syncopatte

ascenseur spatial

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il y a 4 minutes, Alain MOREAU a dit :

Comment fais-tu STP ?

 

En haut à droite, à côté de thon nom, il y a une petite flèche bleue pour faire défiler des options, dont "utilisateurs ignorés".

 

C'est là!

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Invité iblack
il y a 16 minutes, Alain MOREAU a dit :

Comment fais-tu STP ?

 

Tu glisses la souris sur sa photo de profil, dans la fenêtre qui apparait cliquer sur ""ignorer l'utilisateur" et finir par "Mettre à jour le profil"

Modifié par iblack

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I know I know I am a real pain in the ass--I will stay away from your humor.

By the way Vauffy has it completely wrong?

Ses insultes ne s'oublient pas si facilement!

Tout ce que je voulais vous faire comprendre x'est qu'il y a un monde bien différent du votre de 5 ou 6 participants sur ce forum avec Vuffy en tête.

Aucune femme voudrait participer à ce genre d'échanges.

Aucune personne avec un peu d'intelligence voudrait participer non plus!

Voila pourquoi ce sont toujours les mêmes qui participent.

Vous n'agrandirez pas votre petite clique. (ossification)

Comme on dit l'union fait la force et bien trop souvent contre la raison!  

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Juste, mais ça n'a absolument aucune importance, tant en effet comme le dit Daniel il ne s'agissait que d'un énième prétexte : la vanne initiale de Daniel n'évoquait en aucun cas une situation où un type aurait "refusé" de montrer dans un ascenseur avec une "fille moche". Absolument pas, c'est tout, c'est simple. La vanne disait juste qu'il fallait éviter de prononcer une certaine phrase, et c'était un jeu de mots en rapport avec le fil… Et ça n'allait pas plus loin que ça, au fait... 

 

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Je suis totalement passé à côté de ces épisodes...

 

Quelque chose me dit que je n'ai rien raté...

 

Sinon, blacklister... Super !  :)

Peut-on se blacklister soi-même quand on est pas satisfait de soi ? 9_9

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il y a 13 minutes, Pascal C03 a dit :

Peut-on se blacklister soi-même quand on est pas satisfait de soi ? 9_9

 .... ;)

Modifié par hamilton

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Purée chus mort de rire :)

L'autr' avec sa morale à 2 balles du politiquement corèque :)

Bientôt faudra plus rien dire et juste avoir le droit de la fermer, surtout pas dire bougnoule, nèg, moche, boudin, raton, black, niacoué, jaune, vert, gonzesse, pouf, pédé, ah oui, tiens les homos ;) les gougnottes aussi, les sourds, les aveugles, les cons  pfff chus à court d'arguments moi :)

 

Mais put. . . que j'aimerai pas être à sa place, et comme je le plains ce pauvre roul en fait de passer à côté de la vie, de la vraie vie, sans prise de tête et avec bonhommie et un minimum d'humour ;)

Mais bon, j'en ai connu aussi, des mecs aussi agréables qu'une porte de prison ;)

 

Mais je vous souhaite une très agréable soirée,

Amitiés,

AG

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il y a 19 minutes, Pascal C03 a dit :

Peut-on se blacklister soi-même quand on est pas satisfait de soi ? 9_9

Non seulement on le peut, mais si on a un tant soit peu de conscience de soi et de respect pour les autres, on le doit ! :D

Parfait, merci Patte et iblack, c'est fait : affaire classée.

S'il y en a qui ont encore la patience, grand bien leur fasse !

Quand à moi je vais m'occuper de choses plus drôles et plus intéressantes :)

L'ascenseur spatial par exemple, qui est un sujet que je trouve passionnant !

Bien que sa réalisation relève encore de la science-fiction, avec de redoutables obstacles technologiques encore à franchir, le concept est en lui-même parfaitement réaliste - en cela qu'il s'appuie sur de la physique bien connue et totalement démontrée, pas sur des hypothèses hautement spéculatives.

Pour moi il ne fait aucun doute que si l'humanité surmonte ses crises actuelles et parvient à prendre en main sa destinée avec un sens un peu plus aigu des responsabilités, il adviendra un temps pas si éloigné - peut-être quelques siècles ? (si on oublie l'humour nippon ;)) - où cette solution pour aller dans l'espace deviendra non seulement possible, mais évidente, et s'imposera naturellement comme la plus économique pour franchir l'étape suivante consistant à s'étendre dans le Système Solaire, au moins pour en exploiter les immenses ressources.

Pour l'instant la chose semble irréalisable malgré les tressaillements de pectoraux de Monsieur Muskle, parce que la technologie dont nous disposons pour aller dans l'espace est ina(e)pte : un "rendement" catastrophique en terme de ratio ressources matérielles & énergétiques dépensées / masse libérée du puits gravitationnel de sa planète...

