stéphane

soleil halpha du 1er Mars à la fs60 et sm40DS

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Superbes images ! Je songeais à bientôt me mettre au solaire avec ma petite FS60, ces clichés risquent d'accélérer le processus :D

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Très jolie cette série solaire :)

Bonne soirée,

AG

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Très belle série solaire, bravo!

 

Daniel

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Il y a 5 heures, stéphane a dit :

ADC (à 75%)

 

Tes images sont très sympas, bravo!

Mais pourquoi donc avec une bande passante inférieure à l' Ǻ te servir d'un ADC?

 

 

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merci à vous :)

 

@astrovicking l'ADC sert à enlever les anneaux de Newton avec brio :) (et bien plus facile à régler qu'une bague de tilt). De plus, il me sert de corps pour la barlow en même temps ... et je n'ai pas noté de baisse de luminosité. Bref, que du bonheur! :)

 

a+

stéphane

  • J'adore 1

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Belle série, et chouette image d'ambiance !

Bravo :) 

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Il y a 3 heures, stéphane a dit :

l'ADC sert à enlever les anneaux de Newton avec brio

 

OK!!!

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    • Par Sonne
      Bonjour,
      Avant de partir pour voir @jlb73, je profite du beau temps pour faire qques images du Soleil. J'installe l'ETX90 vers 10h00 (HL) car plus rapide à mettre en œuvre que le 180. Je ne veux pas partir trop tard, j'ai un peu de route à faire.
      ETX90 - Foyer - Basler IMX 265 - Astrosolar ND3,8 - Filtre Vert - Genika - AS3
       
      (Clic droit : "ouvrir dans une nouvelle fenêtre" pour les voir en grand)
       
      AR13664 :
       

       
       
      AR13663 et 13666 :
       

       
       
      AR13667 et 13670 :
       

       
       
      Je suis entrain de terminer le traitement des images prises avec le Mak180, chez Jean-Louis.
       
      Jérôme
    • Par soleil rouge
      En double stack , le super Flare solaire du 13 Mai 2024 avec la lunette de 185 mm Apo Askar
      et deux étalons PST Coronado , camera Player one , Barlow 2x 
      les deux dernières image se situe vers la fin du phénomène 



    • Par serge vieillard
      Yo !
       
      De retour d’une semaine astro dans les hauteurs provençales joliment profitable à plus d’un titre. D’abord le plaisir partagé de retrouver les copains, de prendre du bon temps ensemble. Et du temps disponible, il y en eut à foison, la météo de début de semaine ayant été particulièrement aquatique, giboulées printanières tant bienfaitrices que destructrices, et conchiée en ce qui nous concerne. Les trois premières nuits étant définitivement hors sujet, seules les débuts de journée montraient un ciel au bleu affirmé ponctué de jolis cumulus qui inexorablement prenaient de l’ampleur et de la noirceur jusqu’à tout masquer et se déverser en copieuses précipitations. Et ces débuts dégagés furent joliment mis à profit pour observer le Soleil, tant en visible avec Astrosolar ou prisme de Herschell, qu’en H alpha avec une belle collection de petites Lunt. Des comparatifs ont mis en valeur une évidence profitable, celle de changer le filtre IFT d’origine par un truc de meilleure qualité à moins de 100 €, offrant ainsi une vision dotée d’une pêche incomparable à l’oculaire – achat à mon avis infiniment plus profitable qu’un double stack en comparaison des coûts.
      Ce Soleil, comme constaté de longue date, présente une santé éclatante, pétante de joie et d’énergie. Dans le visible, un gigantesque groupement de tâches est visible à l’œil nu et se révèle comme une zone vérolée à l’oculaire. On y dénombre une soixantaine de petites formations qui s’agglomèrent en une seule entité. Faute de temps et jugeant l’exercice chronophage, je n’aurais pas l’occasion de la dessiner. En H alpha, l’intégralité du limbe est hérissée de protubérances aux aspects agréablement variés : petites flammèches torsadées ici, arches discrètes plus loin, champ de brindilles autre part, filaments hébergeant pour quelques minutes des éclats de lumière incomparables et cette énooooorme et dodue protubérance. Ce sera mon fil rouge tout au long de la semaine qu’il me plaira d’observer à la Lunt 50 et coucher sur le papier, témoignant de son évolution.
      On note sur le premier du  7 mai ce gigantesque complexe, probablement le plus étendu que je n’ai eu l’occasion d’observer. Il est un amalgame de plusieurs zones actives. Pour la coquetterie et comparaison, j’ai posé un système Terre-Lune pour donner une idée approximative des formidables dimensions.
       

