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Bonjour à tous,

 

Pensez-vous que qu'il est possible de s'initier aux étoiles doubles très serrées (0.1 à 0.8" d'arc) avec une lunette apo de 152mm et de 1200mm de focale et une camera ASi 224MC avec la technique de la spectroscopie, par le dédoublement et l'identification des raies?

 

Merci,

Claude

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Bonjour,

 

Oui, c'est faisable en spectro mais l faut un spectro d'une certaine résolution, un LHIRES III est une bonne solution (R=18000). En spectro on peut mettre en évidence des compagnons pas visibles optiquement parlant même avec de très gros télescopes, c'est là tout l'intérêt de la spectro car on mesure ici un décalage Doppler des raies des 2 composantes au cours du temps et donc on peut retrouver la période de rotation.

 

Le plus simple c'est de ce faire la main avec par exemple cette étoile (Mizar), facile à faire sur quelques nuits :

http://www.spectro-aras.com/forum/viewtopic.php?f=6&t=1194

ou

http://www.astrosurf.com/buil/isis/isis_tuto/tuto4.htm

 

Après on peut faire également ce genre de mesures sur un système complexe à plusieurs compagnons et qui ne sont pas séparable optiquement (sauf peut être le VLT) :

http://o.garde.free.fr/astro/spectro/Eta-Orionis-Period.pdf

 

Et on peut encore aller plus loin avec la détection d'exoplanet comme sur cet exemple :

http://www.astrosurf.com/buil/exoplanet2/51peg.htm

 

Pour l'optique, le LHIRES III est optimisé pour un f/d10 mais dans ton cas avec une lunette à f/d 8 cela fonctionnera tout de même (on aura juste un rendement moins bon). Reste que le capteur de l'ASI 224 MC est un peu  petit pour enregistrer la totalité de la largeur d'une raie comme H Alpha ou H Beta et qu'un capteur couleur n'est pas très approprié en spectro (peut sensible, perte de résolution à cause de la matrice de Bayer qui de plus ne vas enregistrer qu'une couleur monochromatique donc sur uniquement les pixels rouges si l'on prend un spectre sur H Alpha, donc que 25% des pixels de la matrice).

Modifié par OlivierG
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il y a 33 minutes, OlivierG a dit :

LHIRES III

En partant, pour me faire la main, avec un 200 lignes/mm je vais pouvoir faire quelques chose sur des doubles entre 0.5" et 1" avec soit ma lunette 152/1200 ou mon maksutov 200/2000, bien que je dédouble visuellement 0.9"?

Histoire de voir…..

Je vois que mon maksutov serait bien plus adapté que la lunette avec le LHIRES III / 2400 lignes/mm.

Modifié par STF8LZOS6

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il y a 35 minutes, OlivierG a dit :

décalage Doppler des raies des 2 composantes

Ok je comprends. C'est le doppler qui permet la résolution. Je pensais que c'était l'écart ….suis-je bête. Lui il reste lié au pouvoir séparateur de l'instrument. Exact?

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Il y a 2 heures, STF8LZOS6 a dit :

Ok je comprends. C'est le doppler qui permet la résolution. Je pensais que c'était l'écart ….suis-je bête. Lui il reste lié au pouvoir séparateur de l'instrument. Exact?

En spectro pour résoudre un système binaire, c'est la résolution du spectro qui compte pas celui de l'optique. L'optique sert ici uniquement à collecter un maximum de photon (une sorte d'entonnoir à photon). 

Dans le cas de binaires non résolues optiquement, on fait donc le spectre de la binaire dans sa globalité et c'est l'analyse du spectre qui permet de mettre en évidence les 2 composantes à condition d'avoir la résolution spectrale requise. On voit ainsi par effet Doppler le mouvement de la raie au cours du temps.

