gitod

Et en guidant sur les étoiles, faire un jeu de poses (laisser filer la comète), calibrer le champs selon une couleur système V (pas sloan), puis guider sur le noyau, retrouver les mêmes étoiles de référence (avec trainées d'éclat assez constant) évaluées sur un bout du trait, prendre l'amplitude à laquelle on reprends les valeurs d'étoiles non filées choisies mesurées, comparer avec la valeur évaluée sur le noyau. On devrait se rapprocher de la valeur vrai. Maintenant comment extraire un éclat d'une portion du filé d'étoiles, et puis si c'est assez simple, de glisser la portion sélectionnée de proche en proche pour moyenner l'effet de filage. Je ne sais pas si un soft peut réaliser cela, mais en ajoutant qu'il y a des études sur surfaces étendues photométriques en échantillonnant sur une portion choisie, 2x2 pix et plus. Toujours du spécifique correspondant à un cas particulier. On pourrait voir aip4win dans ce sens (de mémoire).

Pourquoi la calibration de champs n'est pas nécessaire vu l'étalement des étoiles de plus en plus avec l'éloignement du centre (y compris avec un RC qui est le mieux théoriquement)? Où je vais trop loin là où on considèrerait le fait négligeable en ajoutant le niveau d'incertitude provenant des catalogues, il n'y a pas le 1/100 mag certain sauf en système UBV . Cependant merci pour le retour d'expérience sur cette affaire de vitesse de rotation du noyau cométaire (j'essayerait bien sur 4P Faye qui a une apparence de noyau assez stellaire et une vitesse sur le ciel négligeable avec 10min d'intégration de poses et 500mm de focale).

Faut surtout remercier le concepteur d'unistellar...

Bonsoir, pour cette affaire de mesure sur comètes je me suis posé ces mêmes questions. Qu’est ce c’est que astap? un soft qui intègre des catalogues d’étoiles correspondant aux types de filtres utilisés, ubv, sloan. Que peut t’on espérer en précision sur les réductions de mesure? Est ce que le 1/10eme de magnitude peut être facilement discriminé, en vue une courbe de lumière pour mettre en évidence une rotation du noyau. Le 1/10 semble une valeur bien possible couramment. Bien d’accord qu’il y a une différence significative entre une mesure absolue et l’autre différentielle, déjà l’incertitude des valeurs obtenables. si vous pourriez m’apporter de l’eau au moulin.

Chez celestron CPWI avec le starsense pour les targets au centre du cmos. C'est basé sur le platesolving.

Autrement dit, ce n'est pas bâti sur un esprit windows et ipad (c'est ce que j'ai ici). Vous pourriez faire un schéma à main levée pour décrire l'organisation des différents composants? Navigateur sur la tablette: avec ipad c'est obscur pour moi (tant de périphérique reconnus mais qui ne communiquent pas entre eux), Raspberry: une carte électronique je pense...qui prends en charge astroowl, comment le charger? connection csi: un câble spécifique avec une interface intégrée? Je peux me tromper...

Quelques objets en plus, 4P, 67P, 29P (estimé à 15.8), 108P non donné ici est estimé à 18.1 (elle n'est pas accessible d'ici). Toujours avec l'unistallar et ciel de qualité fluctuante, images brutes converties jpg pour le forum. Pour comparer 29P pendant l'outburst de 2021: Juste pour illustrer les possibilités du scope (m16 proche de la limite sur ces astres). Encore des images de 4s stackées automatiquement avec la dérotation de champs. 4P est donnée pour m12.4 ces jours ci. Les sources sont du site skylive.com

Plus haut c’est évoqué : selon l’échelle de danjon (5/5 le meilleur)

Une vue de 67P prise avec l'unistellar (224C) les premières secondes de 2022. D114 F4, 18min de stack de 4s de frame individuelle, ciel lumineux parisien. Bien modeste.

