Discret68

Piloter un Sol’Ex en remote, ce n’est pas possible ? Eh bien si ! A priori.

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C'est fabuleux :) Je dis chapeau pour tout ce super boulot :)

Bonne soirée,

AG

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Quel beau travail !

 

C'est toujours étonnant de voir le foisonnement d'idées depuis le lancement du projet Sol'Ex par Ch. Buil début 2021.

Merci pour le partage, en attendant les premiers scans.

 

Jean-Pierre

 

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Merci à vous pour vos encouragements. Je viens d'imprimer un nouveau palier arrière réglable afin de voir si cela corrige mon problème actuel d'image qui se décale.

 

Il y a 6 heures, JPMasviel a dit :

C'est toujours étonnant de voir le foisonnement d'idées depuis le lancement du projet Sol'Ex par Ch. Buil début 2021.

 

Il est vrai que ce système constitue une bonne base et se prête bien à des modifications ou évolutions.

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C'est tout de même assez dément. Un magnifique travail. Je pense que l'on est tous impressionné, moi en tout cas !

 

Parfois je me dis que heureusement que je ne suis pas en remote ;-)

 

Bon venons en à cette histoire de décalage du spectre lorsqu'on tourne le réseau. Tu n'est pas le premier à avoir ce soucis, et j'avoue que c'est un peu de ma faute car il faut aller au bout des explications, ce que je n'ai pas fait.

 

Le problème vient de la combinaison des inclinaisons et rotations. Pour être expéditif, j'ai montré le truc des cales sous la roue du Sol'Ex. Mais c'est un pis-aller, une solution un peu simpliste. Elle marche pour une position donné du réseau : on arrive à centrer le spectre autour de Halpha, par exemple. Mais voila, l'ajustement n'est pas fait là ou il devrait être fait. Ce n'est pas le plan de la roue que l'on doit ajuster, mais pour être rigoureux, c'est le support réseau sur la roue qu'il faut basculer légèrement. Comprenez : le plan du réseau ne passe pas par l'axe de rotation du réseau., comme si le réseau était basculé en avant et en arrière. C'est cela qu'il faut corriger, donc an niveau du support réseau, et pas l'inclinaison de l'axe de rotation.

 

Pourquoi ? Car quant on tourne le réseau, l'angle de tilt que l'on a produit tourne aussi, il est entrainé. Ce n'est pas ce qui se passe lorsqu'on met une cale à l'extérieur qui agit sur la manette (dans ton cas Discret69, c'est la même chose avec ton réglage à 3 vis).. Ici,cet angle fixe sur le boitier, fait que la normale au réseau (la surface à son plan) change alors suivant la longueur d'onde choisi. Vous pouvez raisonner aux extrême pour mieux comprendre : en tournant le réseau d'une demi-tour (180°) la normale par rapport à l'axe de rotation change de signe. Il ne faudrait pas : l'angle de basculement du réseau devrait être constant en valeur et en signe. 

 

Donc, ta correction ne va jamais marcher dès lors que tu t'éloigne de la position de réglage optimal (Halpha par exemple).

 

J'espère que j'ai été à peu près compréhensible, avec les mains ce n'est pas trop facile, faudrait dessiner la cinématique. je suis vraiment désolé d'avoir été aussi imprécis. Je tacherais de faire un correctif dans une prochaine vidéo et sur la doc, qui montre où il faut vraiment agir : sur le support réseau lui-même (à moins qu'il soit usiné parfaitement orthogonal à l'ace de rotation et que ce même axe soit perpandiclaire à l'axe optique qui passe par le centre du capteur,  mais en fait ce n'est pas possible d'être aussi précis par construction - même sur les spectro professionnels - mais j'ai fait l'impasse sur ce réglage en donnant une solution médiocre, i.e. par de rotation du réseau). J'en suis désolé,  on va corriger cela.

