jackbauer 2

ExoMars Rover (ESA) 2020

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J'ai un collègue qui ne croit pas du tout à un lancement en 2022... l'Europe va aller quémander quelques participations supplémentaires aux programmes chinois? :S

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Moi non plus :)

Je pense qu'il reste pas mal de progrès à faire xD

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Piqué sur le FCS, une séquence plus longue et plus explicite de l'opération. Je donne aussi le commentaire de FredB, qui accompagne cette vidéo (extrait souligné ci-dessous). Il semble bien renseigné sur les essais en cours :

 


" D'après la vidéo, on voir que le problème vient du déchirement de l'enveloppe du ballon. Est-ce le système automatique qui s'est déclenché trop tôt. (A la fin des vols, quand la nacelle est détachée, l'enveloppe est ouverte en 2 par un système pyrotechnique). Le parachute de récupération de la nacelle est pré-ouvert (on le voit bien au moment du lâchée au début de la vidéo)"


A mon sens, il serait prématuré de sombrer dans un pessimisme total, même si je comprends que ces images puissent donner quelques inquiétudes. B| 

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il y a 54 minutes, Huitzilopochtli a dit :

je comprends que ces images puissent donner quelques inquiétudes. B| 

Oui, c'est raté et les étoiles sont floues :)

Bonne soirée,

AG

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Bonjour: pourquoi ne pas copier ce que l'autres à fait?

Après tout, certains ne se gêne pas à le faire!  ;-)

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ça y est !! :o ça marche !! :o:) Le rover est en action sur le terrain....

 

 

 

heu.... sur Terre :P

 

 

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1.7 m de profondeur, ça c'est du forage ! On peut toujours rêver que le robot fonctionne un jour à la surface de Mars...

 

 

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Notez sur vos agendas :

lancement 20 septembre 2022 (dans 1 an jour pour jour)

débarquement 10 juin 2023

 

Les dates sont susceptibles d'une légère modification xD

 

 

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L'échéance approche...

 

 

 

 

Modifié par jackbauer 2
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Le 04/12/2021 à 10:58, jackbauer 2 a dit :

Un peu trop ?

 

On peut se souvenir du scepticisme que souleva le Skycrane de la mission qui, finalement, déposa délicatement Curiosity dans le cratère Gale .

La complexité du système effrayait quelque peu.

L'innovation est  mariée au risque.

Paraphrasant F. D. je dirai :

De l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace et Rosalind sera sauvée.

Mais aussi, je dois confesser qu'avant de m'inquiéter pour la fiabilité de ce système, le fait de simplement poser notre rover opérationnel sur Mars me préoccupe déjà...

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Une information que nous étions nombreux à attendre je pense. Et qui mérite peut-être plus qu'un simple tweet qui  ne paraît pas complètement conforme à ce qui suit (Mais peut-être es ce dû à mes corrections de la traduction automatique ?) :)  :


https://www.esa.int/Science_Exploration/Human_and_Robotic_Exploration/Exploration/ExoMars/Double_drop_test_success_for_ExoMars_parachutes


Traduction automatique corrigée :


Succès des tests pour les parachutes d'ExoMars


Le plus grand parachute destiné à voler sur Mars a terminé avec succès son premier test de chute à haute altitude, une étape critique pour s'assurer que la mission ExoMars est sur la bonne voie pour un lancement en 2022. Les parachutes du premier et du deuxième étage ont maintenant volé avec succès cette année.


Deux tests de chute à haute altitude ont eu lieu dans l'Oregon les 21 novembre et 3 décembre dans le cadre des essais de parachute en cours, pour assurer l'atterrissage  du rover ExoMars Rosalind Franklin et de l'atterrisseur Kazachok sur la surface martienne, en juin 2023. Le parachute subsonique de 35 m de large, le plus grand jamais lancé pour une mission martienne, était au centre de la dernière campagne d'essais. Ce parachute est fabriqué par la société européenne Arescosmo, avec un soutien fourni par Airborne Systems, basé aux États-Unis.


« Les deux parachutes se sont déployés et ont volé à merveille », explique Thierry Blancquaert, chef d'équipe du programme Exomars de l'ESA. « Nous avons maximisé les leçons tirées de tous les tests précédents et avec ce double succès, suite à l'impressionnant déploiement de parachute du premier étage plus tôt cette année, nous sommes vraiment sur la bonne voie pour le lancement. Nous avons démontré que nous avons deux parachutes opérationnels pour notre mission sur Mars.
L'équipe continuera à tester les parachutes pour s'assurer de leur irréprochable sélection finale, avec le plus d'opportunités de test possibles en haute altitude au cours de 2022, tant pour le parachute du premier que celui du deuxième étage. Nous devions faire voler le parachute du premier étage d'Airborne Systems et le parachute du deuxième étage d'Arescosmo, avant la dernière campagne d'essais en mars 2022.


