lyl

Membre
  • Compteur de contenus

    7 808
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1
  • Last Connexion

    Soon available - 50162

Tout ce qui a été posté par lyl

  1. Maksutov Rumak Ioptron

    A ce que je vois Ioptron a le cœur qui balance entre la version optimale à f/10 pour les aberrations et f/15 pour faire descendre l'obstruction. Intes et ses RuMak ont bonne presse pour un usage générique mais pour spécifiquement du lunaire / planétaire il était préférable de descendre à 28-29% d'obstruction. Si tu te souviens, j'avais choisi un MakNewt à 6"f/8 car j'avais pris sur moi pour un setup un peu plus encombrant et plus lourd mais avec une mini obstruction (apo-like) Je ne regrette pas. Je vais suivre avec intérêt car le prix reste raisonnable vers 800€ le tube et l'obstruction semble être inférieure à celle des SCT et équivalent ou inférieure au Rumak Intes à f/10. D'après l'image, le baffle derrière le ménisque semble moins étalé que sur l'Intes M603 mais pas certain. A vérifier mais j'ai pas trouvé le taux d'obstruction. Pour avoir eu moults optiques (catadioptres et newton), descendre à 26-28% c'est indispensable pour le contraste dans cette gamme de diamètre. La rolls étant mon MN68 qui dézingue les SCT 8"-9" en planétaire quand les conditions sont au-dessus de la moyenne, c'est dur avec un obstrué à 33%+ d'avoir les quelques jours ou tu peux exploiter pleinement le diamètre quand tu grossis. Après je sais pas si tu vas garder la 102mm mais c'est certain que ça te feras un saut en résolution pour 75% du temps. Comme quoi sur la tranche 5" 6" et 7" Skywatcher a bien raison d'occuper le créneau avec ses versions "courtes" des Gregory Maksutov. Mais de toute façon la version Rumak d'Ioptron 6"f12 fera mieux que le mak150 qui vit en roue libre maintenant.
  2. Découpe plaque fibre de carbone 6 mm

    ffp2 mini oui sans l'aspiration à la source. avec aspiration le FFP1 suffit (protection : 78% vs 92%) Le niveau de FFPx (1 2) ne gère pas les particules ultra-fines. c'est un pourcentage garanti. Seul le FFP3 garanti les micrométriques et sub-micrométriques.(ex. amiante ~0.02um) Et le filtre à charbon est recommandé quand tu travailles avec les solvants. Certains epoxy ne rejettent pas suffisamment lors de la polymérisation pour que ce soit nécessaire.
  3. Découpe plaque fibre de carbone 6 mm

