Question

Bonjour tout le monde, je me suis pris depuis maintenant 2 jours une zwo asi 662mc qui ira sur mon 200/1000 et je me demandais si le mieux était une Barlow ×3 ou ×5 de la marque explorer scientific ?

 

Bonne journée 😉.

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7 réponses à cette question

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salut.

Perso je partirais sur une televue 2X + une ou deux bagues allonge en fonction de la turbulence.
donc en sortie 3x, voir 4X ;)
La 5X c'est vraiment beaucoup trop pour un 200/1000

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Il y a 1 heure, Stiersastro1 a dit :

Bonjour,merci beaucoup de ta réponse oui je vais partir sur une ×3 c'est mieux 😉.

Il ne t'a pas dit de prendre X3 Explore Scientifique.

 

Il t'a dit de prendre une barlow X2 de Televue et d'y ajouter à ton gré des tubes allonges de manière à augmenter un peu plus le grossissement.

 

Explore Scientific c'est bon. Je dirais que c'est dans le haut du moyen de gamme. Mais en astrophoto, c'est un excellent conseil de se procurer une barlow de plus haute gamme. Donc, TeleVue est un meilleur choix. 

 

Mon ancienne barlow (moyen du moyen de gamme) était bonne pour l'observation mais, en astrophoto ... Je me suis procuré une Baader modulable VIP. 

 

La Televue est moins dispendieuse et aussi bonne.

 

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il y a 9 minutes, MCJC a dit :

Il t'a dit de prendre une barlow X2 de Televue et d'y ajouter à ton gré des tubes allonges de manière à augmenter un peu plus le grossissement.

exactement....
faire varier le tirage en sortie te donnera une 2X(sans tirage) une 3Xavec 50mm et une 4X avec 100mm...
Tu joue en fonction de la turbulence ce soir la .
 

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et si on vérifiait ça par le calcul ?

Pouvoir séparateur de ton 200mm: R = 0,6" d'arc

échantillonnage optimum: entre R/2 et R/3, donc e compris  entre 0,2 et 0,3 " d'arc par pixel, en fonction de la turbulence au moment de la prise d'images...

e = 206 x p/F ou p est la taille des pixels (2,9 microns pour ta caméra) et F la focale

donc F1 = 206x2,9/0,2 = 2987

F2 = 206 x 2,9/0,3 = 1991

 

Il te faut une focale résultante comprise entre 2000 et 3000 mm (en arrondissant), soit entre 2 et 3 x ta focale actuelle

 

La barlow APM 2,7x, qu'on peut faire varier facilement de 2,5 à 3x sans perte de qualité, me semble toute indiquée, surtout qu'elle est fait également correcteur de coma, parfait pur les newton ouverts comme le tien.

ou alors la televue 2x ou 3x, au choix, mais surtout pas une 5x!

 

 

Modifié par savoyard
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Le 16/08/2023 à 18:50, xavier2 a dit :

le tirage en sortie te donnera une 2X(sans tirage) une 3Xavec 50mm

c'est le meilleur choix, avec l'APM. Et si tu utilises un jour un ADC (correcteur de dispersion atmosphérique, très utile lorsque l'objet filmé est très bas), il se placera entre la barlow et la caméra et génèrera à lui tout seul un tirage supplémentaire sans voir à rajouter de bague allonge...

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      Ma config :
      Zoom Nikon 200/500mm FD5.6,  réglé à 500mm.
      Autofocus ON
      Plage de mise au point : limitée
      Stabilisateur : ON
      Boitier : D7200 Nikon
      Multiplieur de focale : 1.4
      Focale résultante : 700mm
      FD résultant : 8. à cette valeur, on est à la limite de ce que l'autofocus peut accepter. Il se peut qu'il ne fonctionne pas bien. Et en effet, les prises de vues vont le confirmer.
      De plus comme le boîtier est au format DX, on peut alors considérer que la focale finale obtenue est de 1.5 * 700 soit 1050mm.
       
      Objet photographié : lune du 17 Avril
       
      Réglage boitier :
      ISO fixe : 100
      Vitesse : 1/80s
      Format : RAW
       
      Prise de vue : à main levée bien-sûr
      Heure : 21h20
      Orientation : lune très haute dans le ciel. L'appareil est donc en visée presque verticale, ce qui n'est pas très agréable.
       
      Mais le maintien dans l'axe de la lune est sans doute plus facile que si la visée était horizontale, car le bras gauche qui soutient l'objectif par l'avant, n'a pas à exercer un couple de rappel trop important. En visée horizontale le couple de rappel serait beaucoup plus important et ajouterait davantage de micro-mouvements que devrait compenser le stabilisateur de l'objectif.
       
      Par contre  en visée verticale, la main droite qui tient le boîtier et dont l'index appuie sur le déclencheur, doit supporter tout le poids de l'appareil et rester souple pour ne pas provoquer de crampe par exemple.
       
