CptNautilus

La nébuleuse de la Rosette (NGC2237)

Messages recommandés

Bonjour

On peut dire que tu apprends tres vite !! Ton image est très réussie.

Peux tu en dire plus sur le materiel utilisé ? (optique et camera)

Pour les conseils cela peut aider d'avoir ces infos

 

Nicolas

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Merci!

Les images unitaires ont été collectée avec une station Stellina (de Vaonis). Voici ses caractéristiques :

Lentille: 80 mm

Focale: 400 mm

Résolution: 6.4M pixels (3096 x 2080 px)

Objectif: Doublet ED apochromatique avec verre au lanthane

Ouverture relative: F/5

Capteur: CMOS Sony 1/1.8

Champ: 1° x 0.7°

  J'ai utilisé les images unitaires au format FITS (16 bits), collectées sur deux nuits en octobre et novembre, et j'ai fait tout le reste du processus en manuel. Pour ce qui est de la capture elle-même, tout est automatique. En particulier, on ne peut pas encore changer la durée de pose de 10 secondes (ça devrait bientôt arriver).

  J'ai obtenu des "Darks" en couvrant la lentille avec une boîte noire jusqu'à en obtenir une cinquantaine. J'ai calculé des Masterdarks pour différentes températures (en l'occurence, 2°C et 10°C).

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Excellent :)

Une très belle image de ce coeur de Rosette avec un très bon traitement . . . traditionnel, bravo :)

Bonne journée,

AG

Et au passage, c'est tout bon pour Vaonis :)

Je pense que ça va en faire tousser plus d'un xD

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Il y a 5 heures, ALAING a dit :

Et au passage, c'est tout bon pour Vaonis :)

Je pense que ça va en faire tousser plus d'un xD

C'est vrai, je ne m'attendais pas à un tel résultat avec cet instrument. Une belle image.

Gilles

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Intéressant avec le stellina, bravo :) ! 

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  J'ai encore le JPEG automatique (je le garde toujours parce que son EXIF contient la température et l'humidité au moment de la capture). Toutefois, Comme j'ai récolté des images sur deux nuits et les ai accumulées dans DSS, le JPEG n'est basé que sur environ la moitié des FITS  (331), donc la comparaison n'est pas tout à fait juste pour Stellina.

 

  C'est la version brute, telle qu'elle sort de Stellina, sans aucun post-traitement.

 

  A noter qu'on peut aussi obtenir une version TIFF (16 bits), empilée par Stellina mais non traitée. Il faut donc la développer soi-même. Idéal quand on ne veut pas utiliser DSS mais qu'on veut éviter les artefacts et les 8 bits du JPEG.

 

  Personnellement, je préfère empiler les FITS moi-même dans la plupart des cas (surtout avec les nébuleuses et les galaxies), car je peux ainsi sélectionner chaque FITS "à la main".

NGC2237_44_1-0481-output.jpeg

Modifié par CptNautilus
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Salut

Grand bravo pour un début, tu as toutes les cartes en main à présent 

 

Olive

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Lorsqu'on se met à DSS ou au développement du TIFF, c'est assez frustrant parce qu'il est difficile de "battre" l'algorithme du Stellina... mais une fois qu'on a pris le coup, on ne peut plus s'en passer.

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Magnifique, comme quoi quand on sait utiliser le potentiel des outils, c'est top. ^_^

C'est intéressant de savoir que l'on peut récupérer les brutes pour post-traitement

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Il suffit de brancher une clef USB et d'activer, une fois pour toutes, la sauvegardes des FITS. Je conserve également les "fichiers de debug", qui contiennent beaucoup d'information sur les images unitaires.

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Il y a 5 heures, CptNautilus a dit :

le JPEG n'est basé que sur environ la moitié des FITS  (331), donc la comparaison n'est pas tout à fait juste pour Stellina.

 

  C'est la version brute, telle qu'elle sort de Stellina, sans aucun post-traitement

 

je viens de reprendre ta brute de stellina sous PS

 

,

www.jpg

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C'est le problème avec le JPEG : ce n'est que du 8 bits, et le bruit ressort très vite quand on essaie de pousser l'image. 