 

Ne pas confondre également la densité du réseau avec la résolution du spectro, ce sont 2 choses différentes. La résolution R d'un spectro est le pouvoir de résoudre 1/R de la longueur d'onde observée. Si par exemple on a une résolution de 1000, cela veut dire que l'on est capable avec ce spectro de voir  des détails de 1/1000 de la longueur d'onde observée. Sur H Alpha Lambda = 6562,8 Å, on pourra avoir des détails de l'ordre de 6,56 Å, avec un spectro R=10000, les détails seront 10x plus petit : 0,56Å. Avec un LHIRES III R=18000 environ, on aura donc des détails sur H Alpha de 0,36Å.

 

Avec un réseau de 200 tr/mm (je suppose que c'est un réseau à transmission ?), on est à des résolutions trop basses pour voir quelques choses de significatif, il faut au moins 5000 à 6000 de résolution pour voir le cas de Mizar. 

  • Merci 1

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Il y a 1 heure, OlivierG a dit :

(je suppose que c'est un réseau à transmission

oui c'est en transmission...et donc je ne peux espérer que faire des spectres et de détecter/identifier des raies. Je crois avoir pigé.

Pour Mizar, et les 5 à 6000 lignes, tu parlais de cette double ci, la double spectroscopique à 0.002 à 0.006" d'arc?

image.png.c15c3a63e20e2bdba6ec7d92db3def96.png

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Oui c'est bien Mizar. Là encore ce qui compte en spectro c'est pas la séparation angulaire mais plutôt la vitesse des 2 composantes et donc le décalage en longueur d'onde qu'il est facile de metre en évidence avec un spectro d'une résolution de 5000 à 6000.

 

Avec un spectro basse résolution, on peut par contre  mesurer la vitesse de rotation autour d'un trou noir (par exemple dans M87) car la vitesse est très importante et donc accessible à la résolution d'un spectro basse résolution du style ALPY 600 ou LISA. Ou encore la vitesse d'éloignement d'une galaxie ou d'un Quasar.

 

le facteur limitant pour un spectro donné et une optique, c'est la magnitude limite. Avec un LHIRES III et un télescope de 300mm par exemple, la magnitude limite va se situé autour de 7-8 selon le SNR que l'on compte avoir sur le spectre par contre avec un ALpy 600 ou un LISA on va pouvoir avec le même setup aller faire des magnitudes 14-15.

  • Merci 1

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Merci pour toutes ces explications OlivierG. Finalement, plus la double est serrée et rapide, mieux on la voit double en spectro. C'est dingue ce truc...

Je vais réfléchir à tout cela, et rejoindre un groupe par la suite me semble la meilleure option.

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      Je détaille ci-dessous tout le cheminement qui m'a conduit à cette réflexion (je devrais plutôt dire transmission  ;o)
       
       
      1) Mes prises de vues avec le 500mm
       
      Ma config :
      Zoom Nikon 200/500mm FD5.6,  réglé à 500mm.
      Autofocus ON
      Plage de mise au point : limitée
      Stabilisateur : ON
      Boitier : D7200 Nikon
      Multiplieur de focale : 1.4
      Focale résultante : 700mm
      FD résultant : 8. à cette valeur, on est à la limite de ce que l'autofocus peut accepter. Il se peut qu'il ne fonctionne pas bien. Et en effet, les prises de vues vont le confirmer.
      De plus comme le boîtier est au format DX, on peut alors considérer que la focale finale obtenue est de 1.5 * 700 soit 1050mm.
       
      Objet photographié : lune du 17 Avril
       
      Réglage boitier :
      ISO fixe : 100
      Vitesse : 1/80s
      Format : RAW
       
      Prise de vue : à main levée bien-sûr
      Heure : 21h20
      Orientation : lune très haute dans le ciel. L'appareil est donc en visée presque verticale, ce qui n'est pas très agréable.
       
      Mais le maintien dans l'axe de la lune est sans doute plus facile que si la visée était horizontale, car le bras gauche qui soutient l'objectif par l'avant, n'a pas à exercer un couple de rappel trop important. En visée horizontale le couple de rappel serait beaucoup plus important et ajouterait davantage de micro-mouvements que devrait compenser le stabilisateur de l'objectif.
       
      Par contre  en visée verticale, la main droite qui tient le boîtier et dont l'index appuie sur le déclencheur, doit supporter tout le poids de l'appareil et rester souple pour ne pas provoquer de crampe par exemple.
       