Réussite des tests pour les deux parachutes :

 

https://www.esa.int/ESA_Multimedia/Videos/2021/12/Double_drop_test_success


Le lancement de la mission ESA-Roscosmos ExoMars est prévu pour avoir lieu en septembre 2022. Après une croisière interplanétaire de près de neuf mois, un module de descente contenant le rover et la plate-forme sera relâché dans l'atmosphère martienne à une vitesse de 21 000 km/h. Son ralentissement nécessite un bouclier thermique, deux parachutes principaux, chacun avec son propre parachute pilote pour l'extraction, et un système de rétropropulsion déclenché 30 secondes avant le "touch down". Le parachute principal du premier étage, de 15 m de large, s'ouvre alors que le module de descente se déplace toujours à des vitesses supersoniques, et le parachute principal du deuxième étage d'une largeur de 35 m, est déployé à des vitesses subsoniques.


Ajuster et tester les parachutes d'ExoMars a été une priorité suite à une série de tests infructueux en 2019 et 2020. Le premier succès en haute altitude a eu lieu en juin 2021 avec le déploiement sans anicroches du premier parachute principal avec l'assistance de Airborne Systems.


Dans cette série de tests, le parachute du deuxième étage (de 35 m de large) fourni par Arescosmo, avait subi un dommage mineur, probablement en raison d'un détachement imprévu de la goulotte pilote, lors de son déploiement. Cependant il avait quand même décéléré le véhicule d'essai comme prévu. Dans les mois qui ont suivi, la fixation de la goulotte pilote a été changé et les renforts en Kevlar ont été remplacé par du nylon sur deux anneaux de la voilure pour mieux correspondre à la résistance et l'élasticité du parachute, ceci afin de réduire le risque de déchirure.
Séquence de déploiement du parachute ExoMars 2022


ExoMars_2022_parachute_deployment_sequen

 

Les ajustements du système de parachute sont d'abord testés sur le banc d'essai d'extraction dynamique de la NASA/JPL, pour vérifier comment se produit la libération du parachute de son sac de rangement, comme cela se produirait dans l'atmosphère martienne. Ces tests peuvent être répétés rapidement et réduire les risques d'anomalies.


Les tests de chute à haute altitude nécessitent une logistique complexe et des conditions météorologiques strictes, ce qui les rend difficiles à programmer. Ils sont souvent annulés au dernier moment si une situation changeante ne les autorise pas. La vitesse et la direction du vent à différentes altitudes doivent être prises en compte pour une ascension régulière du ballon ainsi que la récupération au sol du matériel, étant donné que la zone de largage n'est accessible que par hélicoptère et ne doit pas se trouver dans des zones peuplées. Il ne doit pas non plus y avoir de précipitations, de nuages ou de brouillard, et l'humidité doit être telle que la condensation ne se dépose pas sur l'immense enveloppe du ballon de 335 000 m 3 car cela entraînerait un important ruissellement d'eau sur le module d'essai et son électronique.


Une fois ces exigences remplies et le feu vert donné pour gonfler et lancer le ballon stratosphérique rempli d'hélium, le module d'essai s'élève à une altitude de 29 km. Après la libération du ballon, le déploiement de la goulotte pilote est lancé, qui à son tour tire le parachute principal hors de son sac. 


« Tous ceux qui travaillent sur cette campagne, sur site comme à l'extérieur, ont dû attendre longtemps les bonnes conditions météorologiques pour cette fenêtre de lancement , mais nous sommes finalement ravis du résultat », déclare Thierry. "Après avoir récupéré les parachutes, nous n'avons observé qu'une poignée de très petites et insignifiantes déchirures de 1 à 2 cm et des brûlures de friction sur les deux extracteurs de parachute. Nous pouvons certainement les utiliser tels quels sans aucun souci, mais des ajustements sont encore envisageables et nous scruterons attentivement les résultats des prochains tests au début de l'année prochaine.


Module porteur et module de descente ExoMars


ExoMars_spacecraft_composite_dynamic_bal

 

Les parachutes ne sont qu'un élément de cette mission complexe, qui, après le lancement, verra le module de descente transporter le rover et la plate-forme de surface sur Mars. Des progrès significatifs ont été réalisés dans de nombreux domaines au cours des derniers mois, alors que la phase de test fonctionnel touche à sa fin et que l'attention se porte sur la campagne de lancement à Baïkonour.