Pour l'apn j'ai testé le 1300D avec wifi et live view (pour la map du boitier). Caméra connect permet de collecter chaque frame et puis pré-traiter sur le logiciel favori au bureau, puis... et puis... Cela fonctionne assez bien. Le logiciel sur la tablette est bridé canon, pour ses fonctionnalités limitées. Ce qui intéresse dans cet astrowl, c'est la collection des frames, stackées, vues à l'écran en live, la mémorisation du résultat (jpg et fits). Cela suffit en général pour mesurer après (photométrie et astrométrie). Question sur quel environnement tourne t'il (win10, ipad, linux) et quels types de drivers peut t'on insérer (uniquement le 462? eos etc...)? C'est une idée bien intéressante qui se rapproche d'un unistellar par exemple, images live à l'écran, récup. des fichiers stackés exploitables par la suite. Mais inconvénients: fichiers png uniquement, pas de filtrage, ouverture de 114mm F4. Pour un coût plus raisonnable avec ce système proposé et caméra récente très peu bruitée (le 1300D aussi). Au final, quand le scope est bien en station, on peut rester au chaud et retourner au pc bureau avec une liaison wifi solide.

Pour ces 5% de contraste possible, c’est avec images 3-4/5. sur images fixes, on doit frôler le 1%.

Le f10. Avec filtres c’est mieux. le critère d’arnulf c’est avec une pupille de sortie de 0.6mm entre autres pour 5% de contraste minimal possible, cad 250x. ce n’est que l’idée, sur mars 300x, effectif. Il n’y a pas que le théorique mais aussi l’usage, tube en action.

On a compris camarade sébastien, ce tube ne t'intéresse pas! Il y en aura d'autres qui s'y intéresseront en venant la chercher, c'est ce qui pêche pour le moment. Myriam, le tube perseus c'est avec un verre lanthane, je persiste. Istar c'est du dkd sélectionné avec variantes spécifiques. Bah moi c'est avec 45ans en ayant commencé avec unitron et ses images violacées, puis astrola. Restez conservateur, il y a tant d'évolutions aujourd'hui qui ne peuvent intéresser le conservateur de base, même venant de chez le chinois.

Les doublets istar sont callés jaune-vert, sauf solaire. le tube perseus est avec un doublet lanthane (r35). C'est le segment 500-600 qui est intéressant.

google fait des miracles...

Bah non, faites la somme de tous les composants vous arriverez à 1600 +/-, le tube est en résine avec une inertie thermique minimale. C'est quoi pas cher, une tak 100df à 2000 en occasion pour 2200 neuf?

Si cela intéresse quelqu'un, je vends celle-ci: 150F10 avec istar.

C'est surtout ce point qui fait une différence sensible en ajoutant qu'il n'y a qu'un chemin optique dans le tube. Mais pas que (avec un strehl superbe entre 500-600nm plus ou moins).

Dans la rubrique science, il y a un menu pour activer les occultations d'astéroïdes, entre autres. La séquence d'acquisition s'effectue sur 30min avec déclenchement du départ par l'observateur. 30min pour en gros 4Go. Les paramètres d'acquisition, exposition, gain, sont suggérés par le site. La séquence est récupérable directement et/ou transmise au site pour analyse. En plus en transmettant ce que l'on observe au site, en retour il y a des propositions de thèmes qui arrivent sur l'application résidente de la tablette (logo verts). Entre comètes, astéroïdes et SN (2 en ce moment) il y a bien à faire. Un géocroiseur le 18 janvier prochain, le survey de hst et jwst. En fait, c'est le site qui propose ou dresse des listes de sujets à suivre sur leur site et puis à mettre en œuvre cette rubrique science pour les collecter. C'est sans doute le pourquoi du prix d'achat. En comparaison, pour une occultation d'étoile par astéroïde, un logiciel classique d'acquisition peut faire l'affaire en bridant l'exposition à 1-2s, pour avoir l'allure de la courbe de lumière à l'immersion et l'émersion, et puis régler le gain pour atteindre confortablement l'éclat de l'étoile occultée. Les tops de démarrage et d'arrêt à mieux que la seconde. Puis mettre l'acquisition dans un logiciel spécialisé pour réduire les mesures de magnitude. Viser le 1/20eme de magnitude en précision. Tangra ou similaire plus simple à chercher. Fastidieux. Et à court terme un abandon de cette pratique. Le plus simple c'est le mieux pour cette activité. https://unistellaroptics.com/citizen-science/planetary-defense/results/ https://unistellaroptics.com/citizen-science/occultations-how-to/