    Dremel,+ disque diamant + le tube de l'aspirateur + masque chirurgical (ça manque pas)
  4. Mon fournisseur : https://www.boutique-resine-epoxy.fr/58-resine-epoxy Pour ma part, j'ai une activité simplissime sur les tubes astro, je fais mes baffles avec du tissu et de la colle coincé entre deux plaques de polycarbonate : la polymérisation ne se fait pas sur la face polycarbonate quand elle est lisse. En deux morceaux de tissus je monte rapidement à 1.5mm d'épais (fibre de verre). Sur 5mm d'épais, il faut plus de soin et prévoir un moule, plutôt prévoir de la résine de stratification genre la 8200 que la colle bi-composant (elle n'ont pas la même résistance). Attention, certaines résines sont bien meilleures avec une phase de cuisson au-dessus de 40° et un pressage (ou une dépression sous faible vide) pour supprimer les bulles d'air. Parfois je ralentis ma colle en mettant le mélange au réfrigérateur en attendant de finaliser l'assemblage. Sur la photo 1 (gauche) c'est une pièce posée sur la plaque de polycarbonate, la colle époxy se gratte et part en écailles. Franchement, par rapport à du balsa ou du bois solide, juste avec la fibre de verre c'est le niveau au dessus sans trop d'effort et on peut épaissir en collant des des assemblages plus fins jusqu'à l'épaisseur désirée. J'ai changé par rapport aux autres matériaux comme le carton imprégné car je fais principalement des disques que je découpe en les mettant en rotation sur un axe vissant de ma Dremel (perceuse). En carton ou en bois imprégné, le centre n'est pas assez solide pour cette opération. (photo 2 : un des premiers essais de découpage par meulage/découpe de rainure comme sur un tour). Le centrage est alors amélioré (précision 1/2mm -1mm)
  5. plus rigide : faux plus léger : vrai Solidité (rupture) Ref en 2019, au 24eme congrès de mécanique : des bons progrès depuis 25 ans dans le nautisme de compétition. Plaques en structure centrale en nid d'abeille + pâte coulée Revêtues d'une peau fabriquée à partir de nappes de pré-imprégnées constituées de fibres de carbone haut module HR40 Mitsubishi et d’une résine époxy à basse température de transition vitreuse Structil R367-2 (120°C). Test dans l'axe des fibres pour qu'une face soit en étirement et l'autre en compression : résistance à la rupture de 886 +/- 61 MPa. On arrive au niveau des aciers spéciaux mais c'est avec une structure particulière et un usage particulier. Elasticité attention à l'anisotropie, les résistances limites sont prendre en traction (allongement) Au sujet de l'utilisation. Pour ces composites, dans le test de 2019, il est conseillé que la contrainte soit maintenue à moins de 85% de la résistance à la rupture (soit <700Mpa), cela semble être le seuil de résistance plastique pour l'essai réalisé en longue durée. Pour les composites, tu peux prendre sans problème la spécification du fabricant de résistance élastique dans l'axe dont tu as besoin, ça simplifie beaucoup. Petit récap général : Rigidité Attention aux axes d'utilisation pour les composés UD : => Attention à la conception : c'est plus léger mais pas forcément plus rigide sur tous les axes. Prendre des composés croisés (tissus 90° ou 60°, poutres en enroulement 90° et 20°), et bien lire les données du fabricant. Pour les plaques HR 12k on est souvent à 65GPa. En poutre carrée, 85GPa. Densité du composite 1.55 au lieu de 2.76 à 2.84 suivant la nuance de duralumin. Le duralumin est à ~72GPa en multi-direction (et un bien meilleur cisaillement G~32GPa pour les filetages) La plaque en 6mm c'est déjà moins rigide mais si tu as un soucis de couple du au poids général tu vas t'y retrouver via le gain massique. Et en note : le composé mixte (fibre verre + fibre carbone + epoxy) est à peine moins performant 60GPa en rigidité, plus performant en abrasion pour un prix de 2/3 du tout carbone. Ce n'est pas à négliger pour les plaques.
  6. Je n'ai pas envie d'en discuter, mais si tu veux énumérer quels en ont été les bénéfices, je suis toute ouïe.
  7. Au sujet du pouvoir de résolution : 1" d'arc à 230 <=> 1mm Il y a principalement de la couleur latérale sur les transitions noir-blanc, mais vu l'oculaire, on ne peut juger. Correction couleur et piqué : bien équilibré pour du lunaire. Si besoin en planétaire, elle peut être diaphragmée pour un rendu coloré plus saturé.
  8. Des économies probablement, l'ISS est un gouffre financier et sans vouloir être trop critique sur l'utilité pour la recherche. C'était un gage de maintien de la paix dans le monde faisant suite au jumelage Apollo Soyouz de 1975, fin de la guerre froide. Donc bon, on sent bien le ressenti russe dans cette annonce. Maintenant c'est un changement de formation des blocs économiques mondiaux o tempora o mores !
  9. J'ai eu l'occasion de tester la 127 sur le Semnoz, intéressant en CP. Ca serait bien de faire un comparatif avec ça qui est une autre 1200mm :
  10. Bruit dans tube TS Optics 125mm Apo

    Salut Chris, c'est bien le jeu des lentilles de l'objectif ?
  11. Super Lune

    Un concours photo dans Astrophotographie ou de dessin dans Observation Visuelle ça mettra tout le monde d'accord. Restons positifs, faire dérouler le sujet et ensuite viens la discussion sur du concret. Une prise de tête sur un doute potentiel, ça ne sert à rien.
  12. Un peu de lunaire à la 80 f/15 ...

