BobSaintClar

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Tout ce qui a été posté par BobSaintClar

  1. Trio de la Grande Ourse... avec M81, M82 & NGC3077

    Hou, c'est joli et très fin ! Comme AlainG, une image de ce niveau mérite un zeste de saturation en sus (depuis ma prise d'Antares & Cie, je suis toujours dans mon trip LSD coté couleurs)
  2. Le scorpion, mode Andy Wharol

    Je vous mets une version centrée sur la zone la plus spectaculaire, traitée séparément : je préfère cette version, tant coté couleurs que détails
  3. Le scorpion, mode Andy Wharol

    Bonjour Selyan14, Oui, je suis agréablement surpris par les performances de l'astrotracer. Dans la mesure où je l'utilise vraiment au-delà de ses limites supposées, je ne peux qu'être satisfait du travail réalisé par les ingénieurs de Pentax. Il n'est pas si fréquent d'avoir de bonnes surprises dans ce sens-là : en général, lorsqu'un fabricant suggère un cadre donné pour l'exploitation correcte de son matériel, il a plutôt tendance à la jouer optimiste, histoire de se flatter et d'impressionner le client ! Ca me rappelle, toutes proportions gardées, l'affaire des jumelles XW 10x50 de Nikon, données par le constructeur à 72° de champs apparent (de mémoire), quand on en a plus à l'usage qu'avec un Nagler... Bref, pour te répondre plus précisément, je t'invite à lire les fils de discussion où j'ai employé l'Astrotracer. Ils commencent à s'accumuler ! Le premier, où je présente l'outil Le second, où j'essaie l'astrotracer sur M13 à la focale native de ma lunette (660mm) pour la première fois Le troisième, M81-82 au 135mm Le quatrième, la Rosette, au 135mm Le cinquième, un premier jet très modeste sur Antares (plutôt pour tester un filtre, en fait) Le sixième, Omega du Centaure à 5° sur l'horizon, au 135mm et à la lunette (NP127) Le septième, M81 et M82 au foyer de la lunette Le huitième, M51 à la lunette Et le neuvième, le scorpion et ses couleurs décadentes, au 50mm macro Le déclic est venu lorsque j'ai imagé M13 : c'était vraiment un test à vide, histoire de constater l'inutilité du bouzin en longue focale. Surprise, c'est exploitable ! A partir de là, j'ai commencé à mitrailler à tout va... et surtout, j'ai compris que je pourrais m'amuser longtemps avant d'avoir à m'équiper d'une monture : une excellente nouvelle pour le budget familial et articulaire ! Quant aux couleurs de mon image, si vous aviez vu celles de mes premiers résultats... j'en fais encore des cauchemars...
  4. M51 TOA150 / FSQ106 et Sony A7S / Siril

    Une image très fine et pleine de signal ! Comme les copains, je reste un peu sur ma faim coté couleurs. C'est de ta faute, tu nous habitues à l'excellence
  5. Lost in space

    Merci bien pour vos appréciations et vos remarques constructives ! Je me demande toujours si le capteur intègre un mouvement de rotation, en sus de la translation... j'imagine que oui, sans quoi les poses longues à courte focale - par exemple avec un 50mm - devraient sérieusement partir en sucette dans les angles. J'ai une image à traiter, prise au 50mm justement, avec des poses unitaires de 30s (au-delà, le fond de ciel monte en flèche) : on va vite voir ce que ça donne ! Sinon, quand j'additionne les poses unitaires avec DSS, je vois très bien les effets de la rotation de champs : DSS la compense vue par vue mais bien sûr, il ne peut rien faire si la rotation affecte les images au niveau individuel. A suivre ! Je fais parfois à faire la même chose, ça donne un résultat plus flatteur pour mes fonds d'écran ! Sur le forum, j'évite, pour ne pas créer de décalage bizarre entre les détails affichés sur l'objet et la taille apparente des étoiles. Là ça passe bien Tu parles aussi de la couleur... elle manque de saturation à mon goût. Mais si je tente de l'intensifier, j'obtiens un résultat curieux, assez inesthétique. Pour une raison que je ne m'explique pas, je n'arrive jamais à obtenir des couleurs sympas ! Ca doit tenir à mes connaissances limitées - datées, pour être précis : j'étais plutôt bon, il y a... longtemps - et mes lacunes en traitement, parce que le capteur du K1 est réputé produire de belles images. Ton commentaire est intéressant : la règle du tiers est bien connue en photographie classique, l'appliquer en astronomie doit avoir du sens... je n'ai jamais essayé ! En revanche, il se peut que la technique employée - à l'Astrotracer - ne complique l'affaire : l'addition successive d'images non superposées m'impose un vignetage gore, souvent réglé par un recadrage plus ou moins sévère. Ici, je n'ai rien recadré : le vignetage ne se voit pas sur le fond de ciel, je l'ai égalisé, mais il est bien présent ! Décaler la cible du centre, c'est risquer de la voir affectée par le vignetage. En même temps, un tiers... c'est faisable
  6. premiers pas à l'ASI1600 cool M82 NGC4565

