ClaudeS

seeing et bord de mer

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Il y a 10 heures, lyl a dit :

on enveloppe la fumée pour faire des petites boules, le meilleur moyen c'est de turbuler !

On faisait pareil avec les bébés turbulents autrefois : on les enveloppait dans une turbulette...

Résultat : une fois libérés ils devenaient intenables !

Conclusion : faut jamais empêcher la turbulence de turbuler ! :D

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Le gros problème au bord de la mer est la différence de masse d'air avec leur s températures et leurs densités-- c'est comme observer depuis un parking dont la surface serait encore chaude et au bout il y a une grande et belle pelouse. Quand on est en avion même à 12.000 mètres on peut ressentir la différence entre la terre et la mer ou même un fleuve!

Les meilleurs moments pour observer sont juste avant la nuit tombée et après minuit ou plus tard quand les masses d'air sont le plus calme.

 

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Il y a 14 heures, Alain MOREAU a dit :

On faisait pareil avec les bébés turbulents autrefois : on les enveloppait dans une turbulette...

 

Bien que nous soyons en bord de mer, on pourrait bien se servir d’une turbulette pour ranger son télescope tant que souffle le Mistral ou la Tramontane sur nos cotes méditerranéennes.

 

http://www.meteocity.com/magazine/phenomenes-meteo/quelle-est-la-region-la-plus-venteuse-de-france-_3555/

Leucate, station balnéaire du golfe du Lion, détient le record du plus grand nombre de jours de vent fort sur une année, avec 254 jours en 1996 et c’est d’ailleurs là-bas que se déroule chaque année en avril la manifestation sportive internationale « Mondial du vent ».

 

"J'ai souvent un meilleur seeing sur la terrasse à Port-la-Nouvelle (11) que sur le sommet du Semnoz (74)."

Ce que pense Lyl un peu plus haut m’étonne, car ces vents de Nord Ouest dégradent fortement le seeing ; ils sont catabatiques (descendants), irréguliers (rafales à 100 km/h) donc pas du tout laminaires. Cependant ils sont moins actifs en été et il faut savoir en profiter.

 

Habitant Narbonne depuis 20 ans, j’ai continué à pratiquer l’astronomie en faisant contre mauvaise fortune bon cœur, le Cers (tramontane locale) c’est déprimant au début mais on s’habitue. Il faut sortir le bon diamètre au bon moment. Sinon la consolation c’est l’absence de nuages ou de brouillard. On peut ainsi toujours voir ce qui se passe au dessus même si ça remue.

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Je suis dans une situation particulière géographiquement à Lapalme, nous avons la colline qui fait barrière et sous un certain niveau de vent en dessous de brise (Beaufort 5), je pense que je suis dans la "bulle" derrière la colline. En montant de 3-4m j'évite un vent rasant au sol. Enfin bon les deux dernières semaines n'ont pas été terribles, sauf le matin ultra-calme et dégagé ou j'ai capté la tête de cheval. :x

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