    Bon itoo, une bonne soirée et je me suis dit que ça valait les photos souvenirs. Astro "Royal M80" ce soir à 22h38
  13. Lunette fd 11

    Bonjour Serge, on va essayer de répondre point par point mais je ne pourrais pas tout donner des concepts optiques. 1) Aberration Sphérique Sur un instrument visuel on règle de façon à ce que la taille optimale du cercle de confusion (toutes couleurs confondues) soit le mieux adapté à l'objet observé. Dans le Danjon et Couder, on en parle comme quoi la magnitude maximale stellaire que peut atteindre un achromat c'est quand on équilibre en FC la balance couleur pour que le cercle de confusion équilibre bleu foncé et rouge profond pour faire le plus petit spot. Ceci implique aussi du fait de la formule de combinaison de verre de régler l'aberration sphérique finale vue de l'oeil pour conserver une concentration adaptée. Hormis toutes les considérations optiques concernant la perfection des oculaires : c'est le résultat de la chaîne optique qui compte pour l'objet à observer. Adaptation humaine et photo : les conditions idéales ne sont pas les mêmes entre du CP (bâtonnets 510nm), de la photo(photosite vert en majeur~525nm), de l'observation lunaire (bande 480-590) et de l'observation planétaire (520-620). C'est à chaque fois une approximation qui est facile à f/D long car le sphérochromatisme est facile à gérer => là c'est la correction couleur qu'on doit affiner. Les anciens réfracteurs sont à considérer comme une chaine optique complète : oculaires inclus, prisme inclus, barlow le cas échéant. Taux approximatif de sous/sur correction d'aberration sphérique : voir article : https://www.webastro.net/forums/topic/195770-réglage-des-petits-réfracteurs/?do=findComment&comment=2929390 L'oculaire Huyghens : - - - (3 à 4) Ex. oculaire 10mm de focale : les rayons passant par le bord de la surface de la lentille sont concentrés 0.25mm en avant de ceux passant au centre : ce n'est pas ponctuel, c'est la formule de Huygens qui provoque ça, impossible de l'utiliser a f/D moyen sauf en CP ou équilibre de la correction de l'objectif. -> L'objectif de lunette (on peut considéré dédié) est parfois ultra-sur-corrigé (éxagéré). Avantage, on peut faire des objectifs de 50 & 60mm f13.3 et f15 avec r2=r3 en BK7-F2, très simple à contrôler. Le piqué de la lunette est alors inexploitable avec des oculaires modernes : Plössl et Ortho Duplet : - - (2) Brandon, Ortho Abbe, TV plössl, TAL plössl, RKE ou Kellner moderne, monocentrique : - (1) # verres lourds (lanthane et super strong/baryum flint) Barlow : + prisme : suivant la taille et le f/D de 0, + à ++ miroir : 0 le réfracteur calé D : + le réfracteur calé e : - le réfracteur calé 550/555 (jaune-vert) visuel : 0 le réfracteur astrographe : - - (2) oculaire moderne : 0 à + (évolution Olympus/Nikon de 1980) En complément : https://www.telescope-optics.net/eyepiece_aberration_2.htm Un modèle type 60mm japonais qui était vendu avec des oculaires Huygens (forte sous-correction d'AbS) sera probablement réglé en aberration sphérique nulle sur ... du H-alpha. Un modèle Zeiss long (objectif E 110) est réglé en raie D (jaune-orange, c'est spécifié dans la doc Zeiss) pour être utilisé avec des oculaires ortho Abbe qui apporte une légère sous-correction. La résultante remonte l'optimal visuel dans le jaune-vert et comme le f/D est très long, le piqué est préservé sur quasiment tout de bleu à rouge. Un modèle Zeiss Kometen Sucher (f/D court comme la 80/500, f/6.25) sera probablement réglé en raie e (vert) pour observation champ profond préférentielle (510-525nm) avec un réglage optimal du piqué de 480 F' à 588 raie hélium 589 sodium (comme sur Néowise) et probablement possibilité de capter la queue ionisée en bleu profond à faible grossissement (c'est pas planétaire ça ...) Un modèle moderne d'achromat est maintenant très souvent réglé à 550-555 nm (cf Istar par exemple) pour être associé à des oculaires dont l'aberration sphérique est réglée idem grâce à la partie barlow intégrée. 