    C'est beau, c'est en noir et blanc (j'aime le NB), c'est facile (dis-tu) : tout ce que j'aime
  7. Lost in space

    Bien vu Nicolas Des soucis d'alignement non, mais de suivi oui ! L'astrotracer, normalement conçu pour des focales photographiques modestes, outrepasse ses limites avec ma lunette : déjà, parce que son suivi est employé très au-delà des recommandations du constructeur (de mémoire, Pentax conseille d'employer des optiques jusqu'à 135mm), ensuite parce que l'amplitude limitée du déplacement du capteur réduit le temps de pose unitaire à la portion congrue (10s, peut-être 20s près d'un pôle céleste, à 660mm de focale). Avant de me lancer dans mes expériences, j'ai fait quelques recherches : l'image astronomique la plus ambitieuse enregistrée via l'Astrotracer qu'il m'a été possible de trouver est une vue de M31 prise au téléobjectif de 300mm Ca m'a bluffé, suffisamment pour me donner envie d'aller plus loin ! A 660mm (la focale native de la NP), j'explose le record mais le piqué s'en ressent ! En fait, je suis à peu près sûr qu'insister (je pourrais m'amuser à coller la barlowx2) ne ferait que dégrader le résultat : l'imprécision du suivi aggraverait les soucis, sans parler du temps de pose unitaire ridicule. Je suis déjà à la limite du hors-jeu ! J'ai acquis d'occasion un réducteur 0,8x qui devrait me permettre d'améliorer mes images, avec une focale résultante de 530mm (oui, comme les FSQ106 ) et un rapport d'ouverture de 4,16. Peut-être pourrai-je même poser jusqu'à 20s avec cette configuration
  8. Pour sûr, c'est moins compliqué d'observer cet amas - où cette galaxie naine, allez savoir - lorsqu'on plante sa lunette à 36° de latitude nord, plutôt qu'aux 42.9° du Pic du Midi ! Mais le superbe challenge réussi par Patrick Lécureuil (ici) m'a donné envie de tenter l'expérience depuis le Japon. Trois amis japonais et moi-même avons bravé le froid et installé nos instruments respectifs - Meade 354 et Epsilon 180 sur montures EM400 pour eux, NP127 sur trépied photo pour moi - une nuit sur le parking d'un temple attenant au mont Moygi, à 150 kilomètres au nord-ouest de Tokyo. Aux alentours de minuit, tandis que les autochtones mitraillaient quelques obscures NGC dignes de leur débauche instrumentale, je commençais à rechercher l'objet de mon fantasme : Oméga du Centaure, l'amas vedette de l'hémisphère Sud ! Pour notre latitude, il monte théoriquement à 6° de hauteur en passant au méridien : c'est peu, mais suffisant, si le ciel n'est pas trop embrumé ni pollué. Le parking d'où j'observe est à 750m d'altitude : ça peut sembler dérisoire, mais c'est assez pour s'extraire de la première couche de crasse atmosphérique qui s'épand dans la plaine. Et au Sud de ma position, le halo de lumière tokyoïte est négligeable : il sévit essentiellement au sud-est. J'ai fini par trouver le bestiau aux Vixen 16x80, non sans mal : séquence émotion !! C'est la première fois que je l'observe (un bien grand mot, compte tenu de ce qu'il montre au ras des pâquerettes)... A l'oeil nu, évidemment, il n'y a rien à voir. Près d'un l'horizon découpé de sommets distants, nul astre ne réussi à percer l'épaisseur atmosphérique. Il faut "monter" le regard d'une dizaine de degrés pour apercevoir une maigre poignée d'étoiles brillantes. Aux jumelles, Omega du centaure est un large disque très pâle, sans relief ni détails, difficile à discriminer d'un fond de ciel homogène et terne. A la NP 127, même constat : je devrais le résoudre sans problème mais là, à 3 ou 4° de hauteur (il passera au méridien dans un peu plus d'une heure), il ne montre rien. Pas découragé, je décide d'immortaliser le moment : j'imagine que cet objet n'est pas souvent vu du Japon, si ce n'est dans l'extrême sud de l'archipel. Je tente le coup avec le Samyang 135... yep, c'est plein d'étoiles ! Une pose unique de 10s à la NP127 - quand il est au plus haut, enfin, au moins bas - achève de détailler l'amas : inutile d'enquiller les images, on ne fait pas de "haute résolution" avec un astre à 6° ! Je vous mets deux photographies : le champs observé au 135 (pour 10mn de poses cumulées), et la pose de 10s (traitée au mieux, soyez indulgent : une seule image, une pose courte, un astre très, très bas...) Le suivi est assuré à l'Astrotracer. Pentax K1 et Samyang 135 F2.8 Omega Centauri (NGC 5139) aux alentours du méridien, vu du mont Myogi. Vous pouvez aussi repérer la galaxie Centaurus-A, nettement plus facile ! Cette image ne rend pas justice à la réalité de l'observation visuelle : à l’œil nu, la moitié inférieure du champs présenté ne montre rien, quand la moitié supérieure exhibe péniblement quelques étoiles de première grandeur... Pentax K1 et NP127, pose de 10s (réduite au quart de la taille originale) J'imagine l'engin quand il pavane au zénith, ça doit être quelque chose... A refaire depuis l'Australie !
  9. Omega du Centaure depuis le mont Myogi !