      J'ai pris 27 images à main levée.
       
      a) Plusieurs problèmes constatés lors de la prise de vues
       
      - la mise au point est très laborieuse : l'autofocus est vraiment à la peine. Lors de l'appui à mi-course du déclencheur, l'autofocus fait de nombreux va-et-vient. Mais lorsque soudainement la mise au point est bonne, j'appuie alors vigoureusement pour prendre la vue. Parfois cela prend plus de temps pour certaines vues.
      Évidemment je pourrais éliminer ce défaut en retirant le multiplieur 1.4. Mais dans ce cas je réduirais aussi la résolution atteinte.
       
      - Tentative de prise de vue en live view : on suit l'image alors directement sur l'écran arrière du boîtier.
      Problème : on n'est pas capable d'apprécier aussi bien la mise au point qu'à travers le viseur optique. Des vues sont floues, il faut alors les rejeter.
       
      Autre possibilité : On bloque la mise au point en manuel.
      Malheureusement elle bouge légèrement. Je pense que je n'ai pas encore bien la maîtrise de ce zoom qui requiert un certain apprentissage.
       
      L'autre souci dans ce type de prise de vue, ce sont les sollicitations importantes que subit la mécanique du boitier. J'aurais pu prendre 100, voire 300 images, mais l'idée n'est pas de faire usage du boîtier Nikon comme d'une caméra astro pour le planétaire, comme on fait en prenant des centaines d'images. Car on éprouverait alors sérieusement la mécanique de l'obturateur et du miroir.
       
      b) Traitement :
      i) PIPP
      - Cropp avec centrage sur lune pour réduire la taille des images.
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      ii) Autostakkert :
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      - toutes les images sont conservées.
       
      iii) registax 6
      Wavelets :
      - réhaussement des contours
      - contraste et luminosité
      Résultat : voir image.
       
      c) Mes impressions :
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      Le traitement avec seulement 27 vues est très satisfaisant. Mais pas à la hauteur de ce que l'on pourrait avoir si l'on avait plusieurs centaines de vues.
       
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      Mais peut-être qu'avec un peu d'entraînement, je devrais pouvoir améliorer l'utilisation du mode live view.
      En lisant le manuel du boitier D7200, je voie qu'en mode miroir relevé, l'autofocus ne fonctionne plus. Il faut donc parvenir à bien verrouiller la mise au point une fois pour toutes aussi.
       
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      2) Conception d'un tube optique stabilisé
       
      Une lunette est constituée d'un objectif et d'un oculaire.
      Comment parvenir à stabiliser l'image dans le chemin optique d'un tel instrument ?
       
      Le stabilisateur optique fonctionne comment ?
      Sur le site "les numériques" un schéma montre le principe implémenté dans les objectifs photos nikon :
      https://www.lesnumeriques.com/photo/la-stabilisation-pu101497.html
       
      Extrait :
       
      "C’est le procédé le plus ancien. Il est apparu avec le Nikkor VR 38-105 mm f/4-7,8 en 1994, suivi l’année d’après par le Canon EF 75-300 mm f/4-5,6. Deux gyromètres piézo-électriques détectent les vibrations, et une lentille flottante qui leur est asservie se déplace perpendiculairement à l’axe optique pour rétablir la fixité de l’image.
       
      Ce type de système a depuis connu des progrès importants, par exemple pour permettre de supprimer les vibrations lorsqu’on suit un sujet en mouvement.
       
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      Les objectifs stabilisés sont maintenant bien au point, de telle sorte qu’ils se sont imposés. Ce qui ne veut pas dire qu’ils soient sans inconvénients par rapport aux objectifs classiques… lorsque ces derniers sont encore en vente. Ils sont un peu plus fragiles, nettement plus lourds et plus encombrants que leur équivalents non stabilisés. On perd aussi, dans le cas de certains zooms, un bon demi-diaphragme sur la plus longue focale. Ils sont également un peu plus chers. C’est bien entendu dans le cas des téléobjectifs que la stabilisation est la plus intéressante."
       
       
      Merci de vos retours,
      Gilles
       


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