2 et 3) prisme vs miroir. On va dire de suite que 2 surfaces à traverser puis une réflexion c'est plus complexe, mais la déformation du front d'onde dépend de l'interface et du milieu traversés. => Calcul de la déformation d'onde en fonction de la précision de surface. a) réfractions : - angle de traversée proche de la normale θ ~ sin(θ), on peut ignorer les termes en θ3 et supérieur Lois de Snell-Descartes pour la réfraction / https://fr.wikipedia.org/wiki/Lois_de_Snell-Descartes On développe en θ + dθ -> In fine pour l'interface air-verre, la déformation du front d'onde est en (n1-n2) soit 0.57x en valeur absolue le défaut de surface pour du BAK4 / N-BAK4. https://refractiveindex.info/?shelf=glass&book=SCHOTT-BaK&page=N-BAK4 Le Bak4 Schott est particulièrement intéressant car c'est un matériau athermique intrinsèque statique et à faible sensibilité dynamique. Egalement, c'est un verre très stable (des verres barytés servent à la gestion des déchets nucléaires) et c'est un verre qui se polit très finement. En gros : zéro effet de mise en température. b) réflexion interne totale : - cône de piégeage de la lumière entre l'angle de Brewster et l'angle de réflexion TIR : http://www.astrosurf.com/topic/50960-renvoi-coudé-baader-prisme/?do=findComment&comment=2040226 - modulée par l'indice du milieu traversé - et l'angle de réflexion A priori une réflexion autour de l'angle normal à la surface double le défaut de la surface : soit 2x au lieu de 0.57x. Mais là, déjà, d'une part l'angle est à 45° au lieu d'être près la normale et le défaut est vu en cos(θ) . dθ à √2 au lieu de 2. mais c'est pareil en miroir 45° standard, j'y reviens in fine pour la comparaison du total des défauts. Résumé intermédiaire, coefficient du défaut. surface 1 (entrée prisme) : 0.57x delta, surf.2 (réflexion) : √2x (si dans l'air), surf.3 : 0.57x (sortie du faisceau) ... mais ... Généralisation des lois de la réflexion et de la réfraction On s'aperçoit que dans le milieu solide : le verre l'équation généralisée change, elle dépend de l'indice du verre pour le résiduel ! => La variation d'un défaut de phase dϕ/dx est divisée par l'indice du milieu nincident pour influencer la variation du θ de sortie (et comme le ni c'est le verre, effet idem sur le front d'onde). Bref, l'addition des défauts aléatoires se fait en Rms. Racine de la somme des carrés : a) √ (0.572 + (1.41/1.57)2 + 0.572) ~1.21 ou pire des cas b) √ (0.572 + (1.41*1.57)2 + 0.572) ~2.56 par rapport à √2~=1.41 pour une réflexion dans l'air. La contribution des défauts apportés au front d'onde par la traversée air-verre d'un prisme sont inférieurs à ceux apporté par la réflexion totale. L'alignement est également un peu plus facile, il est dans la masse de verre. La précision est facilement inférieure à 3' d'arc pour l'alignement. De plus pour un Bak4 en simple couche MgF2 c'est plus efficace : on perd 2x0.9% -> T>98% avec peu d'effort en mono-couche sur un prisme BAK4. http://hyperphysics.phy-astr.gsu.edu/hbase/phyopt/antiref.html Un traitement de surface multi-couches n'est pas nécessaire (sauf pour protéger comme fait Baader la face de l'hypoténuse) La différence se fait surtout par le problème du traitement du miroir plan qui est obligatoire à cause de la faible réflectivité de 4-5% native comparée à la réflexion totale sur la surface libre de l'hypoténuse du prisme. Argenture protégée et dorure protégée ont un très bon rendu en diffusion. L'aluminiure est moins bonne (formation d'un dépôt en colonne qui n'est pas critique sur le miroir primaire mais plus on s'approche du plan focal plus le composant optique doit être soigné vis à vis de la diffusion) Quid des multicouches diélectriques ? Pour le traitement en diélectrique, c'est un multi-couche à nombre très élevé. Les défauts viennent se cumuler en √n, n étant le nombre de couches qui est considérable en traitement diélectrique. On est de toute façon bien vite au-delà de 2 voire 10 face à la simplicité du simple polissage. http://www.csun.edu/~rprovin/roland/dielectric.html "Near the edge, the coatings lose accuracy very rapidly (severe turned edge). This is due to the large number of layers and the stress that results at the boundary." Exemple (2006) : rugosité d'un dépot d'oxyde de Titane (diélectrique) par une technique avancée. (indice 2.55 / 2.75) Aujourd'hui, on fait beaucoup mieux et avec une centaine de couches on limite à 8nm rms contre 2-5nm pour le polissage "classique" d'un verre baryté. http://www.astrosurf.com/topic/150795-diélectrique/?do=findComment&comment=2110132 C'est une construction technique très optimisée à condition que le BAK4 soit de bonne qualité et que le prisme ne dépasse pas 47mm d'ouverture claire. Ensuite l'homogénéité du verre devient problématique. 100 ans de savoir faire Zeiss et autres. Rectificatif : j'ai modifié profondément le résultat sur l'effet d'un défaut de polissage pour une réflexion en milieu dispersif. J'ai joins la théorie sur le sujet, elle est utilisée pour les sonars (milieu aqueux n=1.33) On en reste donc sur le problème du traitement de la surface des miroirs réfléchissants qui cause de la diffusion (moins maintenant) mais surtout un problème de contrainte sur le bord des zones traitées.
  14. Lunette fd 11