Clairement sur le papier il y aura un monde diffèrent avec le 250, malgré l'obstruction de 34%. Avec obstruction, c'est la qualité optique qui prime d'abord. J'ai eu le 154 (L/5 sur star test style de suiter) puis le 203 tout autant. Il faut un réglage des mirroirs optimisé correct pour les belles images, distance entre mirroirs, alignement des axes optiques de chaque surface optique, puis collimation. La notice orion us pour le réglage suffit bien pour cela. Il y a bien sur des points d'amélioration envisageables, la chaussette de tube surement et puis le crayford, correct pour un début puis substituable par un autre style FT. Une eq6 peut le supporter mais sans doute avec une stabilité relative à la map oculaire, sauf si c'est motorisé. Un modèle supérieur serait le bienvenu style cgx déjà (prendre en compte le diamètre des roues dentée, 145mm semble très bien). Pour du visuel et photo bien sur. Si vous obtenez le L/5 il y aura du potentiel en contraste (L/7 ne fera grandir le stehl que de quelques %, difficile à constater sauf s'il y a une pratique du visuel de long terme). Si vous cherchez à l'acquérir chez les allemands, TS, astroshop, vous pourrez demander le bulletin interféro zygo qui en donnera une idée assez précise et il sera aligné collimaté avant expédition. Autant que possible le laisser en fixe sur sa monture sous un abris ou une bâche style 365 telegizmos. Ici en RP proche paris, le 203mm est déjà juste en utilisation pour raison de turbulence assez élevée. Perso l'alternative reste aussi le C11, tube fermé, il y a des circonstances qui font que la stabilité des images s'y trouvent meilleures. J'ai eu le µlon aussi, très haut stehl, images trop souvent instables et pertes de collimation trop fréquentes y compris en action. Mes 2 pennies sur le sujet.

Je cherche cette pointure, faire offre, raisonnable.

Les images png 16bits ont bien plus de dynamique que ce jpg 8 bits, la taille induite plein format en fait c'est 7.7Mo. Ce qui a été donné n'est que brut de décoffrage, et, on s'emmerde bien moins que pour installer un fourbis à chaque fois pour un album photo. Ce n'est pas ce qui est recherché ici. Cdlt, jean

Bonjour, J'ai eu quelques soucis pour charger un thème sur la galerie et forum avec des fichiers images .png. La taille créée par l'evscope est 5.5Meg qui n'est pas prise par le site (question posée aux administrateurs néanmoins). Les mêmes images avec taille plus réduire.jpg (2meg) par contre passe très bien sur le site. Quelqu'un a observé ce soucis? Jean

Bonjour à tous. J'arrive un peu tard sur le sujet, j'ai acquis l'evscope en occasion sur les pa avec la version 1.43 installée qui parfois sur certains mode d'acquisition bug dans l'application (en mode ciel de campagne notamment). Globalement c'est un bon outil qui ouvre bien des perspectives facile par l'acquisition d'images. Pour ce problème de buée, je l'ai rencontré pendant des sessions récentes, nuits fraiches et humides. Cela se voit bien quand c'est naissant avec un faiençage du fond de ciel sur l'image. Ce fût résolu en montant un tube en carton noir mate sur l'externe du tube, 50cms de long et un dépassement de 25-30cms au delà du bout de tube de l'evscope. Cela se trouve en grande surface pour 2 balles. Je l'ai peint noir mate interne acrylique pour réduire les pollutions lumineuses qui apparaissent sur les bords d'image. Efficace pour la buée, relatif pour les lumières parasites. En corrélation ce tube fait 100grs et en bout de tube l'équilibrage est bien modifié, il suffit d'écouter le bruit du moteur d'élévation pour s'en convaincre. La résistance chauffante en bout de tube c'est pour chauffer le capteur. de mon point de vue. Par contre je trouve la batterie avec une perte d'efficacité sensible en observant à 3°C récemment (disons 30% de perte). Vous l'avez constaté aussi?