Ellazanne

Luminosité de surface (approximative)

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Bonjour a tous,

 

Voilà, j'ai une question qui a des chances d'être confuse. Je me lance

Je cherche le moyen de savoir s' il est possible de proposer à des amateurs d'astrophoto, disons débutants, une magnitude surfacique, ou devrais plutôt dire une luminosité de surface mapproximative d'un objet cible ? Une valeur qui permettrait de se faire une idée de la luminosité de tel ou tel objet? Ou bien les facteurs (valeurs) qui entrent dans la composition du calcul pour avoir cette luminosité de surface sont bien trop variables pour seulement pouvoir définir une luminosité approximative ? (faut il impérativement connaitre le setup et le ciel de l'astronome amateur a qui je pourrais proposer la dite approximation) ?

 

Merci par avance à ceux qui auront le courage de répondre à ma question qui je le crains, manque surement de clarté et atteste de mon ignorance presque totale en la matière.

 

~Ella~

 

  PS : Ha oui, je tiens a préciser aussi, que je ne suis pas sûr d'être dans la bonne section, j'espère que vous m'excuserez si ce n'est pas le cas...  

Modifié par Ellazanne

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Il y a 2 heures, Ellazanne a dit :

Merci par avance à ceux qui auront le courage de répondre à ma question qui je le crains, manque surement de clarté  (...) 

 

J'espère que tu ne m'en voudras pas, mais je trouve amusant qu'une question sur la luminosité puisse manquer de clarté :) 

 

Je ne saurai pas répondre à ta question, mais ça existe déjà cette notion non ? 

Par exemple quelqu'un qui fait de la pose courte visera plutôt un objet avec une luminosité de surface élevée donc par exemple des nébuleuses planétaires petites mais pétantes plutôt qu'un objet très étalé et diffus.

M'enfin bon je ne suis pas scientifiquement une lumière, donc je laisse ma place aux pros !

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Ellazanne,

Cette question est intéressante , et je m'en suis servi pour déterminer ce que j'ai appelé la "magnitude surfacique" d'un objet, et du ciel diurne  en particulier, pour en déduire la magnitude limite des étoiles pouvant être visible de jour, en fonction du diamètre de l'instrument utilisé. J'ai corrélé ça avec la magnitude  connue de la pleine Lune. 

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il y a 47 minutes, penn a dit :

J'espère que tu ne m'en voudras pas, mais je trouve amusant qu'une question sur la luminosité puisse manquer de clarté

Héhé 😄

 

il y a 47 minutes, Toutiet a dit :

Cette question est intéressante , et je m'en suis servi pour déterminer ce que j'ai appelé la "magnitude surfacique" d'un objet, et du ciel diurne  en particulier, pour en déduire la magnitude limite des étoiles pouvant être visible de jour, en fonction du diamètre de l'instrument utilisé. J'ai corrélé ça avec la magnitude  connue de la pleine Lune

Si ça ne répond pas à ma question, ça me donne une piste, et ça éveillé ma curiositée ton approche. Je me suis souvent demandé comment déterminer le moment où une étoile devenait 'invisible' suite au levé du soleil.

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Mes réflexions sur le sujet et mes différentes manip m'ont donné une bonne approche et des résultats cohérents. J'en ai construit une petite réglette de détermination de la magnitude susceptible d'être atteinte de jour, selon l'instrument, et pour divers grossissements (augmentation du contraste visuel).

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Avec un spectrographe il est potentiellement possible de calculer la magnitude surfacique des objets (la magnitude par seconde d'arc carré). C'est cependant une notion difficile car les objets du ciel sont loin d'être d'éclats uniforme, leur spectre est complexe (raies en émission par exemple les nébuleuses planétaires), etc.

 

Normalement il faut ce ramener à la magnitude "visuelle", V, ce qui nécessite quelques calculs à partir de la mesure d'étoiles (étalonnage). C'est un sujet qui m'intéresse pour la mesure de la pollution du fond de ciel aussi, mais c'est assez vaste. Retenir que c'est possible et qu'il y a plusieurs techniques.  

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Salut,

Cette caracteristique est souvent présentée dans les catalogues de galaxies.

Je m'en sert pour determiner la durée des poses unitaires (je cherche roujours a raccourcir les poses)

Il y a , pour les galaxies, un catalogue de galaxies a faible brillance surfacique et un autre pour les galaxies a haute brillance surfacique. 

Pas besoin d'aller bien loin pour les galaxies, la brillance surfacique est affichée pour beaucoup d'entre elles sur leur page Wikipedia. 

Je n'ai pas regardé pour les autres objets.

  • J'adore 1

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Pour apporter ma modeste contribution, le logiciel bien connu Stellarium (et il ne doit sans doute pas être le seul), donne la magnitude de beaucoup d'objets, et parfois aussi leur surface et leur magnitude surfacique moyenne (bien sûr elle peut ne pas être uniforme puisque beaucoup d'objets sont contrastés). Stellarium récupère ses données d'une base, je ne me souviens plus laquelle (SIMBAD peut-être ?).

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Merci beaucoup pour votre aide ! Je crois avoir suffisament d'informations pour avancer. :) 

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