Yin_Zhen

Conversion d'un Newton 200/1000 au solaire

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Bonjour

 

Désolé pour mon retour tardif.

Merci pour vos dernières réponses.

 

Je pense que je vais investir dans un 430nm. J'ai déjà trouvé le barillet d'occasion : un réducteur de focale x0,50 Altaïr 1,25".

D'après mes souvenirs, le moins cher a un taux de transmission max de 40%. Du coup, peut-il être utilisé seul ou faut-il une atténuation supplémentaire ? 

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Bonjour à tous, je déterre un peu ce post puisque je suis en train de transformer un vieux 150/750 en solarscope 
mais une question me taraude l'esprit :

comment faites vous la collimation du primaire ?

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il y a 7 minutes, thesmiths a dit :

Vous pouvez toujours utiliser un Cheshire et/ou un collimateur laser.

 

Le cheshire, ça marche avec l'éclairage du Soleil, mais je ne sais pas si c'est assez précis pour la photo haute résolution.

 

Le laser, en plein jour, avec un primaire qui renvoie 4% de la lumière, c'est la misère ! J'ai fait ça un moment en me recouvrant avec ma bâche métallisée pour être dans l'obscurité, mais c'est franchement la galère. C'est peut-être plus praticable avec un laser très punchy, mais je ne crois pas que ça existe dans le commerce. Un moment, j'avais imaginé bricoler un adaptateur pour y mettre mon laser vert, mais je ne suis ni équipé ni formé pour réaliser ça correctement.

 

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J'ai utilisé un collimateur laser rouge normal, mais je l'ai fait à l'intérieur (pas au soleil). En fait, j'ai trouvé que le Cheshire était assez précis. J'ai constaté que la plupart des collimateurs laser ne sont pas bien collimatés et que vous utilisez donc un outil qui n'est souvent pas très précis. Vous devez passer du temps à vérifier (et parfois à démonter) le collimateur laser. 

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Il y a 8 heures, thesmiths a dit :

J'ai constaté que la plupart des collimateurs laser ne sont pas bien collimatés et que vous utilisez donc un outil qui n'est souvent pas très précis. Vous devez passer du temps à vérifier (et parfois à démonter) le collimateur laser.

Exactement ! J'ai eu des galères sans nom avec ça.

Je crois que les modèles très haut de gamme sont à la hauteur là-dessus. Mais bon, faut avoir le budget...

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Il y a 10 heures, christian viladrich a dit :

Le laser vert marche assez bien finalement (pour un miroir à f/5.5).

De quel modèle s'agit-il ?
Il me semble que cette question est déjà passée dans une précédente discussion :/...

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Il y a 1 heure, Yin_Zhen a dit :
Il y a 11 heures, christian viladrich a dit :

Le laser vert marche assez bien finalement (pour un miroir à f/5.5).

De quel modèle s'agit-il ?
Il me semble que cette question est déjà passée dans une précédente discussion :/...

 

C'est un Howie Glatter vert. Il est utilisable en plein Soleil. Cela fait maintenant 3 à 4 ans que je l'utilise.

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merci à tous pour vos réponses.
j'ai un laser vert qui traine quelque part (utilisé un temps pour des petites conférence et aujourd'hui remplacé par une torche XHP70).
et surtout une imprimante 3D qui tourne toutes les semaines :P
avec ça : https://www.thingiverse.com/thing:2383150
Normalement, je devrai bien me débrouiller 

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il y a 38 minutes, christian viladrich a dit :

C'est un Howie Glatter vert. Il est utilisable en plein Soleil. Cela fait maintenant 3 à 4 ans que je l'utilise.

OK, je viens de le trouver sur Astroshop. Il est cheeeeeeeer !!! Et sur un tube fermé, il faut rajouter le tublug en plus !

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il y a 20 minutes, pachytriton54 a dit :

j'ai un laser vert qui traine quelque part (utilisé un temps pour des petites conférence et aujourd'hui remplacé par une torche XHP70).
et surtout une imprimante 3D qui tourne toutes les semaines :P
avec ça : https://www.thingiverse.com/thing:2383150
Normalement, je devrai bien me débrouiller 

Classe !!! :x

C'est précis ? Il doit y avoir un risque de déformation du matériau au serrage dans le PO.

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Le principe c'est de pas serrer, mais d'emboîter en force (quitte à ajouter un ou deux tours de Scotch) pour être sûr d'être parfaitement centré.

C'est d'ailleurs comme ça qu'on devrait toujours utiliser un collimateur laser.