    Ton image est d'autant plus remarquable qu'au ras des cimes, par rapport à sa position au zénith, Omega du Centaure est plus éloigné de l'observateur d'un rayon terrestre, soit 6400 km. Il était donc nettement plus petit
  10. pas de taches sur le soleil

    Bien joué ! Ca m'encourage et je me dis qu'un jour, j'essayerai de chopper la granulation à la NP (ça doit être faisable, en s'appliquant) ! J'observe le soleil vite fait chaque matin pour guetter l'apparition de taches, mais non, je ne vois rien venir...
  11. Omega du Centaure depuis le mont Myogi !

    Heureux que ça vous plaise Pour relativiser l'affaire, songez que cet amas était grossièrement à 4-5° de hauteur pendant la prise de vue (on voit, au filé des sommets distants, qu'il montait encore. Excité et impatient, je l'ai photographié sans attendre le passage au méridien). Si j'en crois le logiciel Stellarium, les étoiles les plus septentrionales de l'image sont toutes à plus de 2° de hauteur, ce qui veut dire que mon site n'est pas suffisamment élevé pour voir l'horizon théorique, sans même parler de taper en-dessous ! Pour réaliser ce genre d'exploit, il me faudrait aller au sommet du mon Fuji (mais la pollution lumineuse de la côte Sud va poser problème : le plus haut point du Japon est un mauvais spot astro) ou sur un des milliers de petits îlots volcaniques du pays... Ce WE, j'accompagne mon épouse à Okinawa (elle va travailler, pas moi). De cette province, Omega du Centaure passera à 16° sur l'horizon sud : trop facile, surtout quand on n'a pas besoin de transporter de monture ! Sauf que... ... la météo s'annonce mauvaise Clairement ! Ca me donne une bonne raison d'y retourner
  12. Summer is coming !

    Juste pour m'occuper, j'ai testé l'efficacité supposée de mon filtre Kenko LPR type 1 en ciblant Antares et Messier 4 : Pentax K1 à 3200 ASA, une seule pose de 10 secondes (suivi Astrotracer) derrière un téléobjectif Samyang 135mm à F2.8 (sans filtre) Oui, c'est un peu pollué en direction de Tokyo... sans parler de la lune, déjà levée ! Même scène, même optique, même réglages, avec filtre Kenko LPR type 1 : On se dit au premier coup d'oeil "Ah, c'est plus propre" ! Mais lorsqu'on traite séparément ces deux fichiers, lequel donne la meilleure image ? Comme on peut désormais faire à peu près n'importe quoi, la réponse n'a rien d'évident. J'ai essayé, persuadé que le filtre m'offrirait un résultat final supérieur, de par sa capacité à discriminer la pollution lumineuse (au moins en partie) et donc, à améliorer le rapport signal/bruit. Ben non : au final, j'ai moins d'étoiles. Messier 4 est plus étriqué. Seule Antares parait plus jolie, tout simplement parce qu'elle rayonne fortement dans l'infrarouge et semble empâtée sur la photographie sans filtre... Finalement, le meilleur résultat (tout est relatif, il s'agit d'une seule pose de 10s) est obtenu sans filtre. Sauf à vouloir tirer le portrait exclusif d'Antares ! Je vous mets, pour conclure, ce que j'obtiens de moins mauvais (crop 100%) : Note : je suis toujours scotché par ce que les capteurs modernes permettent, par rapport à l'argentique. En 10s, il y a 40 ans, avec un reflex et une bonne pellicule, j'aurais sorti... Antares. Du coup, je m'interroge : à quoi servent les filtres antipollution à large bande, si l'on peut obtenir la même chose - et même mieux - en post traitement ?
  13. Summer is coming !