      J'ai pris 27 images à main levée.
       
      a) Plusieurs problèmes constatés lors de la prise de vues
       
      - la mise au point est très laborieuse : l'autofocus est vraiment à la peine. Lors de l'appui à mi-course du déclencheur, l'autofocus fait de nombreux va-et-vient. Mais lorsque soudainement la mise au point est bonne, j'appuie alors vigoureusement pour prendre la vue. Parfois cela prend plus de temps pour certaines vues.
      Évidemment je pourrais éliminer ce défaut en retirant le multiplieur 1.4. Mais dans ce cas je réduirais aussi la résolution atteinte.
       
      - Tentative de prise de vue en live view : on suit l'image alors directement sur l'écran arrière du boîtier.
      Problème : on n'est pas capable d'apprécier aussi bien la mise au point qu'à travers le viseur optique. Des vues sont floues, il faut alors les rejeter.
       
      Autre possibilité : On bloque la mise au point en manuel.
      Malheureusement elle bouge légèrement. Je pense que je n'ai pas encore bien la maîtrise de ce zoom qui requiert un certain apprentissage.
       
      L'autre souci dans ce type de prise de vue, ce sont les sollicitations importantes que subit la mécanique du boitier. J'aurais pu prendre 100, voire 300 images, mais l'idée n'est pas de faire usage du boîtier Nikon comme d'une caméra astro pour le planétaire, comme on fait en prenant des centaines d'images. Car on éprouverait alors sérieusement la mécanique de l'obturateur et du miroir.
       
      b) Traitement :
      i) PIPP
      - Cropp avec centrage sur lune pour réduire la taille des images.
      - export en Tif pour traitement ensuite dans Autostakkert 3.
       
      ii) Autostakkert :
      - drizzle : 3x
      - dans la fenêtre de visualisation, en passant en revue les 27 images, on voit qu'il y a de la rotation de champ, car à main levée, on bouge imperceptiblement. Et cela se voit parfaitement dans Autostakkert. L'avantage avec Autostakkert, c'est qu'il est justement capable de compenser la rotation de champ entre chaque vue. Un régal de la savoir à l'avance.
      - toutes les images sont conservées.
       
      iii) registax 6
      Wavelets :
      - réhaussement des contours
      - contraste et luminosité
      Résultat : voir image.
       
      c) Mes impressions :
      - mise en place du setup : 5mn
      - Prise de vue assez tranquille et même excitante car on se dit qu'en si peu de temps de mise en place, on est alors déjà en capacité de saisir un phénomène, ce qui est un exploit avec une focale résultante de un peu plus d'1m. Je me dis alors que je vais attendre le passage d'un avion. Mais malheureusement, après environ 20mn d'attente, les avions me narguent tous en passant parfois tout près, mais jamais devant la lune.
       
      Le traitement avec seulement 27 vues est très satisfaisant. Mais pas à la hauteur de ce que l'on pourrait avoir si l'on avait plusieurs centaines de vues.
       
      En contemplant l'image finale, je voie quand même que je suis bien loin de ce que pourrait faire un tube de 90mm d'ouverture et 1m de focale.
      Mais pour un premier essai c'est déjà satisfaisant.
       
      J'imagine alors une caméra astro montée en lieu et place du boitier Nikon D7200.
      Mais peut-être qu'avec un peu d'entraînement, je devrais pouvoir améliorer l'utilisation du mode live view.
      En lisant le manuel du boitier D7200, je voie qu'en mode miroir relevé, l'autofocus ne fonctionne plus. Il faut donc parvenir à bien verrouiller la mise au point une fois pour toutes aussi.
       
      Je me dis que la solution idéale consisterait à reproduire la mécanique du stabilisateur du Zoom 200/500, dans un tube optique dédié pour l'astro.
       
       
      2) Conception d'un tube optique stabilisé
       
      Une lunette est constituée d'un objectif et d'un oculaire.
      Comment parvenir à stabiliser l'image dans le chemin optique d'un tel instrument ?
       
      Le stabilisateur optique fonctionne comment ?
      Sur le site "les numériques" un schéma montre le principe implémenté dans les objectifs photos nikon :
      https://www.lesnumeriques.com/photo/la-stabilisation-pu101497.html
       
      Extrait :
       
      "C’est le procédé le plus ancien. Il est apparu avec le Nikkor VR 38-105 mm f/4-7,8 en 1994, suivi l’année d’après par le Canon EF 75-300 mm f/4-5,6. Deux gyromètres piézo-électriques détectent les vibrations, et une lentille flottante qui leur est asservie se déplace perpendiculairement à l’axe optique pour rétablir la fixité de l’image.
       
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      Les objectifs stabilisés sont maintenant bien au point, de telle sorte qu’ils se sont imposés. Ce qui ne veut pas dire qu’ils soient sans inconvénients par rapport aux objectifs classiques… lorsque ces derniers sont encore en vente. Ils sont un peu plus fragiles, nettement plus lourds et plus encombrants que leur équivalents non stabilisés. On perd aussi, dans le cas de certains zooms, un bon demi-diaphragme sur la plus longue focale. Ils sont également un peu plus chers. C’est bien entendu dans le cas des téléobjectifs que la stabilisation est la plus intéressante."
       
       
      Merci de vos retours,
      Gilles
       


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