       
      Deux jours plus tard le 9 mai, elle devient une corne monumentale finement texturée dont je n’aurais pas le temps de la détailler entièrement, ces coquins de nuages stoppant la récréation – d’où cette partie plus évanescente en partie basse traitée en esquisse rapide à travers les nuées.
       

       
      Le lendemain 10 mai, l’extrémité de cette griffe rejoint le limbe en une élégante arche bien dense tandis qu’à l’opposé, une extension déjà présente s’affirme davantage.
       

       
      Et le 11 mai, au lendemain de l’extraordinaire évènement nocturne du festival des aurores, cette arche se dissout, comme évaporée, peut-être l’une des origines de la tempête aurorale.
       

       
       
       
       
      La nuit du 10 au 11 mai restera dans toutes les mémoires des innombrables témoins de ce rare phénomène. Pour ma part, il débuta à la fin d’un joyeux diner où l’on jugea bon d’interrompre les agapes et se mettre enfin à la besogne nocturne, le crépuscule étant bien affirmé. C’est alors que, faisant mon pissou au pied d’une haie où déjà chante le rossignol, je remarque cette étrange anomalie, celle d’un ciel tout rouge sur une vaste étendue. Au même instant, la joyeuse équipée explose en Viva tonitruants : les auroooooooores !!!!! Phénomène que nous espérons tous au regard des indicateurs de kp et autres paramètres de circonstance, mais de là à imaginer un tel spectacle… Nous sommes sous le 45° parallèle et, outre ces lumières intenses et colorées, voilà que s’invitent des rayons verticaux formant colonnes et piliers grimpant au-delà de la polaire. C’est le branle-bas, ça cavale en tout sens de peur que le phénomène ne s’estompe et s’achève : « merdum ! Où j’ai foutu mon appareil ? Et mon pied, qui a pris mon pied ??? Gaffe, tu emplafonnes mon instrument !!! Yaaaa, j’suis en teeshirt et ça caille !!! etc… ». Mais le spectacle dura toute la nuit, permettant d’en jouir à satiété, délaissant inexorablement les instruments pour la contemplation béate le nez au septentrion affalé dans des fauteuils.
      Les deux premiers dessins sont réalisés en tout début de nuit, avec une Lune encore présente, probablement vers 22h30. Le rouge-rosé est incomparable, d’une saturation et d’une évidence stupéfiante. Même sous les contrées boréales comme l’Islande où j’ai pu en observer de remarquables, je n’ai jamais perçu une telle intensité dans les couleurs.
       

       
      Quelque temps après (24h ?) le rouge s’évanouit subtilement et fait place à un vert phosphorescent bordée d’un discret bleu-violet. C’est la fin du premier acte et l’on retourne à nos oculaires, sans grand succès le ciel étant délavé de ces lueurs improbables.
       

       
      Et voilà que ça recommence, c’est encore plus étendu que la première fois, tant latéralement qu’en hauteur, baignant le début de la Grande Ourse, titillant le Cygne, montant quasi au zénith. Les piliers forment un gigantesque éventail, quelqu’un a évoqué un bouquet de fleur. C’est un festival coloré où le rouge domine, mais aussi le vert et des nuances bien plus discrètes bleu et violet.
       

       
      Le dernier dessin s’imposait par son côté particulièrement explosif et intense, avec l’incroyable présence d’un bas de draperie verdâtre, quant soudain, un météore s’invite au tableau. Il y a de quoi être comblé et d’abandonner les crayons avec ce point d’orgue, passant inexorablement en mode contemplatif.
       

       
      La suite à venir, car il y eut un peu autre chose que le Soleil et ses caprices... 
       
  • Évènements à venir