 

Christian

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Il y a 17 heures, cbuil a dit :

Le problème vient de la combinaison des inclinaisons et rotations. Pour être expéditif, j'ai montré le truc des cales sous la roue du Sol'Ex. Mais c'est un pis-aller, une solution un peu simpliste. Elle marche pour une position donné du réseau : on arrive à centrer le spectre autour de Halpha, par exemple. Mais voila, l'ajustement n'est pas fait là ou il devrait être fait. Ce n'est pas le plan de la roue que l'on doit ajuster, mais pour être rigoureux, c'est le support réseau sur la roue qu'il faut basculer légèrement. Comprenez : le plan du réseau ne passe pas par l'axe de rotation du réseau., comme si le réseau était basculé en avant et en arrière. C'est cela qu'il faut corriger, donc an niveau du support réseau, et pas l'inclinaison de l'axe de rotation.

Bonjour Christian, c'est un problème récurrent avec une solution somme toute assez simple.

Le réglage de la position correcte du réseau s'obtient en deux ou trois aller-retour et c'est implémenté dans le modèle en votre possession.

Les deux vis tirantes (7) permettent de basculer le support du réseau d'avant en arrière donc la face du réseau  peut être perpendiculaire à la face d'appui de la manette tandis que les deux vis poussantes (5) permettent de basculer le support réseau de droite à gauche de façon que les stries du réseau soient perpendiculaires au plan d'appui de la manette et donc finalement parallèles à l'axe de rotation de la manette.

La surface de guidage en ''tonneau'' est précisément une portion de sphère de diamètre très légèrement inférieur à l'alésage de passage du support réseau, ainsi ce guidage en rotation est insensible au basculement du support réseau résultant du réglage. Si le réglage n'est pas parfait, les boutons d'immobilisation de la manette permettent en ajustant leur pression de finaliser très simplement le centrage du spectre dans la fente. J'ai aussi été confronté à un phénomène de ''slip-stick'' résolu en frottant du savon noir sur la portion de sphère. De la bougie (paraffine) conviendrait aussi. L'interface boîtier manette peut être traité de la même façon.

 64cae919064bf_Nomenclature_SolEx_Page3-300dpi.thumb.jpg.f6df4c1644a22c9382b3244e2cc718c6.jpg

Cordialement

Rolumix

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Salut Christian et merci pour ta réponse.

 

Je ne suis pas sûr d'avoir compris tes explications, mais je sais Ô combien il est difficile d'expliquer des situations en 3D.

 

Néanmoins, pour essayer d'avancer sur la compréhension de la problématique, serais-tu en train de suggérer qu'il faut caler le réseau sur son support à l'aise d'une cale comme je l'ai représenté sur le schéma ci-dessous (cale rouge ou cale bleue) ?

 

image.png.e0b6d911383ec1d9599c283b83909d28.png

 

Ou faut-il relever ou abaisser la face supérieure du réseau pour la placer sur l'axe de rotation du réseau par ajout des 2 cales ou retrait de matière au niveau du support ?

 

Par rapport à la proposition de Rolumix, j'ai effectué, il y a quelques jours, un remplacement du palier arrière de mon système par un palier avec 2 axes de réglage perpendiculaires. Mais vu qu'on a pas de soleil en ce moment, je n'arrive pas à atteindre un niveau de luminosité suffisant pour effectuer les réglages. Patience !!

 

Sur le schéma, on voit également les 2 parties en forme de tonneau qui servent au centrage/guidage.

 

Jean-Pierre

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Jean-Pierre, ton dessin avec la cale rouge décrit précisément ce que je veux dire. C'est une solution qu'il m'est arrivé d'utiliser dans les cas dur, toujours avec des petites lamelles de ruban adhésif alulminium (il faut voir que chaque support à un peu sa signature sur ce point). C'est une solution du "pauvre", sans "grosse" modification, pour dépanner l"existant si le besoin ce fait vraiment sentir. C'est de la bricole (mais qui marche) et il est clair  qu'il y a des façon mécaniques plus nobles pour arriver au résultat comme on le voit dans ces échanges.

 

Christian 

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@Discret68

Si tu choisis de caler le réseau de cette façon, le réglage va être sportif car ça implique de retirer l'ensemble, le démonter, changer les cales et ainsi de suite sans être assuré que le réseau suive précisément la modification.

Il manque d'ailleurs les cales pour le réglage gauche droite sur la petite face supérieure de ton support. C'est pourquoi j'ai cherché une solution réglable de l'extérieur, sans démontage intermédiaire...