(oh j'entends bien les protestations de ceux qui prônent la décroissance, mais sans pour autant me prendre pour le grand Hari Seldon, je ne crois pas en la sagesse de l'Homme avant au mieux une grosse poignée de millénaires, et ce serait aussi méconnaitre les fondamentaux de la biologie, qui nous enseignent qu'une espèce s'étend tant qu'elle trouve des ressources lui permettant d'accroître son aire géographique et sa population...)

Or quoi qu'on en dise, le Système Solaire nous tend les bras.

Ok nous n'avons pas encore les bons moyens de transport ni les bonnes sources d'énergie pour l'exploiter, mais si nous continuons de vivre en tant qu'espèce, ça viendra inéluctablement.

Peut-être faudra-t-il d'abord construire un AS sur un corps à gravité plus faible - la Lune ? - pour valider le concept et limiter les conséquences d'accidents de "jeunesse" toujours à redouter sur de nouvelles technologies opérées aux limites du possible du moment...

Certes de nombreux paramètres sont à maîtriser pour en arriver là, de nombreux progrès restent à accomplir, mais il n'y a rien d'utopique à penser qu'ils puissent l'être un jour pas si lointain, dans le cadre d'une évolution normale à moyen terme des sciences et de l'ingénierie.

C'est peut-être et même sûrement le volet politique d'une telle réalisation - impliquant une collaboration planétaire en raison des risques, des coûts, et des impératifs techniques d'une telle entreprise (nettoyage des orbites équatoriales, conséquences en cas d'accident & retombée du câble au sol, etc.) - qui sera le plus difficile à atteindre... Peut-être bien plus que le volet technique !

À ce titre la Lune offre de nombreuses simplifications : faible gravité impliquant des contraintes mécaniques plus réalistes à court terme, dimensions et masse beaucoup plus "raisonnables", conséquences infiniment moins catastrophiques en cas de rupture, pas d'atmosphère donc pas de vents ni de phénomènes météo dangereux à redouter, juridiction moins complexe à la base puisque encore à inventer...

Bien sûr la Lune, vue du plancher des vaches aujourd'hui, reste éloignée dans le temps et dans l'espace, mais depuis l'orbite géosynchrone c'est la porte à côté : pour installer un câble terrestre il faudrait de toute façon hisser tous les matériaux sur ce perchoir.

Alors pourquoi pas une première fronde planétaire chez notre voisine de palier ? :)

 

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Le 28/09/2018 à 19:15, vaufrègesI3 a dit :

Saci, ici il s'agit surtout d'un prétexte, tout est bon pour me flinguer..

 

 

Bah , c'est que de la jalouseté et de la méchanterie , du néant intellectuel ....

 

J'espère que les rovers se réveillent bientôt que tu puisses continuer a nous conter leurs aventures , avec ou sans poissons

 

Faite gaffe quand même avec les gonzesses dans l'ascenseur

 

 

 

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Le 28/09/2018 à 19:15, vaufrègesI3 a dit :

Saci, ici il s'agit surtout d'un prétexte, tout est bon pour me flinguer..

Ben oui tu as raison j'ai lu son contenu il est contradictoire et méprisant décomplexé ce genre de personnage ne va pas te lâcher de si tôt c'est son kif en plus d'être méchant et jaloux.

 

 

 

 

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En tout cas sa marge de manoeuvre (en fait faudrait dire "son créneau" puisque Bentley) devient aussi grande qu'un string entre les fesses.

 

Il est surveillé par les uns et ignoré par les autres.

 

A propos d'humour soi-disant faut pas car c'est pas correct, l'auto-dérision, on peut?

 

 

Modifié par syncopatte
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Bien sympathiques ces deux superbes jeunes femmes mimant un voyage en ascenseur :)

Et au moins y a pas de parole désobligeante ;) 

 

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Invité iblack

Bof, sketch nul...

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Hey, ce sont ne sont pas des pros non plus.

 

Je n'arrive pas à trouver une représentation de l'ascenseur du regretté Pierre Desproges sur scène.

Voici le texte.

A l'attention des illettrés: (cela m'étonnerait qu'ils postent sur AS, mais on ne sait jamais) demandez à votre voisin(e) de le lire à haute voix:

 

http://www.desproges.fr/citations/index/210

 

Ah ben non, je pensais à autre chose, que voilà:

 