    Oui, d'autant que mon panégyrique va décupler la valeur du bestiau... En fait, je me dis qu'avec la prolifération des diodes dans l'éclairage public (le lampadaire qui illumine mon jardin sans raison, de nuit, vient d'être changé : la lampe basse pression est devenue un pavé de Leds blanches-bleutées), on va bientôt pouvoir remiser la plupart de nos filtres au placard...
  14. Aurores boréales, Norvège, février 2018

    Houuuu, de la pollution lumineuse comme on l'aime Le film en relief devrait apporter des frissons supplémentaires ! Je n'ai pas souvenir d'avoir déjà vu ça... quelqu'un l'a déjà tenté (et réussi) ?
  15. Le deal du jour !

    T'as le permis de port d'armes et de conduite poids lourds qui vont avec ??
  16. Ah là là... enfin une image avec un contraste d'homme comme je les aime !! Je ne vais pas m'en plaindre, j'aime la lune en noir et blanc, pas en demi-teinte. Les plus jeunes ne peuvent pas comprendre... j'ai été biberonné aux photos lunaires NB argentiques des ouvrages d'astronomie des années 60 et 70, tirées dures, et qui perdaient leurs dernières nuances à l'impression. Le pli est pris ! Là je suis servi, merci Gérard !
  17. M5

    Les couleurs bien saturées - que je n'apprécie guère sur les nébuleuses - donnent une belle pêche à l'image, j'adore !
  18. cendrée du 18 février

    Comme Alain : jamais vu mieux en matière de lumière cendrée
  19. Activité solaire de ce week-end

    Très chouette ! Comme j'observe exclusivement en lumière blanche, je n'ai rien à voir... ce soleil calme me déprime
  20. Une lune trop nette