Dans les faits, les réglages sont subtils si les impressions 3D sont de qualité, dans les minutes d'arc voire les secondes d'arc, pas des degrés. Tu remarqueras que mes vis poussantes agissent en comprimant la mousse, je n'ai pas fait de trou.

Ceci dit, sacré projet!

Cordialement

Rolumix

Modifié par Rolumix

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    • Par Bernard_Bayle
      Bonjour tout le monde
       
      Avec les données que j'ai téléchargé sur le site de © NASA/SDO ©
      j'ai pu réaliser cette animation ( pas mal de boulot )
      @ValereL ça devrait te plaire
       

       
      Bernard_Bayle
    • Par Benjamin Poupard
      L’histoire dans laquelle vous allez entrer est certainement une histoire que l’on peut qualifier de fantastique ! Pour preuve, vous y traverserez le Mordor, y croiserez un Grand Ancien, et il arrive même qu’on y mange des madeleines ! Mais c’est pourtant bien une histoire d’étoiles. Et elle commence avec… une liste !
       
      Peut-être que vous aussi, vous tenez une liste de trucs à vivre au moins une fois dans votre vie ? Comme, vous savez, visiter le Machu Pichu … ou manger de la purée avec les doigts. L’astronome qui sommeille en moi tient également une telle liste, d’ailleurs assez longue. Dans cette longue liste, j’ai déjà pu cocher “observer une éclipse totale de Soleil”, “observer une pluie d’étoiles filantes”, “voir la lumière zodiacale”, et d’autres trucs plus exotique comme “voir Triton” ou “dessiner une supernova”... Mais la case “aurores boréales” restait encore à cocher !
       
      Pas la case la plus facile à remplir, soit dit en passant, puisque pour des raisons mêlant géographie et magnétisme terrestre, les aurores restent rares aux latitudes qui sont habituellement les miennes, obligeant alors à envisager de voyager plus vers le nord. Il arrive toutefois qu’en période d’intense activité solaire, on arrive à en photographier quelques bribes rougeoyantes jusque chez nous. Mais voilà, de mauvais concours de circonstances ont fait que je n’avais jamais réussi à photographier une aurore boréale … jusqu’à cette soirée du 10 mai. 
       
      Mais je me perds déjà, et commence mon histoire par la fin !
       
      Il faut donc remonter le fil de cette histoire, revenir quelques heures en arrière, au matin de ce 10 mai, et surtout jeter un oeil à 150 millions de kilomètres d’ici : c’est en effet à la surface du Soleil que tout commence.
       
      Et en ce moment, notre Soleil est sacrément vénère ! Suivant un cycle de 11 ans, il est actuellement en période de maximum d’activité. Installée sur mon téléphone, mon appli de monitoring solaire (oui oui, pour les non-astronomes, sachez que ça existe) me tient constamment au courant des sautes d’humeur de notre étoile. Et depuis le début de la semaine, je reçois des “X-ray alerts” à un rythme particulièrement soutenu. En cause, une tache solaire particulièrement active, baptisée AR3664, qui balance allègrement des grosses bouffées de plasma (autrement dit un joyeux mélange de protons et d’électrons baignés par des champs magnétiques  - je vous la fais courte) dans l’espace !
       
      Un peu plus tôt dans la semaine, pas moins de six bouffées de plasma ont quitté la surface du Soleil en une journée … Expulsées à une vitesse qui avoisine les 1000 km/s, elles doivent rencontrer la Terre quelques jours plus tard.
       
      Ce vendredi matin, les bouffées de plasma sont encore à quelques millions de kilomètres. Sur Terre, et plus particulièrement dans mon jardin, il fait beau. Et en dehors de quelques mauvaises herbes à arracher, je n’ai pas grand chose à faire … J’installe donc la lunette entre les rosiers et le séchoir, je sors le filtre de Herschel, une caméra et me prépare à faire connaissance avec AR3664.
       

      Le Soleil, photographié à la L100/900, équipée d'un Herschel Baader, avec une QHY 178MM
       
      Il faudrait avoir oublié de mettre le filtre de Herschel pour ne pas la voir (conseil : ne faites pas ça.). Car, oui, AR3664 est énorme !