    Oui comme je l'expliquais, le prisme va sur-corriger l'ab. sphe pour compenser la sous-correction des oculaires. Ca compte surtout à grossissement > 1D. Roland Christen qui a connu toutes les générations d'instruments connait bien le phénomène. (je l'ai cité au-dessus) Déjà dans les années 50, J.Texereau et Marcel Paul en parlait de façon subliminale pour la combinaison plössl Clavé et barlow Clavé pour faire du planétaire avec le newton de référence. (donc c'est bien indépendant de la correction couleur vu que la chaine d'un newton est sans réfraction et qu'on ne parlait pas vraiment de f/D court en dessous de 6 à l'époque).
  15. Lunette fd 11

    Le raisonnement dépend des oculaires utilisés. Le prisme reste la meilleure solution à f/D moyen et long (f/9+, f/8 ça dépend) et sur les instruments de ce diamètre pour limiter la diffusion et pousser le grossissement. C'est une question de convention optique entre visuel et photographie qui a légèrement changée avec la norme apo moderne de Thomas Back (mais ce n'est pas incompatible). Les capteurs CCD/cmos préfèrent un réglage dans le vert-turquoise (pic photosite vert, pour prise d'image au foyer ou derrière un correcteur) et l'œil par contre dans le vert-jaune (entre raie e et D en général, près du pic de sensibilité luminosité pour la Lune ou celui des teintes pour le planétaire). C'est très sensible à f/D court et début de moyen. Un achromat moderne ou une apo moderne est censée être décalée au maximum à lambda sur 8 (PtV) de 555nm, ça laisse de la marge sauf pour les astrographes f/D court qui ont des contraintes serrées. http://www.csun.edu/~rprovin/roland/startest1.html undercorrection => du au limites des oculaires simples : ancienne conception avec la raie D en référence pour que l'objectif soit "sur-corrigée" en compensation.
  16. Lunette fd 11