Modifié par pachytriton54
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    • Par thesmiths
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      Gauche : CaH, pile de 13 scans. À droite : H-alpha, pile de 15 scans. Prise le 30 avril 2024, vers 0800 UTC.
      Réseau de 2400 l/mm, 50mm x 50mm. Fente chromée de 9 microns de large sur quartz fondu, 12 mm de long. Capteur IMX178 (Player One Neptune-M). Balayage SR 12x, exposition 4ms, gain 80.
       
      Le collimateur et les objectifs d'imagerie sont tous deux des Pentax Super Takumar. Un simple sac de coton noir offre une protection suffisante contre la lumière. Poids total : 6,7 kg.
       

       
       
       
       
       
       
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      Trouve-t-on des modules tout-faits (lentilles, capteurs, moteurs) pour pouvoir les monter soi-même dans des prototypes d'étude ?
       
      Je détaille ci-dessous tout le cheminement qui m'a conduit à cette réflexion (je devrais plutôt dire transmission  ;o)
       
       
      1) Mes prises de vues avec le 500mm
       
      Ma config :
      Zoom Nikon 200/500mm FD5.6,  réglé à 500mm.
      Autofocus ON
      Plage de mise au point : limitée
      Stabilisateur : ON
      Boitier : D7200 Nikon
      Multiplieur de focale : 1.4
      Focale résultante : 700mm
      FD résultant : 8. à cette valeur, on est à la limite de ce que l'autofocus peut accepter. Il se peut qu'il ne fonctionne pas bien. Et en effet, les prises de vues vont le confirmer.
      De plus comme le boîtier est au format DX, on peut alors considérer que la focale finale obtenue est de 1.5 * 700 soit 1050mm.
       
      Objet photographié : lune du 17 Avril
       
      Réglage boitier :
      ISO fixe : 100
      Vitesse : 1/80s
      Format : RAW
       
      Prise de vue : à main levée bien-sûr
      Heure : 21h20
      Orientation : lune très haute dans le ciel. L'appareil est donc en visée presque verticale, ce qui n'est pas très agréable.
       
      Mais le maintien dans l'axe de la lune est sans doute plus facile que si la visée était horizontale, car le bras gauche qui soutient l'objectif par l'avant, n'a pas à exercer un couple de rappel trop important. En visée horizontale le couple de rappel serait beaucoup plus important et ajouterait davantage de micro-mouvements que devrait compenser le stabilisateur de l'objectif.
       
      Par contre  en visée verticale, la main droite qui tient le boîtier et dont l'index appuie sur le déclencheur, doit supporter tout le poids de l'appareil et rester souple pour ne pas provoquer de crampe par exemple.
       
      J'ai pris 27 images à main levée.
       
      a) Plusieurs problèmes constatés lors de la prise de vues
       
      - la mise au point est très laborieuse : l'autofocus est vraiment à la peine. Lors de l'appui à mi-course du déclencheur, l'autofocus fait de nombreux va-et-vient. Mais lorsque soudainement la mise au point est bonne, j'appuie alors vigoureusement pour prendre la vue. Parfois cela prend plus de temps pour certaines vues.
      Évidemment je pourrais éliminer ce défaut en retirant le multiplieur 1.4. Mais dans ce cas je réduirais aussi la résolution atteinte.
       
      - Tentative de prise de vue en live view : on suit l'image alors directement sur l'écran arrière du boîtier.
      Problème : on n'est pas capable d'apprécier aussi bien la mise au point qu'à travers le viseur optique. Des vues sont floues, il faut alors les rejeter.
       
      Autre possibilité : On bloque la mise au point en manuel.
      Malheureusement elle bouge légèrement. Je pense que je n'ai pas encore bien la maîtrise de ce zoom qui requiert un certain apprentissage.
       
      L'autre souci dans ce type de prise de vue, ce sont les sollicitations importantes que subit la mécanique du boitier. J'aurais pu prendre 100, voire 300 images, mais l'idée n'est pas de faire usage du boîtier Nikon comme d'une caméra astro pour le planétaire, comme on fait en prenant des centaines d'images. Car on éprouverait alors sérieusement la mécanique de l'obturateur et du miroir.
       
      b) Traitement :
      i) PIPP
      - Cropp avec centrage sur lune pour réduire la taille des images.
      - export en Tif pour traitement ensuite dans Autostakkert 3.
       