Citation

Que Lénine me pardonne, mais il faut vraiment être con ou Soviétique pour supporter la promiscuité d'un con - ou d'un Soviétique - pendant six mois, dans l'habitacle épouvantablement exigu d'une cabine spatiale.
Je me fais cette réflexion chaque fois que je sors d'un ascenseur à moitié rempli d'un autre être humain. 
On se sent rarement aussi profondément mal à l'aise que pendant ces expéditions qui vous laissent face à face et ventre à ventre avec un compagnon de voyage qu'on ne vous a même pas présenté et dont il faut subir la présence inopportune pendant trente-cinq à quarante secondes, pour peu que lui aussi aille au septième. 
Ainsi, hier soir, cauchemar : avant même le lancement de la cabine, qui était prévu aux alentours du moment où l'un ou l'autre déciderait d'appuyer sur le bouton de commande automatique de l'appareil, je devinais d'emblée qu'il ne me faudrait attendre de cet homme, nulle tendresse, nulle chaleur humaine, rien de ces petites attentions délicates partagées qui font le charme des randonnées amicales.
De mon côté, je ne me sentais en rien poussé vers lui.
L'idée ne m'effleura même pas de partager avec lui ma passion pour les chroniques de Vialatte et les bordeaux vieux, ou mon mépris pour le football et les endives braisées, ou alors il faut mettre très tès peu d'eau, afin que l'endive "transpire" un maximum, et relever le plat d'une pincée de poivre vert moulu qu'on aura soin de saupoudrer en toute fin de cuisson, afin de n'en pas épuiser le fumet. 
Entre cet homme et moi, le malaise s'installa dès l'instant du décollage.
Alors que je pointais l'index vers le bouton "7", dans le but de faciliter le déclenchement électronique destiné à provoquer l'ascension de la cabine, dont une surpression hydraulique maintenait jusque là l'adhérence au sol, le bougre eut la velléite d'en faire autant.
Si bien que nos mains se frôlèrent assez sottement près du tableau de bord. 
Aujourd'hui encore, je n'évoque pas sans rougir la consternante banalité du dialogue qui s'ensuivit :
- Ho.
- Ah, euh.
- Hin, hin, hin.
- Quel étage ?
- Septième.
- Moi aussi.
- Hin, hin, hin.
- Hin, hin, hin. 
Le décollage, cependant, s'effectua sans histoire.
Nous avions presque dépassé le premier étage quand je sentis que son regard était posé sur moi.
Je tournais alors le mien vers lui, afin de l'inciter tacitement à détourner les yeux.
Ce qu'il fit, dans un mouvement de menton qui le contraignit presque aussitôt à regarder le plafond de la cabine avec fixité, attitude qui augmenta encore le ridicule de la situation dans la mesure où il n'y avait strictement rien à voir sur le plafond, dont la totale platitude n'était pas sans évoquer les plus belles pages d'Henri Bordeaux. 
Afin de dissiper notre gêne qui devenait presque intolérable aux abords du troisième étage, je tentais de siffler, à bouche chuintée, les trois premières mesures du refrain des "Feuilles mortes" de Prévert et Kosma, poursuivant dans cet effort le double but d'égayer musicalement notre habitacle et de faire croire à mon compagnon que je ne ressentais pas la tension angoissante de ce moment terrible. 
Malencontreusement, l'homme dut faire exactement le même raisonnement, et se mit simultanément à fredonner "Le petit Quinquin" dans un murmure timide mais parfaitement distinct.
Quoiqu'à peine audible, la cacophonie scandaleuse qui en résulta m'atteignit comme un camouflet au niveau du quatrième. 
Une bouffée de désespoir existentiel m'envahit.
La vie m'apparut soudain plus vaine et la fraternité humaine plus improbable.
Je portais instinctivement ma main à ma bouche pour y étouffer un toussement volontaire, destiné à créer la diversion, comme disent les commentateurs de matchs de football, dont le quotient intellectuel n'atteint qu'exceptionnellement le chiffre de la température anale, mais hélàs, dans ce geste de bienséance banale, je heurtais légèrement, d'un coude hardi, la zone periombilicale du gilet de l'autre, qui me tourna immédiatement le dos, dans un mouvement d'autoprotection instinctive, auquel me semble-t-il, il faut ajouter un irrépressible besoin de me masquer son trouble et d'empêcher aussi la reprise inévitable du dialogue déjà entrepris avant le lancement : ho, euh, hin, hin, hin.
Je dis "mais hélàs", car à l'issue de ce demi-tour spontané, et compte tenu de l'étroitesse de la cabine, cet homme et moi nous retrouvâmes, malgré la solennité incontestable de nos costumes croisés et le sérieux de nos attaché-cases, dans la position équivoque de la sodomie verticale. 
Aussi inébranlables soient la virulence habituelle et la force tranquille dont s'honore mon hétérosexualité latente, malgré aussi la virilité de la nuque rase, et la forte senteur de tabac gris qui émanait du cadre supérieur auquel j'étais ainsi accolé, j'en vins à prier Dieu de m'épargner la honte suprême d'une involontaire érection, toujours à craindre en cas de contact intempestif entre deux chairs humaines vivantes. 
Une telle manifestation de ma sanguinité n'aurait fait qu'ajouter encore au grotesque de la situation, notamment à l'approche du septième ciel, alors même que l'idée de partager la vie de cet homme, ne fût-ce qu'une seconde de plus, me paraissait absolument intolérable. 
Pour comble de misère, je compris, quelques instants après l'atterrissage, que cette personne était l'homme avec lequel j'avais rendez-vous pour aller visiter sa cave à vin, dont il voulait céder quelques grands crus au plus offrant.
Nous reprîmes l'ascenseur.

 

 

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