"Grâce aux efforts incroyables de tous nos partenaires, nous finalisons les détails de cette mission très complexe pour nous assurer  de son succès", ajoute Thierry. « En parallèle, les préparatifs de la campagne de lancement se déroulent intensément et nous sommes impatients d'expédier les modules du vaisseau spatial et l'équipement de soutien au sol à Baïkonour fin mars/début avril. Une année passionnante est à venir.


Toutes les activités de qualification du système parachute sont gérées et conduites par une équipe conjointe impliquant l' ESA (soutenu par la Direction de la Technologie, de l'Ingénierie et de la Qualité), Thales Alenia Space Italie (maître d'œuvre d'ExoMars, à Turin), Thales Alenia Space France (responsable système parachute, à Cannes), Vorticity au Royaume-Uni (conception et analyse des tests de parachute, à Oxford) et Arescosmo en Italie (fabrication de parachutes et sacs de rangements, à Aprilia). La NASA/JPL-Caltech a fourni des conseils en ingénierie, un accès à l'installation de test d'extraction dynamique et une assistance sur site pendant ces tests. Les tests d'extraction sont pris en charge par un contrat d'assistance technique avec Airborne Systems, qui a également fourni les parachutes Mars 2020 de la NASA, et par Free Flight Enterprises pour la fourniture d'installations de pliage et d'emballage de parachutes. Airborne Systems fournit également des services de conception et de fabrication de parachutes depuis 2021. 


Near Space Corporation fournit les services de lancement de ballons dans l'Oregon. L'installation d'Esrange de la Swedish Space Corporation fournit les services de lancement de ballons à Kiruna.


La mission ExoMars sera lancée sur une fusée Proton-M avec un étage supérieur Breeze-M depuis Baïkonour, au Kazakhstan, dans la fenêtre de lancement du 20 septembre au 1er octobre 2022. Une fois posé en toute sécurité dans la   région Oxia Planum sur Mars, le 10 juin 2023, le rover quittera la plate-forme de surface, à la recherche de sites géologiquement intéressants pour forer en surface, afin de déterminer si la vie a  existé sur notre voisine. Le programme ExoMars, une entreprise conjointe entre l'ESA et Roscosmos, comprend également le Trace Gas Orbiter, qui orbite autour de Mars depuis 2016. Outre sa propre mission scientifique, Trace Gas Orbiter fournira des services de relais de données essentiels pour la mission de surface. il livre déjà un support de relais de données pour les missions martiennes  de la NASA, dont l'arrivée du rover Mars 2020 Persévérance en février 2021.

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Un nouveau communiqué de l'ESA :

 

https://www.esa.int/Science_Exploration/Human_and_Robotic_Exploration/Exploration/ExoMars/Steady_driving_towards_ExoMars_launch

 

extraits :


« Le rover est prêt et, avec le récent succès des tests de largage des parachutes, nous sommes convaincus d’être à temps pour la date de lancement de septembre », a déclaré Pietro Baglioni, chef d’équipe du rover ExoMars de l’ESA.
(...)
Rosalind est maintenant assise dans une salle ultra-propre des locaux de Thales Alenia Space à Turin, en Italie, juste à côté de son compagnon de voyage, la plate-forme d’atterrissage Kazachok. Après un examen final à la fin du mois de mars, tous les composants du vaisseau spatial – rover, module de descente, plate-forme d’atterrissage et transporteur – seront transférés sur le site de lancement de Baïkonour, au Kazakhstan, pour se préparer au décollage.

« Juste avant ce dernier voyage sur Terre, nous allons télécharger la version finale du logiciel qui permettra au rover de repérer Mars de manière autonome », explique Pietro.
Le jumeau du rover Rosalind Franklin de l’ESA a quitté avec succès la plate-forme lors de récents tests dans un simulateur de terrain martien dans les locaux d’ALTEC à Turin.

Bien que la conduite pendant ces exercices prenne environ 15 minutes, l’ensemble du processus durera quelques jours martiens. Après l’atterrissage, le rover sera occupé pendant plus d’une semaine à déplier ses roues et à déployer le mât, entre autres choses.

 

 

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Admirer les splendeurs célestes nous aiderait parfois a ignorer ou a oublier les drames se produisant sur notre planète. La passion qui nous fait lever les yeux vers le ciel est une bonne échappatoire aux tristes contingences de nos existences. Et même si nos petits malheurs ne sont strictement rien face à l'enfer que vivent d'autres, le réconfort  et la sérénité que peut apporter la contemplation d'un noir ciel étoilée est quelque chose d'important pour beaucoup d'entre nous.