    ... pour être honnête ! Il y a quelque chose qui ne va pas avec ma photographie lunaire de ce soir. Elle est complètement hors norme par rapport à mes deux précédents essais, sans que je puisse comprendre pourquoi. C'est frustrant... et ça montre à quel point je ne maîtrise pas mon matos ! Des images valant parfois mieux que des discours, je vous montre le soucis. D'abord, un rappel de mes modestes progrès lors des éditions précédentes : à droite, mon premier essai et à gauche, mon second. Ces images sont présentées à leur échelle "idéale", c'est-à-dire qu'elles montrent déjà tout ce qu'elles peuvent. Ce sont des réductions, mais vous n'en verriez pas davantage sur leurs versions à 100%. Perso, j'étais tout content d'avoir sorti le résultat de gauche, après celui de droite. Pour l'obtenir, j'avais particulièrement soigné la mise au point et empilé, de mémoire, une quinzaine d'images. Bref, je pensais être au taquet de la formule NP127+APN en mode photo (pas vidéo), sachant que tout le monde s'accorde à dire que face aux caméras planétaires modernes, ça ne vaut pas tripettes. Ce soir, j'ai remis le couvert. Avec une variante : j'ai ajouté le multiplicateur Pentax x1,4 acheté d'occasion la semaine dernière pour 7600 yens (58 euros). C'est la vieille version de l'époque Pentax FA, strictement manuelle. Rien à voir avec le multiplicateur 1,4 moderne, qui transmet tous les automatismes, autofocus inclus... L'idée, c'était juste d'augmenter la focale résultante en passant de 1320 (660 et barlow 2x) à un peu moins de deux mètres (1848mm). Je pensais que le gain en surface ne m'apporterait pas grand-chose, la turbulence augmentant exactement dans les mêmes proportions que les détails espérés. Je pensais également qu'en réduisant la quantité de lumière reçue par chaque photodiode d'un facteur 2, j'allais taquiner des vitesses ou des sensibilités peu compatibles avec l'obtention d'une image bien résolue. Je pensais enfin que les traitements d'images qui s'ensuivraient allaient s'avérer pénibles, voire impossibles : lorsque je cherche à empiler les photographies générés par le Pentax K1 (36 millions de pixels, tout de même), je suis obligé de les recadrer, afin d'en réduire le poids. Si je ne le fais pas, la bécane plante. En agrandissant la lune, je limite forcément le recadrage. Bref : c'était pour voir, comme on dit. Ah ben pute borgne, j'ai vu !! Voici l'image obtenue. Lunette NP127 + barlowx2 + multiplicateur x1,4 + filtre UV-IRcut + Pentax K1 à 800 ASA, poses unitaires de 1/400s. 86 images empilées, traitées sous Photoshop : Sur cette version également réduite, le gain ne saute pas à la gorge, mais on le perçoit déjà... Ma précédente lune, à 100%, ça donnait ce niveau de détails : Vous comprenez pourquoi je ne présentais pas la lune à cette échelle : on n'en voit pas plus que sur la version réduite au tiers, et c'est plus moche ! A quoi bon ? Ca m'allait bien, moi. Dans ma tête, cette qualité représentait ce qu'un APN pouvait faire, en quelques photos empilées, derrière une lunette de 127. Mais ce soir, c'est différent. Si je zoome dans ma dernière image, j'obtiens quelque chose qui n'a franchement plus rien à voir : on a l'impression que j'ai changé d'instrument ! Du coup, présenter l'image entière à 100% n'est plus ridicule (cliquez ici) ! En conclusion : l'explication Je ne pige pas : qu'est-ce qui s'est passé ? Ce n'est tout de même pas le multiplicateur x1,4 ? En photo classique, ce genre d'accessoire est plutôt décrié et souvent, il ne fait guère mieux - voire moins bien, s'il n'est optiquement pas bon - qu'un bête effet de zoom numérique, en post traitement. En sus, on perd de la lumière ! Alors quoi ? La turbulence ? J'avoue honteusement n'y avoir prêté aucune attention : je ne m'en préoccupe jamais, partant du principe que 1/ ça va m'inciter à moins sortir, c'est triste et 2/ ça va me mettre la pression sur le mode "oh mon dieu c'est pourri, je vais encore faire de la m..." quand l'astronomie, pour moi, c'est synonyme de plaisir et de sérénité... Reste la mise au point, mais... je n'y crois pas. J'ai opéré absolument comme la dernière fois : contrôle au Liveview à grossissement max, shoots en mode rafale. Une dernière chose, qui m'aura sans doute aidé : j'ai attendu que la lune soit très haute, au méridien. D'ordinaire, je ne m'arrête pas à ce genre de détail. M'enfin, les fois précédentes, elle n'était pas si basse... Si vous avez la bonne explication, je la prends. Parce que je n'en ai pas ! Et c'est ballot. J'aimerais bien transformer l'essai
  21. Silhouettes lunaires

    Bien noir pour moi (sous Firefox) ! Ca doit pas être simple à faire, ce genre de petit film, bravo JF ! PS : Trop dommage, ces gens sans-gêne qui s'interposent
  22. Survol lunaire du 2402 avec "Dent de Shai-hulud"

    Je charriais Ma préférée, ce sont les Alpes lunaires, avec l'alternance très esthétique de régions bien planes, bien lisses, et des reliefs complexes saturés de détails...
  23. Survol lunaire du 2402 avec "Dent de Shai-hulud"

    Superbe série ! Mais les deux dernières sont identiques, non ?
  24. Une lune trop nette

    Mais je te sais turbulent, comme garçon : quand tu te prends en photo, quelle est ta vitesse minimale de bougé ? Oui, y'a un mode vidéo. Tu me suggères de faire comme... comme... comme S ??! T'es dur ! Depuis que les habitants ont déserté la région, la pollution lumineuse (dans le spectre visible) de la zone d'exclusion de Fukushima-Daiichi est devenue négligeable, pour le plus grand bonheur des astrams de la région*. Ce serait dommage que j'arrête d'en profiter, surtout que le guichet de la piscine est fermé et qu'on peut profiter du grand bassin gratos ! L'eau est toujours chaude et brille d'un beau bleu électrique, elle est garantie stérile, pourquoi se priver ? Coté matos, on trouve d'excellents filtres 2 pouces (c'est l'épaisseur) d'origine ukrainienne en plomb qui permettent d'équilibrer la balance des Grays dès la prise de vue. Non, sérieux : mes meilleures acquisitions, je les fais du toit de la centrale. Il y a une échelle en fer rouillé qui permet d'y monter en trois coups de tentacules... (*) 5,02*105 becquerels par degré carré. Voire moins.
  25. Transit lunaire de Tiangong 1

    Joli ! Tu la verras de beaucoup plus près quand elle va tomber dans ton jardin