    Ca dépend du réglage de l'objectif. A f/11, peu d'effet sur le chromatisme, plus sur l'aberration sphérique, ça peut améliorer ou empirer le piqué. @zirkel 2 a plus d'expérience sur l'effet sur cette lunette. Je dirais : oculaire moderne (barlow intégrée) va avec RC miroir diélectrique. et oculaire simple avec RC à prisme.
  17. Tout pareil, sans la bière et sans chromatisme sur une 60-910, mais le ciel était moyen. La Lune un peu basse pour apprécier en ce moment. 60 c'est sympa à manier mais ça reste la limite basse quand tu as gouté à des diamètres plus grand. --------- Je vais regretter longtemps la TAL 100R mais c'est un cas de porte-monnaie majeur qui m'a fait la vendre.
  18. oui oui, ça se voit d'après ce que je poste sans doute. Là ça dépasse l'incompétence pour arriver vers la mauvaise foi. J'ai déjà fait les remarques, et ce fut commenté sur ce forum et d'autres (WA, CN) il y a plusieurs années, sur les graphes inadaptés postés sur le site de Takahashi. Reste dans ce que tu connais et ne fait pas comme les politiciens qui font dire aux statistiques ce qu'ils ont envie qu'elles montrent. "La meilleur lunette achromatique du marche" est le sujet de discussion, ne mêle pas un apochromat au sujet surtout si c'est pour de la médisance gratuite sans fondement. Ce n'est pas une bonne idée de dénigrer Takahashi sur le plan conception et réalisation technique. Après, sur le ratio qualité/prix, ça n'a rien de linéaire et je suis bien d'accord.
  19. Je crois qu'il faut que tu arrêtes définitivement d'interpréter ce que tu ne comprends pas. L'image de ta citation est destinée à l'appréciation photographique (projection sur un plan) C'est juste regrettable que la personne qui a mis en ligne cette documentation ne comprenne pas non plus qu'il faut indiquer quelques précisions supplémentaires et mettre la bonne représentation optique (sur le plan focal annulant la courbure de champ pour le visuel). La TOA 130 sans aplatisseur de champ ou sans réducteur aplatisseur n'a AUCUN sens en photographie et la représentation indiquée n'a AUCUN sens en visuel. La formule de la TAK a été retro-analysée (bof bof) par Vladimir Sacek : https://www.telescope-optics.net/semiapo_and_apo_examples.htm Voilà mon approximation pour illustrer l'astigmatisme sans correcteur/flattener et en annulant la projection plane (ci-dessous projection sur la courbe du plan focal : -250mm de rayon de courbure) Ca tient dans un carré de 50um, soit carrément deux fois moins. Avec le TOA-35 RD (représentation ci-dessus affichée par ClaudeS) l'astigmatisme inhérent au triplet nu est énormément réduit. Un triplet seul ne suffit pas pour dépasser 2° de champ total, l'optique correctrice a d'autres fonctions comme celle d'augmenter le champ plat utilisable.
  20. Intéressant : quel est l'endroit dans le triangle Aix-Marseille-Fréjus suscité ? ------------ Ah oui, je cite d'après la localisation des croquis. http://www.astrosurf.com/topic/155671-lunette-bresser-messier-ar-127l1200-la-meilleure-lunette-achromatique-du-marché/?do=findComment&comment=2197830 ...maintenant Roquebrune Cap Martin c'est dans le triangle Aix-Marseille-Fréjus. Faut vraiment que tu arrêtes de nous balader avec les informations erronées que tu généralises ou que tu apprennes la géographie. Nice est un spot assez connu, au micro-climat amorti par la mer, de plus, pas de pollution lumineuse ou industrielle vers le Sud quand on est sur la côte. Je me demande si @ClaudeS a eu l'occasion d'en profiter. Je pense également que @Sébastien Lebouc qui est du coin depuis un bon moment connait bien. Marseille Toulon Frejus, c'est bien différent avec les porte-containers que Marseille accueille et les industries sidérurgiques à Fos : c'est un triangle des Bermudes pour l'astronomie, il faut aller ailleurs pour pouvoir apprécier.
  21. J'ai pas osé affirmer plus que ce que je peux vérifier, je ne suis pas là depuis beaucoup plus et encore moins à vadrouiller pour observer. En tout cas je ne peux pas laisser passer des affirmations de quelqu'un qui n'y est pas.
  22. Ca dépend où : Aix-Marseille-Frejus : c'est dégradé.
  23. Pads anti vibrations Celestron

    Des inserts en αGel en complément du Sorbothane (Uréthane) sont également très efficaces pour l'aspect haute fréquence.