       
      Petite parenthèse en passant : au-delà d’une certaine taille et un certain degré d’activité, il ne me semblerait pas irraisonnable que les taches solaires se voient attribuer un nom en lieu et place de leur numéro. Un peu comme on le fait sur Terre pour les cyclones et les tempêtes. D’ailleurs, je me lance ! Et c’est en fouillant dans le bestiaire des monstres de la littérature fantastique, en traversant l’imaginaire lovecraftien, que je tombe sur la créature qui incarne au mieux ce monstre solaire… Chtugha. 
       
      “Cthugha est décrit comme une entité liée au feu et à la chaleur, émergeant des abysses incandescents de l’univers. Ses origines sont enveloppées de mystère, mais il est souvent associé à des phénomènes cosmiques tels que les étoiles en fusion et les incendies célestes.” MAIS OUI !!!Dans l’oculaire, ce que je vois, c’est exactement ça : un véritable monstre aux ramifications multiples évoluant au milieu du feu solaire, qui pourrait engloutir plusieurs dizaines de planètes Terre ! Va pour Cthugha !
       

      AR3664, photographiée à la L100/900 + Barlow x3, équipée d'un Herschel Baader, avec une QHY 178MM
       
      Un peu plus tard dans l’après-midi, je pars pour une nouvelle séance d’observation, mais cette fois derrière le Coronado du planétarium. Cthugha est toujours aussi en colère : ses yeux me dardent de rayons incandescents ! Au même moment, mon appli me signale d’ailleurs qu’une nouvelle éruption vient d’avoir lieu, là, juste sous mes yeux ! A cet instant, la colère du Soleil se manifeste un peu partout, à sa surface sous la forme de taches brillantes, sur son pourtour sous la forme d’immenses protubérances. J'emmagasine les images, qui occuperont quelques soirées pluvieuses.
       

      Le Soleil au Coronado 70, photographié avec la QHY 178MM, et une turbu assez dingue ...
       
      Pendant ce temps, le plasma fumant de Cthugha touche bientôt au but. De retour à la maison, je constate d’ailleurs que la fièvre s’empare des groupes astro sur les réseaux sociaux : “la tempête solaire n’est prévue que pour la fin de la nuit, mais tenez vous prêts, chargez les batteries de vos appareils-photo, videz les cartes-mémoires et prévoyez une réserve confortable de madeleines, car on n’est pas à l’abri d’une bonne surprise !”.
       
      Observation solaire le matin, observation solaire l’après-midi : la besace à images est déjà bien pleine. Mais y ajouter une photo d’aurore boréale, ce serait la cerise sur la madeleine.
       
      Je prépare mon matériel, et croise les prévisions météo terrestre avec les dernières infos concernant la progression de la tempête afin de caler un point de chute : ce sera près de Rocquigny, en pleine Thiérache.
       
      Pour ceux qui ne connaissent pas, la Thiérache, c’est la Terre-du-Milieu-de-Nulle-Part, c’est l’équivalent ardennais du Mordor ; il suffit juste de remplacer la tour de Sauron par des éoliennes.
       
      C’est d’ailleurs au nord de Rocquigny, au pied de l’une de ces éoliennes que j’installe mon pied-photo. Histoire de prendre la température, je lance une première pose mal cadrée, plein nord, et … l’écran est déjà tout rouge ! La soirée commence à peine, et j’ai déjà coché une case supplémentaire de ma liste des trucs à vivre au moins une fois ! J’ai photographié une aurore boréale !
       

       
      Alors que Jérémy, puis Geoffroy et Stéphanie arrivent, l’aurore s’impose comme une évidence. Pour être plus précis, comme une sorte de lueur crépusculaire intense, à ceci près qu’elle est au mauvais endroit et au mauvais moment.
       
      Puis sonnent les douze coups de minuit (bon, on n’a rien entendu, rapport au bruit des éoliennes), et c’est à ce moment que la soirée a brusquement basculé dans quelque chose qui n’était pas du tout prévu : soudainement, le faux halo crépusculaire s’élève et devient de plus en plus brillant, et en une poignée de minutes, se structure en colonnes de lumière qui atteignent presque le zénith ! Sur les écrans de nos appareils-photo, c’est un feu d’artifice coloré ! A l’oeil nu, les couleurs s’estompent (on devinera par moments quelques nuances rouge, vertes ou bleues), mais le spectacle se déploie en format panoramique.
       