Mais la réalité nous rattrape aujourd'hui. 


Une ville détruite, des cadavres le long de routes défoncées, des enfants en pleurs, le cri d'une femme, la faim, la peur, l'effroi sur un visage inconnu.


Et moi devant ma télé qui me désole, qui proteste énergiquement contre cette injustice, et qui change de chaîne pour regarder un match de basket avant de me mettre à table pour savourer une savoureuse blanquette de veau. Tout cela est navrant. Je me sens minable.


Je sais, on ne peut rien faire, ou pas grand chose, on nous l'a dit ...


Alors quand je me pose la question sur le futur de Rosalind, je m'interroge encore... 


Y a t-il encore de l'espoir... pour les gens qui meurent sous les bombes ?

Vais-je un jour prendre vraiment conscience de ce qui est important, et en tirer les conséquences.
 

Pardon pour ce coup de mou. Je vais prendre une tisane.

Modifié par Huitzilopochtli
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9_9

Je pensais que tu allais parler du lancement prévu pour septembre ?

On peut se poser la question vu que ce sont les russes qui doivent amener le robot sur la planète rouge...

Cette mission est décidément maudite.

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Le 26/02/2022 à 13:39, jackbauer 2 a dit :

Je pensais que tu allais parler du lancement prévu pour septembre ?

 

C'est exactement de ce dont je n'ai pas pu parler.

Modifié par Huitzilopochtli

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Il y a 2 heures, jackbauer 2 a dit :

Je pensais que tu allais parler du lancement prévu pour septembre ?

 

il y a une heure, Huitzilopochtli a dit :

C'est exactement de cela dont je n'ai pas pu parlé.

 

En effet et malheureusement ce n'est plus du tout le sujet à mettre à l'ordre du jour..

Et à mon humble avis...

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https://www.esa.int/Newsroom/Press_Releases/ESA_statement_regarding_cooperation_with_Russia_following_a_meeting_with_Member_States_on_28_February_2022

Communiqué tout chaud de l'ESA : c'est pas encore cette année que partira la mission, si elle décolle un jour.

Vaudrait mieux que l'ESA utilise une Ariane 6. Par contre le lander... :/

 

extrait :

En ce qui concerne la poursuite du programme ExoMars, les sanctions et le contexte plus large rendent un lancement en 2022 très improbable. Le Directeur général de l’ESA analysera toutes les options et préparera une décision formelle sur la voie à suivre par les États membres de l’ESA.

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Le cnes voulait déjà plus payer. 

Et apparemment la question de la bonne forme des instruments se pose après autant de temps au placard. 

Je parierais sur une annulation définitive. 

Mais bon, en ce moment on a d'autres soucis. 

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Il ne nous reste plus qu'à attendre "des jours heureux".  Cela viendra dès que le "dictateur russe" aura, soit été éliminé (!!), soit qu'il décèdera naturellement.  Quand ?!   J'imagine déjà la main tendue de toute la planète au futur nouvel Etat démocratique de Russie,  pour reconstruire, oublier ce lamentable terrible conflit, pardonner (?), et reconstruire l'amitié entre les peuples, relancer les échanges commerciaux, les collaborations scientifiques ...   

La mission Exomars et les lancements de Soyouz en Guyane apparaissent bien dérisoires présentement ...

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14:35

La mission ExoMars suspendue suite à l'arrêt de la coopération avec la Russie, annonce l'ESA

L'Agence spatiale européenne (ESA) a acté la suspension de la mission russo-européenne ExoMars et la recherche d'alternatives pour le lancement de quatre autres missions, à la suite de l'arrêt de la coopération avec l'agence spatiale russe Roscosmos en raison de la guerre en Ukraine.

 

 

Lire à 14h35 !

https://www.rtbf.be/article/guerre-en-ukraine-direct-le-bilan-du-bombardement-de-marioupol-encore-inconnu-la-mission-exomars-suspendue-10956730

 

Modifié par PhVDB

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Citation

L'Agence spatiale européenne (ESA) a acté la suspension de la mission russo-européenne ExoMars et la recherche d'alternatives pour le lancement de quatre autres missions, à la suite de l'arrêt de la coopération avec l'agence spatiale russe Roscosmos en raison de la guerre en Ukraine, a-t-elle annoncé jeudi 17 mars par communiqué à l'issue de son Conseil.

Figaro

:|

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