4 photosites qui va compter sur le défaut de luminance. dark120-0deg.7z offset.7z

http://jean.lamaison.free.fr/flexion.html Le problème ne sera pas la barre mais plutôt la fixation du sabot. Vixen KO (mais la forme est plus complexe), Losmandy OK Specs : https://www.firstlightoptics.com/dovetails-saddles-clamps/stellamira-universal-vixen-style-dovetail-bar.html https://www.cloudynights.com/topic/406173-losmandy-dovetail-plate-specs/?p=5216270

Merci les gars, je vais faire un dark à 0° de 5mn histoire de et un offset pour le décalage. Je vais chercher un peu dans cet outil là. --------------------- J'ai trouvé dans l'aide.

Un petit article un peu vieux certes sur les alternatives pour l'oculaire essentiel raisonnable en prix pour le CP https://www.cloudynights.com/articles/cat/user-reviews/24-26-mm-eyepiece-comparison-r2651 Sur un f/5, je tenterai volontiers es 24mm 68°, c'est sensé être un oculaire facile à cette focale. ou alors le 24 82° pour 100/120 euros en plus. J'avais commencé avec un 30mm 70° sur mon dobson 200f/6, le champ était très grand, c'était immersif avec la bonne pupille de 5mm et j'avais un bon fond de ciel. J'espère que dans le pays de Gex celà soit le cas.

Aujourd'hui, une Tak, seulement 5mm de plus, mais que c'est plaisant, on a l'impression de se téléporter à côté de ce qu'on regarde. Je ne savais même pas que ça existait à l'époque.

Je me souviens (et je suis pas la seule) d'une soirée au parking luge du Semnoz ou le 406 a fini tout seul, le rocker dans la neige et on faisait la queue sur la 120ED et surtout la Vixen 102M. Ah on voyait des trucs mais bof ... c'était pas son jour, surtout avec le chasse-neige qui faisait tout miroiter. C'est là qu'on a décidé de lui acheter un cache-col et que l'équipe en charge du dobson devait ouvrir le bal.

Je regardais ce post et je me suis mise à rêver. Je me promène histoire d'essayer encore une fois de retrouver ma lulu de jeunesse et je fini par trouver une vidéo récente, tournée dans ma région sur une lunette ancienne et je tombe sur 3 détails qui ne s'oublient pas : - un filtre couleur rouge - un kellner 22, qui était vraiment très bon. - le pare-buée avec les lignes en argent qui faisait très chic dans les années 1980. Le chercheur que j'utilisais en solo quand le frangin squattait la lunette ^^ : un bel instrument à lui tout seul. Celle là est une Simop 552 rebadgée SBS Je n'avais pas tout a fait le même modèle. Je me souviens que j'étais limitée à 70x environ.