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Il y a 18 heures, CptNautilus a dit :

C'est la version brute, telle qu'elle sort de Stellina, sans aucun post-traitement.

 

Pour confirmation ou infirmation :

 

C'est une seule brute avec 10 s de temps de pose  ? ... ou la version empilée "Stellina" des 331 poses retenues ?

 

Modifié par fljb67

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il y a une heure, fljb67 a dit :

Pour confirmation ou infirmation :

 

C'est une seule brute avec 10 s de temps de pose  ? ... ou la version empilée "Stellina" des 331 poses retenues ?

 

  Non, c'est le résultat de l'empilement et traitement automatique fait en interne par le Stellina.

 

  Une fois lancé sur une cible, Stellina la suit en prenant des poses de 10 secondes. Après chaque pose, l'image unitaire est évaluée et conservée ou rejetée. Ensuite, elle est empilée et traitée. Le tout prend environ 2 secondes. Une image apparaît alors sur l'écran du smartphone. Si le ciel est bon, l'image affichée s'améliore toutes les 12 secondes environ. On peut interrompre la session à n'importe quel moment et l'image finale est donc la résultante de tous ces empilements. C'est ce que j'ai appelé le JPEG brut de Stellina.

 

  En parallèle, si on a mis une clef USB dans l'appareil, chaque pose de 10 secondes, non traitée, et enregistrée au format FITS 16 bit. Ce sont ces images que j'utilise pour faire l'empilement et le traitement "manuel".

  • Merci 1

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il y a 3 minutes, CptNautilus a dit :

c'est le résultat de l'empilement et traitement automatique fait en interne par le Stellina.

l'image finale est donc la résultante de tous ces empilements. C'est ce que j'ai appelé le JPEG brut de Stellina.

 

Ok.

 

Donc si j'ai bien lu, pour ton image postée en premier lieu, tu t'es "amusé" à empiler chaque image unitaire brute avec DSS ( + SiriL par après pour le résultat  ).

 

Si tel est le cas : belle persévérance .. car elle a payé. :)

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il y a 5 minutes, fljb67 a dit :

Donc si j'ai bien lu, pour ton image postée en premier lieu, tu t'es "amusé" à empiler chaque image unitaire brute avec DSS ( + SiriL par après pour le résultat  ).

 

  C'est exactement ça. ça m'a pris un peu de temps à comprendre comment faire toutes ces opérations, mais le résultat en vaut la chandelle.

 

  Le principal atout d'empiler les FITS manuellement et que l'on peut ainsi cumuler les images prises sur plusieurs nuits. Stellina fonctionne par sessions. Si on arrête une session, on ne peut pas l'utiliser comme "point de départ" pour une seconde. C'est aussi gênant lorsque la température change rapidement, ce qui nécessite de refocaliser. Il y a alors un dilemme : continuer la session avec le risque d'avoir des étoiles pâteuses, ou refocaliser et recommencer une nouvelle session, mais il faut alors reprendre l'empilement à zéro. Avec les FITS, pas de soucis, on refocalise aussi souvent que nécessaire et tous les FITS sont au point.

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Je pense que certain vont crier au loup, mais pour moi c'est superbe.

 

Un grand bravo.

 

Amicalement Frédéric

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      73 poses de 120 s – ISO 1600 – 25 DOF – Traitement Siril
       

      (cliquez sur l’image pour voir la full)
    • Par BobSaintClar
      Amis de l'extrême-Occident, bonjour !
       
      Au Japon commence ce que les locaux appellent la Golden Week (ils parlent anglais, quand ils veulent. Donc jamais), soit une journée de congé généreusement offerte par les autorités aux travaill esclaves du pays. Une ! Pour mon épouse, par exemple, c'est demain Lundi. Mais oui, la week est golden parce qu'elle inclut un jour férié ! La plupart des japonais, en fonction dudit jour, font le pont s'ils le peuvent. Mais sérieux, quel pays de barbares 
       
      Bref ! En conséquence, beaucoup de gens sont partis vaquer à leurs loisirs ce WE et la météo de ce Vendredi soir s'annonçant parfaite, notre club d'astronomie s'est joint aux agapes nationales. Sur la route menant au mont Myogi, j'ai croisé quelques chapelets de voitures et de Harleys coincées dans les bouchons, mais je suis passé au travers sans encombres. Mes collègues astronomes et moi nous sommes installés sur le vaste parking (haut) du temple Nakanotake alors que les visiteurs du jour quittaient les lieux. Je vous mets quelques photos d'ambiance, histoire de vous faire voyager en ma compagnie ?
       