      ii) Autostakkert :
      - drizzle : 3x
      - dans la fenêtre de visualisation, en passant en revue les 27 images, on voit qu'il y a de la rotation de champ, car à main levée, on bouge imperceptiblement. Et cela se voit parfaitement dans Autostakkert. L'avantage avec Autostakkert, c'est qu'il est justement capable de compenser la rotation de champ entre chaque vue. Un régal de la savoir à l'avance.
      - toutes les images sont conservées.
       
      iii) registax 6
      Wavelets :
      - réhaussement des contours
      - contraste et luminosité
      Résultat : voir image.
       
      c) Mes impressions :
      - mise en place du setup : 5mn
      - Prise de vue assez tranquille et même excitante car on se dit qu'en si peu de temps de mise en place, on est alors déjà en capacité de saisir un phénomène, ce qui est un exploit avec une focale résultante de un peu plus d'1m. Je me dis alors que je vais attendre le passage d'un avion. Mais malheureusement, après environ 20mn d'attente, les avions me narguent tous en passant parfois tout près, mais jamais devant la lune.
       
      Le traitement avec seulement 27 vues est très satisfaisant. Mais pas à la hauteur de ce que l'on pourrait avoir si l'on avait plusieurs centaines de vues.
       
      En contemplant l'image finale, je voie quand même que je suis bien loin de ce que pourrait faire un tube de 90mm d'ouverture et 1m de focale.
      Mais pour un premier essai c'est déjà satisfaisant.
       
      J'imagine alors une caméra astro montée en lieu et place du boitier Nikon D7200.
      Mais peut-être qu'avec un peu d'entraînement, je devrais pouvoir améliorer l'utilisation du mode live view.
      En lisant le manuel du boitier D7200, je voie qu'en mode miroir relevé, l'autofocus ne fonctionne plus. Il faut donc parvenir à bien verrouiller la mise au point une fois pour toutes aussi.
       
      Je me dis que la solution idéale consisterait à reproduire la mécanique du stabilisateur du Zoom 200/500, dans un tube optique dédié pour l'astro.
       
       
      2) Conception d'un tube optique stabilisé
       
      Une lunette est constituée d'un objectif et d'un oculaire.
      Comment parvenir à stabiliser l'image dans le chemin optique d'un tel instrument ?
       
      Le stabilisateur optique fonctionne comment ?
      Sur le site "les numériques" un schéma montre le principe implémenté dans les objectifs photos nikon :
      https://www.lesnumeriques.com/photo/la-stabilisation-pu101497.html
       
      Extrait :
       
      "C’est le procédé le plus ancien. Il est apparu avec le Nikkor VR 38-105 mm f/4-7,8 en 1994, suivi l’année d’après par le Canon EF 75-300 mm f/4-5,6. Deux gyromètres piézo-électriques détectent les vibrations, et une lentille flottante qui leur est asservie se déplace perpendiculairement à l’axe optique pour rétablir la fixité de l’image.
       
      Ce type de système a depuis connu des progrès importants, par exemple pour permettre de supprimer les vibrations lorsqu’on suit un sujet en mouvement.
       
      Dans ce cas, les capteurs différencient les mouvements volontaires des trépidations qui ne le sont pas, et adaptent en conséquence la stabilisation.
       
      Cette différenciation est évidemment indispensable pour un appareil tenue à main levée. Celle-ci était moins efficace sur les premiers objectifs stabilisés, le gain de stabilité était ainsi moins important.
       
      Le système anti-bougé des zooms Fuji de la série X comme le 18-55 mm ou le 40-150 mm est destiné à supprimer à la fois les vibrations rapides de l’appareil et les mouvements involontaires un peu plus amples, tout en ignorant les mouvements volontaires que le photographe veut imprimer à son appareil, par exemple pour suivre un sujet qui se déplace. Illustration *
      Les objectifs stabilisés sont maintenant bien au point, de telle sorte qu’ils se sont imposés. Ce qui ne veut pas dire qu’ils soient sans inconvénients par rapport aux objectifs classiques… lorsque ces derniers sont encore en vente. Ils sont un peu plus fragiles, nettement plus lourds et plus encombrants que leur équivalents non stabilisés. On perd aussi, dans le cas de certains zooms, un bon demi-diaphragme sur la plus longue focale. Ils sont également un peu plus chers. C’est bien entendu dans le cas des téléobjectifs que la stabilisation est la plus intéressante."
       
       
      Merci de vos retours,
      Gilles
       


    • Par M27trognondepomme
      Cet après-midi  entre 2 nuages, j'ai pris cette image Ha des groupes de taches AR3654 et AR3655 avec ma lunette achro SW 120/600 équipéedu  Quark DayStar.
       

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