       
      Et me revient cette impression, que j’avais ressenti lors de l’éclipse totale de Soleil en 2006 : les aurores boréales sont certes formidablement photogéniques, mais le cadre étriqué de la photo nous prive de la dimension immersive du phénomène : comment rendre la majesté de ces piliers de lumière qui se dressent devant nous comme les tours d’une cathédrale occupant la moitié du ciel ?
       
      En plus du téléphone, j’avais emmené avec moi mes jumelles “hiboux”, des 2X50 à très grand champ, qui permettent de détailler finement ces piliers, et d’observer leurs lentes translations. C’est beau, c’est grandiose, c’est … incroyable (adjectif utilisé plusieurs centaines de fois ce soir-là ; Jérémy lui préférant toutefois l’expression “mais qu’est-ce qui se passe !”).
       
      Par moments, les colonnes de lumière semblent converger au-delà du zénith, et se livrent à une danse curieuse : les traits de lumière apparaissent, convergent et disparaissent aussitôt, parfois en quelques secondes ! Ce phénomène, s’il porte un nom, reste le plus surprenant de cette soirée !
       

       
      Un peu avant 3h du matin, la tempête retombe, alors que Geoffroy et Steph nous quittent. Malgré la fatigue, Jérémy et moi profitons jusqu’au bout du spectacle … qui redémarre de plus belle ! Et qui se poursuivra jusqu’à se mélanger avec les lumières de l’aurore terrestre, marquant la fin de cette soirée … incroyable !
       

       
      Et alors que Cthugha continue de souffler sur nos têtes, je réalise que je vais pouvoir cocher une case supplémentaire dans ma liste : ce soir, j’ai … vu … une aurore boréale !
       
      --------------------------------------------------------------------------------------------------------------
       
      Les images d'aurores ont été réalisées avec un Google Pixel 7Pro, en mode "astrophotography"
       
      Vous pouvez également jeter un oeil sur le time-lapse de cette magnifique soirée (n'en jetez plus) :
       
       
    • Par Bernard_Bayle
      Bonjour tout le monde
       
      Soleil, Animation du 1er au 13 mai du Groupe de Taches AR3664 qui a généré les Aurores Boréales.
      Avec les données que j'ai téléchargé sur le site de © NASA/SDO et j'ai  réalisé cette animation .
       
       
       
       
      Bernard_Bayle
    • Par Alex29
      Bonjour à tous,
      Avec le retour du beau temps, un soleil déchainé, la semaine dernière était vraiment exceptionnelle.
      Voici une série de photos en Halpha de notre étoile le 9 mai. Je les ai réalisées au Sol’Ex sur une TS Photoline 125/975, équipée d’un prisme de Herschel Lacerta + uv-ir cut + polariseur. Je m’initie au traitement et les ai réalisés avec Inti6 puis combo Registax 6 et Gimp. On m’a parlé d’IMPPG, je vais m’y atteler ! Vos conseils sont les bienvenus.
      J’ai encore du boulot pour traiter la partie protus du limbe sud du 9 mai, puis les datas du 11 mai.
      Bon ciel à tous!
       
      Halpha

       
      Halpha inversion des niveau de gris

       
      Halpha colorisée

       
      Dopplergramme Halpha (un peu de mal à gérer les couleurs après avoir recomposé avec le dp3 et dp-3, je pense que ça crée quelques artefacts)
       

       
      Continuum (avec voile nuag eux)

       
       
       
    • Par Pulsar59
      Hello,
       
      grosse manip solaire aujourd'hui, enfin pas mal de temps à guetter le départ des cumulus pénibles.
       
      Toujours avec le triplet de 80 sur l'AZEQ6, ASI178 mono bin 1, compositage et ondelettes.
       
      Le Hbéta et son Doppler sont intéressants.
       
      Ha et protus :
       

       
      Doppler Ha : 
       

       
      Détail d'un gros effet Doppler sur une protu :
       

       
      H beta :
       

       
      Doppler du Hbeta :
       

       
      Continuum autour de Hbeta :
       

  • Évènements à venir