      (Note : les trois premières sont en IR couleur. C'est involontaire... je fais tellement de photos de ce style que je n'ai pas pensé à retirer mes filtres )
       
      Le parking du temple, notre spot habituel, à mi-chemin entre la haute montagne et la vaste plaine qui ouvre sur la baie de Tokyo. Nous sommes à 700m d'altitude :

       
      La plaine peut se deviner au loin, entre les reliefs du piedmont. Ses lumières ne gênent que l'horizon Est :

       
      Les membres présents de notre club (rien que d'y repenser, ma chair de nippon en tremble) :

      Notez la présence, à l'arrière-plan, de distributeurs automatiques de boissons : bien pratique pour s'offrir au café ou chocolat chaud en pleine nuit (à vil prix, de 60 centimes à 1,40 euros selon le format). Il y en a littéralement partout, au Japon (ici, personne ne les vandalise) !
       
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      On repasse en mode normal (j'ai soudain noté la présence des filtres, il était grand temps) pour la suite du reportage : la nuit tombe, on s'installe...

      Révisons les forces en présence : coté observateurs visuels, nous avons donc des binoculaires APM150ED (l'étendoir à linge, au premier plan à gauche), un dobson Flextube 350 goto (au fond) et un C11 (au milieu à droite). Coté imageurs, nous avons un C8, un Seestar et plusieurs lunettes de diamètres 60 à 80mm, équipées de leurs cameras rouges, ventilées et cylindriques (j'y connais rien, ça se voit, non ?). En fait, la plupart des astrophotographes sont installés hors champs, sur le parking situé en contrebas du nôtre. Nous ne nous sommes pas mêlés à ces individus, je rappelle aux distraits qu'ils puent (si vous voulez savoir pourquoi, la réponse est au bistrot. J'ajoute qu'étant dans une zone non-asphaltée, ces gens sortent de l'oeucumène et s'exposent à des attaques d'ours féroces. Après l'hivernage, ils ont bien les crocs).
       
      Intermède culturel : L'énorme nain jaune avec un bâton de marche, au loin, est un dieu du voyage (normalement ils sont deux, j'imagine qu'ils n'avaient plus le budget pour l'autre). Il invite les visiteurs à se taper la tétrachiée de marches de l'escalier de montagne qui mène au shrine (hors champs, très haut sur la droite). Vous aviez remarqué le Tori ?
       
      On plonge au coeur de l'action !

      Ce n'est pas évident mais comme l'indique le rouge issu de ma frontale, il fait déjà presque nuit !
       
      Un peu plus tard, je me relaxe sous l'oeil (de poisson) narquois de mon p'tit Sony Nex... on n'est pas bien, là, détendus du flan ?

       
      Vers 3h du matin, le lever de la Lune (et de Saturne) referme un très plaisant chapitre de ma vie d'astronome exilé au japon. Mais je ne saurais conclure ce post ainsi, vous n'êtes pas venu(e)s pour subir ma loghorrée textuelle, mais pour les astrophotographies promisent par la catégorie... Donc, place aux oeuvres !
       
      J'entame les hostilités avec Messier 20.
      C'est une image qui mixe deux photographies de 20 minutes de poses chacune (120x10s) : une série sans filtre, pour récupérer un max de données dans le bleu, l'autre avec, pour affiiner les étoiles et bien saturer dans le rouge.

       
      En visuel (je vous fais le compte-rendu d'observation dans la foulée, c'est fromage et dessert !) aux 150ED : les nébulosités principales (en rouge) sortent beaucoup mieux avec un filtre UHC que sans. Les chenaux sombres sont bien visibles.
       
      A suivre !
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